Je vous offre un petit chien en fleurs !
BONNE JOURNÉE
Un troupeau de moutons ne peut se déplacer qu’à la vitesse du mouton le plus lent. Quand le troupeau est pourchassé, ce sont les plus lents et les plus faibles qui sont attaqués en premier. Cette sélection naturelle est bonne pour le troupeau en général, parce que la vitesse du troupeau augmente à mesure que les plus lents et les plus faibles sont éliminés. De la même façon, le cerveau humain ne peut fonctionner plus vite que ses cellules les plus lentes. Comme on le sait aujourd’hui, la consommation d’alcool détruit les cellules du cerveau. Naturellement ce sont les cellules les plus les lentes et les plus faibles qui sont détruites en premier. On peut donc en déduire que la consommation d’alcool élimine les cellules les plus faibles, rendant ainsi notre cerveau de plus en plus performant.
Ce qui explique pourquoi on se sent toujours un peu plus intelligent après 4 ou 5 apéros….
La Palestine
La Palestine
L’Irak
L’Afrique
L’Asie
Chair à canon dans les conflits armés, les enfants-soldats sont aussi démineurs, espions, porteurs, esclaves sexuels, gardiens des exploitations de pétrole ou de diamants finançant les rébellions d’Afrique, selon la Coalition pour l’arrêt du recours aux enfants-soldats, fondée en 1998 par six ONG dont Amnesty International, Human Rights Watch, Save The Children, Terre des Hommes, rejointes par plus de 500 organisations dans le monde entier.
Dans certains pays, en Afrique en particulier, des enfants, le plus souvent orphelins ou séparés de leur famille, sont enrôlés de force dans l’armée ou dans des bandes qui luttent contre les gouvernements au pouvoir. En Angola, par exemple, ils étaient ainsi 3000 à avoir reçu, dès l’âge de 10 ans, un uniforme, des bottes et une mitraillette. Placés en première ligne lors des attaques, mais souvent livrés à eux-mêmes lors des replis, ces garçons ont participé à plusieurs batailles, ont connu la faim et la peur et se souviennent d’avoir tué des soldats ennemis pour se défendre.
Beaucoup d’entre eux sont morts.
Les enfants de la guerre
Charles Aznavour
Les enfants de la guerre
Ne sont pas des enfants
Ils ont l’âge de pierre
du fer et du sang
Sur les larmes de mères
Ils ont ouvert les yeux
Par des jours sans mystère
Et sur un monde en feu
Les enfants de la guerre
Ne sont pas des enfants
Ils ont connu la terre
A feu et à sang
Ils ont eu des chimères
Pour aiguiser leur dents
Et pris des cimetières
Pour des jardins d’enfants
Ces enfants de l’orage
Et des jours incertains
Qui avaient le visage
Creusé par la faim
Ont vieilli avant l’âge
Et grandi sans secours
Sans toucher l’héritage
Que doit léguer l’amour
Les enfants de la guerre
Ne sont pas des enfants
Ils ont vu la colère
Étouffer leurs chants
Ont appris à se taire
Et à serrer les poings
Quand les voix mensongères
Les enfants de la guerre
Ne sont pas des enfants
Avec leur mine fière
Et leurs yeux trop grand
Ils ont vu la misère
Recouvrir leurs élans
Et des mains étrangères
Égorger leurs printemps
Ces enfants sans enfance
Sans jeunesse et sans joie
Qui tremblaient sans défense
De peine et de froid
Qui défiaient la souffrance
Et taisaient leurs émois
Mais vivaient d’espérance
Sont comme toi et moi
Des amants de misère
De malheureux amants
Aux amours singulières
Aux rêves changeants
Qui cherchent la lumière
Mais la craignent pourtant
Car
Les amants de la guerre
Sont restés des enfants
Parmi les 41 pays qui les exploitent, contre 30 il y a trois ans, la palme revient à la Birmanie: les enfants-soldats y seraient quelque 50.000. Les enfants-soldats sont aujourd’hui moins nombreux au Proche-Orient ou en Amérique latine, en raison de la réduction du nombre des conflits. Ils seraient 120.000 dans les différentes guerres d’Afrique, et combattent aussi dans les rébellions des Philippines, de Papouasie-Nouvelle Guinée, et les conflits de Macédoine, de Colombie.
LE MARIAGE DES ENFANTS
Au Népal, des milliers de mariages d’enfants sont célébrés chaque année. Une fille népalaise dès sa naissance est considérée aux yeux de ses géniteurs comme appartenant déjà à la famille de son futur époux, ce qui remet fortement en cause sa scolarisation et son indépendance.
http://www.dailymotion.com/video/k2Yywsc5M4JsUiwCrb
POURQUOI?
le 1er Avril – Poisson d’avril
En France, on raconte que jusqu’en 1564, l’année commençait le 1er avril. Cette année là, le roi Charles IX décida de modifier le calendrier. L’année commencerait désormais le 1er janvier.
Le 1er janvier 1565 tout le monde se souhaitât « bonne année », se fit des cadeaux, se donna des étrennes, tout comme à un début d’année. Seulement quand arriva le 1er avril, quelques petitsfarceurs eurent l’idée de se faire encore des cadeaux, puisque c’était à cette date qu’avant on s’en faisait. Mais, comme c’étaient des farceurs et que ce n’était plus le « vrai » début de l’année, les cadeaux furent de faux cadeaux, des cadeaux « pour de rire », sans valeur.
À partir de ce jour là, raconte-t-on, chaque année au 1er avril tout le monde, grands et petits, prit l’habitude de se faire des blagues et des farces.
Comme à cette période de l’année, au début du mois d’avril, en France, la pêche est interdite, car c’est la période de frai des poissons (la période de reproduction), certains avaient eu comme idée de faire des farces aux pêcheurs en jetant des harengs dans la rivière. En faisant cela, ils devaient peut-être s’écrier: « Poisson d’avril! » et la coutume du « poisson d’avril » est restée.
Aujourd’hui, on ne met plus de harengs dans l’eau douce, mais on accroche, le plus discrètement possible, de petits poissons en papier dans le dos des personnes qui se promènent parfois toute la journée avec ce « poisson d’avril » qui fait bien rire les autres.
Certains racontent aussi que le « poisson d’avril » serait devenu « poisson » parce qu’au début du mois d’Avril la lune sort du signe zodiacal des Poissons.
Fred Mella fête aujourd’hui ses 85 printemps
depuis 65 années il chante avec un immense succès jamais démérité !
Pendant quarante ans il fût la voix d’or de ses » Compagnons »
et depuis 20 ans il chante « seul sous la lumière » toujours aussi majestueusement
avec le même bonheur tant pour son public que pour lui-même !
nouvelle écrite par : http://mamybell.over-blog.com/
http://www.dailymotion.com/video/k46hvZfqrApMbvQq28
Sharon Stone | |
![]() |
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Sharon Stone (1958- ) | |
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Nom | Sharon Vonne Stone |
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Naissance | 10 mars 1958 (1958-03-10) ![]() |
Nationalité(s) | Américaine |
Profession(s) | Actrice Productrice Réalisatrice Scénariste Écrivain |
Film(s) notable(s) | Basic Instinct où elle incarne Catherine Tramell Ginger McKenna dans Casino |
Conjoint(e) | George Englund Jr. (?-? : divorce) Michael Greenburg (1984-1987 : divorce) Phil Bronstein (1998-2004 : divorce) |
Enfant(s) | Roan, Laird et Quinn |
Sharon Stone, née Sharon Vonne Stonne le 10 mars 1958 à Meadville en Pennsylvanie, aux États-Unis est une actrice, productrice, réalisatrice et scénariste américaine.
Après des débuts dans le mannequinat, elle débute sa carrière de comédienne dans les années 1980. Le succès arrive seulement douze ans plus tard quand elle interprète Catherine Tramell dans Basic Instinct (1992). Ce succès lui ouvre les portes du cinéma ; dès 1995, Casino lui vaut un Golden Globe et une nomination aux oscars. Ses autres succès incluent Total Recall, Sliver ainsi que Mort ou vif.
En dépit de quelques déboires, notamment un Razzie Award dont elle a bénéficié, elle reste un sex symbol d’Hollywood[1]. À ce titre, elle possède à ce titre son étoile à la hauteur du 6925 Hollywood Boulevard sur le Walk of Fame.
Très engagée pour les causes humanitaires, elle est l’ambassadrice de l’American Foundation for AIDS Research (Amfar), une association de lutte contre le SIDA.
Mère de trois enfants, Roan, Laird et Quinn, elle vit dans les collines de Los Angeles.
Et moins célèbre l’auteur de ce blog prend une année de plus le 10 Mars…
Premier sourire du printemps
Tandis qu’à leurs œuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
Il repasse des collerettes
Et cisèle des boutons d’or.
Dans le verger et dans la vigne,
Il s’en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l’amandier.
La nature au lit se repose ;
Lui descend au jardin désert,
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Tout en composant des solfèges,
Qu’aux merles il siffle à mi-voix,
Il sème aux prés les perce-neiges
Et les violettes aux bois.
Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l’oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d’argent du muguet.
Sous l’herbe, pour que tu la cueilles,
Il met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d’avril tournant la tête,
Il dit : » Printemps, tu peux venir ! »
Théophile Gautier (1811-1872) (« Émaux et camées »)
Voilà le printemps est là,
Quelques ondées ici bas,
Mais tant mieux le soleil est là,
Et nous sommes bien sur terre ici-bas.
La semaine dernière plein de fleurs,
Les arbres avaient revêtu leur belle couleur.
Couleur blanche pour les cerisiers,
Blanche et rose pour les pommiers, rose pour les pêchers.
Peu de temps a passé,
une semaine tout au plus s’en est allée,
Les abeilles ont butiné, les arbres et les fruitiers
De petits fruits, des arbres ont remplacés.
Bientôt d’autres couleurs,
Des fleurs bien avant l’heure,
Mais une seule chose importe, avoir le bonheur,
Et pour ça, je serai à l’heure.
Morganne
La nuit n’a pas fini d’ôter son lourd manteau
Et l’aurore timide se frotte encore les yeux
Le frais matin d’automne traîne comme un fardeau
Les nuages grisâtres qui ornent encore les cieux
Puis la lumière s’installe, prend ses aises et s’étend
Elle éclaire, diaphane, les ombres qui s’enfuient
Quand la brume s’étale du bosquet à l’étang
En semant ça et là des perles qu’elle oublie.
Les sons semblent sortir de nulle part, du néant
Le sursaut d’une carpe, ou du cygne l’essor
Ne sont que des bruits sourds, orphelins du mouvement
Ce n’est que la musique qui meuble le décor
Notre regard s’arrête sur un rideau de soie
De mille gouttelettes aux couleurs d’arc en ciel.
On ne distingue plus le pré l’eau et le bois
Un voile s’est noué de la terre au soleil.
Le jour à besoin d’être il déchire la tenture
Il rend la liberté de l’espace au soleil
La brume se replie comme une couverture
Et la terre mouillée sort de son sommeil.
Patrick Laurain
Un sourire c’est peu de chose mais ça ressemble à une rose.Heureux celui qui le reçoit car dans son cœur volète la joie.
Un sourire c’est peu de chose mais ça ressemble à une rose. Il est un don de celui qui sait l’offrir même si le vent est en train de nordir.
Un sourire c’est peu de chose mais ça ressemble à une rose. Il apaise la mélancolie quand elle fait larmoyer la vie.
Un sourire c’est peu de chose mais ça ressemble à une rose. On le donne avec plaisir à celui qui a peur de l’avenir.
Un sourire c’est peu de chose mais ça ressemble à une rose. Il fait oublier beaucoup de choses car l’existence n’est pas toujours rose.
Serge LÉONARD (BRIVE)
Elles sourient quand elles veulent crier.
Elles chantent quand elles veulent pleurer.
Elles pleurent quand elles sont heureuses et rient quand elles sont nerveuses.
Elles se battent pour ce en quoi elles croient.
Elles s’élèvent contre l’injustice.
Elles ne considère pas un « non » comme réponse quand elles croient qu’il y a une meilleure solution. Elles se privent de meilleures chaussures pour que leurs enfants puissent en avoir.Elles accompagnent leurs amis(es) chez le médecin même pour un rhume. Elles aiment sans condition.
Elles pleurent pour la réussite de leurs enfants et sautent de joie quand il s’agit des victoires de leurs amis(es).
Elles sont heureuses lorsqu’elles apprennent une naissance ou un mariage.
Leurs coeurs se brisent lorsqu’elles perdent un ami(e).
Elles sont effondrées lors de la perte d’un membre de la famille et pourtant elles restent fortes même quand elles semblent au bout de leurs forces.
Elles savent qu’une étreinte et un baiser peuvent soulager un coeur brisé.
Les femmes arrivent dans toutes les tailles, toutes les couleurs et toutes les formes.
Elles prendront leur voiture, l’avion, viendront en marchant ou en courant juste pour vous montrer qu’elles se soucient de vous.
Le coeur d’une femme, c’est ce qui fait tourner le monde.
Les femmes font beaucoup plus que mettre des enfants au monde :
Elles engendrent la joie et l’espoir.
Elles génèrent de la compassion et des idéaux.
Elles sont un soutien moral pour leur famille et leurs amis.
Les femmes ont beaucoup à dire et beaucoup à offrir.
Transmettez-le à vos amies pour leur rappeler combien elles sont épatantes…..Et transmettez-le à vos amis pour leur rappeler à quel point ils sont entourés par des femmes épatantes.
En cette journée internationale de la femme,
merci à toutes les femmes qui nous
ont précédées pour faire évoluer
la condition féminine dans le monde.
Des femmes fortes, indépendantes, capables
d’exprimer une opinion et de se tenir debout.
Certaines plus militantes que d’autres… mais qui
partagent toutes la même vision de la vie !
Les femmes prennent de plus en plus leur place
et certains regroupements ont fait de grandes
choses en nous libérant d’abus de toutes sortes.
Le travail n’est pas encore terminé ; il reste
encore de grands ponts à traverser et si…
nous nous unissons encore cette année,
un jour… toutes ensemble,
nous toucherons les étoiles !
En cette journée internationale des femmes…
Bonne fête, mesdames !
Un petit poème pour vous toutes…
Les femmes !
Toutes les femmes sont belles.
Elles sont fleuries par les quatre saisons.
L’idée nous prend de leur donner un bec;
La timidité m’arrête ou serait-ce la raison ?
Je les vois mieux au printemps.
Elles se fleurissent de toutes les couleurs.
Je les regarderais tout le temps.
Ce serait ma joie et mon bonheur.
Que de beautés je vois tout l’été.
Les formes dénudées, désirées, bronzées.
Que la nature vous ait fait si belles,
Me donne à moi bien des ailes.
L’automne nous apporte de belles couleurs.
Mais vous êtes la plus belle des fleurs.
Vous aimez les hommes de 20, 30 ou 40 ans ?
Ma tête d’automne a un coeur jeune et aimant.
Les vêtements d’hiver vous font si désirables.
Fourrures, sports, neige, vous rendent affables.
Vous serrer dans mes bras serait ma grande réjouissance.
Cependant, je dois freiner mes élans, par décence.
Femme, quel nom doux à l’oreille.
Avec la musique, il invite à la danse.
Vous êtes une déesse sans pareille.
Vous êtes la saison pleine d’abondance.
Camille Labrecque
Plus une rose pour chacune de vous !
Plus une rose pour cune de vous !