Dans un art de vivre accompli où alternent, selon un ordre éprouvé, effort et repos, sérieux et jeu, travail et plaisir, la promenade a également sa place. [Karl Gottlob Schelle]
Extrait de L’Art de se promener
Dans un art de vivre accompli où alternent, selon un ordre éprouvé, effort et repos, sérieux et jeu, travail et plaisir, la promenade a également sa place. [Karl Gottlob Schelle]
Extrait de L’Art de se promener
Quand on voyage sans connaître l’anglais, on a l’impression d’être sourd-muet et idiot de naissance.
Philippe Bouvard
Il n’y a d’homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie. (Alphonse de Lamartine)
Le marais Poitevin
Cette longue zone humide qui court de Niort dans les Deux-Sèvres à la baie d’Aiguillon en Vendée est la deuxième plus grande de France après la Camargue. Ce marais « artificiel » est le fruit de dix siècles d’aménagements humains afin de drainer les terres et permettre l’évacuation des eaux pluviales.
Belles balades à faire …
Lanquais
Les Milandes
Biron
Château de Castelnaud – musée de la guerre au Moyen Age
Château de Bannes
Lanquais
Le chateau de Michel de Montaigne
La Tour Montaigne
La maison de la Boétie (ami de Montaigne) – Sarlat
Le Périgord est sans aucun doute l’un des départements Français recensant le plus grand nombre de richesses : Châteaux, Abbayes, Bastides, Prieurés, Gisements et Sites Troglodytiques, Grottes et Gouffres, Jardins, Musées et parcs à Thèmes, une multitude de raisons de séjourner dans la région à découvrir.
Le Périgord Blanc : Autour de Périgueux et de la vallée de l’Isle…
Le Périgord Noir : Sarlat, la principale concentration de sites et Châteaux, les forêts, la vallée de la Vézère et de la Dordogne.
Le Périgord Vert : le Périgord verdoyant de Nontron à Excideuil, le parc naturel régional Périgord, Limousin, Brantôme, le val de Dronne…
Le Périgord Pourpre : Bergerac et son vignoble, Le sud Dordogne et son « pays des Bastides »..
Au fil des pages qui vont suivre, vous aurez peut-être du mal à savoir où aller, comment respirer ce pays. Laissez-vous guider par votre intuition. Il n’existe en face de soi que ce que nous sommes nous-mêmes. |
Et si les trop grandes chaleurs de l’été vous lassent, les automnes et les printemps sont des moments superbes pour se glisser dans le silence des ruelles sarladaises, ou entre les murs épais des châteaux. Les saisons s’étirent lentement et, de Pâques à Toussaint, la palette des couleurs du Grand Peintre de là-haut, est une raison suffisante pour s’arrêter ici. Et même l’hiver, si triste parfois, prend ici, au coin du feu, blotti dans une vaste cheminée périgourdine, des allures de temple où le temps semble suspendu. Ouvrez donc les pages du temps, pour méditer ou rêver, pour flâner ou observer et… pour aimer… tout simplement. |
La Perle du Périgord Pourpre |
Le château est ouvert à la visite de mi-février à mi-janvier (horaires variables selon la saison). Réservation nécessaire pour les groupes. Visite libre ou guidée en plusieurs langues. Durée de la visite : environ 45 minutes, suivie d’une dégustation gratuite du célèbre vin de Monbazillac au Pavillon d’Accueil. Parc ombragé de 5 hectares. Restaurant gastronomique. |
A Villars près de Brantôme, |
Une riche décoration sculptée – lucarnes, mâchicoulis, escaliers, plafond à caissons, cheminées, telle celle dite « des travaux d’Hercule » – contribue à l’élégance de cet édifice. On peut aussi y voir une remarquable charpente en chêne en forme de carène de bateau renversée. Meubles et tapisseries en décorent l’intérieur. |
Le Château de Montréal à ISSAC
A 7 km de Mussidan, à 30 mn de Périgueux et Bergerac. Propriété privée habitée du XIIe et XVIe siècles constituée d’une enceinte de remparts formant un système défensif et d’un logis renaissance. On visite les jardins, les salons avec collection de portraits, la bibliothèque, les souterrains avec salle voûtée du XIIème, la chapelle avec un ensemble unique de statues de pierre aménagée au XVIème siècle pour y habriter la «Sainte Epine» depuis 1453 à Montréal. Le château a donné son nom à une bourgade indienne qui allait devenir la 2ème ville française au monde : Montréal. «Jardin Remarquable».
Mille et une facettes du Périgord-Dordogne !
Rediffusion du reportage « Rendez vous en Terre inconnue : Bruno Solo chez les cavaliers mongols » du dimanche 16.08.09 s-FR2
J’ai trouvé ce reportage GRANDIOSE EMOUVANT , tout simplement splendide….. C’est un reportage magnifique et riche en émotions, cela donne vraiment envie de découvrir ce pays et ses valeurs C’est VRAI, c’est superbe, la Mongolie, je ne connais pas et Bruno Solo, non plus mais…c’est l’émotion garantie, le respect, la valeur, la simplicité, tout y est ! Je me suis retrouvée submergée par l’authenticité, la beauté, qu’offrent à chaque fois la Nature et l’Homme. Les valeurs remises dans un état brut et pur ne peuvent pas nous laisser indifférent. Ça vous prend au plus profond des « tripes ».
En tout cas, j’ai versé des larmes devant ce spectacle bouleversant : Batbayar a généreusement permis à tout le monde de partager des moments inoubliables devant un lever du soleil (voir vidéo ci-dessous).
Un vrai coup de foudre pour ce reportage en Mongolie!
J’ai pleuré avec Batbayar pour son étalon blessé et pour ses retrouvailles avec son père.
J’ai encore été très émue de voir que Frédéric Lopez et Bruno Solo étaient profondément touchés (lesquels m’ont sidérée de gentillesse et de naturel) lorsqu’ils allaient quitter ce paradis…
De vrais moments de bonheur, de sincérité, de profondeur et d’amitié… Ca fait beaucoup de bien et les paysages sont exceptionnels et grandioses.
J’ai donc pleuré mais j’ai ri aussi, j’ai été émue. C’est du pur bonheur. Batbayar a tout compris de la vie. Il est juste dans ses propos, quelle beauté intérieure !
Ça a été un RV en terre inconnue : un moment exceptionnel dans notre monde fou de consommation excessive; j’ai vibré devant tant d’humilité et d’espoir.
Je pense que le coeur des hommes qui se rencontrent ne peut être qu’enrichi d’une expérience de partage.
Une véritable leçon de vie !
La Mongolie est un pays exceptionnel : plus du tiers de sa population est encore nomade. Un million d’éleveurs se partagent un territoire gigantesque, grand comme trois fois la France ! Un espace infini, des paysages démesurés, où les hommes ont appris à coexister avec une nature intraitable en développant une culture nomade unique au mondeDepuis une quinzaine d’années, ce pays vit une période décisive de son histoire. En 1991, le régime communiste s’effondre : c’est la fin de la collectivisation du bétail et de la sédentarisation forcée. Beaucoup de Mongols décident alors de retourner vivre dans la steppe. Mais la transmission des savoirs ancestraux a été interrompue depuis trop longtemps. Inexpérimentés, beaucoup de ces éleveurs « improvisés » vont tout perdre. Entre 1999 et 2002, une succession de sécheresses et d’hivers catastrophiques, les dzuds (neige excessive), vont provoquer la mort de dix millions de têtes de bétail. Des dizaines de milliers de familles viennent alors venir grossir les faubourgs de la capitale, Oulan-BatorCette situation est encore aggravée par une transition difficile pour le pays. La modernité, et surtout l’entrée brutale dans l’économie de marché mondiale bouleversent les destins individuels et les valeurs de la communauté. Aujourd’hui, soumis à des conditions de vie de plus en plus sévères, et attirés par les sirènes de la ville, les cavaliers mongols sont de plus en plus nombreux à abandonner la steppeComment, dans ces conditions, continuer à faire vivre l’esprit nomade ? Pourquoi l’avenir de tout un pays est aujourd’hui en question ? C’est ce que Bruno Solo et Frédéric Lopez ont essayé de nous faire comprendre.http://www.dailymotion.com/video/xalfj4
En matière de jeux d’eau en Autriche, le chef-d’oeuvre absolu est sans aucun doute, aux portes de Salzbourg, le parc du Château de Hellbrunn.
« Le sentier est unique pour tous, les moyens d’atteindre le but varient
avec chaque voyageur. »
(Proverbe tibétain)
« Les voyages font sortir toujours plus loin dans le monde. Les rêves y font entrer toujours plus loin. Mais peut-être qu’on peut voyager dans plusieurs directions à la fois. »
(Jostein Gaarder)