L’ingratitude d’un enfant …
L’ingratitude d’un enfant est pire qu’un croc de vipère.
Citation de William Shakespeare ; Œuvre : Le Roi Lear, I, 4 – 1606
L’ingratitude d’un enfant est pire qu’un croc de vipère.
Citation de William Shakespeare ; Œuvre : Le Roi Lear, I, 4 – 1606
La compassion n’est pas une affaire religieuse.
C’est une affaire humaine.
Ce n’est pas un luxe.
Elle est essentielle à votre propre paix
et à votre stabilité mentale.
Elle est essentielle à la survie des humains.
Dalai Lama
Avant d’être une maman…
Je n’avais jamais trébuché sur des jouets
Je n’avais jamais chanter de berceuses
Je ne m’étais jamais demandé
si mes plantes pouvaient être toxiques
Je n’avais jamais pensé à la vaccination
J’avais le plein contrôle de mon temps
Et je dormais mes nuits…
Je n’avais jamais tenu un enfant sur mes genoux
Pour que le médecin lui fasse un vaccin
Et je n’étais jamais restée éveillée tard la nuit
Juste pour regarder dormir un bébé..
Je n’avais jamais gardé un bébé endormi dans mes bras
Juste parce que je voulais le regarder plus longtemps
Je n’avais jamais senti mon coeur se briser
Parce que je ne pouvais pas guérir un bobo
je ne savais pas qu’il était même possible
D’aimer autant…
Je n’avais jamais connu le sentiment
D’avoir mon coeur à l’extérieur de mon corps
Je ne connaissais pas ce lien
Qui unit une mère à son enfant
Je ne savais pas
Que quelque chose de si petit
Pouvait me faire sentir si importante et heureuse…
Je ne m’étais jamais levée la nuit
Juste pour m’assurer que tout allait bien
Je ne connaissais pas la joie, l’amour et la douleur
L’émerveillement et la satisfaction
D’être une maman…
Et…
Avant d’être une grand-maman…
Je ne savais pas
Que tous ces sentiments de maman
Sont plus que doublés
Quand tu vois ce petit être
Dans les bras de ton Bébé..
Anonyme
Je vous souhaite à tous de posséder quelques uns de ces symptômes, voire tous !
Sur ce sentiment inconnu, dont l’ennui, la douceur m’obsèdent, j’hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse.
[Françoise Sagan]
T’accepter d’abord, c’est la première sincérité ; aimer, c’est la première loi ; apprendre à être simple, c’est la première science…
[Jean-Marie Poirier]
C’est la passion qu’il y a dans un bisou qui lui donne toute sa douceur ; c’est l’affection que l’on met dans un bisou qui le sanctifie.
[Christian Nestell Bovee]
Le baiser de l’amour
« A vouloir toujours être aimé des autres, on perd le seul amour indispensable ; celui de soi. »
Catherine Enjolet, L’amour et ses chemins.
« Avoir de la considération pour soi vous attire quelquefois celle des autres. »
Sébastien Roch Nicolas, dit Nicolas de CHAMFORT
« L’indifférence aux souffrances qu’on cause est la forme terrible et permanente de la cruauté. »
Citation de Marcel Proust ; Du côté de chez Swann – 1913.
Prends ma main.
Ne la lâche pas.
J’écouterai ce que tu as à me dire.
Si tu préfères te taire, j’écouterai ton silence.
Si tu ris, je rirai avec toi, mais jamais de toi.
Si tu es triste, j’essaierai de te consoler.
Je ferai pour toi des bouquets de soleil.
J’allumerai des feux de joie là où chacun ne voyait plus que des cendres.
Si je n’ai qu’une rose, je te la donnerai.
Si je n’ai qu’un chardon, je le garderai pour moi.
Je te donnerai ce qui te plaît, ce qui te rassure le plus, ce que je possède.
Si je ne le possède pas, j’essaierai de l’acquérir.
Donne-moi la main. Nous irons où tu voudras.
Je te ferai entendre la musique que j’aime.
Si tu ne l’aimes pas, j’écouterai la tienne. J’essaierai de l’aimer.
Je t’apprendrai ce que je sais, c’est peu.
Tu m’apprendras ce que tu sais. C’est beaucoup.
Prends ma main.
Cinq doigts refermés autour des nôtres, c’est le plus beau cadeau du monde.
Cela nous préserve de la peur, de l’abandon, du doute.
Une main offerte, c’est un nouveau monde.
Deux bras ouverts, c’est le miracle.
Je te prêterai un peu de ma folie.
Enseigne-moi un peu de ta sagesse.
Un peu, mais pas trop.
Quand tu me verras raisonnable, si je le deviens jamais,
rends-moi, s’il te plaît,
un peu de ma folie.
Efface de ma vie les gestes inutiles, les gestes sans amour.
Il n’y a plus de gestes inutiles quand ils servent à la joie.
Tu es toi. Je suis ce que je suis.
Je ne troublerai pas ta musique intérieure.
Ne dis pas que je fais des fausses notes si je ne pense pas comme toi.
Mettons notre orgueil sur la paille.
Tâchons d’apprendre l’humilité.
Qu’importe les mots !
L’essentiel est bien au-delà des formules.
Ce que je t’offre aujourd’hui, c’est quelque chose que ni le temps, ni les rides
ni les infirmités ne pourront abîmer.
C’est mon cadeau à moi, le seul que je puisse t’offrir,
le seul que tu attends peut-être.
C’est le don de ceux qui ne peuvent vivre sans aimer.
Prends ma main.
Apprenons en ce jour le chemin qui mène à la tendresse.
Auteur inconnu
Solitude, sais-tu pourquoi je t’aime ?
Solitude, sais-tu pourquoi je t’attends ?
Solitude, sais-tu pourquoi je t’espère ?
Solitude, sais-tu pourquoi je t’ai apprise ? En toi, je trouve le refuge face au regard étranger,
En toi, je trouve le silence face à l’inexplicable,
En toi, je trouve la paix face à l’épuisement,
En toi, je trouve celle que je suis devenue.Avec toi, j’ai parcouru des chemins inconnus,
Avec toi, j’ai parcouru l’espoir et la désespérance,
Avec toi, j’ai parcouru la vie et la souffrance,
Avec toi, j’ai appris à tout réapprendre.Alors, Solitude, quand ma main tu lâcheras,
Et qu’une main nouvelle viendra se tendre,
Alors, Solitude, souvent mon cœur reviendra,
Car pour aimer, il faut savoir attendre.Elisabeth Lafont
texte trouvé chez http://avatara.unblog.fr
L’angoisse est la disposition fondamentale qui nous place face au néant.
[Martin Heidegger] Extrait de De l’essence de la vérité
L’angoisse est le vertige de la liberté. [Sören Kierkegaard]
Extrait de Le concept d’angoisse
Il y a de la compassion et de l’Amour partout …
même au bureau de poste.
J’ai reçu cette belle histoire et je veux la partager avec vous !
Le mois dernier, Abbey, notre chienne de 14 ans, est décédée.
Le lendemain de sa mort, ma petite fille de 4 ans, Meredith,
ne cessait de pleurer et de nous dire à quel point elle s’ennuyait d’Abbey.
Elle nous demanda si elle pouvait écrire une lettre à Dieu,
pour lui dire qu’Abbey était montée au ciel,
pour qu’il puisse la reconnaître.
Je lui ai dit que c’était possible.
Et voilà ce qu’elle lui a écrit:
Cher Dieu,
Voulez-vous S.V.P. prendre soin de mon chien Abbey ?
Elle est morte hier, et elle est maintenant près de vous, au ciel.
Elle me manque beaucoup.
Je vous remercie de m’avoir donné ce chien à aimer, même si elle est tombée malade.
J’espère que vous allez jouer avec elle.
Elle aime jouer à la balle et elle aime nager.
Je vous envoie sa photo.
Ainsi, lorsque vous la verrez, vous saurez que c’est elle.
Je m’ennuie beaucoup d’elle.
Avec amour,
Meredith
Nous avons placé la lettre, ainsi qu’une photo d’Abbey ,
dans une enveloppe, et nous l’avons adressée:
« À Dieu, au ciel ».
Nous avons placé notre adresse de retour sur l’enveloppe.
Puis, Meredith a collé plusieurs timbres sur l’enveloppe,
car elle s’est dit que ça prendrait beaucoup de timbres pour livrer la lettre au ciel.
Cet après-midi là, nous avons déposé la lettre au Bureau de Poste.
Quelques jours plus tard,
elle me demanda si je croyais que Dieu avait reçu notre lettre.
Je lui ai dit que probablement il l’avait reçue.
Hier, nous avons trouvé un colis devant notre porte, adressé à Meredith.
L’écriture nous était étrangère.
Meredith ouvrit le colis.
À l’intérieur,
il y avait un livre de Mr. Rogers intitulé:
« Quand un animal de compagnie meurt. »
Collée à l’intérieur de la couverture,
il y avait la lettre que Meredith avait écrite pour Dieu.
Sur l’autre page, la photo de Abbey , accompagnée d’un petit mot:
Chère Meredith,
Abbey est arrivée saine et sauve au Paradis.
Grâce à la photo, je l’ai immédiatement reconnue.
Abbey n’est plus malade.
Son esprit est avec moi, tout comme elle est dans ton cœur.
Elle fut très heureuse et a beaucoup aimé être ton chien.
Comme nous n’avons plus besoin de notre corps au Paradis,
je n’ai pas de poche pour conserver ta photo.
Alors, je te la retourne dans ce petit livre,
pour que tu puisses toujours te souvenir d’Abbey.
Je te remercie pour la très belle lettre,
et je remercie ta maman
pour l’aide qu’elle t’a apportée pour l’écrire et me la poster.
C’est une maman merveilleuse que tu as.
Je l’avais choisie spécialement pour toi.
Je t’envoie mes bénédictions et souviens-toi que je t’aime beaucoup.
En passant, je ne suis pas difficile à trouver.
Je suis partout où il y a de l’Amour.
Avec Amour,
Dieu xxx
Histoire trouvée site : http://maya.com
Pourquoi aide t-on ?
Il existe plusieurs types d’altruistes qu’on pourrait appeler les « vrais » et les « faux’. Afin de mettre en évidence l’altruisme pur, il faut éliminer diverses autres explications selon lesquelles tout comportement altruiste ne serait que de l’égoïsme déguisé. Les « faux altruistes » aident parce qu’ils ne supportent pas la détresse qu’il éprouvent devant la souffrance des autres et s’empressent de désamorcer leur propre tension émotionnelle. Ils aident aussi par crainte du jugement que l’on porte sur eux ou par désir d’être loués, ou encore pour éviter le sentiment de culpabilité. S’ils n’ont pas d’autres choix d’intervenir, ils secourent la personne en difficulté (pourvu que le prix à payer ne soit pas trop élevé) mais s’ils peuvent éviter d’être confronté au pénible spectacle de la souffrance ou s’esquiver sans que personne ne trouve à redire, ils n’interviennent pas plus que les individus faiblement altruistes.
Les « vrais altruistes » en revanche aident même s’il leur aurait été facile de détourner le regard, ou d’éviter d’intervenir sans que personne le sache. Des recherches montrent que, dans une population occidentale, on trouve en moyenne 15% d’altruiste vrais et que cet altruisme est, chez eux, un trait de tempérament durable.
Donnons un exemple.
Comment savoir si une personne dite altruiste n’agit pas simplement pour ressentir le sentiment de fierté que lui procure l’accomplissement d’un geste bienveillant?
En vérifiant qu’elle sera tout aussi satisfaite si quelqu’un d’autre vient en aide. Pour un véritable altruiste, c’est le résultat qui compte, non la satisfaction personnelle d’avoir aidé.
Extrait du livre « Plaidoyer pour le bonheur » de Matthieu Riccard