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24 avril, 2020
7 avril, 2020
26 mars, 2020
Changer le monde …
Un vieil homme était sur le point de mourir.
Avant de quitter notre monde pour l’au-delà,
Il a décidé de donner une dernière leçon aux membres de sa famille
Qui étaient réunis à son chevet.
Il leur a dit ceci :
« Quand j’était jeune et libre, et doté d’une imagination sans limites,
Je rêvais de changer le monde.
Devenu plus sage avec les années,
J’ai compris que le monde ne changerait pas,
Alors j’ai réduit quelque peu mes visées
Et j’ai décidé de transformer seulement mon pays.
« Mais lui aussi semble immuable.
« En Approchant de la vieillesse, dans une suprême et désespérée tentative,
J’ai décidé de ne penser qu’à changer ma famille, ceux dont j’étais le plus proche.
Hélas ! Vous n’avez rien voulu entendre, vous non plus !
« Et maintenant, étendu sur mon lit de mort, je comprends soudain :
« Si seulement je m’étais changé moi-même,
Alors à mon exemple, vous auriez également changé.
Et, grâce à vos actions, vous auriez inspiré d’autres personnes à
Trouver la force et le courage d’améliorer notre pays et, qui sait ?
Peut-être même de changer le monde ! »
« N’essayez pas de changer le monde, commencez par vous même.
Beaucoup de gens essaient de changer les gens qui sont dans leur entourage.
Il s’agit en fait d’une tâche quasi impossible.
Si seulement ces personnes essayaient de se transformer elles-mêmes,
Elles comprendraient à quel point cette transformation est difficile.
Le premier changement doit toujours venir de soi, et à notre exemple,
Les autres changeront également.
Si vous voulez que votre vie soit une magnifique histoire,
Réalisez que vous en êtes l’auteur et que vous avez l’opportunité chaque jour
D’en écrire une nouvelle page.
« Avant d’essayer de vouloir conquérir le monde, commencez donc par faire
conquête de vous-même. »
Auteur inconnu
5 mars, 2020
Le rat et la lumière …
Voici l’histoire vraie d’une étude scientifique intéressante.
Les étudiants d’une université ont pris un rat et l’ont placé dans un tube de trois pieds de profondeur rempli d’eau. Le tube a été placé dans le noir complet et le rat a cessé de nager après trois minutes. Ils ont refait la même expérience, mais en mettant de la lumière dans la pièce. Le second rat a nagé pendant 36 heures avant d’arrêter.
Les étudiants étaient très étonnés du résultat. Ils n’en revenaient pas que le second rat ait pu, pour sauver sa vie, dépenser 3 000 fois plus d’énergie que le premier. Ils ont refait la même expérience à quelques reprises et ont toujours obtenu les mêmes résultats.
Une explication plausible est que le second rat avait espoir de s’en sortir puisqu’il voyait « la lumière au bout du tunnel ».
C’est-à-dire que parce que le tube dans lequel il se trouvait était transparent, il pouvait voir le reste de la pièce. Contrairement au premier rat qui ne voyait rien du tout.
Qu’est-ce que tout cela signifie pour nous ? Si vous voulez avoir plus d’énergie, sortir d’une sensation de fatigue, il vous faut avoir de l’espoir. Souvent, il suffit de presque rien pour retrouver un peu d’espoir : aider quelqu’un, se débrancher des médias de masse qui nous programment négativement, etc.
Je veux vous transmettre aujourd’hui le message que vous pouvez faire ce que vous voulez de votre vie, mais que vous devez porter une attention particulière à vos idées, à vos mots, aux gestes que vous posez, à vos décisions et à votre langage non verbal.
Vous êtes responsable de votre propre vie. Personne d’autre ne l’est ; ni l’économie, ni les politiciens. Vous êtes là où vous vous trouvez présentement dans votre vie, que ce soit au niveau de vos finances, de votre santé ou de vos relations avec les autres, à cause des gestes que vous avez posés dans le passé.
Olivier Magnan, site Énergie Santé
« S’il y a de l’espoir dans le futur, il y a de la puissance dans la présent. »
9 février, 2020
La dent du Bouddha …
Un brave homme d’une des castes d’intouchables les plus pauvres et les plus démunies de l’Inde avait réuni, au terme d’une rude vie de labeur, suffisamment de roupies pour réaliser son vœu le plus cher: se rendre en pèlerinage à Kushinagar là ou était mort le Bouddha Sakyamuni.
Au moment de son départ, sa très vieille mère qui était une bouddhiste fervente, le prenant par le bras, l’avait supplié de lui ramener une dent du Bouddha qu’elle pourrait alors vénérer tranquillement pendant le peu de vie qui lui restait.
« Oui, mère », avait t-il promis, « ce sera chose faite ! »
Le brave homme, accompagné d’un ami, chemina longuement jusqu’à Kushinagar où, très ému, il put prier et méditer là où s’était éteint l’Eveillé. Mais son émotion fut telle qu’il en oublia totalement sa promesse et la dent du Bouddha qui, de toute façon, aurait sans doute été fort difficile à se procurer si tant est qu’il en restât une.
Le voici donc sur le chemin du retour qui commençait à être bien entamé jusqu’au moment où son compagnon lui dit :
« Mais tu as oublié la dent du Bouddha et nous ne sommes plus très loin de ton village !».
Désemparé, l’homme ne savait plus que faire. Il était trop tard pour rebrousser chemin et honorer sa promesse qu’il avait, quoi qu’il en soit, toujours considérée comme une chimère.
C’est alors que, sur le bord du chemin, il vit le corps d’un pauvre chien réduit à l’état de squelette. « Bon sang ! Voilà la solution ! » Et il préleva une canine sur la mâchoire de l’animal et l’enveloppa soigneusement dans un linge propre.
De retour au village, sa mère se précipita vers lui : « Oh mon fils ! As-tu la dent du Bouddha ?
« Oui mère, la voici ! » et la brave dame prenant délicatement la précieuse relique l’installa chez elle sur un petit coussin éclairé d’une bougie, pour la vénérer à loisir.
Elle ne put s’empêcher d’en parler à sa voisine et bientôt, tout le village fût au courant. Les visiteurs furent très vite de plus en plus nombreux à venir voir la précieuse dent.
Il fallut bientôt faire la queue devant le domicile du brave homme et de sa mère qui demandèrent alors une contribution d’une roupie pour assurer l’accueil des curieux. Les lieux devinrent trop exigus et pour y remédier et éviter les bousculades, on construisit spécialement une chapelle autour de la relique. Les dons, offrandes et contributions se multiplièrent.
La foule était sans cesse plus nombreuse.
Des invalides et des malades en tous genres se pressaient parmi les dévots.
Des miracles eurent lieu, dûment constatés et vérifiés comme par exemple des aveugles qui recouvraient la vue et des paralytiques leur mobilité.
Un vaste temple et un monastère furent alors édifiés autour de la chapelle.
Les pèlerins affluèrent, chaque jour, de toute l’Inde et du monde entier.
Le brave homme et sa mère devinrent célèbres, riches et honorés.
Source inconnue
Que penser de cette histoire :
- la croyance transfigure !
La leçon des faits n’instruit pas l’homme prisonnier d’une croyance ou d’une formule. »
Gustave Le Bon
28 janvier, 2020
Les trois tamis
Un jour, quelqu’un vint voir Socrate et lui dit : - Écoute, Socrate, il faut que je te raconte comment ton ami s’est conduit. - Arrête ! interrompit l’homme sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis ?
- Trois tamis ? dit l’autre, rempli d’étonnement.
- Oui, mon bon ami : trois tamis. Examinons si ce que tu as à me dire peut passer par les trois tamis. Le premier est celui de la vérité. As-tu contrôlé si tout ce que tu veux me raconter est vrai ?
- Non, je l’ai entendu raconter et…
- Bien, bien. Mais assurément tu l’as fait passer à travers le deuxième tamis. C’est celui de la bonté. Ce que tu veux me raconter, si ce n’est pas tout à fait vrai, est-ce au moins quelque chose de bon ?
Hésitant, l’autre répondit : Non, ce n’est pas quelque chose de bon, au contraire…
- Hum ! dit le Sage, essayons de nous servir du troisième tamis, et voyons s’il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire…
- Utile ? Pas précisément.. .
- Eh bien ! dit Socrate en souriant,
si ce que tu as à me dire n’est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir, et quant à toi, je te conseille de l’oublier…
Apologue grec
Auteur inconnu
22 janvier, 2020
Le garçon et les cibles …
Un roi passe en carrosse dans un village et voit une cible, percée en son centre. Puis une autre, et encore une autre.
Il descend et voit partout les preuves d’une adresse incroyable : sur les murs, sur les arbres, sur les poteaux, il y a à chaque fois la trace d’une flèche qui a frappé EXACTEMENT au centre.
Il mande aussitôt ses conseillers pour s’enquérir du tireur si habile.
Quelques minutes plus tard, les voici avec un gamin qui n’a pas plus de 12 ans.
« Est-ce toi le tireur d’élite ? »
« Oui »
« Comment fais-tu pour être si précis ? »
« C’est très simple, répond le gamin, je tire d’abord, et je dessine la cible ensuite autour de ma flèche… »
Réfléchissez à toutes les fois où vous faites la même chose. Vous portez des jugements – des préjugés – d’abord, puis vous les justifiez… Vous faites une erreur, puis vous la justifiez… Vous cédez à l’habitude sans réfléchir, puis vous vous justifiez…
Accumulez les faits avant de porter un jugement.
Reconnaissez vos erreurs et apprenez d’elles.
Analysez vos habitudes et vos réflexes pour voir s’ils sont un choix – ou une chaîne héritée du passé.
Inconnu
28 novembre, 2019
Sagesse amérindienne…
« N’aie pas peur des contraires, des oppositions qui divisent le monde et crée l’illusion que tout est séparé. Cette vision est source de conflits, de souffrances et de luttes perpétuelles. La nuit n’est pas l’ennemie du jour, pas plus que la mort n’est l’ennemi de la vie. Il faut la rencontre du feu et de l’eau, du soleil et de l’humidité pour créer le merveilleux arc-en-ciel. »
14 juillet, 2019
L’ours et la bouilloire …
L’ours et la bouilloire
Quelques chasseurs, obligés de quitter subitement leur campement, le laissèrent sans surveillance, oubliant, dans leur précipitation, une bouilloire d’eau qui bouillait sur le feu. Bientôt, un vieil ours sortit du bois, attiré par la flamme. Aperçevant la bouilloire dont la vapeur faisait danser le couvercle, il s’en saisit.
Naturellement, il se brûla cruellement. Mais au lieu de la lâcher aussitôt, voulant se défendre, il la serra contre lui, cherchant à l’étouffer. Or, plus il la serrait, et plus la brûlure était profonde et douloureuse. C’était un cercle vicieux, pour le plus grand dam de ce pauvre ours.
Ceci illustre parfaitement la façon dont bien des gens aggravent leurs difficultés. Ils les serrent sur leur coeur en ne cessant d’y penser et d’en parler aux autres, les examinant sous toutes leurs faces, au lieu de les laisser tomber une fois pour toutes, afin de guérir les blessures qu’elles ont causées.Alors chaque fois que vous vous prenez à ressasser vos peines, dites-vous sévèrement : « Ne fais pas comme l’ours ! »
Plus on plaint les gens, plus ils se croient à plaindre.
Charlotte Savary
6 juillet, 2019
Mais éclaircissons l’obscurité …
Ne perdons pas notre temps à soupirer
Après des choses glorieuses mais impossibles.
N’attendons pas, dans une molle apathie,
Qu’il nous pousse des ailes d’ange.
Ne dédaignons pas d’être d’humbles chandelles,
Car chacun ne peut être une étoile.
Mais éclaircissons l’obscurité
En brillant là où nous sommes.
L’humble lumignon est nécessaire
Aussi bien que le superbe soleil,
Et l’acte le plus simple est ennobli
Lorsqu’il est dignement accompli.
Nous ne pouvons ne jamais être appelés
A éclairer de lointains lieux assombris.
Donc, remplissons notre mission,
En brillant simplement là où nous sommes.
Max Hendel
La tolérance …
S’il nous était donné de choisir un seul mot,
Je le choisirais sans aucune hésitation !
Je pense qu’il est le plus beau,
le plus intelligent que l’être humain ait pu inventer !
Il est sans aucun doute le seul qui puisse rassembler
et faire vivre en harmonie la plus grande partie de gens
de différentes confession ou couleur.
Il permet de faire se supporter les jeunes et les vieux, les beaux et les laids.
Les forts et les faibles. Les cultivés et les ignares.
Voir même les courageux et les paresseux.
Il aplanit les idées sur les opinions et les convictions opposées.
Il évite les discordes dans les ménages et dans la vie quotidienne.
Avec lui, la vie devient facile !
Il suffit de l’appliquer dans toute la grandeur
qu’il mérite de par son nom symbolique.
Toujours cité. Rarement appliqué !
Mais qui est ce mot magique, que tout le monde veut s’approprier ?
Ce divin mot est tout simplement la TOLÉRANCE.
Auteur Francis Mauro –
Persévérance …
Deux grenouilles un jour sautèrent dans un sceau de crème.
Après qu’elles eurent vainement barboté, l’une d’elles se découragea :
- Mieux vaut renoncer, on est perdue, dit l’une.
- Continue, dit l’autre on finira bien par s’en sortir.
- Inutile, reprit la première ce liquide est trop épais pour qu’on
puisse y nager, trop fluide pour qu’on puisse y prendre appui et sauter.
Puisque de toute façon on doit mourir, tôt ou tard qu’importe, et elle se laissa couler.
Sa compagne, elle continuera d’agiter vigoureusement ses petites pattes.
C’est ainsi qu’au matin elle se trouva juchée sur une belle motte de beurre.
Gobant béatement les mouches qui arrivaient de toute part.
Avec son cri de victoire CROA..CROA..CROAA..CROIRE………….
Elle avait découvert une vérité hélas méconnue de la plupart des humains :
La persévérance est la clef du succès.
Le manque de persévérance est l’une des causes les plus importantes de l’échec.
La plupart des gens souffrent de cette faiblesse.
On peut cependant lutter contre elle, d’autant plus facilement que le désir de la vaincre est grand.
Le DÉSIR et la persévérance est à l’origine de toute entreprise. Ne l’oubliez jamais.
Un petit désir n’apporte que de maigres résultats, de même qu’un petit feu donne peu de chaleur.
N’abandonnez jamais !
Nos pensées qu’elles soient positives ou négatives n’ont que le pouvoir que nous leur donnons.
21 juin, 2019
Le pêcheur et le savant …
Le pêcheur et le savant
Par une belle nuit étoilée un pêcheur ramenait un savant dans sa barque. Le savant contemplait les constellations quand soudain il demanda au pêcheur :
«Connais-tu l’astronomie ? – Non, répondit-il. – Alors, tu es bien pauvre, dit le savant, tu as perdu un quart de ta vie.
Connais-tu un peu la physique ? – Non, je ne la connais pas. – Alors tu as perdu deux quarts de ta vie. Mais peut-être connais-tu la chimie ? – Absolument pas, je n’en ai jamais entendu parler. – Quelle ignorance ! Tu as perdu les trois quarts de ta vie.»
Pendant ce temps le ciel commençait à se couvrir de nuages. Soudain un orage éclate, la mer devient de plus en plus houleuse, la tempête menace… «Savez-vous nager, monsieur le savant ? demande le pêcheur. – Non, je ne sais pas. – Alors vous, vous allez perdre les quatre quarts de votre vie !»
Pour se diriger sur cet océan qu’est le monde, il y a des connaissances qui sont beaucoup plus utiles que d’autres, indispensables même : celles qui nous aident à «nager» pour sortir sains et saufs des orages et des tempêtes. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Histoire de balai et de tomates …
Histoire de balai et de tomates
Un chômeur postule pour un poste de technicien de surface chez Microsoft.
Le DRH (directeur des ressources humaines) lui fait passer un entretien, puis un test (balayer le sol), et lui dit : « Tu es engagé ; donne-moi ton e-mail et je t’enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure auxquelles tu devras te présenter pour commencer ton travail. »
L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore moins d’e-mail. Le DRH lui dit alors qu’il est désolé, mais que s’il n’a pas d’e-mail, cela signifie que virtuellement il n’existe pas et, comme il n’existe pas, il ne peut avoir le job.
L’homme sort, désespéré, sans savoir que faire ; avec seulement 10 dollars en poche. Alors il décide d’aller au supermarché et d’acheter une caisse de 10 kilos de tomates. Il fait donc du porte à porte pour vendre ses tomates au kilo, et, en moins de deux heures, réussit à doubler son capital. Il répète l’opération encore trois fois et revient chez lui avec 60 dollars.
Alors, il réalise qu’il pourrait survivre de cette manière, il part de chez lui tous les jours plus tôt et revient chez lui plus tard et ainsi triple et quadruple son argent chaque jour. Peu de temps après, il achète une charrette, puis l’échange contre un camion et peu de temps après se retrouve avec une petite flotte de véhicules de livraison.
Passé 5 ans, l’homme est propriétaire d’un des plus grands distributeurs alimentaires des Etats Unis. Il pense alors au futur de sa famille et décide de prendre une assurance vie. Il appelle un assureur, choisit un plan d’assurance et quand la conversation termine, l’assureur lui demande son e-mail pour lui envoyer la proposition.
L’homme dit alors qu’il n’a pas d’e-mail.
« Curieux, lui dit l’assureur, vous n’avez pas d’e-mail et vous êtes arrivé à construire cet empire, imaginez ce que vous seriez si vous aviez un e-mail ! »
L’homme réfléchit et répond:
– Je serais balayeur chez Microsoft !!!
Brian Cavanaugh
13 mai, 2019
Recette du Bonheur ! ….
Pour tous ceux qui affichent ce genre d’ illustrations dans leurs blogs ou réseaux sociaux, je rajouterai ceci :
« Le bonheur c’est peut-être ça : l’imagination.
Quand on en manque, il ne reste plus que les platitudes de la vie. »
[Henri Duvernoy]
Allez souriez, c’est le commencement du bonheur, en tout cas, c’est un ingrédient facile à trouver et totalement gratuit !!!
27 avril, 2019
Le visage porte le reflet de ce que nous recherchons chez les autres …
Combien de gens se plaisent à fouiller dans la vie des autres pour y découvrir quelques fautes cachées et aller les raconter partout ! Sur leur visage, on ne lit que doute, méfiance, et leurs regards soupçonneux voient la malhonnêteté et la trahison même là où elles ne sont pas… Mais dites-moi un peu quelle est l’utilité d’agir ainsi ?Non seulement ces gens-là sèment le désordre, mais ils se rendent tellement antipathiques ! Avec leur mine sombre, ils se mettent à ressembler eux-mêmes à des malfaiteurs. Eh oui, c’est cela qui est extraordinaire : tous ces gens tellement méfiants et qui s’imaginent incarner la justice et l’honnêteté, finissent par porter sur leur propre visage les marques des défauts et des vices qu’ils sont continuellement occupés à flairer autour d’eux. Tandis que regardez le visage de celui qui cherche à découvrir les qualités et les vertus cachées des êtres : il reflète peu à peu la lumière de la splendeur divine. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov
C’est pourquoi je rajouterai que si vous présentez habituellement un visage avenant et souriant, il y a des chances que vous communiquiez votre confiance en la vie, votre spontanéité et sincérité à votre interlocuteur.
Coukie24
L’importance de la famille …
En marchant sur le trottoir,
un étranger me bouscule en passant près de moi !
« Oh excusez-moi » lui dis-je !
Il me répond : « Je vous demande pardon aussi,
je ne vous avais pas vu !
Nous étions vraiment polis l’étranger et moi.
Nous avions échangé de belles paroles,
et nous avons repris
notre chemin en se laissant sur un »au revoir ! »
Une fois à la maison…
Une histoire différente se passa.
Comment traitons-nous les amours de notre vie…
les jeunes et les plus âgés ?
Y avez-vous pensé ?
Plus tard dans l’après-midi, tout en préparant le souper,
mon fils arriva derrière moi et resta figé là, sans un mot.
En me retournant brusquement, je l’ai bousculé.
« Pousse-toi de là ! » Lui dis-je avec colère,
« toujours dans mes jambes ! »
Il se retourna et s’en alla le coeur brisé.
Je n’avais pas réalisé la peine que je venais de lui faire.
Vers la fin de la soirée, j’allai me coucher et…
Et Dieu de sa douce voix…. me dit :
« Pourquoi est-ce si facile
d’être plein de gentillesse envers les étrangers
et ne pas être capable de le faire
pour les gens près de toi qui t’aiment et que tu aimes ? »
Lève-toi et vas voir sur le plancher de la cuisine.
Tu y trouveras un joli bouquet de fleurs près de la porte d’entrée…
ce sont les fleurs que ton fils t’avait apportées dans la journée.
Il a cueilli lui-même ces fleurs pour toi :
Il y en a de couleur rose, jaune et bleue.
Ce que tu n’as point compris,
c’est qu’il était arrivé derrière toi sans bruit
pour ne pas dévoiler la surprise qu’il voulait te faire.
Mais tu n’as jamais vu les larmes couler de ses yeux
quand tu lui as dit de partir ».
Je me levai pour aller voir près de la porte d’entrée
et je vis le joli bouquet de fleurs par terre.
C’est à ce moment, que je commençai à me sentir vraiment mal,
alors mes yeux se remplirent de larmes…
Sans faire de bruit,
je me rendis près du lit de mon fils et lui dis :
« Réveille-toi trésor, réveille-toi ! » .
« Est-ce les fleurs que tu as cueillies pour moi aujourd’hui ? »
Il sourit et me répondit :
» J’ai trouvé ces fleurs près d’un arbre
et je les ai cueillies car je trouvais qu’elles étaient belles….
comme toi maman ! Je savais que tu les aimerais,
spécialement les bleues car je sais que tu aimes le bleu »
Je lui dis : » Mon fils, je suis vraiment désolée de la façon
dont j’ai agi avec toi aujourd’hui ».
Je n’aurais jamais dû crier après toi comme je l’ai fait ».
Il me répondit : » Oh, Maman, c’est OK.
Je t’aime quand même tu sais ! »
» Mon fils, je t’aime aussi ! »
et j’adore tes fleurs et spécialement les bleues ».
Un grand moment de tendresse nous unit alors.
J’ai appris ce jour là,
à faire attention à mes proches
autant et sinon plus qu’aux étrangers.
Auteur inconnu
Ou savoir consacrer son temps sur l’essentiel …
Ou savoir consacrer son temps sur l’essentiel
au lieu de le consacrer sur des choses secondaires !
Assis sur la berge d’un lac, un homme tente d’attraper des poissons à mains nues.
Un promeneur s’approche, lui tape sur l’épaule et lui dit :
« Allons, mon bon monsieur, laissez-moi vous montrer comment on noue un filet !
Vous pourrez attraper ainsi plus de poissons ! »
Le pêcheur est tellement concentré sur le lac qu’il n’écoute que d’une oreille et, sans même regarder le promeneur, lui répond :
« Je n’ai pas le temps, je dois attraper des poissons ! »
Combien de personnes se trouvent exactement dans cette situation ?
Consacrer son temps à l’accessoire au lieu de le consacrer à l’essentiel !
Quelqu’un a dit :
» Il faut savoir perdre du temps pour en gagner ! »
Auteur inconnu
15 novembre, 2018
Il est impossible d’aimer les autres si on ne s’aime pas d’abord soi-même, si on ne s’accepte pas tel qu’on est.
Que ce soit dans l’attente de lire un mot d’amour qui n’est jamais venu ou dans l’espoir vain d’obtenir une reconnaissance, la souffrance est toujours liée au maintien d’une attitude d’attente, de passivité, proche de la mendicité. Je tends la main pour recevoir mon dû ! N’ai-je pas encore accepté de reconnaître que la seule personne au monde qui peut me donner de l’amour, c’est moi.
Il est impossible d’aimer les autres si on ne s’aime pas d’abord soi-même, si on ne s’accepte pas tel qu’on est.
Sinon, voilà pourquoi certains se transforment en secouristes du corps et de l’âme des autres, en invoquant un altruisme exacerbé alors que le vrai mobile n’est que la fuite de soi-même. Inconsciemment, c’est Moi, je ne mérite pas mon amour ; je le donne aux autres et j’ai indubitablement droit à la reconnaissance de tous.
Si chacun ne découvre pas ce qu’il y a d’aimable au fond de lui, comment pourrait-il avoir la prétention de la faire vis à vis des autres ?
Cela a pourtant été dit en son temps Tu aimeras ton prochain comme toi même. Sans le vouloir vraiment, nous sommes une large majorité à aimer notre prochain comme nous-mêmes, c’est à dire très mal…
Extrait du livre de Jean-Claude Gilmont dans « Fragrances de vie »
13 novembre, 2018
La non-disposition du mental humain à lâcher le passé…
L’incapacité, ou plutôt la non-disposition du mental humain à lâcher le passé
est parfaitement illustrée dans l’histoire des deux moines zen, Tanzan et Ekido,
qui marchaient sur une route de campagne extrêmement boueuse après
des pluies torrentielles. Près d’un village, ils croisèrent une jeune femme
qui tentait de traverser la route. La boue était si profonde qu’elle aurait
abimé le kimono de soie qu’elle portait. Tanzan la prit sur ses épaules
d’un coup et la transporta de l’autre coté de la route.
Puis les moines reprirent leur route en silence. Cinq heures plus tard,
alors qu’ils approchaient du temple où ils allaient loger, Ekido ne put se contenir
plus longtemps. « Pourquoi as-tu porté cette femme ? » demanda-t-il.
« Nous sommes des moines. Nous ne sommes pas censés faire des choses pareilles. »
« Je me suis délesté de la femme en question il y a des heures
lui répondit Tanzan, mais toi tu la portes encore, il me semble. »
Extrait du livre Nouvelle Terre de Eckhart Tolle
La Liberté
Jacques Prévert ( Extraits)
La Liberté,
Ce n’est pas partir, c’est revenir,
Et agir,
Ce n’est pas prendre, c’est comprendre,
Et apprendre,
Ce n’est pas savoir, c’est vouloir,
Et pouvoir,
Ce n’est pas gagner, c’est payer,
Et donner,
Ce n’est pas trahir, c’est réunir,
Et accueillir.
-
La Liberté,
Ce n’est pas s’incliner, c’est refuser,
Et remercier,
Ce n’est pas un cadeau, c’est un flambeau,
Et un fardeau,
Ce n’est pas la faiblesse, c’est la sagesse,
Et la noblesse,
Ce n’est pas un avoir, c’est un devoir,
Et un espoir,
Ce n’est pas discourir, c’est obtenir,
Et maintenir.
-
Ce n’est pas facile,
C’est si fragile,
La Liberté,
5 novembre, 2018
Tellement vrai …
Tellement vrai !
Si vous avez 60 secondes, lisez ceci ;
Les derniers mots de Steve Jobs, milliardaire, mort à 56 ans du cancer du pancréas :
« J’ai atteint le summum du succès dans le monde des affaires. Dans les yeux des autres, ma vie est une réussite.
Cependant, mis à part le travail, j’ai eu peu de joie. En fin de compte, la richesse n’est qu’un fait auquel je me suis habitué.
En ce moment, allongé sur mon lit d’hôpital, et me rappelant toute ma vie, je me rends compte que toute la reconnaissance et la richesse dans laquelle j’ai pris tant de fierté, a pâli et est devenue insignifiante face à la mort imminente.
Vous pouvez employer quelqu’un pour conduire votre voiture ou gagner de l’argent pour vous mais c’est impossible d’engager quelqu’un pour supporter la maladie et mourir pour vous.
Les choses matérielles perdues peuvent être trouvées. Mais il y a une chose qui ne peut jamais être trouvée quand elle est perdue – « la vie ».
Quelle que soit l’étape de la vie à laquelle nous sommes actuellement, avec le temps, nous serons confrontés au jour où le rideau se ferme.
Aimez votre famille, votre conjoint et vos amis … Traitez-les bien. Chérissez les.
Au fur et à mesure que nous vieillissons, et devenons plus sages, nous réalisons lentement que porter une montre à 300 $ ou 30 $ – les deux donnent la même heure…
Que nous ayons un portefeuille ou un sac à main de 300 $ ou de 30 $ – le montant à l’intérieur est le même;
Que nous conduisions une voiture de 150 000 $ ou une voiture de 30 000 $, la route et la distance sont les mêmes, et nous arrivons à la même destination.
Que nous buvions une bouteille de vin à 1000.$ ou à 10 $, la gueule de bois est la même;
Que la maison dans laquelle nous vivons mesure 300 ou 3000 pieds carrés – la solitude est la même.
Vous réaliserez que votre véritable bonheur intérieur ne provient pas des choses matérielles de ce monde.
Que vous voyagiez en première classe ou en classe économique, si l’avion tombe en panne, vous tombez avec lui …
Par conséquent .. J’espère que vous vous rendez compte, quand vous avez des amis, des copains et des vieux amis, frères et sœurs, avec qui vous discutez, riez, parlez, chantez, parlez du nord-sud-est ou du ciel et la terre, …. c’est le vrai bonheur !!
Cinq faits incontestables de la vie:
1. N’éduquez pas vos enfants à être riches. Éduquez-les pour être heureux. Donc, quand ils grandiront, ils connaîtront la valeur des choses et non le prix.
2. Mangez vos aliments comme médicaments. Sinon, vous devez manger des médicaments comme nourriture.
3. Celui qui vous aime ne vous quittera jamais pour un autre, car même s’il y a 100 raisons d’abandonner, il trouvera une raison de se retenir.
4. Il y a une grande différence entre un être humain et l’être humain.
Seuls quelques-uns le comprennent vraiment.
5. Vous êtes aimé quand vous êtes né. Vous serez aimé quand vous mourrez. Entre les deux, vous devez gérer!
REMARQUE: Si vous voulez juste marcher vite, marchez seul! Mais si vous voulez marcher loin, marchez ensemble!
Six meilleurs médecins au monde :
1. Lumière du soleil
2. Repos
3. Exercice
4. Régime
5. Confiance en soi
6. Amis
Gardez-les à tous les stades de la vie et profitez d’une vie saine.
Sources : Facebook
10 octobre, 2018
Estimer sa propre valeur …
Une jeune femme, Aline, a une promotion dans son travail. Les commentaires commencent et vont bon train.
« Elle a eu le poste parce qu’elle est mignonne. Elle a dû taper dans l’oeil de la hiérarchie. Avec le peu d’expérience qu’elle a, elle ne mérite vraiment pas ce poste. Savez-vous qu’un jour, elle s’est trompée… », etc.
Aline rend visite à son père antiquaire pendant le week-end. Elle lui raconte sa promotion, son stress, les moqueries des autres, et tous ses doutes après toutes ces attaques sournoises.
« Mais pourquoi te laisses-tu atteindre par ces collègues ? » demande le père
« Ils connaissent bien le travail, ont plus d’ancienneté que moi… »
« Ecoute ma chérie, j’ai un service à te demander, et qui va te changer un peu les idées. Pourrais-tu aller au marché demain matin vendre cette théière en faïence ? Je viens de la récupérer dans une vente et j’aimerais m’en débarrasser. Mets-la en vente à 90 euros minimum s’il te plaît. » « 90 euros, ce n’est pas excessif, comme prix ? »
« Ecoute, compte tenu du prix que je l’ai payée, il me faut cela. Ca te fera un petit exercice de vente. »
Le lendemain Aline passe sa matinée à essayer de vendre la théière, mais rien à faire. Quelques personnes s’y intéressent, mais aucune ne se décide pour l’achat.
Elle raconte cela à son père, qui lui dit : « Maintenant prend cette théière et visite 5 de mes confrères de la rue Notre-Dame, mais cette fois-ci, demande leur seulement ce qu’ils seraient prêts à payer, mais tu ne vends pas la théière. »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le premier antiquaire lui propose 400 euros, d’autres plus et l’un va même jusqu’à 1000 euros !!!
Aline n’en revient pas. Elle raconte cela à son père qui lui demande : « Pourquoi n’arrivais-tu pas à la vendre 90 euros ce matin ? »
« Parce que je me suis adressée à une clientèle de gens qui ne connaissait pas le « Staffordshire », et ignorait sa vraie valeur »
« Et selon toi, pourquoi mes confrères antiquaires t’ont proposé autant pour la théière ? »
« Parce qu’ils sont des professionnels. Ils ont vu tout de suite que ce pot date de 1760 et qu’il a une grande valeur. »
« Bien maintenant, pense à tes collègues. Pourquoi leur confies-tu le droit de juger ta propre valeur ? Sont-ils des experts ? »
« Non »
« Vois-tu ma chérie, ne te laisse jamais atteindre par les jugements de ceux qui ne sont pas des experts. Ecoute seulement les jugements des professionnels ou des experts en nature humaine. Et tu verras que ta valeur est bien plus grande que tu ne l’imagines. »
Auteur inconnu
Ne vous laissez jamais atteindre par les jugements des autres.
Votre valeur est bien plus grande que vous ne l’imaginez !
6 août, 2018
L’ingratitude est la plus grande des trahisons …
Le dernier roi de ma communauté avait dix chiens sauvages. Il les a utilisés pour torturer et manger tous ses serviteurs qui ont fait une erreur. Un des serviteurs donna une opinion erronée, et le roi ne l’aima pas du tout. Alors il a ordonné que le serviteur soit jeté aux chiens.
Le serviteur a dit: »Je t’ai servi pendant dix ans, et tu me fais ça ? S’il te plaît, donne-moi dix jours avant de me jeter à ces chiens ! « . Le roi accepta.
Pendant ces dix jours, le domestique est allé à la garde qui s’occupe des chiens et lui a dit qu’il aimerait servir les chiens pendant les dix prochains jours. La garde était déconcertée mais elle accepta, et le serviteur commença à nourrir les chiens, à les nettoyer, à les baigner et à leur fournir toutes sortes de réconfort.
Quand les dix jours furent terminés, le roi ordonna que le serviteur soit jeté aux chiens pour sa punition. Quand il a été jeté dedans, nous étions tous étonnés de voir les chiens voraces seulement lécher les pieds du domestique !
Le roi, déconcerté par ce qu’il voyait, a dit :
« Qu’est-il arrivé à mes chiens ? »
Le serviteur répondit: «Je n’ai servi les chiens que dix jours et ils n’ont pas oublié mon service … Pourtant, je vous ai servi pendant dix ans entiers et vous avez tout oublié, à ma première erreur !
Le roi a réalisé son erreur et a ordonné au serviteur d’être libéré.
Ce message est un message à tous ceux qui oublient les bonnes choses qu’une personne a faites pour eux dès que celle-ci fait une erreur à leur égard. N’éteignez pas l’histoire remplie de bonnes choses à cause d’une erreur que vous n’aimez pas.
Aguibou Kaba
Sources LES ETHNIES DE LA COTE D’IVOIRE ET D’AFRIQUE - Facebook
L’ingratitude est la plus grande des trahisons.
Artiste-peintre, Chanteur, Musicien, Poète, Philosophe, Ecrivain, Maroc, Rabat, 1950
L’ingratitude est un crime odieux. Voyez l’animal le plus féroce, il connaît la main qui lui fait du bien.
Citation de Jean-Louis Moré ; Le petit livre pour le premier âge (1840)