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17 juin, 2009

Et si rêvasser pouvait vraiment changer notre vie ?

Classé dans : Rêveries (62),Santé (166) — coukie24 @ 19:34

Et si rêvasser pouvait vraiment changer notre vie ?

Lorsque nous rêvons, notre cerveau est particulièrement productif. Il en est de même lors de nos rêveries conscientes. Et si nous apprenions à les orienter positivement, à utiliser nos rêvasseries à bon escient ? Elles peuvent nous aider à résoudre nos difficultés, voire à orienter votre vie. Selon le Dr Michel Dib*, ‘ rêvasser c’est aider notre cerveau à transformer notre énergie émotionnelle en action concrète ‘…

En quoi nos simples rêvasseries peuvent nous être utiles ?

Dr Michel Dib : Le principe est le suivant : nos rêves conscients peuvent être utilisés positivement au service de nos actions. Autrement dit, en rêvant consciemment, notre cerveau peut trouver des solutions à nos problèmes.

Lorsque nous rêvons durant notre sommeil, notre cerveau devient soudainement très actif, comme le démontrent les enregistrements électroencéphalogrammes (EEG). Le cerveau travaille donc beaucoup pendant le rêve. Ce même phénomène vient d’être observé durant le rêve conscient, lorsque nous rêvassons. Ainsi, laisser notre cerveau partir à rêvasser n’est pas une perte de temps, c’est une action qui pourrait nous permettre de concentrer nos efforts et nos idées, de mettre en œuvre des mécanismes positifs de succès, de pratiquer l’autosuggestion par la répétition, etc. La rêverie consciente permet aussi de visualiser certaines situations et de les rendre plus concrètes.

Il faut bien comprendre que le cerveau ne distingue pas ce qui est imaginaire de ce qui est visible à l’œil. Si on lui présente une image de succès ou de bonheur, il va tout simplement la considérer et mettre en œuvre tous les mécanismes qui en découlent. Il s’approprie les éléments sans distinguer le vrai du faux.

Ainsi, lorsqu’en rêve conscient, on lui met à disposition des éléments positifs, il va tout mettre en action pour aller dans ce sens. C’est que le rêve fait appel au système de la motivation mettant en jeu des hormones aux effets bénéfiques sur le cerveau. C’est précisément pourquoi la motivation peut changer une personne. Le rêve est ainsi une façon d’activer ses propres motivations et de les mettre en œuvre dans la réalité.

Commet s’y prendre en pratique ? Comment utiliser la rêverie à notre avantage ?

Dr Michel Dib :

1) Prenons l’exemple d’une situation difficile. Il suffit de se laisser aller à imaginer une solution, une porte de sortie, et notre état émotionnel à ce moment précis du succès. En imaginant tous les détails possibles pendant 15 à 30 minutes, on imprègne notre cerveau de ces éléments positifs.

2) Ne rejetez pas, mais au contraire cherchez à approfondir les rêves spontanés, brefs et rapides qui envahissent notre cerveau dans des situations de difficultés. Il s’agit là de messages positifs de notre inconscient (état hypnotique spontané) envoyés à notre conscient pour l’aider, pour le revitaliser et lui donner les indications permettant de résoudre un problème.

Dr Michel Dib : Le rêve n’est pas un état qui éloigne de la réalité mais une activité cérébrale qui prépare les réalités sur des bases solides. Un autre intérêt du rêve est de permettre à notre cerveau d’avoir confiance en lui, de lui insuffler que tout, ou presque, est réalisable.

Enfin, on pourrait dire que le rêve conscient est une fenêtre qui permet de préparer le futur quand le présent devient étroit. En activant les émotions positives dans notre cerveau (joie, amour, plaisir…), le rêve nous aide à dépasser les situations délicates et complexes que nous vivons.

Il transforme notre énergie émotionnelle en action concrète.

* Le Dr Michel Dib est neurologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, membre de la Société française de neurologie et l’auteur de nombreux livres et publications dans la presse scientifique et grand public.

16 juin, 2009

Avec l’âge, on dort moins bien, et on rêve moins…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 22:41

Avec l'âge, on dort moins bien, et on rêve moins...

Avec l’âge, le sommeil évolue et finit par présenter de nombreuses caractéristiques qui le distinguent du sommeil des plus jeunes. On retiendra facilement qu’avec l’âge, on rêve de moins en moins, mais il existe bien d’autres différences.
À tout âge, le sommeil est réparateur, il conditionne notre santé, notre moral et notre quotidien. On constate par ailleurs que la qualité et la durée du sommeil évoluent aux différents âges de la vie. C’est ainsi que les jeunes enfants ne dorment pas comme les adultes et que les personnes âgées présentent, elles aussi, un sommeil qui diffère par de nombreux aspects.
Rappelons qu’une nuit de sommeil d’un adulte comporte environ 5 cycles de 90 minutes. Chaque cycle se termine par un bref éveil dont on se souvient rarement au lever. Chaque cycle comprend 5 stades : endormissement, sommeil léger, sommeil profond, sommeil lent profond (ralentissement du cœur, de la respiration, de la tension artérielle) et sommeil paradoxal (rêves). Globalement, l’ensemble des cycles (correspondant à une nuit de sommeil) comprend 16% de sommeil lent profond et 20% de sommeil paradoxal.

Avec l’âge, les cycles du sommeil se modifient

L’architecture du sommeil se modifie : le sommeil lent profond et le sommeil paradoxal diminuent.

Les besoins en sommeil se répartissent différemment sur 24 heures : à partir de 60 ans, les nuits sont plus courtes, tandis que les journées sont ponctuées de ‘ coups de fatigue ‘ (surtout après 70 ans).

Le délai d’endormissement le soir est plus long.

En revanche, l’endormissement le jour est plus facile, d’où les ‘ coups de fatigue ‘ et les siestes plus fréquentes chez les personnes âgées.

Les périodes d’éveil nocturne entre chaque cycle sont plus nombreuses et plus longues. C’est ainsi que le sommeil nocturne des personnes âgées est troublé par de nombreux ‘ vrais réveils ‘ nocturnes.

Les troubles du sommeil sont plus fréquents (syndrome d’apnées du sommeil, syndrome des jambes sans repos). Ils contribuent eux aussi à des réveils nocturnes fréquents.

La boucle est bouclée : les éveils nocturnes diminuent la quantité totale de sommeil nocturne, ce qui est à l’origine d’une dette de sommeil, rattrapée par des siestes dans la journée.

Attention toutefois, les difficultés d’endormissement et les réveils nocturnes peuvent aussi se traduire par de vraies insomnies. C’est le cas pour 25 à 40% des personnes âgées. Si les insomnies ont des répercussions sur la vie sociale et si elles se répètent plus de 3 fois par semaine pendant un mois, il y a lieu de consulter pour trouver une solution. Certaines pathologies peuvent être à l’origine des insomnies (troubles urinaires, diabète, insuffisance coronaire, respiratoire, asthme, dépression, démence, cancer…).
Isabelle Eustache
15/06/2009
Institut national du sommeil et de la vigilance ; Dr Hervé Joly et Julie Joly, ‘ Savoir (bien) vieillir ‘, Editions Flammarion.

14 avril, 2009

Trucs de grand-mère et médecines naturelles pour soulager les petits maux

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 16:48

Trucs de grand-mère et médecines naturelles pour soulager les petits maux                            granny.gif

C’est toujours quand il n’y a pas une pharmacie ouverte à la ronde que la douleur en profite pour nous surprendre. Sans aller jusqu’à jouer les MacGyver, on peut déjà soulager pas mal de petits problèmes, avec ce que l’on trouve à la maison.

Si on a du paracétamol, c’est presque toujours gagné car cet antalgique, qui est le mieux toléré de tous, soulage maux de tête, fièvre, maux de ventre et douleurs dentaires. Sinon, on peut toujours ruser en se servant des ‘trucs de grand mère’ et des médecines naturelles qui marchent …

1 – Du froid

Quelques glaçons dans un plastique et un linge (pas de contact direct sur la peau), c’est tout ce qu’il nous faut en cas de choc, car le froid insensibilise et réduit l’œdème en contractant les petits vaisseaux. Mais le froid a encore bien d’autres cordes à son arc : il nous soulage à chaque fois qu’on a un problème ligamentaire (entorse ou tendinite). Et en cas de saignement de nez rebelle à la compression (deux doigts sur la narine qui saigne pendant 2 minutes), le froid contracte les petits vaisseaux qui saignent et diminue de fait le saignement.

2 – Du chaud

Un feu de bois dans la cheminée ou un simple radiateur allumé : il n’en faut pas plus pour soulager une douleur rhumatismale. Le chaud est aussi l’allié de toutes les douleurs musculaires : en cas de crampe ou après un claquage, il soulage rapidement !

3 – De l’eau salée

Ca n’est pas seulement utile pour faire cuire des pâtes ! Quand on est en panne de sérum physiologique et qu’on est enrhumé, un lavage à l’eau salée est vraiment une bonne idée. Que la cause de notre malheur soit des germes ou des pollens, voilà qui permet de laver nos fosses nasales et donc, d’évacuer un maximum d’indésirables (effet ‘karcher’).

4 – Un sachet de thé noir mouillé

Si on a un aphte, c’est le moment de s’y intéresser. Son action anti-inflammatoire calme la douleur locale, à condition de refroidir le sachet avant usage. Une alternative : mâcher des feuilles crues de basilic qu’on destinait à la cuisine.

5 – Des petites fleurs de lavande

Ce n’est pas pour les mettre en sachet dans le linge, mais pour se préparer une infusion anti-stress. En juillet et en août, on en trouve dans presque tous les parcs et jardins, il n’y a qu’à se baisser pour les récolter ! Il n’y a plus qu’à préparer la boisson à raison de 5 grammes au maximum pour un litre d’eau bouillante, qu’on laisse infuser 5 minutes comme pour du thé. C’est amer, mais avec du miel, ça passe…

6 – Du romarin

N’importe quel sachet d’herbes de Provence en contient. Il suffit d’une petite cuillère de feuilles séchées qu’on laisse infuser dix minutes dans une tasse d’eau bouillante pour que ça fasse notre affaire en cas de digestion difficile. En effet, le romarin stimule le fonctionnement de la vésicule biliaire et calme les spasmes digestifs : lourdeurs et ballonnements disparaissent.

7 – Massage des pieds

Chaque pied comprend pas moins de 7200 terminaisons nerveuses. Il suffit donc d’appuyer sur une zone sensible en réflexologie plantaire et c’est le soulagement assuré.

En cas de mal de ventre dû à un côlon irritable (colite), on doit masser au niveau de la plante du pied droit, sur la voûte, juste devant le talon.

En cas de coup de ‘pompe’, on commence par masser la plante du pied gauche, en alternant des petits cercles, des pressions et des relâchements successifs, depuis le talon jusqu’aux orteils. On termine par des effleurages avant de passer au pied droit. Un bon truc : si on met quelques gouttes d’huile d’amande douce sur la main qui masse, ça ‘glisse’ mieux.

8 – Une ampoule à incandescence de 100 watts

Avant de passer aux ampoules ‘écolos’ pour s’éclairer, on se met une ampoule classique de côté. Ce n’est pas une blague ! Car en automne, lorsque les jours raccourcissent, beaucoup de Français ont le moral en chute libre. Cela s’explique physiologiquement : on a besoin de beaucoup de lumière le matin pour freiner la sécrétion d’hormone mélatonine le jour. Or cette hormone influence notre humeur et lorsque sa sécrétion est augmentée, une dépression saisonnière peut apparaître, comme pour 4 % des Français. La parade consiste alors à s’exposer le matin à une lampe spéciale délivrant au moins 2500 lux. En cas de dépression saisonnière avérée, on ne peut pas faire moins.

Mais pour les autres, qui accusent juste une petite baisse de moral sans aller jusqu’à la dépression, un simulateur de l’aube suffit. Il imite le lever du soleil en produisant une luminosité croissant de 0 à 400 lux en 30 minutes : cela augmente la production matinale de cortisol (l’hormone de l’énergie) et le tour est joué. Or quand on n’a pas encore de simulateur, on peut se servir de sa bonne vieille ampoule à incandescence de 100 watts. Environ une demi-heure après le réveil, on s’installe dans une pièce de 3m2 éclairée par cette ampoule pendant au moins 10 minutes. On reçoit ainsi nos 400 lux : de quoi stimuler, synchroniser nos horloges biologiques internes et garder un moral d’acier !

Plus d’informations
‘Le Guide des médecines naturelles’ par le Dr J. E. Altherr, éd. Flammarion.
Dr Philippe Presles

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9 avril, 2009

Qui est à risque de calcul rénal ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:32

Qui est à risque de calcul rénal ?

Egalement appelé caillou ou pierre, le calcul rénal est une cristallisation qui se forme dans les reins ou les voies urinaires. Le plus souvent il est évacué avec les urines. Mais parfois, il reste bloqué, déclenchant une crise très douloureuse : la colique néphrétique. Qui sont les personnes susceptibles de développer de tels calculs rénaux ?

La colique néphrétique est une crise douloureuse fréquente provoquée par la formation d’un calcul. On estime que 10% de la population souffre un jour d’une colique néphrétique.

Quelles sont les personnes à risque ?

Les hommes sont deux fois plus souvent touchés par les calculs rénaux que les femmes.
Les quadragénaires : les coliques néphrétiques survenant souvent au cours de cette décennie. En cas d’antécédent personnel de colique néphrétique. Près de 50% des personnes ayant souffert d’une colique néphrétique récidiveront dans les dix ans.
En cas d’antécédents familiaux de colique néphrétique.
Les personnes atteintes de certaines maladies des reins.
Celles touchées par certaines maladies métaboliques : cystinurie, maladie coeliaque, hyperoxalurie, hypercalcémie, hyperparathyroïdie, etc.

Les hypertendus : l’hypertension multiplie par deux le risque de calcul.
Les personnes souffrant d’infections urinaires à répétition.
Les sujets qui boivent très peu : des urines concentrées favorisent la formation de calculs.
Les personnes vivant dans les pays chauds ou travaillant dans des environnements très chauds (ex. cuisiniers).
Celles qui prennent certains médicaments, dont les diurétiques et les anti-acides à base de calcium.
Les sujets dont l’alimentation comporte un excès de protéines (elles augmentent le taux de calcium, d’oxalate et d’acide urique dans les urines et diminuent le citrate, un élément protecteur).
Les personnes carencées en calcium (contrairement à une idée fausse, le calcium d’origine alimentaire préserve des calculs).

Si vous répondez à l’un de ces critères, et que votre ou vos facteurs de risque ne sont pas modifiables, sachez que la meilleure prévention repose sur la quantité de liquide absorbée. Autrement dit, buvez beaucoup (eau, jus, bouillon, tisane), jusqu’à 2 litres minimum, très régulièrement tout au long de la journée.

Ensuite, la prévention dépend de la nature des calculs. Autrement dit, il faut souvent avoir souffert d’une première colique néphrétique pour connaître la composition des calculs : oxalate de calcium, phosphate de calcium, struvite, acide urique, ou cystine.

Isabelle Eustache
06/04/2009

7 avril, 2009

Le rire, facile et très efficace contre le stress…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 18:26

Le rire, facile et très efficace contre le stress

Le rire est une technique anti-stress très efficace et particulièrement simple à mettre en pratique. Pourtant, le rire tend à être oublié. Faut-il le réhabiliter et comment s’y prendre ? Interview du Dr Michel Dib*. 

Le rire peut-il représenter une solution anti-stress efficace dans notre société moderne ?

Dr Michel Dib : Le rire est une technique magique qui permet très vite de dédramatiser les situations les plus stressantes et les plus difficiles. Le rire apporte un vent de légèreté face aux problèmes de la vie quotidienne. Il est même préconisé pour être en bonne santé. Vis-à-vis du stress, il agit comme un véritable médicament anti-stress.

Pourtant, les Français rirent de moins en moins, 3 fois moins qu’il y a 50 ans, soit 6 minutes par jour contre 19 minutes auparavant. Nous rions donc beaucoup moins que dans le passé et beaucoup moins encore dans les tranches de la société qui sont très stressées avec de lourdes responsabilités. En conséquence, les tensions nerveuses s’accentuent et augmentent certains risques, comme les pathologies cardiovasculaires et toutes les maladies déclenchées par la pression psychologique et la tension nerveuse.

Comment réapprendre à rire ?

Dr Michel Dib : La recette est pourtant facile, il suffit de s’accorder quelques coupures de décontraction dans la journée.

Je ne propose pas de pratiquer le rire dans des clubs spécialisés ou de faire des stages de rire, même si ces méthodes sont réellement utilisées dans certaines sociétés occidentales. Mais tout simplement de pratiquer le rire de deux façons différentes et complémentaires.

La première est de s’entourer d’amis positifs et drôles, de créer avec eux des occasions de rires.

La deuxième est d’apprendre à dédramatiser les situations difficiles. Grâce à notre imagination nous sommes parfaitement capables de relativiser les difficultés, en essayant notamment de se focaliser sur le côté plus léger et positif de la situation, ce qui permet d’abaisser efficacement la lourdeur du problème ressenti.

Il faut bien comprendre que dans une société où tout va très vite induisant un stress important, les difficultés ont tendance à déclencher systématiquement des émotions négatives qui sont contraires au rire. Or ces émotions négatives ne sont pas réelles, elles sont générées par des réactions de peur ou de crainte. Il est important d’inverser cette tendance et d’accorder plus d’attention aux joies.

A titre d’exemple, si l’on a très peur d’une situation donnée (la peur est une émotion négative subjective), cela ne signifie pas que cette situation va arriver, mais qu’elle déclenche simplement en nous, par les craintes et souvenirs qu’elle véhicule ou par notre propre passé, des réactions négatives qui vont empoisonner notre aptitude (conséquence négative réelle et objective) à surmonter cette situation.

A l’opposé, le rire est une attitude positive qui peut neutraliser les émotions négatives de façon très rapide et efficace. C’est ainsi que cette aptitude nous permet facilement de sortir victorieux des situations stressantes.

* Le Dr Michel Dib vient de publier deux ouvrages ‘ Apprivoiser la migraine ‘ et ‘ Apprivoiser le stress ‘ aux Éditions du Huitième Jour. Parution en librairie le 19 février 2009. Il est neurologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, membre de la Société française de neurologie et l’auteur de nombreux livres et publications dans la presse scientifique et grand public.

A lire

‘ Apprivoiser le stress ‘ et ‘ Apprivoiser la migraine ‘, Dr Michel Dib, Editions du Huitième jour.
Isabelle Eustache
06/04/2009

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2 avril, 2009

L’alimentation végétarienne protège-t-elle du cancer ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 14:25

L’alimentation végétarienne protège-t-elle du cancer ? L'alimentation végétarienne protège-t-elle du cancer ? dans Santé (166)

L'alimentation végétarienne protège-t-elle du cancer ?  Si vous hésitez à abandonner la viande pour devenir végétarien, voici une information qui pourrait vous faire franchir le pas. Le risque de cancer est diminué de 11% chez les végétariens.


Moins de cancers chez les végétariens ?

Depuis longtemps maintenant, on nous dit que pour échapper au cancer, il faut manger plus de fruits et légumes, et moins de viande rouge et de graisses animales.

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Une étude nous apporte une nouvelle démonstration de l’influence de notre alimentation sur le développement des tumeurs. Celle-ci a porté sur une population américaine de 63.000 personnes suivies durant près de 20 ans. Chez les sujets végétariens l’incidence du cancer était inférieure de 11%. Cette constatation est valable pour tous les cancers (poumon, gorge, foie, sein…), excepté les cancers de la prostate et du côlon.

A noter que cette dernière exception est surprenante, particulièrement pour le cancer du côlon, puisque la viande rouge est déjà considérée comme un facteur de risque et l’alimentation riche en fibres comme un facteur protecteur de ce cancer.

Faut-il abandonner la viande ?

Il ne s’agit pas que d’une histoire de viande. En effet, pour expliquer cette diminution du taux des cancers chez les personnes qui ne consomment pas de viande, les chercheurs indiquent que les végétariens ont globalement une meilleure hygiène de vie que les ‘ carnivores ‘. Certes, ils mangent beaucoup de fruits, de légumes et de céréales (souvent complètes), mais aussi, ils fument moins, boivent moins d’alcool et pratiquent plus d’activités physiques. En conclusion, ils ont tendance à cumuler les facteurs protecteurs et au final, cela paye avec une baisse de11% des cancers !

En pratique, comment manger moins de viande ?

On ne va pas forcément recommander d’abandonner purement et simplement la viande. En revanche, on peut diminuer la part de la viande dans notre alimentation quotidienne. Voici deux conseils :

1) Ne mangez des protéines animales qu’une fois par jour en privilégiant les volailles et le poisson.

2) Remplacez la viande par des céréales et des légumineuses, également sources de protéines.

Enfin, contre le cancer, attachez-vous également à consommer 5 fruits et légumes par jour, veillez à ne pas fumer et limitez votre consommation d’alcool.

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Isabelle Eustache
30/03/2009
Key Timothy et coll., The American Journal of Clinical Nutrition, mars 2009.

3 mars, 2009

Conseils pour bien faire la sieste…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:51

Conseils pour bien faire la sieste                    Conseils pour bien faire la sieste... dans Santé (166) 0004

La sieste, tout le monde dit que c’est tendance. Mais quand il s’agit de la faire vraiment, c’est une autre histoire! Sous nos latitudes, les siesteurs sont encore une minorité. Si vous voulez vous mettre à la sieste, il faudra lui faire une place dans vos habitudes. Voici quelques conseils.

La sieste est-elle bonne pour la santé?

Des études récentes ont déjà prouvé que la sieste semble avoir un effet protecteur sur les maladies cardiovasculaires. Et pour certaines personnes qui ont un mauvais sommeil nocturne, faire une sieste permet d’obtenir de meilleures nuits, contrairement à ce que l’on pourrait penser. Par ailleurs, trouver dans la journée un temps qui semble ne servir à rien, mais qui est dédié à notre bien-être, cela peut être très jouissif. Alors qu’une sieste, c’est vingt minutes à peu près… pas si difficile que ça à caser, même dans une journée occupée par le boulot. Alors si vous avez envie de vous y mettre, suivez ces quelques astuces.

Trouver le bon contexte

Les opportunités pour faire des siestes ne sont pas aussi rares que vous pourriez le croire. Vous pouvez faire la sieste au travail, dans les transports en commun… vous n’avez que quatre questions à vous poser:
- Quelle heure est-il ?
Le moment idéal pour faire une sieste est le début de l’après-midi. La fin de votre pause déjeuner est, par exemple, tout à fait indiquée…
- De combien de temps est-ce que je dispose ?
Vingt minutes, c’est une sieste parfaite. Si vous dormez plus, vous mettrez plus de temps à retourner à un état d’éveil efficace. Il est aussi possible de faire de vraies siestes express (dix minutes environ) mais elles demandent un peu d’entraînement.
- Est-il possible de m’isoler ?
Il ne vous faut pas forcément une pièce à vous pour faire la sieste. Dans les transports, ou même dans un parc en été, il vous suffira de vous isoler du bruit (avec des bouchons d’oreilles par exemple) ou de la lumière (avec un masque, ou plus simplement n’importe quel couvre-chef). Chez vous ou au bureau, il faut simplement expliquer à ceux qui vous entourent que vous ne devez pas être dérangé pendant vingt minutes.

Trouver le lieu pour faire la sieste

Pour dormir, vous devez pouvoir relaxer votre corps un minimum. L’idéal, bien sûr, c’est d’avoir à disposition un canapé ou un fauteuil bien confortable, dans la mesure où se mettre au lit en pleine journée n’est pas toujours possible. Mais à défaut, vous pouvez trouver des alternatives…

- dans les transports en commun: appuyez vos coudes sur vos genoux, et posez votre tête dans vos mains.

- au bureau: croisez vos bras sur votre bureau, et appuyez votre front sur vos avant-bras. Vous pouvez aussi vous mettre à califourchon sur une chaise, faisant face au dossier, et procéder de la même manière.
Après la sieste: le bon réveil
La raison pour laquelle nous hésitons souvent à nous lancer dans une sieste, c’est que nous ne sommes pas sûrs d’être productifs après. Les siestes du week-end ou des vacances nous laissent en effet trop souvent complètement abrutis et incapables de fonctionner jusqu’au soir. Pour éviter l’effet « comateux », la première solution est de ne pas trop allonger la sieste: à 20 minutes, vous avez déjà de grandes chances d’y échapper. Mais la manière de vous réveiller aura aussi un impact sur votre capacité de concentration. Comment bien se réveiller d’une sieste ?

- ne bougez pas tout de suite: vous avez bien une minute pour vous lever-en revanche, concentrez-vous dès votre réveil sur une idée ou un objet, pour éviter de sombrer à nouveau dans le sommeil

- asseyez-vous doucement, massez légèrement votre visage, respirez avec un peu d’énergie, éventuellement étirez-vous-et enfin, mettez-vous debout. Vous êtes bon pour le service! 12439369 dans Santé (166)                                         111

20 février, 2009

Mon enfant tousse : miel ou sirop ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 19:18

miel ou sirop ?

En période hivernale, la toux est un symptôme bénin très fréquent. Elle témoigne le plus souvent d’une agression virale. Comment soulager un enfant qui tousse ?  M

Médicament ou remède maison ?

Certains parents se rendent à la pharmacie pour acheter un sirop contre la toux afin de soulager leur enfant qui tousse. D’autres ont recours à une boisson chaude sucrée au miel, voire directement à une cuillerée de miel. Quelle est la meilleure solution contre la toux ?
Des chercheurs se sont penchés sur cette question. Ils ont comparé l’efficacité de trois types de traitement chez une centaine d’enfants âgés de 2 à 18 ans et souffrant d’une toux importante due à une infection des voies respiratoires.
Certains ont reçu une cuillère de miel, d’autres, un médicament antitussif (à base de dextrométhorphane) ou un placebo administré à l’heure du coucher.
La fréquence de la toux, sa gravité et les répercussions sur le sommeil ont été suivies dans les trois groupes. Les informations ont été recueillies par téléphone auprès de la mère des enfants.
Rien ne vaut le miel !

Dès le lendemain, la toux des enfants ayant bénéficié du miel a été améliorée : la toux a diminué en intensité et en fréquence, avec une meilleure qualité du sommeil. En revanche, l’amélioration était beaucoup moins bonne avec le sirop ou le placebo. Par ailleurs, le sirop n’a pas donné de meilleurs résultats que le placebo, remettant en cause l’intérêt des sirops antitussifs.En conclusion, le miel est la solution la plus efficace pour traiter la toux. Il fait bien mieux que le médicament, lequel équivaut à ne rien donner du tout puisqu’il n’apporte pas de bénéfice supplémentaire par rapport à un placebo.
Pour les auteurs, le miel représente donc un médicament efficace contre la toux pour les enfants de 2 à 18 ans.
En pratique, donnez une cuillerée de miel en soirée à votre enfant s’il tousse.
En revanche, une toux qui persiste plus d’une semaine nécessite une visite chez le médecin.
Dr Philippe Presles
16/02/2009
Paul I.M. et coll., Arch. Pediatr. Adolesc. Med., 161 (12) : 1140-6, 2007.

 

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Je manque de fer, que faire ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 19:08

Je manque de fer, que faire ?

Je manque de fer, que faire ?

La meilleure façon de faire le plein en fer est de manger du boudin noir, idéalement une fois tous les quinze jours. Pour celles qui n’apprécient pas cet aliment considéré de loin comme le plus intéressant pour sa teneur en fer, d’autres solutions existent… 
Fatigue, pâleur, diminution de l’appétit, maux de tête… Vous manquez peut-être de fer. La carence en fer ou anémie est très fréquente, particulièrement chez les jeunes femmes en raison des règles mensuelles (le fer transite par le sang) et d’une alimentation généralement moins riche en viande. Plus de 10% des Françaises sont anémiées.

Que manger pour augmenter vos apports en fer ?
Le boudin noir n’est pas le seul à apporter du fer. Certes, il s’agit d’un aliment très riche en fer, mais en multipliant et surtout en variant les autres sources, on peut très bien combler nos besoins au quotidien.
Attention toutefois, il ne suffit pas de mettre au menu les aliments les plus riches en fer. Encore faut-il que le fer soit bien absorbé par l’organisme. Autrement dit, il faut différencier le fer non héminique, peu ou mal absorbé, du fer héminique, facilement assimilé par l’organisme. Le premier se trouve dans les aliments d’origine végétale (légumineuses, tofu, céréales, cacao, fruits et légumes) qui représentent la part la plus importante de notre alimentation, tandis que le deuxième est présent dans les aliments d’origine animale (boudin noir, foie de veau, rognons de porcs, viandes, volailles, poissons, fruits de mer). Autrement dit, pour accroître les apports en fer, il faut augmenter ces produits animaux, tout en respectant un bon équilibre alimentaire. En effet, pas question non plus de manger plus de viande que de légumes. Mais idéalement, agrémentez vos légumes et féculents d’une petite portion de viande, poisson ou fruits de mer car ces derniers favorisent l’absorption du fer non-héminique. Enfin, mangez aussi des aliments riches en vitamine C car cette vitamine est connue, elle aussi, pour augmenter fortement l’absorption du fer non-héminique.

Si certains aliments favorisent l’absorption du fer non-héminique par l’organisme, sachez que d’autres ont l’effet inverse. C’est le cas par exemple du thé. Plus précisément, ce sont les tanins contenus dans le thé, qui, en se liant à l’élément fer, réduisent son absorption lors de la digestion. Il est donc important, surtout lorsque l’on manque de fer, de boire son thé à distance des repas : au moins une heure avant et une heure après les repas. Mais le petit-déjeuner peut faire exception pour des raisons traditionnelles.
Isabelle Eustache
16/02/2009
Je manque de fer, que faire ? dans Santé (166) boudin_pomme

12 février, 2009

Renforcez les muscles de votre dos !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 0:04

Renforcez les muscles de votre dos !

Un dos solide, c’est l’assurance d’une santé renforcée et d’une silhouette gracieuse. Voici un programme à la fois réparateur et préventif. A effectuer 2 à 3 fois par semaine en attaque, 1 à 2 fois en entretien. Et chaque fois que le besoin s’en fait sentir (dos tendu, cervicales ou lombaires fatigués).


Entraînez votre dos : exercice 1

Renforcez les muscles de votre dos ! dans Santé (166) 049059_vP
Allongée sur le dos, genoux fléchis et serrés retenus par les mains, amenez les genoux vers la poitrine et balancez-vous légèrement, d’avant en arrière mais aussi de gauche à droite.

Revenez à la position initiale, recommencez.

Une vingtaine de fois

Entraînez votre dos : exercice 2

049060_vP dans Santé (166)Allongée sur le dos, mains derrière la tête, jambes fléchies. Ramenez le genou droit vers vous. Expirez lentement en relevant le buste et avancez le coude gauche vers le genou droit.

Répétez de l’autre côté.

12 fois en alternance
Entraînez votre dos : exercice 3

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Asseyez-vous maintenant sur une chaise. Vos bras sont écartés et tendus, idem pour vos jambes, pieds en flexion. Écartez simultanément les bras et les jambes au maximum, et maintenez l’extension 8 secondes.

Relâchez.

5 à 8 fois

Notre astuce +

Les muscles abdominaux représentent le corset naturel du corps : ce sont eux qui maintiennent votre dos bien droit. Ne les négligez pas !

9 février, 2009

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:27

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Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:18

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7 février, 2009

L’infarctus du myocarde…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 17:50

Cliquer sur les images à votre rythme…

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22 janvier, 2009

Comment devenir plus optimiste en changeant votre vision du monde

Classé dans : Le Bonheur (153),Santé (166) — coukie24 @ 15:18

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‘ La permanence du bonheur ‘, c’est l’expression qu’utilise Martin Seligman (1) pour qualifier une qualité essentielle à ses yeux, celle d’avoir confiance en l’avenir. Ce psychiatre américain travaille depuis des années sur la psychologie positive, ou l’art d’être heureux…

L’art d’être optimiste

Son constat est que les personnes réussissant le mieux leur vie sont aussi les plus optimistes. L’optimisme est constitué de plusieurs facettes très différentes dont l’une d’entre elles est la manière d’appréhender le monde.Certaines personnes, très optimistes, pensent que le monde est bon pour elles. Ainsi, quand elles rencontrent une difficulté, elles pensent intimement que cette difficulté est passagère.Maud voit ainsi un enseignant se mettre en colère envers elle. Et elle pense ‘ il a l’air de mauvaise humeur aujourd’hui, il a peut-être appris une mauvaise nouvelle… ‘. Fanny, dans la même situation, pense différemment : ‘ les enseignants sont tous dominateurs, forcément, ils ont le pouvoir, alors, ils en profitent ‘.Vous percevez immédiatement que leur vision du monde est différente.Si vous avez vu comme des millions de Français ‘ Bienvenue chez les ch’ti ‘, vous avez peut-être remarqué qu’un des employés de la poste exprime, alors que son nouveau chef venu du Sud est invivable au début : ‘ mais non, il a une bonne tête ‘ ; sous entendu ‘ c’est un brave type qui se sent momentanément mal ‘. Son collègue, lui, pense que leur travail va devenir un enfer puisque le nouveau patron est très désagréable. L’un est optimiste, l’autre est pessimiste.Changer son regard sur le monde…

Quel est l’intérêt de remarquer ces différences de réactions aux événements de la vie ? C’est que ces pensées façonnent notre humeur et notre énergie à aller vers nos buts, à réaliser nos rêves. Ainsi, plus vous êtes optimiste sur la vie, plus vous avez d’énergie, de plaisir… et de réussite.Or, il est possible de modifier une façon de penser négative. Non pas d’un seul coup de baguette magique, mais en repérant à l’intérieur de vous-même les réactions négatives généralisantes.Peu d’entre nous sont totalement pessimistes ou totalement optimistes. Vous pouvez être très optimiste au travail et pessimiste avec vos enfants, ou l’inverse…Alors, commencez par repérer dans quel domaine vous êtes le plus pessimiste. Observez vos réactions intérieures devant un obstacle, un problème. Si vous généralisez, si vous imaginez que la difficulté va durer toujours, c’est que vous pouvez améliorer votre dialogue intérieur et le rendre stimulant au lieu de vous laisser engluer par du pessimismeAinsi, lorsque, devant un petit problème, vous généralisez, cherchez à changer de registre, trouvez une pensée qui soit réaliste et cantonne ce problème à ce qu’il est.Si votre équipe de sport perd, au lieu de penser : ‘ on n’est vraiment pas bons ‘, dites-vous ‘ aujourd’hui, nous n’étions pas assez en forme ‘, ou bien, ‘ nous n’avons pas assez travaillé telle stratégie ‘… Vous sentez la différence ?

Si vous pensez ‘ cet enfant ne fera jamais rien à l’école ‘, c’est très différent de : ‘ il était extrêmement anxieux et c’est ça qui lui a fait rater son devoir sur table ‘…

Progressivement, vous pouvez parvenir à améliorer votre optimisme. Au début, c’est un travail de fourmi, mais vous en ressentez rapidement les bienfaits. Et de plus, votre entourage en profite aussi. Car si le pessimisme peut se révéler contagieux, l’optimisme aussi. Vous pouvez ainsi encourager votre entourage à laisser tomber les généralisations négatives et faire des émules pour que de plus en plus de personnes autour de vous soient aussi optimistes…

(1) : à lire, un livre de Martin Seligman : ‘ La force de l’optimisme ‘ chez Interéditions.
Dr Catherine Solano
19/01/2009

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20 janvier, 2009

L’hygiène contre les infections hivernales

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 1:13

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L’hygiène des mains contre les infections hivernales Se laver les mains est LE geste de base de l’hygiène, nécessaire pour éviter les transmissions de maladies. Mais saviez-vous par exemple que l’on a plus de germes après s’être séché les mains à l’air chaud ? Tout sur l’art et la manière de se laver proprement les mains.
Pour éviter ces petites maladies qui empoissonnent le quotidien, une prévention de tous les instants est nécessaire et notamment concernant l’hygiène.
Que ce soit des affections virales ou bactériennes, elles ont pour point commun de se transmettre d’individu à individu par l’intermédiaire des mains : on tire la chasse d’eau avec, on les porte à la bouche, au visage, on se frotte les yeux avec, elles sont en contact avec plusieurs centaines d’objets différents dans la journée…
En fait, une estimation évalue à 30 le nombre d’objets touchés par une personne en une minute.

Bien souvent, tous ces gestes sont réalisés dans un ordre indifférent, favorisant l’importation de plusieurs milliers de germes. Pour limiter leur invasion, plusieurs petites précautions s’imposent :

- Bien se laver les mains. Mais comment ? Tout d’abord avec de l’eau et du savon. Trivial ? Pas forcément, de nombreuses personnes se nettoient les mains à l’eau, ce qui ne constitue en rien un lavage de mains. Pour qu’il soit efficace, l’Intitut national de Prévention et d’Education pour la Santé (INPES) recommande une durée de 30 secondes, en frottant suffisamment entre les doigts et sous les ongles pour bien éliminer tous les germes.

- Pour se sécher les mains, système à air chaud ou serviette ? En hiver, le premier rencontre un certain succès grâce au réchauffement assuré des mimines. Et pourtant, il y aurait sur les mains jusque 87% de germes en plus après s’être séché les mains avec ce type de système. Quant à la serviette, si elle est sale ou humide, elle annulera l’effet propreté du lavage de mains. Donc, oui à la serviette, à condition qu’elle soit bien propre et sèche.

- Se laver les mains en sortant des transports en commun, des toilettes, etc. peut sembler évident mais tout le monde ne le fait pas. L’INPES estime que 53% des femmes et 39% des hommes se lavent les mains après avoir pris les transports en commun. Lorsque l’on sait que 71.6% des malades se déplacent en transport en commun, on peut imaginer la risque d’être malade à son tour si l’on ne respecte pas un minimum d’hygiène. Dans les lieux publics de manière générale, la prudence est de mise dans les lieux publics : toilettes, cabines téléphoniques, caddies de supermarché, transports en commun, boutons d’ascenseur, etc. Attention, il ne s’agit pas non plus de s’enfermer dans un monde aseptisé et de fixer sur la propreté de notre environnement, sinon, il ne serait plus possible de vivre normalement !

- Les microbes sont partout et même dans votre poche : téléphone portable (qui contient pas moins de 20 900 microbes au cm² !), téléphone fixe, clavier d’ordinateur, souris, etc. Autant de matériels pas forcément individuels et qui ne sont généralement nettoyés qu’à la Saint Glinglin ! Un petit coup de propre dans votre environnement quotidien ne peut faire de mal à personne. Un petit chiffre pour se rendre compte : la table de bureau contiendrait 3 249 bactéries au cm² contre 8 bactéries au cm² sur le siège des toilettes.

- Petite astuce : parfois, on ne se lave pas les mains parce que nous n’avons rien pour le faire. Pour être sûr d’être paré en toutes situations, veillez à avoir sur vous des lingettes désinfectantes ou encore un gel anti-bactérien sans savon. Discrets dans le sac ou la poche, ils permettent par exemple de pouvoir se maquiller dans le métro en toute tranquillité : après avoir touché les barres, cela ne serait pas raisonnable de contaminer votre fond de teint griffé.

16 janvier, 2009

Les carottes, c’est pas cher et c’est bon pour la santé

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 18:47

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Les carottes sont bourrées d’antioxydants, ces fameux carotènes qui protègent les artères mais sont également bons pour la peau. On dit aussi qu’elles mettent de bonne humeur, ce qui est bienvenu en ces temps moroses. Plein de recettes sont faciles et super légères.

 

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15 janvier, 2009

Savez-vous protéger votre coeur ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 14:10

Les grandes maladies >  Maladie cardiovasculaire

Savez-vous protéger votre coeur ?

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Surveillez votre taux de cholestérol

Le cholestérol est indispensable à la vie, mais point trop n’en faut, surtout du LDL-cholestérol ou mauvais cholestérol, au risque qu’il s’accumule dans vos artères et finisse par les boucher.Vous devez mesurer votre taux de cholestérol (à partir d’une prise de sang) une première fois avant l’âge de trente ans (on dépiste ainsi les hypercholestérolémies familiales), puis une deuxième fois avant 45 ans. Ensuite, il faut le mesurer tous les 3 ans à partir de 45 ans si vous êtes un homme et à partir de 55 ans si vous êtes une femme. Et tous les ans si vous êtes atteint de diabète.En cas d’excès, un régime alimentaire, qui permet notamment de limiter les apports en mauvaises graisses, s’impose en première intention.A noter que cette notion d’excès dépend de vos autres facteurs de risque (âge, antécédents familiaux de maladie coronaire, tabagisme, hypertension, diabète…).

Surveillez votre tension artérielle

Trop élevée, elle fatigue votre cœur. La limite à ne pas dépasser est de 14 mmHg pour la pression artérielle systolique et de 90 mmHg pour la pression artérielle diastolique ou 14/9 en cmHg.Les mesures doivent être réalisées au cabinet médical et confirmées au cours de trois consultations successives sur une période de 3 à 6 mois. Chaque consultation comprenant au minimum deux mesures, en position assise depuis quelques minutes et en position debout.

Surveillez votre glycémie

Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang. Cette maladie silencieuse est une menace pour le cœur. Il est important de faire mesurer régulièrement votre glycémie. On peut également prévenir le diabète en mangeant de façon équilibrée et en bougeant régulièrement.

Surveillez votre tour de taille

Votre indice de masse corporelle, calculé à partir de votre poids et de votre taille, est essentiel et détermine votre degré de surpoids. Mais tout aussi important, voire davantage en matière de prévention cardiovasculaire, est la surveillance du tour de taille. La limite à ne pas dépasser est de 94 cm pour les hommes et 88 cm pour les femmes.Parallèlement, pratiquez une activité physique régulière. Quels que soient votre âge et votre condition physique, il faut bouger. Inutile de devenir un sportif de haut niveau, la marche rapide est une excellente activité. Pour les plus sédentaires : un minimum de 30 minutes de marche active chaque jour suffit !

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12/01/2009
Isabelle Eustache

Source:
Fédération française de cardiologie, Infos n°8, janvier 2009.

12 janvier, 2009

La santé au quotidien > Santé en hiver

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 17:27
La santé au quotidien >  Santé en hiver
Hiver : les vitamines qui vous dopent !

les vitamines qui vous dopent ! 

La vitamine C : la star de l’hiver

La vitamine C n’a pas d’équivalent pour stimuler nos défenses. Elle représente donc une excellente aide pour lutter contre les infections. A noter que la vitamine C est aussi particulièrement conseillée aux fumeurs. En effet, le tabac contribuant à détruire cette vitamine, les fumeurs sont très souvent carencés en vitamine C.

Où trouver de la vitamine C dans notre alimentation ?
Les fruits (les agrumes, le kiwi, le cassis, la goyave…), le persil et les légumes verts (salades, choux, poivrons, oseille…). La santé au quotidien > Santé en hiver  dans Santé (166) citrons3

La vitamine B6 : contre le stress

La vitamine B6 renforce l’action de la vitamine C et permet une meilleure résistance au stress.

Les principales sources de vitamine B6 :
La levure, le germe de blé, les viandes et les poissons.

La vitamine B12 : l’anti-fatigue

La vitamine B12 aide à lutter contre la fatigue et facilite l’absorption du fer.

Les principales sources de vitamine B12 :
Les abats, les œufs, le lait et ses dérivés.

Le fer : contre les infections ORL

Les carences en fer, particulièrement fréquentes chez les enfants et les femmes, favorisent les infections ORL à répétition. Sachez que le fer alimentaire est mieux absorbé par l’organisme que le fer sous forme de compléments alimentaires. A noter également que le thé empêche l’absorption du fer. Aussi, évitez d’en boire après un repas composé d’aliments riches en fer.

Les principales sources de fer :
Le boudin noir, la viande rouge, le foie et le pâté de foies de volaille. Point trop n’en faut : une part de boudin noir tous les dix jours ou une tranche de foie par semaine vous protège de la carence.

Le zinc : au cœur de l’immunité

En jouant un rôle dans la multiplication des globules blancs, lesquels sont de grands acteurs de notre système immunitaire, le zinc a une importance considérable.

Les principales sources de zinc :
Les viandes, les crustacés, les poissons, les céréales et les lentilles.

Le magnésium : un anti-stress

Cet élément aide à combattre le stress, et l’on sait bien que le stress affaiblit nos défenses.

Les principales sources de magnésium :
Les céréales complètes (notamment le riz complet), les fruits secs ou oléagineux (noix de cajou, amandes, noix…), le soja, les poissons, les légumes secs et certaines eaux minérales (Hépar, Badoit…).

En résumé, votre alimentation en hiver est importante pour votre apport en vitamines

Votre alimentation en hiver permettra de vous apporter les vitamines nécessaires pour combattre le froid, la fatigue, le stress et bien d’autres maux !

Encore faut-il bien équilibrer votre alimentation, en n’oubliant pas d’introduire des légumes et des fruits chaque jour ! En effet, légumes et fruits sont souvent moins prisés en hiver car plus rares et plus chers. Bien que tous les légumes soient présents dans le commerce, les légumes « hors saison » ont moins de goût. Privilégiez donc les légumes de saison pour ne pas être déçu(e) !

En hiver, pensez aux endives, choux, carottes, brocolis, betteraves, potirons, mâche…
Pour les fruits, à l’ananas, oranges, kiwis, pommes, poires, litchis…

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Si votre alimentation n’est pas assez équilibrée ou si vous ressentez un coup de fatigue, pensez aux compléments alimentaires.

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07/10/2008
Isabelle Eustache

30 décembre, 2008

Le Bonheur est dans tout ! Il faut savoir l’extraire…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:45

Tonifiez votre corps, même au supermarché !

Tonifiez votre corps, même au supermarché !Autant effectuer quelques exercices de renforcement pendant que vous vous collez aux courses : c’est parti ! Effectuez ces exercices à chaque fois que vous y pensez : progressivement, ils deviendront de véritables automatismes et vous gagnerez en muscles.


Au supermarché : exercice n°1

Le Bonheur est dans tout ! Il faut savoir l'extraire... dans Santé (166) 049132_vP
Poussez votre Caddie en contractant progressivement les doigts, les avant-bras, les bras et les pectoraux, le tout pendant 10 secondes. Pensez à allonger votre dos et à redresser vos épaules.

4 fois.

Au supermarché : exercice n°2

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A la caisse, attendez votre tour en décollant les orteils au maximum pendant 8 secondes. Vous devez sentir la tension jusque dans le mollet. Recommencez avec l’autre pied.

4 fois de chaque côté.

Au supermarché : exercice n°3

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Toujours à la caisse, grandissez-vous au maximum, les jambes tendues et serrées l’une contre l’autre : décollez les talons, rentrez le menton et poussez la tête vers le haut comme si un fil vous tirait vers le plafond pendant 8 secondes.

3 fois.

Notre astuce +

Lorsque vous portez vos sacs de courses, levez les coudes afin que les bras prennent toute la charge sans peser sur le dos. Un exercice efficace pour renforcer vos avant-bras et vos épaules.

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Emilie Veyretout
23/12/2008
 

28 décembre, 2008

Et 1 et 2 et 3 : on se muscle devant son ordinateur !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 22:49

on se muscle devant son ordinateur !Vous êtes seule devant votre ordinateur, vos collègues pensent que vous êtes sagement concentrée ? Et oui, vous travaillez… vos muscles ! Effectuez ces exercices régulièrement, puis progressivement tous les jours, de préférence avant le déjeuner.


Au bureau : exercice n°1

Et 1 et 2 et 3 : on se muscle devant son ordinateur ! dans Santé (166) 046718_vPAssise sur votre chaise, le dos droit et les jambes l’une contre l’autre.

Croisez vos mains derrière votre nuque et tirez les coudes au maximum vers l’arrière pendant 6 secondes.

Conservez le dos droit et les épaules dégagées.

4 fois

Au bureau : exercice n°2

046719_vP dans Santé (166)Assise, jambes écartées et pieds parallèles, un bras tendu et levé, l’autre vers le bas : en étirant bien la taille, fléchissez la taille à gauche et à droite en essayant de toucher le sol avec la main.

Ne décollez pas les fesses du siège.
8 fois en alternance

Au bureau : exercice n°3

046720_vPÉloignez votre chaise de votre bureau. Les mains tenant les rebords du siège, les pieds effleurant le sol et les jambes placées sur le côté de la chaise, écartez et serrez les jambes devant vous.

Veillez à conserver le dos bien droit.
Une dizaine de fois

Notre astuce +

Vous avez vraiment besoin d’une pause ? En fermant les yeux, inspirez par le nez pendant 5 secondes puis bloquez votre respiration pendant 5 autres, enfin expirez le plus lentement possible en contractant le ventre

11 décembre, 2008

La sieste est bénéfique pour le cerveau

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 12:33

Article écrit le

1. 12. 2008
Par Caroline Brèand

La sieste est bénéfique pour le cerveau dans Santé (166) nappingSelon de récentes études, faire la sieste renforce votre mémoire et votre créativité.Des neuroscientifiques de l’université de New York enseignent à des collégiens une liste de mots chinois simples. Ensuite, la moitié du groupe fait une sieste de 90 minutes, tandis que l’autre reste éveillée. Une fois la sieste terminée pour les uns, l’ensemble des élèves écrit un QCM sur des mots chinois qu’il n’a pas encore appris. Eh bien ceux qui ont eu la chance de se reposer sont nettement plus capables d’utiliser leur connaissance des mots simples pour deviner le sens des mots compliqués. Etant donné que la plupart des adultes n’ont pas le temps de se reposer 90 minutes au cours de la journée, les chercheurs suggèrent de fermer au moins les yeux pendant 12 minutes afin de redynamiser votre cerveau.

En résumé, si les préparatifs effrénés de Noël vous exténuent déjà, fermer les yeux un moment et cela vous inspirera peut-être une réponse cohérente à donner à votre famille quant à savoir quoi faire de votre vie.

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