DE TOUT EN VRAC

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2 juillet, 2021

Tout ce que nous entendons n’est pas parole d’évangile, loin s’en faut !!! …

Classé dans : Citations, proverbes...,Moralité (13) — coukie24 @ 15:39

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Tout ce que nous entendons est une opinion, pas un fait. Tout ce que nous voyons est un point de vue, pas la vérité.

Marcus Aurelius

3 novembre, 2020

Le jeune fille impolie…

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 12:30

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J’ai entendu il y a peu de temps raconter cette petite histoire qui donne bien à réfléchir.  C’était une jeune fille qui n’était pas correcte quand elle parlait à sa mère. Mais cette dernière qui était très polie, gardait son sang froid. C’était quand même difficile pour elle. Alors elle décida que chaque fois que sa fille serait grossière avec elle, elle enfoncerait un petit clou dans la porte. Et le lendemain, un clou, puis encore un. Et le temps passa. La fille se rendit compte un jour qu’il y avait beaucoup de clous sur la porte et elle commença à se rendre compte du mal qu’elle faisait.

Alors elle parla avec sa mère et devint plus sage. Alors toutes deux elle enlevèrent les clous. Mais la fille dit : «Maman, il reste des traces» « Oui ma fille, dit la mère, les clous ont abîmé la porte.

La moralité est que quand nous faisons du mal aux autres, ils peuvent nous pardonner, mais il restera toujours une cicatrice dans leur coeur. coeur006.gif

Alors faisons toujours attention à nos propos.

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25 août, 2020

Le respect s’apprend depuis le jeune âge !

Classé dans : Citations, proverbes...,Moralité (13) — coukie24 @ 13:11

L’image contient peut-être : une personne ou plus, texte qui dit ’L'éducation, c'est la famille qui la donne; l'instruction, c'est l'État qui la doit." Victor Hugo’

Il a été décidé qu’on reparlerait, dès les petites classes, d’éducation civique, d’honnêteté, de courage, de refus du racisme et d’amour de la République. Il est dommage que l’école ne soit fréquentée que par les enfants.

A. Frossard

6 février, 2019

Les incivilités menacent-elles notre société ? …

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 9:47

Il est temps de s’attaquer à la racine du mal, à la perte de sens civique qui accompagne à la fois l’insécurité et les incivilités.

"Si incivilité et insécurité ne se confondent pas, elles sont liées par une chaîne de causalité et vont des simples relâchements de courtoisie aux troubles à l'ordre public."

« Si incivilité et insécurité ne se confondent pas, elles sont liées par une chaîne de causalité et vont des simples relâchements de courtoisie aux troubles à l’ordre public. »

Violences à l’école, « ensauvagement » de la société, heurts de la nuit d’Halloween et de la Saint-Sylvestre, outrages à dépositaires d’une autorité publique et attaques de policiers et même de pompiers, l’actualité regorge de tels faits et des perceptions qu’ils génèrent. Parallèlement, les jets de déchets dans les rues, les bruits excessifs inutiles de deux-roues trafiqués, les dégradations de mobiliers urbains ou de transports en commun, les tags sur les murs et les crottes de chiens sur les trottoirs détériorent le cadre de vie et les budgets des collectivités qui doivent réparer les espaces publics.

Et s’il était temps de s’attaquer à la racine du mal, à la perte de sens civique qui accompagne à la fois l’insécurité et les incivilités?

Ces marques d’irrespect sont de moins en moins acceptées par la population. Mais que sont vraiment les incivilités? Peut-on comparer un incendie volontaire de véhicule et un simple crachat sur le sol? C’est à condition de bien nommer le problème qu’on peut se donner les moyens de le comprendre et de le régler.

C’est à partir de la deuxième moitié du XXe siècle, aux Etats-Unis, que le terme se met au pluriel et commence à recouvrir tout ce qui trouble la paix sociale et le bon fonctionnement de la vie en commun.

L’incivilité, au singulier, revêt originellement une idée de manque de politesse ou de courtoisie. Dire d’une personne qu’elle est « civile » renvoie à ses bonnes manières. C’est à partir de la deuxième moitié du XXe siècle, aux Etats-Unis, que le terme se met au pluriel et commence à recouvrir tout ce qui trouble la paix sociale et le bon fonctionnement de la vie en commun. Aujourd’hui, et avec le sociologue Sébastian Roché, on peut définir l’incivilité comme une « rupture de l’ordre dans la vie de tous les jours ». Mais de quel type de rupture parle-t-on?

Il faut d’abord distinguer la simple impolitesse de ce qui relève de l’infraction pénale. Une conversation téléphonique bruyante dans un métro bondé est un comportement indisposant mais pas répréhensible, des graffitis sur un mur le sont. Néanmoins, les limites ne sont pas toujours claires. Soumettre un voisin à un bruit trop élevé est une incivilité qui peut déboucher, si la gêne perdure, sur une infraction. Dans le même temps, le droit absorbe de plus en plus les incivilités et l’on assiste à une pénalisation accrue des comportements « anormaux ». Le harcèlement de rue, qui relevait jusqu’ici, dans une certaine mesure, de la simple nuisance, se retrouve pénalisé. Si la lutte pour que l’espace public demeure accessible à tous est évidemment bienvenue, on peut néanmoins s’attendre à des difficultés pour mettre en œuvre concrètement ces nouvelles dispositions.

Cette pénalisation des comportements illustre bien le lien qui existe entre incivilité et insécurité.

Il faut en effet distinguer aussi les incivilités en fonction de l’intention de leurs auteurs. L’incivilité d’ignorance existe. Il arrive plus souvent qu’on ne le croit que le fauteur de trouble ne se rende pas compte de la gêne qu’il occasionne. Pour d’autres, les incivilités sont juste une continuation de leur individualisme consumériste de l’espace public et de leur incapacité à fournir les efforts nécessaires à la vie en communauté. Pour d’autres, enfin, il s’agit réellement d’une volonté de nuire et de substituer leur propre système de valeurs aux normes en vigueur. Il est évident que l’on ne lutte pas contre ces différentes formes d’incivilités de la même manière.

Enfin, il est aussi nécessaire de mesurer ce que les incivilités ont d’inévitables, ce qui ne signifie pas qu’il faille renoncer à lutter contre elles. La jeunesse, par exemple, est le moment habituel de la remise en cause de l’autorité et des normes communes. L’incivilité des uns n’est pas forcément celle des autres, et la vie en société ne peut être vécue totalement sans frictions. D’où la nécessité de ne pas se laisser tenter par une compréhension et une réponse uniquement juridiques ou sécuritaires. Les incivilités ont peut être augmenté, mais c’est également notre tolérance qui a diminué.

C’est avec ces nuances et distinctions en tête que l’on peut comprendre les incivilités et tenter d’y apporter remède. Car il est une certitude: l’incivisme des uns fait le malheur de tous.

« Refaire Communauté – Pour en finir avec l’incivisme« , de Jean-Michel Arnaud et David Lisnard, éditions Hermann (sept.2018), trouvé sur Le HuffPost

18 novembre, 2015

La Trappe à souris !

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 12:29

 

La Trappe à souris ! dans Moralité (13) mouse-trap 

Une souris regardait un jour à travers un trou dans un mur. Elle vit un paysan et sa femme en train de déballer un paquet. Quelle nourriture pouvait-il bien contenir ? Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir qu’il s’agissait d’une trappe à souris.

Fuyant vers l’arrière de la ferme, la souris criait de tous côtés : « il y a une trappe à souris dans la maison, une trappe à souris dans la maison ! ». Le poulet leva la tête, se gratta et dit : « excusez-moi, Madame Souris, je me rends bien compte que c’est une grande inquiétude pour vous, mais cela ne me regarde pas. Que voulez-vous que j’en fasse ? ». La souris se tourna alors vers le cochon. « Oh, je suis désolé Madame Souris, la seule chose que je peux faire pour vous est de prier. Soyez assurée que je vous porte dans mes prières ». La souris se tourna enfin vers le bœuf. Celui-ci se moquait de la souris : « Oh là là, Madame Souris, mais c’est terrible, une trappe à souris ! Mais je suis gravement en danger, n’est-ce pas ? ».

Finalement, la souris se décida d’affronter la trappe à souris seule. Dans la nuit, on entendit un bruit dans la maison qui ressemblait à celui d’une trappe à souris se refermant sur une souris. La femme du paysan s’en alla voir ce qui avait été pris. Dans la nuit, elle ne vit malheureusement pas le serpent venimeux dont le bout de la queue avait été pris dans la trappe. Le serpent mordit la femme du paysan. On dut partir à l’hôpital. La femme revint avec de la fièvre. Or, comme tout le monde le sait, il est fortement conseillé de faire boire à quelqu’un qui a de la fièvre une bonne soupe au poulet. Le paysan prit donc sa hache et coupa le cou du poulet. Malheureusement, la maladie continua et beaucoup de gens vinrent pour garder la malade. Le paysan dut tuer son cochon pour nourrir tout le monde. Finalement, la femme mourut et le paysan dut abattre son bœuf pour nourrir les personnes venues pour l’enterrement.

Ainsi donc, la prochaine fois que vous entendrez dire qu’une de vos connaissances est aux prises avec un problème qui ne vous concerne pas, souvenez-vous de la trappe à souris. Lorsqu’un des nôtres est menacé, nous sommes tous en danger. Nous sommes tous impliqués dans ce voyage qu’on appelle la vie. Ayons l’oeil ouvert sur nos proches et faisons un effort pour nous encourager mutuellement.

Auteur inconnu

17 janvier, 2014

« L’enfant et le Maître d’école » Jean de La Fontaine

Classé dans : Moralité (13),Poésies, Fables, contes, ... (171) — coukie24 @ 17:49

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Dans ce récit je prétends faire voir

D’un certain sot la remontrance vaine.

Un jeune enfant dans l’eau se laissa choir,

En badinant sur les bords de la Seine.

Le Ciel permit qu’un saule se trouva,

Dont le branchage, après Dieu, le sauva.

S’étant pris, dis-je, aux branches de ce saule,

Par cet endroit passe un Maître d’école.

L’Enfant lui crie : « Au secours ! je péris. « 

Le Magister, se tournant à ses cris,

D’un ton fort grave à contre-temps s’avise

De le tancer : « Ah! le petit babouin !

Voyez, dit-il, où l’a mis sa sottise !

Et puis, prenez de tels fripons le soin.

Que les parents sont malheureux qu’il faille

Toujours veiller à semblable canaille !

Qu’ils ont de maux ! et que je plains leur sort ! « 

Ayant tout dit, il mit l’enfant à bord.

Je blâme ici plus de gens qu’on ne pense.

Tout babillard, tout censeur, tout pédant,

Se peut connaître au discours que j’avance :

Chacun des trois fait un peuple fort grand ;

Le Créateur en a béni l’engeance.

En toute affaire ils ne font que songer

Aux moyens d’exercer leur langue.

Hé ! mon ami, tire-moi de danger :

Tu feras après ta harangue.

Jean de La Fontaine    (1621-1695)

 

Morale :

 

Comme chaque fable, La Fontaine fait référence à ce qui se passe dans la vie réelle de façon imagée. Devant la peur d’une guerre, de la famine, les puissants de ce monde discutent en premier de façon vaine avant de penser à résoudre les problèmes.

Le Maître d’école aurait dû sortir vite l’enfant de la rivière car il aurait pu se noyer de son manque de réaction rapide. Il lui aurait parlé après dès que l’enfant aurait été en sécurité.

L’action avant le discours.

Agir avant de discourir.

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 Fable toujours d’actualité ! On dirait que parfois l’humanité se comporte essentiellement comme ce maître d’école ! Parler, faire d’intenses discours qui tournent souvent en rond, occultent, ou tout du moins relèguent l’action efficace au second plan…. nos politiques démontrent bien trop souvent cette terrible attitude… Coukie24

22 avril, 2011

À quoi sert la politesse ? …

Classé dans : Moralité (13),Psychologie (72) — coukie24 @ 14:24

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La politesse doit être enseignée aux enfants sinon ils auront du mal à s’insérer dans la société. Pourtant, l’incivilité semble gagner du terrain et l’on s’en plaint aujourd’hui comme les adultes s’en plaignent depuis des millénaires quand ils parlent de la jeunesse qui  » n’est plus ce qu’elle était « . Pourtant, la politesse, même si elle est indispensable, semble aussi un carcan, lieu d’une véritable hypocrisie. Alors, à quoi sert-elle vraiment ?

La politesse, une règle implicite qui nous guide

Si la politesse semble souvent artificielle, elle a l’intérêt d’organiser un univers rassurant et prévisible. Grâce à elle, vous savez ce que vous devez faire ou ne pas faire, dire ou ne pas dire, comment vous devez réagir. Ses règles écrites ou implicites vous guident, vous soutiennent, vous facilitent la vie à des moments où il ne serait pas simple d’improviser rapidement. Vous savez où vous situer par rapport à l’autre grâce à ces règles. Vous ne parlerez ainsi pas de la même manière à votre patron ou à un subordonné. De même, vous saurez comment placer vos invités à table.

La politesse sert aussi à donner du positif aux autres

Un exemple : quand vous croisez un voisin, vous dites simplement  » bonjour « . En lui souhaitant une bonne journée, vous lui montrez qu’il n’est pas un inconnu pour vous, qu’il existe dans votre environnement, qu’il a sa place dans le monde. Ce n’est pas grand-chose, mais cela peut se révéler très important pour une personne seule qui apprécie énormément ce petit mot. De même le mot  » merci  » vous permet de reconnaître ce que l’autre vous a donné (un sourire, une aide, une attention) et lui renvoie une image positive de lui-même. Un merci est un mini cadeau qui répond à un autre cadeau. Ce sont donc des échanges d’objets positifs. De cette manière, la politesse huile les rouages sociaux et rend la vie plus agréable. Être poli, c’est ne pas laisser la loi de la jungle triompher, mais l’humanité gagner la partie. Un conducteur poli laisse passer les piétons sur un passage qui leur est réservé et n’injurie pas un conducteur étranger ou débutant qui a des difficultés à trouver son chemin. La politesse ne fait pas que mettre en avant du positif, elle atténue le négatif. Un enfant peut dire :  » elle est moche la dame  » alors qu’un adulte peut le penser, mais s’il est bien éduqué, ne le dira jamais. Il ne s’agit pas d’hypocrisie, mais d’une manière de faciliter la vie en communauté. Si chacun blesse les personnes de son entourage par manque de politesse, il sera lui aussi blessé un jour ou l’autre. Il s’agit donc d’un échange tacite de bons procédés. Personne ne va vous dire que vous êtes laid, ni que vous êtes mal habillé, à moins de souffrir d’un déficit grave de politesse. Aussi, quand on souhaite enseigner la politesse aux enfants, l’idéal est de parler non des règles, mais des valeurs que l’on souhaite transmettre.

Il semblerait que l’on puisse ramener les règles de la politesse à 4 grands principes :

- Le respect de soi qui consiste à se vêtir de manière soignée, et à parler d’une manière intelligible et claire pour l’entourage.

- Le respect d’autrui : il s’agit de ne pas gêner par des sons bruyants, de faire preuve de tact, de discrétion et d’éviter les remarques désobligeantes, de ne pas monopoliser les conversations, et de savoir exprimer son désaccord sans blesser l’autre.

- La sociabilité : il s’agit d’offrir des signes d’intérêt aux personnes que l’on côtoie, des compliments, de recevoir dans les formes et de faire preuve de bienveillance en leur proposant des services.

- L’équilibre : ici, on s’applique à rendre une invitation, à ne pas abuser du temps d’autrui, à éviter la familiarité excessive… Notons qu’en dehors de tous ses aspects positifs la politesse a aussi ses limites. Elle sert parfois à vous positionner dans une classe sociale. Chaque groupe culturel a ses propres règles et chacun reconnaît rapidement les siens. Cela peut être un plaisir de former un groupe, mais aussi une manière de s’isoler des autres, pas forcément positive…

À lire  » Pourquoi la politesse ? Le savoir vivre contre l’incivilité  » de Dominique Picard aux éditions Le Seuil (2007)

22 octobre, 2010

Le Fermier et la fontaine !

Classé dans : Moralité (13),Textes à méditer (239) — coukie24 @ 15:10

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Fable à méditer… 

Une ferme se trouvait au bord du chemin de Compostelle.
Son propriétaire voyait régulièrement des pèlerins passer.
Le soleil étant régulièrement de la partie et, ceux-ci étaient souvent assoiffés.
Pour les aider, il installa une fontaine d’eau qu’il offrit gratuitement à tous ces voyageurs.
Chacun en profitait et tout le monde trouvait cela normal et pratique.
Un jour, un voyageur zélé, prit cette eau et, arrosa tous ceux qui passaient par là, pour les rafraichir.
Il n’y voyait que de l’entraide…
Une personne qui avait peur de l’eau, et portait une belle tenue, se sentit agressée par ce geste et vint se plaindre au fermier.
« C’est de votre faute si cet individu m’a mouillée, je vais me plaindre à la justice , vous l’avez laissé faire » !
Le fermier qui travaillait au champ pendant ce temps-là, n’avait pas passé son temps à surveiller la fontaine et tombait des nues.
Il s’excusa, et afin d’éviter ce genre d’ennui, demanda aux pèlerins et particulièrement à l’homme zélé, de ne prendre de l’eau que pour leur soif et celle de ceux qui donnaient leur accord.
Mais l’individu zélé, continua de distribuer de l’eau à toutes les personnes qui passaient, allant même jusqu’à en porter aux notables du coin qui avaient l’eau courante chez eux.
Ceci fit monter la colère de la première personne mouillée qui s’en prit de nouveau au fermier : « Vous laissez faire n’importe quoi, c’est que vous êtes d’accord avec lui ! »Alors, devant le manque de responsabilité du distributeur d’eau, le fermier fit vider la fontaine en réfléchissant comment continuer à aider les personnes sans que personne ne puisse se servir de son eau pour nuire en voulant servir…
Les pèlerins habitués se demandèrent pourquoi la fontaine si utile était vide… et le fermier leur indiqua une autre source plus loin.
L’homme horrifié par la décision du fermier le traita de couard et nomma la personne mouillée par toutes les injures qu’il connaissait.
Le fermier lui répondit alors :
Dans la vie, il y a toujours la solution de choisir ce qui est le mieux pour la paix.
Lorsqu’un homme se blesse, il peut passer son temps à critiquer la ronce qui l’a écorché ou commencer par nettoyer la plaie et retirer toute écharde qui a pu commettre la blessure.
Ensuite, il panse sa plaie et nettoie l’endroit de toute ronce dangereuse.
S’il fait l’inverse, sa plaie a le temps de s’infecter et sa colère lui provoquer d’autres blessures plus importantes.
Il y a un ordre divin pour toutes choses.
La nature est un modèle.
L’oiseau choisit son couple et construit le nid, avant de pondre.
Celui qui ne suit pas cet ordre, comme le coucou, va pondre dans le nid d’autrui et détruit la vie des autres, en voulant donner la vie à sa descendance.
A chacun ses responsabilités.
L’homme eut beaucoup de mal à comprendre que son attitude était celle d’un coucou qui prenait la place chez ceux qui n’avaient rien demandé.
A partir de ce jour, le fermier transforma la généreuse fontaine en distributeur limité d’eau.
Un verre à la fois, impossible de remplir les seaux ni de se servir du tuyau.
Les pèlerins trouvèrent ce nouveau système adapté à leurs réels besoins et le fermier continua tranquillement son travail.

Morale : Qui veut aider longtemps adapte sa générosité.

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Histoire trouvée chez Maya

7 février, 2009

Le racisme…..

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 17:42

Cliquer sur l’image !

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30 janvier, 2009

Classé dans : Les mots (85),Moralité (13) — coukie24 @ 0:57

 dans Les mots (85) vl2ttukx

11 janvier, 2009

Citation qui semble malheureusement être ignorée en ces jours de Janvier 2009…

Citation qui semble malheureusement être ignorée en ces jours de Janvier 2009... dans Citations, proverbes... mqe5x0co 

« Prôner la non-violence, c’est dire qu’il y a d’autres moyens de résoudre les conflits que par les armes et la guerre. La non-violence signifie aussi que la personne d’un côté de la tranchée reconnaît celle de l’autre côté comme un être humain doté des mêmes facultés. À un certain moment, ces deux êtres doivent commencer à se comprendre. »


– Rigoberta Menchú Tum, lauréate du prix Nobel de la paix [traduction libre]

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bt9yeueu dans Moralité (13)

7 décembre, 2008

Le Respect…“Le respect ne se négocie pas, il s’impose.” Joseph N’DIAYE

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 17:07

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Le philosphe Kant a choisi de nommer respect, le sentiment par lequel nous obéissons à notre devoir. Mais on peut aussi ériger le respect en tant qu’éthique. Respecter cette éthique, c’est de fait accepter un code, un réglement dans lequel nul sentiment n’entre en jeu. Le respect, c’est quelque chose d’essentiel pour vivre en société. Celui qui contourne le respect ou ne l’applique pas confond souvent communication et relation !

C’est ainsi que l’information ne circule pas de la même façon et ne produit pas le même effet. On ne peut pas parler d’assertivité et de respect si on n’a pas clairement différencié la relation de la communication. Voici un tableau comparatif qui permet de comprendre la différence de mode de fonctionnement de l’individu selon qu’il est objectif (communicant) ou suggestif (relationnel) face au respect.

Etre communicant

Etre relationnel

Être ouvert

Être relié

Être libre

Être attaché

Chaleur humaine

Affectivité

Sensibilité

Émotivité

Considération

Manipulation (même involontaire)

Respect

Copinage

Constructif

Conflictuel

Responsabilité

Culpabilisation

Attention (pour quelqu’un)

Intérêt (pour quelque chose)

L’individu compte plus que l’information

L’information compte plus que l’individu

Information proposée par l’émetteur

Information imposée par l’émetteur

Information accueillie par le récepteur

Information subie par le récepteur

Les deux interlocuteurs sont gagnants

L’un gagne au détriment de l’autre

Partager une différence de point de vue

Imposer un point de vue, convaincre

Actions (réfléchies, adaptées)

Réactions (involontaires, inadaptées)
Stratégies (intellectuelles, manipulatrices)

Information mieux transmise

Information déformée

  

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On notera que quand on dit « J’ai des relations », on parle plus des gens dont on peut se servir, que de ceux vis à vis desquels on a une ouverture d’esprit.

En conclusion, le respect est un sentiment d’acceptation des règles de la vie sous forme de communication libre et positive.

 “On respecte un homme qui se respecte lui-même.”
Honoré de BALZAC.  

18 novembre, 2008

La morale

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 13:39

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Le propre de toute morale est de considérer la vie humaine comme une partie que lon peut gagner ou perdre, et d‘enseigner à l‘homme le moyen de gagner.

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[Simone de Beauvoir]

1 novembre, 2008

Les Sabots – Chanson d’Alain Barrière

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 22:49

Moralité ? Similitude avec le précédent article ?…

Je suis venu de la campagne
Où j’ai laissé mes deux sabots
Je suis venu de la campagne
Où j’ai laissé tendre Margot
Suis parti battre la campagne
Pour y montrer mes oripeaux
Suis parti battre la campagne
Pour y chercher d’autres Margot

En chemin fis la connaissance
De trois voyous du meilleur lot
Ils étaient trois nous fumes quatre
Je me battis comme un héros
J’ai pillé et volé sans cesse
Jusqu’au jour où las des assauts
Pour les beaux yeux d’une princesse
Je mis en fuite les trois marauds

La fortune comme la misère
Ne vous lâchent pas de sitôt
À la princesse j’eus l’heur de plaire
On me conduisit au château
On écrivit une légende
Répandue à tous les échos
Depuis la Savoie jusqu’aux Flandres
Mon nom claquait comme un drapeau   

Et dès la première campagne
La chance sourit aussitôt
On me fit Comte de Bretagne
Maître de Brest et Landerneau
Tous ces honneurs vite pesèrent
Sur mes épaules et le coeur gros
Je ne songeais qu’à m’en défaire
Pour accourir jusqu’à Margot
 

Par pitié ma belle princesse

Rendez-les moi mes deux sabots
Mon pauvre coeur est en détresse
Depuis que j’ai perdu Margot
Par pitié ma belle princesse
Rendez-les moi mes deux sabots
Je ne suis rien je le confesse
Je suis né là dans le hameau

Par pitié ma belle princesse
Rendez-les moi mes deux sabots
Je ne suis rien, je le confesse, j
e suis né là dans le hameau

Les Sabots - Chanson d'Alain Barrière dans Moralité (13) 21lk139j             p7jrdwjl dans Moralité (13)

http://coukie24.unblog.fr/files/2008/11/lessabots.mp3 Moralité ? Similitude avec le précédent article ?... Je suis venu de la campagne Où j'ai laissé mes deux sabots Je suis venu de la campagne Où j'ai laissé tendre Margot Suis parti battre la campagne Pour y montrer mes oripeaux Suis parti battre la campagne Pour y chercher d'autres Margot En chemin ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >

Le savetier et le financier – Morale ? Vous l’avez devinée…

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 22:27

                            Le savetier et le financier - Morale ? Vous l'avez devinée... dans Moralité (13) Cordonnier-0

Un savetier chantait du matin jusqu’au soir;
            C’était merveilles de le voir,
Merveilles de l’ouïr; il faisait des
passages,
            Plus content qu’aucun des Sept Sages
Son voisin au contraire, étant tout cousu d’or,
            Chantait peu, dormait moins encor.
            C’était un homme de finance.
Si sur le point du jour, parfois il sommeillait,
Le savetier alors en chantant l’éveillait;

             Et le financier se plaignait
            Que les soins de la Providence
N’eussent pas au marché fait vendre le dormir,

            Comme le manger et le boire.
            En son hôtel il fait venir
Le chanteur, et lui dit: «Or çà, sire Grégoire, 
Que gagnez-vous par an? – Par an? Ma foi, Monsieur,
            Dit avec un ton de rieur,
Le gaillard savetier, ce n’est point ma manière
De compter de la sorte; et je n’entasse guère
Un jour sur l’autre, il suffit qu’à la fin
            J’attrape le bout de l’année;
            Chaque jour amène son pain.
- Eh bien, que gagnez-vous, dites-moi, par journée?
- Tantôt plus, tantôt moins, le mal est que toujours
(Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes),
Le mal est que dans l’an s’entremêlent des jours
        Qu’il faut chômer;
on nous ruine en fêtes;
L’une fait tort à l’autre; et Monsieur le curé
De quelque nouveau saint charge toujours son prône.»
Le financier, riant de sa naïveté
Lui dit: «Je vous veux mettre aujourd’hui sur le trône.
Prenez ces
cent écus; gardez-les avec soin,
            Pour vous en servir au besoin.»
Le savetier crut voir tout l’argent que la terre
            Avait, depuis plus de cent ans
            Produit pour l’usage des gens.
Il retourne chez lui; dans sa cave il enserre
            L’argent et sa joie à la fois.
            Plus de chant: il perdit sa voix,
Du moment qu’il gagna ce qui cause nos peines.
            Le sommeil quitta son logis:
            Il eut pour hôte les soucis,
            Les soupçons, les alarmes vaines;
Tout le jour il avait l’oeil au guet; et la nuit,
            Si quelque chat faisait du bruit,
Le chat prenait l’argent. A la fin le pauvre homme
S’en courut chez celui qu’il ne réveillait plus:
«Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme,
            Et reprenez vos cent écus.»

                                bureau10 dans Moralité (13)

9 octobre, 2008

Ferme-la !

Classé dans : Moralité (13) — coukie24 @ 10:00

           Ferme-la ! dans Moralité (13) pig410                       

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Un fermier trouve son cheval maladeanechapeau, il fait venir le vétérinaire. Ce dernier lui dit qu’il est infecté par un virus et qu’il va prescrire un remède. Si le remède n’a pas agi dans 3 jours, il faudra abattre le cheval pour éviter d’infecter les autres animaux. Le cochon de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval  pincus10et lui dit :« fais un effort, lève toi »Mais le cheval est trop malade. Le deuxième jour, même chose, le cochon dit au cheval :« Fais un effort, lève toi »Mais le cheval est encore trop malade. Le troisième jour, le cochon lui dit :« Fais un effort, lève toi, sinon ils vont t’abattre aujourd’hui. » Le remède n’a toujours pas fait d’effet, mais dans un dernier sursaut, grâce au cochon, le cheval arrive à se lever et ceci devant le fermier et le vétérinaire.Le fermier, tout à fait content et réjoui, dit :« POUR FËTER L’ÉVÉNEMENT, ON VA TUER LE COCHON« MORALITÉ : Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas… Ferme la !!! Auteur inconnu              pig10

 

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