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23 décembre, 2011

Evitez les erreurs diététiques pendant les fêtes !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 8:17

Evitez les erreurs diététiques pendant les fêtes !

Les erreurs ou maladresses qui nuisent à notre alimentation pendant les fêtes ne sont pas toujours celles que l’on croit… Passage en revue de ce qu’il ne faut surtout pas faire pour rester légère pendant les fêtes.

 1ère erreur pendant les fêtes : culpabiliser à l’excès

 La culpabilisation n’est jamais une bonne solution pour faire régime. Au contraire, si vous avez fait un excès alimentaire quelconque, culpabiliser va vous déprimer, vous décourager, et vous rendre encore plus susceptible de craquer si vous avez tendance à manger en fonction de vos émotions.

Accepter que les fêtes sont un moment exceptionnel de l’année, au cours duquel il est socialement bien vu de faire des agapes généreuses, vous permettra de mieux vivre les excès éventuels sans vous alourdir de culpabilité.

Sachez aussi relativiser les débordements alimentaires en question : on ne parle finalement, au grand maximum, que d’une demi-douzaine de repas très généreux, et encore. A l’échelle d’une année, ce n’est pas énorme.

2ème erreur pendant les fêtes : se priver

 Dans le même esprit, essayer de résister au maximum aux délices qui se présentent devant vous n’est pas un exercice très constructif.

D’abord, cela va sans doute vous gâcher une partie de la fête, surtout si les gens se rendent compte que vous êtes « au régime ».

Les fêtes de fin d’année sont l’occasion de partager des repas festifs. Ne pas suivre cette règle du jeu risque parfois, selon la sensibilité de votre entourage, de vous mettre en marge. Et en plus, la frustration peut vous mener à de vrais craquages : dévorer en un quart d’heure la boîte de pralines que vous avez reçue de votre filleul est bien plus mauvais que reprendre une part de bûche, par exemple !

Soulignons tout de même que, si se priver drastiquement est contre-productif, manger pour le principe ou parce que Tata Yvette insiste n’est pas mieux.

3ème erreur pendant les fêtes : oublier les bonnes choses !

 Les bonnes choses ? C’est le chocolat et le saumon fumé, certes, mais aussi des choux de Bruxelles cuits à point, une salade croquante agrémentée de petits morceaux de fruits, des  endives braisées à la perfection, ou une mandarine toute fraîche au milieu de l’après-midi.

Il n’y a pas de raison qu’un repas festif soit synonyme de déséquilibre alimentaire complet. Pendant les fêtes de fin d’année, se faire plaisir passe aussi par les légumes ou les fruits !

4ème erreur pendant les fêtes : forcer sur la boisson

 La boisson est un double ennemi pour ceux et celles qui cherchent à maintenir une alimentation équilibrée pendant les fêtes :

  • Il contient énormément de calories.
  • Il est mauvais conseiller pour tous les choix, alimentaires ou autres !

Comment diminuer votre consommation d’alcool ? Buvez au moins un verre d’eau entre deux verres de vin ou autre alcool. Si vous recevez, soyez généreux avec l’eau, et présentez-la éventuellement en carafe, avec quelques rondelles de citron ou un brin de menthe, pour la rendre plus festive.

5ème erreur pendant les fêtes : rester scotché(e) au canapé

C’est vrai qu’il fait froid dehors, mais aller marcher une petite heure en compagnie de ses proches, avant de revenir pour boire ensemble une boisson chaude en commun, est un très grand plaisir.

 Ne vous en privez pas !

Article publié par Marion Garteiser, journaliste santé le 14/12/2011

4 novembre, 2011

Les vertus des herbes et fruits …

Classé dans : Culture Générale (21),PPS,Santé (166) — coukie24 @ 23:21

Cliquez sur l’image !

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7 octobre, 2011

Dépistage du cancer du sein : parlez-en aux femmes que vous aimez !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 19:29

Dépistage du cancer du sein : parlez-en aux femmes que vous aimez !

Tel est le slogan de la 7ème édition d’Octobre rose, la campagne d’information destinée à inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein.

Avec 53 000 nouveaux cas estimés en 2011 et 11 300 décès, le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes en France. Or lorsqu’il est « détecté à un stade précoce, la survie relative est supérieure à 90 % », rappelle la secrétaire d’Etat chargée de la Santé, Nora Berra lors de la présentation d’Octobre rose.

Cancer du sein : 1 femme sur 2 ne participe pas au dépistage organisé

En 2010, plus de 2,36 millions de femmes ont eu recours au programme de dépistage du cancer du sein, ce qui représente  certes 52 % de la population cible mais est un chiffre insuffisant. Le taux de participation qui avait progressé jusqu’en 2008 est en effet en régression en 2010. D’où l’importance de « relever le seuil », selon les termes de la secrétaire d’Etat.

Relever le seuil passe par une communication auprès des femmes concernées mais également auprès de leurs proches : « chacun a un rôle à jouer pour encourager les femmes qui lui sont chères à faire leur mammographie de dépistage » assure-t-elle.

Mobilisation générale contre le cancer du sein

Pour toucher le plus grand nombre, des spots TV seront diffusées sur France Télévisions. Journalistes et animateurs expliquent leur engagement dans cette cause et invitent les téléspectateurs à parler de celle-ci autour d’eux.

L’Institut national du cancer (INCa) propose aux internautes, via  son site Internet  www.e-cancer.fr et sa page Facebook, de participer à la « création du plus long ruban rose virtuel », symbole de la lutte contre le cancer du sein.

Du 3 au 28 octobre, l’Association pour la recherche contre le cancer (ARC) ouvre une plateforme d’échanges en ligne entre le grand public et les chercheurs : www.questions-chercheurs.com.

Quant à lInstitut Curie, il propose un chat le 13 octobre et des conférences-débats les différents mardis d’octobre. Au programme de ces conférences, des thèmes comme « Quand la maladie rend créative », « Le corps amazone », « La qualité de vie pendant et après un cancer », etc. Le programme est disponible sur le site de l’institut, www.cancersdusein.curie.fr/fr

Cancer du sein : le fonctionnement du dépistage organisé

En pratique, tous  les deux ans, les femmes de 50 à 74 ans reçoivent de la part de l’Assurance Maladie un courrier les invitant à se faire dépister chez un radiologue agréé, à choisir dans une liste jointe à la lettre. L’examen consiste en une mammographie et un examen clinique des seins, intégralement pris en charge par la Sécurité Sociale. La mammographie est ensuite systématiquement relue par un second radiologue expert.

En 2007, près de 9% des cancers du sein ont été détectés grâce à cette seconde lecture, qui n’existe que dans le cadre du programme de dépistage organisé.

Les hôpitaux proposent des échanges ou des informations sur le dépistage organisé. C’est le cas notamment des hôpitaux de Paris ou des hôpitaux d’Indre-et-Loire.

Article publié par Hopital.fr le 29/09/2011 – 17:18

Sources : Hopital.fr

20 septembre, 2011

Salades et rencontres amoureuses …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 12:18

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A New York, la salade, surtout quand elle est diététique, mène à tout, y compris au mariage ou en tout cas à la rencontre et au crac-crac.

En 2006, deux jeunes gens entreprenants ont ouvert dans cette ville un bar à salades, bio et sain évidemment. Ils ont tout de suite fait un carton et créé une petite chaine de six restaurants, appelés « Just salad ».

Les « Just salad » sont devenus très branchés, et connus comme lieu de drague car les client(e)s y flirtaient dans les files d’attente.

Ce qui a donné l’idée à ces jeunes gens de créer un site de rencontres, Salad Match.

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Pour y créer son profil, il faut répondre à des questions genre : « Quelle sorte de vinaigrette préférez-vous ? », « Quel type de pain ? », « Quels ingrédients ? », Dans quel restaurant Just Salad allez-vous le plus souvent ? ». Mais l’écologie n’est pas oublié car on doit dire quelles sont ses habitudes de recyclage.

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On télécharge sa photo et on clique sur « salad soul mates » pour trouver les âmes sœurs possible.

Nul doute qu’un site semblable de rencontres verra bientôt le jour en France ! 

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Article publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 16/09/2011 – 10:56

Ce billet fait partie du blog de Paule Neyrat, Le blog de Paule

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Nul doute que les couples ainsi formés auront les mêmes goûts culinaires, pas de déséquilibre de menus pour l’un des deux. Marrant, n’est-ce pas ?

« Vous vous êtes rencontrés comment ? Hum ! en attendant une salade ? … »   Fallait y penser …

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2 septembre, 2011

Le ventre, notre deuxième cerveau ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 17:00

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Le ventre est la zone la plus fragile et la plus génératrice de force de notre corps. Force de concentration, d’équilibre, d’influx nerveux et de muscles, c’est le hara en japonais ou chi en chinois. Nous venons du ventre maternel, nous retournons au ventre de la terre et nous enfantons enfants et projets. Comprenons la façon dont notre ventre pense et réagit avec l’aide de Martine Pehuet, gastro-entérologue.

Marine Pehuet, gastro-entérologue, nous dresse le portrait de notre ventre, une circonvolution d’intestins ressemblant étrangement aux arcanes de notre cerveau le remplit. Les intestins grêles et le côlon, l’estomac, le foie, la vésicule et le pancréas participent au processus de la digestion. « Le vécu du ventre est très particulier, il est inséparable de la tête et de ses pensées, émotions, sentiments, obsessions et soucis. Quand on a mal au ventre, c’est une manière de dire que quelque chose ne va pas ».

Le ventre, siège de notre tranquillité

Au-dessus des jambes, se trouvent le sacrum, le sexe et le ventre. Danseurs, yogis, cavaliers et gymnastes utilisent leur ventre pour tenir en équilibre.Centre de gravité physique, le ventre révèle aussi notre stabilité émotionnelle. Les abdominaux, véritables boucliers, protégent les viscères, mais une force plus subtile réside là. La maîtrise de nos peurs, de nos émotions fait du ventre le siège d’une force : la confiance en soi.Alors, le ventre, deuxième cerveau ? Le ventre reçoit au moment des repas les signaux du cerveau qui déclenchent la faim.
Si vous stressez et que vous vous adaptez immédiatement, le ventre réagit.
Colites nerveuses et gonflements du côlon, excès d’acidité gastrique lié à l’activité intense des glandes surrénales, vident votre ventre comme un lavabo, nouent l’estomac de contrariété, liquéfient vos selles en diarrhée.
Combien d’artistes incapables de manger avant d’entrer en scène, combien d’appétits coupés ou décuplés par la colère ou le dépit ?

Écouter son ventre et décrypter ses réactions

Voici les somatisations les plus fréquentes et leurs solutions.

- La colopathie est une affection touchant le côlon. Phénomène le plus courant, rien n’est visible lors des examens, cela se passe dans la tête et reste souvent un mystère pour les médecins. S’il n’y a rien d’organique, le gastro-entérologue effectue après 30 ans une fibroscopie.

- La colite nerveuse est le cas typique de la colopathie et des troubles fonctionnels intestinaux. Le médecin vous prescrira des médicaments diminuant la sensibilité viscérale au sens propre et figuré…

- La constipation, le bon sens populaire sait qu’on doit consommer des fibres, dans ce cas, des pruneaux, éventuellement des laxatifs sans en abuser. Si malgré toutes ces précautions votre constipation perdure, elle peut venir d’un sentiment d’insécurité. C’est la fameuse rétention anale de ceux qui s’angoissent à l’idée de « lâcher » prise, de l’argent, de céder en quelque sorte… En se retenant on se contrôle et on contrôle la situation.

- La diarrhée peut être purement mécanique suite à une ingestion d’une trop grande quantité de fruits crus par exemple. Sinon, votre diarrhée peut être causée par une forte anxiété, un stress important ou une émotion violente de joie ou de colère. Plus souvent de colère.

- Les gaz et les ballonnements. Martine Pehuet explique que « l’homme du 21e siècle s’est déshabitué des céréales complètes en cours au 19e. Beaucoup de gaz et de ballonnements sont dus à un retour aux pains aux multi-céréales ou au son. Notre estomac assimile les fibres différemment aujourd’hui ». Le charbon végétal absorbe bien les gaz, l’argile verte également.

- Les acidités gastriques et les brûlures d’estomac peuvent être la suite d’une gastro-entérite mal soignée, d’intestins fragilisés. Elles peuvent être sans raison apparente après examen, dues à une angoisse sourde. Si vous êtes sujet à ces symptômes, vous relierez très vite votre vie intérieure et ces acidités proportionnelles.

- L’ulcère de l’estomac est rare. L’ulcère, une plaie, touche plus souvent le bulbe, le début du duodénum de l’intestin grêle. On peut en avoir juste les symptômes. C’est une maladie infectieuse presque toujours due à une bactérie, soignée par un antibiotique et un anti-acide.

- La sensation de mal au foie. En réalité nous avons très rarement mal au foie. Cela peut être un état nauséeux dû au transport, en relation avec le sens de l’équilibre à l’intérieur des oreilles. Si vous êtes au calme chez vous ou au bureau, il s’agit d’un problème digestif qui indique que votre corps n’assimile plus certaines substances riches. C’est le cas le plus fréquent après les fêtes ou après un excès de table, le corps se régule et nous signifie que trop c’est trop. La diète hydrique et le bouillon de légumes nature sont alors le meilleur remède. Si vous n’avez pas fait d’excès, il se peut qu’une nouvelle anodine apparemment ne « passe » pas. Votre cerveau continue à fonctionner en pilote automatique mais le ventre a enregistré l’information et digère mal ce que le cerveau n’accepte pas.

Réguler son ventre en apprenant à respirer

Nous oublions tous de respirer comme les bébés. Par la respiration abdominale faisons bouger notre diaphragme. Yoga, arts martiaux, sophrologie, relaxation et méditation nous permettent d’apprendre à bien respirer.Les sports d’aérobic et les exercices de cardio-training soutenus, nous incitent à travailler notre respiration et à absorber le stress rapidement. – Contrôler son hara, sa force comme les Japonais. – Posture du hara : en méditation ou à cheval, assis au niveau de notre centre de gravité, nous sommes dans notre « assiette ». Claude Didier, professeur de shiatsu à la Fédération française de shiatsu traditionnel, nous apprend que « le ventre est traversé de bas en haut par le méridien, dit, le grand concepteur. « L’angoisse du créateur » qui conçoit avec des doutes ou l’angoisse de la future maman avant d’accoucher ne sont pas loin ». Une séance de shiatsu ou une séance d’acupuncture calme les émotions et relâche le stress. – Renforcer son chi, sa force à la chinoise. Le Dr Kunlin Zhang, docteur en médecine chinoise et professeur de Chi gong au centre Likan nous explique la symbolique du ventre en Chine. « Le ventre est comme une grande chaudière, lieu de transformation, il symbolise la récolte et la matérialisation. L’élément associé est la terre, la saveur reliée au ventre (rate, pancréas, intestins) est le doux, le sucré, et la saison est la fin de l’été. La pratique du chi gong normalise les fonctions intestinales et régule les émotions. Oui, le ventre est un autre cerveau. Bien stable, vous ferez preuve d’assurance et concrétiserez facilement vos projets ».

A lire « Et si ça venait du ventre ? » Pierre Pallardy, Éditions Robert Laffont.

Article publié par Pascale Athuil le 27/02/2006

13 août, 2011

Nourriture et émotions : c’est notre estomac qui parle !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 7:04

Nourriture et émotions : c'est notre estomac qui parle !

A quoi est due notre envie de glaces, de chocolat, de chips, bref de gras et de sucré ? Est-ce seulement lié aux émotions que le goût de ces aliments nous inspirent ? Une étude belge montre que les choses sont un petit peu plus compliquées que cela…

  • L’impact des nourritures grasses sur nos émotions
  • Mieux comprendre les relations entre graisse et émotions

L’impact des nourritures grasses sur nos émotions

Pour étudier l’impact des aliments gras sur notre cerveau, des volontaires ont été branchés à des sondes contenant soit une simple solution saline, soit une solution avec des acides gras. En même temps, les participants écoutaient soit une musique triste, soit une musique neutre. Ils pouvaient aussi voir des visages exprimant les mêmes émotions. Conclusion : les personnes qui avaient reçu des acides gras, étaient moins sensibles aux effets d’une musique triste. Ce résultat était confirmé par un questionnaire (humeur ressentie), mais aussi par une IRM fonctionnelle du cerveau (activité des différentes zones associées à la tristesse).

Alors, j’ai raison de me jeter sur du chocolat quand je déprime ?

Raison ou pas, disons en tout cas que ce n’est pas seulement une question de gourmandise : la graisse qui atteint notre système digestif améliore notre humeur, même quand elle ne passe pas par les papilles. Notre système digestif communique directement avec notre cerveau.

Mieux comprendre les relations entre graisse et émotions

L’épidémie d’obésité est aujourd’hui planétaire et touche particulièrement les enfants. Quant aux troubles du comportement alimentaire (boulimie, anorexie), ils sont eux aussi de plus en plus fréquents et de plus en plus répandus. Il est donc important de mieux comprendre les relations entre ce que nous mangeons et nos émotions.

Article publié par Marion Garteiser, journaliste santé le 02/08/2011 – 17:39

Sources : Van Oudenhove, L., J Clin Invest. doi:10.1172/JCI46380.

12 août, 2011

Rétention et jambes lourdes. Faut-il boire ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 18:40

Rétention et jambes lourdes. Faut-il boire ?

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Dans l’inconscient collectif, boire permet d’éliminer, l’eau et les déchets issus des graisses brûlées.

C’est souvent vrai… sauf si vous retenez l’eau ou que vos jambes sont lourdes, ou plus encore, si vous conjuguez les deux. Dans ce cas, trop boire majore votre rétention.

L’eau infiltre vos jambes et la balance risque, quel que soit le régime, d’afficher une prise de poids. Pour ceux qui font un régime et qui font de la rétention , quand il fait très chaud, tenez-vous en à un litre d’eau très fraîche et peu minéralisée. Mangez aussi peu salé que possible. Mettez des bas de contention pour marcher « à la fraîche ». Demandez à votre pharmacien un veino-tonique et un draineur végétal. Le soir, douchez vos jambes à l’eau froide et étendez-les à la verticale, p ieds au mur. Dans ces conditions, le régime reprend ses droits et le poids fléchit.

Pierre Dukan, nutritionniste

Rétention et jambes lourdes. Faut-il boire ? dans Santé (166) signature_right

4 août, 2011

Zoom sur la réflexologie plantaire

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 12:22

Zoom sur la réflexologie plantaire

La réflexologie plantaire consiste à stimuler au niveau des pieds des zones dites « réflexes ». En massant ou en exerçant des pressions, la réflexologie agit sur le corps et le psychisme. Selon les zones manipulées, on peut agir plus particulièrement sur certains organes. On peut ainsi soulager ou traiter certains troubles, d’où le terme de réflexothérapie

La réflexologie, comment ça marche ?

La réflexologie part du principe que les organes et les fonctions se projettent sur certaines zones du corps. Ainsi, les orteils correspondent à la tête et au crâne, le talon à la région du petit bassin, le bord interne du pied à la colonne vertébrale et le bord externe aux membres.

Il existe différentes hypothèses pour expliquer les effets de ces massages réflexes. La réflexologie pourrait agir en levant les obstacles à la libre circulation des énergies, en stimulant le système nerveux ou lymphatique, en libérant des endorphines (hormones antidouleurs et euphorisantes), en stimulant certains nerfs ayant une action antidouleur, en détruisant des dépôts d’acide urique à l’origine de douleurs et qui bloquent les flux énergétiques.

Quelles sont les indications de la réflexologie plantaire ?

Les indications sont multiples et très variées. La réflexologie plantaire peut aider à soulager les maux du quotidien : cervicalgie, mal de dos, maux de tête, sinusite chronique, syndrome prémenstruel, stress, etc.

La réflexologie aide également les personnes atteintes d’une maladie chronique à améliorer leur qualité de vie : diabète, cancer, sclérose en plaques…

Elle est aussi utilisée dans le cadre des soins palliatifs.

Enfin, la réflexologie est employée en médecine du sport.  

La réflexologie en pratique

Après un interrogatoire complet, le réflexologue commence par un examen minutieux des deux pieds afin de détecter une éventuelle affection locale (cal, cor, verrue, infection…).

Il explore ensuite les pieds en massant chaque zone (plantes, bords, cou-de-pied) à la recherche de zones à traiter.

Il procède enfin au traitement global de ces zones en exerçant des pressions avec le pouce ou en malaxant la voûte plantaire avec le plat du poing. Il traite un pied puis l’autre.

Si parfois une séance suffit, il est généralement conseillé de consolider le résultat par une ou deux séances supplémentaires. Mais en moyenne, le traitement comprend plutôt entre 6 et 8 séances.

Attention, en l’absence de résultats au bout de 3 séances, inutile de continuer !

Précautions

Il est recommandé de consulter son médecin au préalable afin d’exclure toute maladie grave.

Par ailleurs, sachez que la réflexologie est contre-indiquée en cas de phlébite récente, d’arthrite aiguë du pied ou de fracture récente du pied. Sans être forcément contre-indiquée, la pertinence de la réflexologie est à discuter en cas d’arthrose ou de douleurs.

Sources : Secrets des médecins alternatives, Editions Sélection Reader’s Digest, 2009

15 juillet, 2011

Coup de soleil : réagir immédiatement !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:03

réagir immédiatement !

Le soleil est bénéfique pour l’humeur et les os. Mais de petites doses suffisent. Toute exposition excessive se révèle néfaste pour les cellules de la peau. Malgré toutes les précautions, un coup de soleil reste possible.

On ne cesse de le répéter, les coups de soleil, notamment durant l’enfance, majorent le risque de cancer cutané. Il faut donc tout mettre en oeuvre pour les éviter.

  • Application régulière, et en quantité suffisante, d’une crème solaire d’indice élevée et adaptée à votre type de peau.
  • Nouvelle application après une baignade ou une forte transpiration. Attention également aux frottements avec la serviette.
  • Grande prudence les premiers jours de vacances, votre peau n’est pas encore habituée au soleil.
  • Les sujets à peau claire, en particulier les roux, sont particulièrement à risque.
  • N’oubliez pas que les nuages laissent passer quantité de rayonnements solaires, et le parasol aussi.
  • Pas d’exposition entre 12 et 16 heures, et surtout pas les enfants.
  • Jamais de nourrisson au soleil !
  • Pas de femme enceinte au soleil : risque de masque de grossesse.
  • Certains médicaments favorisent les brûlures (photosensibilisation). Alors lisez bien les notices.
  • De même pour certains parfums et cosmétiques. Evitez d’en mettre avant de vous exposer au soleil.

Trois degrés de gravité

Le banal coup de soleil se traduit par l’apparition progressive de plaques rouge vif, maximales en 12 à 24 heures. Celles-ci peuvent durer de 3 à 5 jours. L’atteinte est limitée aux couches superficielles de l’épiderme.

  • La brûlure du 1er degré est très douloureuse. Elle se manifeste par des plaques rouges, sur lesquelles des cloques peuvent se former. Ces dernières sont de tailles variables et peuvent se regrouper.
  • Le coup de soleil du 2e degré est à l’origine d’une douleur intense et durable. La réparation cutanée est longue. Mais en cas de coup de soleil sévère ou étendu, des maux de tête, des frissons et de la fièvre sont des symptômes fréquents.

L’allergie solaire

Un autre phénomène à ne pas confondre avec un coup de soleil est l’allergie solaire ou lucite estivale. La réaction apparaît de façon brutale et retardée, environ 18 à 24 heures après l’exposition. Comme le coup de soleil, la peau devient rouge, mais les plaques sont parsemées de petits boutons. Elles sont à l’origine de démangeaisons et non d’une sensation de brûlure. Ce type de réaction atteint préférentiellement le décolleté et les bras, et épargne souvent le visage. Un inconvénient supplémentaire de l’allergie solaire est qu’elle tend à récidiver chaque année lors des premières expositions.

Réagir immédiatement

Dès les premières sensations de cuisson, il faut réagir afin de limiter les dommages cutanés et se réhydrater en buvant abondamment de l’eau. Pour la peau, l’idéal est de la rafraîchir au plus vite sous une douche prolongée. Après un séchage délicat, l’hydratation cutanée est essentielle : lait après-soleil ou lait corporel en cas de coup de soleil banal, sinon recourir à une crème spéciale contre les brûlures et les coups de soleil. En cas de frissons, de fièvre ou de maladie, consultez un médecin. Les jours suivants, il est nécessaire d’éviter toute exposition au soleil. Rester à l’abri d’un parasol n’est pas toujours suffisant. L’idéal est alors de se protéger avec des vêtements.

A savoir

Si le coup de soleil semble disproportionné par rapport à l’intensité de l’exposition ou si des démangeaisons apparaissent, il faut se poser la question d’une éventuelle photosensibilisation : médicaments, parfums, cosmétiques

Article publié par Isabelle Eustache le 16/08/2005 – 02:00
Mis à jour par Isabelle Eustache le 15/07/2011 – 09:28

11 juillet, 2011

Voyage : astuces pour relancer votre transit intestinal

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 12:36

astuces pour relancer votre transit intestinal

Un rien suffit à perturber le transit intestinal. Un simple voyage par exemple. Pas facile ensuite de s’exposer sur la plage avec un ventre plat ! Voici quelques astuces pour relancer votre transit intestinal.

Première consigne, faites une large place aux fibres alimentaires et mettez au menu des céréales complètes, du pain complet, des légumes cuits, des fruits frais ou en compotes. Côté légumes, pensez notamment aux salsifis, aux topinambours et aux artichauts, connus pour favoriser le transit.
Limitez les viandes, les sources de sucres et l’alcool.
Buvez beaucoup d’eau, et évitez tous les sodas.
C’est aussi le moment idéal pour vous mettre aux pruneaux et au jus de pruneaux. Son effet laxatif est imparable pour lutter contre la constipation.
Les graines de lin sont aussi intéressantes, à condition de prendre le temps de les faire tremper dans un liquide (eau ou lait par exemple). Elles peuvent ensuite être consommées ajoutées dans un yaourt ou une compote. Avantage supplémentaire, elles sont riches en oméga-3 !
Les tisanes évidemment sont à consommer sans modération : réglisse, radis noir, rhubarbe, guimauve… Elles auront aussi l’avantage de vous faire boire davantage, à moins de préférer les produits phytothérapiques spécial transit que l’on peut trouver en pharmacie ou dans des magasins bio.
Enfin, plus original, vous pouvez tester l’agar-agar, une algue marine particulièrement riche en fibres solubles, ou simplement le pollen de fleurs.
Enfin, le transit intestinal est également régulé par l’activité physique. Alors bougez, nagez, faites du sport sans modération !

Article publié par Isabelle Eustache le 04/08/2010 – 02:00
Mis à jour par Isabelle Eustache le 09/08/2010 – 02:00

Sources : Bien-être intestinal, recettes naturelles, Véronique Liégois, La Plage Editeur.

15 juin, 2011

Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 11:17

Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ?

Contre le vieillissement de l’organisme, il existe des plantes, des aliments et des épices qui ont de grandes propriétés antioxydantes. Quels sont les plus antioxydants ?

Les aliments et les plantes peuvent agir de deux façons. Ils sont eux-mêmes riches en antioxydants ou bien ils aident notre propre système antioxydant interne. Rappelons que les antioxydants sont des molécules qui, apportées par notre alimentation, sont également produites par l’organisme. Elles aident à lutter contre les radicaux libres, des molécules qui accélèrent le vieillissement. Les mettre régulièrement au menu est une excellente façon de lutter contre le vieillissement.

Les trois plantes les plus antioxydantes

Thé
Ginkgo biloda
Ginseng

Les aliments les plus antioxydants

Pruneau, prune
Raisin sec, raisin noir
Myrtille, mûre, framboise, fraise, cerise
Kiwi
Pamplemousse rose
Ail
Chou frisé, chou de Bruxelles
Épinard
Brocoli
Betterave
Poivron rouge
Oignon

Les épices les plus antioxydantes

Gingembre
Curcuma
Poivre noir
Muscade
Vanille

Précisons que ces aliments, épices et plantes, aussi bénéfiques soient-ils, doivent accompagner une alimentation variée et équilibrée. Pas question de manger à l’excès des pruneaux et des épinards, et de négliger les autres aliments.

Article publié par Isabelle Eustache le 20/08/2007 – 02:00
Mis à jour par Isabelle Eustache le 26/10/2010 – 09:20

Sources : Sources : Isabelle Delaleu, Anne Dufour et Muriel Gaudin, « 100 réflexes pour rajeunir en beauté », éditions Leduc.

8 mai, 2011

4 erreurs à cumuler pour mourir jeune !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 9:49

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Certaines mauvaises habitudes peuvent vous coûter jusqu’à 12 années de vie. Des chercheurs ont réussi à calculer le nombre d’années perdues résultant du cumul de 4 défauts. Autrement dit, nous savons quelles sont les 4 erreurs à ne pas cumuler pour augmenter notre longévité d’une bonne dizaine d’années…

Les comportements à éviter

L’expérience a été longue, très longue, mais le protocole extrêmement simple.

5.000 Britanniques âgés de plus de 18 ans ont été recrutés à partir de 1984 et suivis durant 20 ans.

Un score de santé de 0 à 4 a été attribué à chaque candidat selon le schéma suivant :

- 1 point en cas de tabagisme.

- 1 point en cas de consommation excessive d’alcool (plus de 14 verres par semaine pour les femmes et plus de 21 pour les hommes).

- 1 point pour une alimentation insuffisante en fruits et légumes (moins de 3 portions de fruits et légumes par jour).

- 1 point en cas de sédentarité (moins de 2 heures d’activité physique par semaine).

La courbe de mortalité a ensuite été établie puis mise en relation avec le score de santé.

Au total, 1.080 participants sont décédés, 430 de maladies cardiovasculaires, 320 de cancers et 330 d’autres causes.

Par rapport aux personnes qui n’ont adopté aucune des 4 mauvaises habitudes citées ci-dessus (score de santé : 0 point), le risque de mortalité sur 20 ans est augmenté de :

+ 85% avec un score de 1 point.

+ 123% avec 2 points.

+ 176% avec 3 points.

+ 249% avec 4 points.

Après un savant calcul, les chercheurs en arrivent à la conclusion que les personnes qui cumulent les 4 mauvaises habitudes perdent 12 années de vie.

Alors comment mettre toutes les chances de mon côté pour un vieillissement réussi et gagner 12 années de vie en forme ?


J’arrête de fumer, je limite ma consommation d’alcool, je mange des fruits et des légumes à tous les repas, et je me bouge tous les jours.

Plus vous vous rapprocherez de ces 4 comportements bénéfiques pour votre santé, plus vous augmenterez votre durée de vie.

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Isabelle Eustache
10/05/2010

22 avril, 2011

La beauté intérieure, ça compte vraiment !

Classé dans : Psychologie (72),Santé (166) — coukie24 @ 13:47

La beauté intérieure, ça compte vraiment !

C’est même scientifiquement démontré: les personnes dont nous pensons qu’elles ont une personnalité désagréable ont tendance à nous paraître moins belles ou attirantes physiquement. Une leçon à méditer en ces temps de chirurgie esthétique…

Ce qui compte, c’est la beauté intérieure ?

« Ce qui compte, c’est la beauté intérieure ». Qui n’a pas déjà entendu ce cliché… Et qui ne s’est jamais dit, justement, que c’était un cliché sans réel fondement ? Une étude américaine vient pourtant nous prouver que les gens qui ont une « belle » personnalité nous paraissent plus beaux que les autres.

Avant/après

Les participants à cette étude, étudiants d’une université des Etats-Unis, ont été chargés de regarder des photographies de personnes du sexe opposé, et de leur donner une note selon l’attirance qu’ils éprouvaient. La première fois, cette note dépendait uniquement de l’apparence physique. Mais après avoir fait quelques exercices pour effacer au maximum les visages de leur esprit, les étudiants ont dû refaire le même exercice… avec une petite différence.

Quand on en sait plus sur la personnalité des gens

La deuxième fois, les visages étaient les mêmes mais des informations étaient données aux étudiants sur les personnalités attachées à chaque visage. Certaines personnes étaient décrites comme généreuses, gentilles, drôles, intelligentes ou autres, tandis que d’autres héritaient d’une personnalité agressive, instable, cruelle, injuste, ou malpolie. Pour une troisième série de visages, la personnalité restait un mystère. En écoutant ces informations, les étudiants devaient à nouveau noter les visages, selon leur attractivité mais aussi le fait qu’ils étaient désirables comme amis ou comme amoureux.

Les opinions se modifient

Le résultat de l’étude : le fait d’avoir une information sur la personnalité de quelqu’un modifie ce que nous pensons de son apparence. On pouvait s’attendre, en toute logique, à ce que les éléments de personnalité aient un impact sur l’envie que les étudiants avaient d’être amis avec la personne montrée. Mais les résultats de l’étude montrent bien que c’est la perception de la beauté physique qui est modifiée ! Les personnes qui n’étaient pas jugées très attirantes au début pouvaient gagner des places si leur personnalité était décrite comme positive. Et à l’inverse, les prix de beauté avec de gros défauts perdaient du terrain.

Si vous avez envie d’améliorer votre apparence, considérez donc la possibilité de travailler votre personnalité au moins autant que votre physique….

Article publié par Marion Garteiser, journaliste santé le 16/02/2011 – 16:40

Sources : Personality goes a long way: the malleability of opposite-sex physical attractiveness. Gary W. Lewandowski Jr, Arthur Aron, Julie Gee. Personal relationships, Vol. 14, Issue 4, Dec.2007. Webmd.co

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Certaines paroles ou images que nous recevons sur Internet nous touchent parfois vraiment. Récemment, pour moi, il s’agissait de phrases d’Audrey Hepburn et de photos de son visage – de sa jeunesse éclatante au rayonnement de ses années de femme mûre. Enfant, elle avait failli mourir de faim dans les Pays-Bas dévastés de l’après-guerre et avait été sauvée grâce à l’aide aux réfugiés des Nations unies. A la fin de sa vie, à la question : « Quels sont vos secrets de beauté ? », elle répondait avec grâce : « Pour avoir de beaux yeux, cherchez des personnes généreuses » ; « Pour avoir une silhouette fine, partagez votre repas avec quelqu’un qui a faim » ; « Pour avoir de beaux cheveux, laissez un enfant y passer ses doigts » ; « Les gens, encore plus que les choses, ont besoin d’être rétablis, ravivés, récupérés et pardonnés ; ne rejetez jamais quelqu’un » ; « La beauté d’une femme n’est pas l’esthétique de son visage mais se reflète dans son âme.

Evocation de David Servan-Schreiber,

David Servan-Schreiber est psychiatre. Auteur de Guérir (Pocket, 2005) et d’Anticancer (Robert Laffont, 2007), il a fondé et dirigé un centre de médecine intégrative à l’université de Pittsburgh, aux États-Unis.

4 avril, 2011

Ventre gonflé : quand ça ballonne…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 11:54

Ventre gonflé : quand ça ballonne...

Avoir le ventre gonflé après un repas est une sensation très désagréable et encore plus lorsque l’accumulation de gaz dans les intestins donne lieu à des émissions… peu appréciées.

Vous avez des ballonnements ? Le ventre gonflé ?

En cause ? La nervosité, le stress, des repas trop vite avalés mais aussi l’absorption d’aliments propices à la fermentation et qui libèrent des gaz en quantité abondante. C’est le cas notamment des hydrates de carbone (pâtes, céréales) riches en sucre et en amidon, des légumes secs, du chou, du poivron et les crudités en général. Par ailleurs, chaque déglutition s’accompagne d’ingestion d’une certaine quantité d’air. Rien de plus normal. Mais lorsque celle-ci est excessive, notamment chez les adeptes du « fast-food » qui oublient de mastiquer, l’estomac se dilate anormalement et provoque une sensation de lourdeur.

Ventre et ballonnements : astuces anti-gonflette

Si vous êtes particulièrement sensible aux ballonnements, le mieux évidemment est de réduire ou de supprimer les aliments susceptibles de les provoquer. Évidemment, pas question de se priver de légumes, mais vous pouvez limiter les crudités et privilégier les légumes cuits. Dans tous les cas, évitez les fritures et autres plats très gras, et les épices. Mangez dans le calme, à petites bouchées et ne parlez pas la bouche pleine. Question d’éducation mais surtout de physiologie : il s’agit d’éviter de brasser de l’air. Enfin, pour éviter d’avoir un ventre à géométrie variable, buvez beaucoup d’eau, de préférence en dehors des repas, mais évitez les boissons gazeuses et l’alcool, et ne mâchez pas de chewing-gum.

Si ces conseils ne suffisent pas, vous pouvez avoir recours à des granulés de charbon afin d’absorber l’air en excès.

Autre solution : vous refaire une flore intestinale en mangeant des yaourts et autres produits laitiers fermentés. On trouve également ces ferments lactiques sous forme de compléments alimentaires.

Par ailleurs, des tisanes à base de basilic, de cumin, de fenouil (vous pouvez croquer quelques graines à la fin du repas) peuvent également avoir un effet bénéfique.

Article publié par Genovefa Etienne, journaliste santé le 14/10/2005 – 01:00
Mis à jour par
Isabelle Eustache le 08/03/2011 – 15:22

29 mars, 2011

L’eau : faut-il vraiment en boire un litre ½ par jour ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 11:33

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Nous avons toujours besoin de beaucoup d’eau quelle que soit la saison. Mais l’eau ne se trouve pas seulement dans les boissons. Alors, quelle quantité d’eau faut-il vraiment boire ?

Boire un litre et demi d’eau ?

Le dogme du litre et même du litre et demi d’eau quotidienne est bien ancré dans nos têtes grâce aux multiples campagnes de toutes sortes serinées depuis des dizaines d’années. D’ailleurs, la majorité des bouteilles d’eau en contient 1 litre ½ , ce qui est censé être notre ration quotidienne.

Ce grand principe a été remis en question l’an dernier dans une étude publiée par des chercheurs américains de l’Université de Pennsylvanie et qui fit grand bruit. Ils affirmaient en effet que boire une bouteille d’eau ne servait à rien et en tout cas pas à mieux éliminer les toxines. Quelle que soit la quantité d’eau absorbée, celles-ci étaient de toutes façons virées par les reins.

Il leur fut répliqué alors, via d’habiles campagnes publicitaires des marchands d’eau en bouteilles, que le litre et demi d’eau quotidien était bel et bien nécessaire. Personne ne prit la peine de rappeler cette évidence : les besoins en eau sont variables d’une personne à l’autre, selon ses dépenses énergétiques, son alimentation et les saisons.

Besoins en eau : 1 ml par calorie

Nous avons besoin de 1 ml d’eau pour chaque calorie que nous dépensons. Lorsque nos dépenses énergétiques sont de 2000 calories (moyenne féminine), c’est 2 litres d’eau qui nous sont nécessaires. Lorsqu’il s’élèvent à 2500 calories (moyenne masculine), il faut alors 2,5 litres d’eau. Mais il n’est pas nécessaire pour autant d’en boire 2 ou 2,5 litres car nous mangeons de l’eau à chaque repas.

Tous les aliments contiennent de l’eau

Tous les aliments, sauf le sucre et l’huile, contiennent de l’eau. Les fruits et les légumes en sont les plus riches : 90 % en moyenne.

Quand nous mangeons les bonnes quantités de fruits (300 g) et de légumes (500 g) quotidiennes, voilà déjà bien plus d’un demi-litre d’eau (700 g environ) engrangé. Et lorsqu’une partie des légumes est transformé en soupe, cela fait encore plus d’eau !
Il y a aussi de l’eau dans tous les produits laitiers (50 à 85 %), dans les viandes et les poissons (60 à 80%), dans les pâtes, le riz et les autres céréales (on les cuit dans de l’eau qu’ils absorbent !).

Tout cela fait que nous arrivons largement à manger plus d’un litre d’eau chaque jour. Sauf si l’on fait l’impasse sur les fruits et les légumes (ce qui est très mauvais pour la santé !), on peut estimer que nous mangeons 1,5 litre d’eau chaque jour. Quand les besoins en eau sont de 2 litres, cela ne fait plus qu’un demi-litre à boire !
Et quand on ajoute à cela le bol (25 cl en moyenne) de lait ou de café ou de thé du matin, les autres thés ou cafés dans la journée, il ne nous reste même pas un quart de litre d’eau pure à ingurgiter ! Si par malheur nous sommes consommateurs de boissons sucrées, alors on n’a plus du tout besoin d’eau pure, mais nous fichons en l’air – faut-il le rappeler ? – notre équilibre alimentaire.

Chaleur, climatisation et sel augment les besoins en eau

En hiver, nous vivons souvent dans une atmosphère surchauffée. Nous sommes très couverts. Tout cela nous fait insidieusement transpirer et augmente donc nos besoins en eau. Il est donc nécessaire de boire plus et de préférence de l’eau pure car si nous nous désaltérons avec des cafés et des thés, nous majorons notre dose de caféine, et ce n’est pas vraiment bénéfique pour notre système nerveux. En plus, la caféine suscite une rapide envie de pipi, ce qui induit alors un cercle vicieux qui peut devenir déshydratant.

Sel et eau sont liés dans notre organisme. Lorsque l’on mange quelque chose de très salé, le besoin en eau se fait assez vite sentir dans les heures suivantes tout simplement par la soif qui donne alors envie d’un bon grand verre d’eau bien désaltérant !

Selon les jours, les circonstances climatiques, l’alimentation, les besoins en eau pure sont finalement très variables.

Article publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 08/02/2010 – 01:00

 

18 janvier, 2011

Pourquoi certaines femmes ont-elles un gros ventre ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 14:04

Pourquoi certaines femmes ont-elles un gros ventre ?

Pourquoi certaines femmes ont-elles un gros ventre ? ... dans Santé (166) ventre

Un petit ventre bien plat, nous en rêvons toutes ! Hélas, ce n’est pas donné à tout le monde et le risque d’avoir un gros ventre augmente avec l’âge. Au minimum, trouvons l’explication et concentrons-nous sur les solutions adaptées.

  • Gros ventre : et si c’était un coup de la génétique ?
  • Gros ventre, attention à la ménopause !
  • La constipation augmente le risque d’avoir un gros ventre
  • La sédentarité donne du ventre

Gros ventre : et si c’était un coup de la génétique ?

Il existe deux types de morphologie, gynoïde et androïde. La première est typiquement féminine : les cellules graisseuses ont tendance à s’accumuler au niveau des jambes, des cuisses et des fesses. Le type androïde est inversement masculin, avec pour localisation préférentielle le ventre. Entre les deux, tout est possible. Autrement dit les femmes ont une morphologie plus ou moins gynoïde, dictée par leur hérédité. C’est ainsi que certaines femmes ont tendance à prendre du ventre alors que d’autres non.

Gros ventre, attention à la ménopause !

Avec l’arrêt de la sécrétion hormonale au moment de la ménopause, la morphologie des femmes se modifie, passant d’une silhouette gynoïde à androïde. Autrement dit, la répartition des graisses se modifie, passant des cuisses au ventre. C’est ainsi que les femmes ménopausées qui prennent un peu de rondeurs grossissent plutôt du ventre, tandis qu’elles s’affinent des jambes.

Les femmes qui prennent un traitement hormonal substitutif de la ménopause conserveront une morphologie gynoïde. Mais les autres doivent faire attention, car prendre du ventre constitue un facteur de risque cardiovasculaire. Veillez à ne pas dépasser 88 cm de tour de taille (et 102 cm pour les hommes) !

La constipation augmente le risque d’avoir un gros ventre

La constipation est un trouble digestif très fréquent chez les femmes, qui accroît les risques de ballonnements et de gonflement du ventre. Donc pour garder un ventre plat, il est impératif de lutter contre la constipation.

Voici les bases :

Buvez beaucoup d’eau tout au long de la journée. En revanche, évitez les boissons gazeuses et l’alcool. Augmentez la part des fruits et légumes cuits riches en fibres (haricots verts, salades, prunes, pruneaux…), mais limitez les crudités. Évitez les aliments gras (viennoiseries, plats en sauce, fritures…). Évitez également les sucres rapides (sucreries, desserts, pain blanc) et privilégiez les sucres lents, idéalement les céréales complètes.

La sédentarité donne du ventre

Sans muscles abdominaux suffisants, le ventre n’est pas maintenu, pouvant donner une impression de gros ventre. Une seule solution, lutter contre la sédentarité et faire de l’exercice physique très régulièrement et toute sa vie. Selon son âge et ses possibilités physiques : marche, vélo, natation, gymnastique…

Sinon, à tout âge, il existe des exercices pour renforcer ses abdominaux. Une petite séance quotidienne de 10 minutes est très efficace !

Au final, rien n’est inéluctable. On peut lutter contre une tendance androgyne ne serait-ce qu’en faisant du sport et grâce à l’alimentation (lutte contre la constipation et la prise de poids, voire une petite diminution régulière de la quantité de calories ingérées puisqu’avec l’âge, les besoins caloriques diminuent progressivement !).

Article publié par Isabelle Eustache le 07/01/2011 – 12:08

Sources : Institut Moncey

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10 décembre, 2010

La luminothérapie, contre la dépression saisonnière

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 9:02

La luminothérapie, contre la dépression saisonnière

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Les petites dépressions saisonnières sont fréquentes et pas forcément signe de troubles importants. La baisse de moral est souvent liée au simple fait que votre organisme souffre de carence en soleil ! S’il est rarement possible de s’exiler six mois sous les Tropiques, il existe un moyen de combattre ces troubles passagers : la luminothérapie. Le point avec Gérard Pons, président de l’Association française de luminothérapie.

La luminothérapie, un coup de pouce au moral

La luminothérapie est une méthode qui utilise la lumière pour traiter des problèmes de déprime saisonnière liée au manque de soleil (l’organisme sécrète alors davantage de mélatonine, une substance somnifère qui rend donc apathique) ou au décalage horaire, car la lumière est différente. « Ces dépressions saisonnières, explique Gérard Pons, sont communément appelées SAD (Seasonal Affective Disorder) ou DHS (déprime saisonnière hivernale) ou encore TAS (Troubles affectifs saisonniers). Les symptômes du SAD sont entre autres la déprime, la dépression, l’impuissance, la diminution d’activité, la prise de poids, l’envie de sucreries, les maux de tête ou l’irritabilité. » La luminothérapie, pratiquée notamment chez le médecin, consiste donc à exposer le patient à une lumière qui restitue le déficit en soleil. L’organisme cesse alors de sécréter la mélatonine et le patient se sent moins las.

Un procédé nullement récent…

« Cela fait plus de 2000 ans que l’on connaît les effets de la lumière, poursuit Gérard Pons. Il suffit de se rappeler le culte voué au soleil par les Mayas ou les Aztèques. Plus récemment, au XIXe ou XXe siècle, on envoyait les gens riches en cure en Italie pour des bains de soleil ! » La luminothérapie en tant que telle n’existe cependant que depuis une quinzaine d’années. « C’est un éminent chercheur sud-africain, N. Rosenthal, qui a mis en évidence le symptôme de déprime saisonnière et en a cherché les remèdes », souligne Gérard Pons. Depuis, d’autres chercheurs, notamment américains, canadiens et scandinaves se sont penchés sur la question… pour mettre au point des lampes qui diffusent la lumière adéquate.

Mieux vaut prévenir que guérir

Avant que la mauvaise saison n’arrive, quelques séances de luminothérapie chez le médecin peuvent prévenir ces déprimes. « Evidemment, souligne Gérard Pons, les gens très sujets à la dépression saisonnière peuvent faire des rechutes. Il convient donc de refaire quelques séances ou d’équiper sa propre maison de lampes adéquates. » Une technique qui peut aussi se révéler très utile pour les personnes qui travaillent de nuit et ne voient pas la lumière du jour

Le conseil e-sante : choisissez un appareil qui émet dans les 10.000 Lux minimum.

En savoir plus

Centre européen d’information sur la luminothérapie, Pôle 2000, 07130 Saint-Péray, tél : 04 75 81 85 40 ; Site Internet : www.luminotherapy.com 

4 novembre, 2010

Les bienfaits de la chaleur …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 19:42

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Les bienfaits de la chaleur

La chaleur est bénéfique, car en dilatant les vaisseaux sanguins, elle favorise la circulation sanguine et donc le transport de l’oxygène et des substances nutritives dans les cellules musculaires. De même, les toxines naturellement produites par les muscles sont plus facilement évacuées. Mais surtout, « la chaleur décontracte les muscles et procure un mieux-être ». Comme les douleurs musculaires sont généralement dues au stress et au travail statique et répétitif, elles s’en trouvent soulagées. Ensuite, il est conseillé d’amplifier cet effet de la chaleur par un massage.

Comment appliquer la chaleur ?

On peut tout simplement utiliser chez soi son sèche-cheveux ou se procurer en pharmacie un appareil de massage utilisant les infra-rouges. Ou encore, appliquer des poches ou patch spéciaux diffusant de la chaleur pendant une huitaine d’heures.

Où appliquer la chaleur ?

Dans le bas du dos et sur toutes douleurs localisées dans le triangle du dos : épaules, nuque et vertèbres. Toutefois, la chaleur soulagera aussi efficacement d’autres douleurs comme les crampes ou les courbatures.

Mais alors quand faut-il recourir à la glace ?

Sur une inflammation (aspect gonflé et enflammé, c’est-à-dire rouge et chaud), comme c’est le cas d’une entorse ou d’une tendinite. Toutefois attention, les douleurs qui deviennent chroniques doivent être apaisées par de la chaleur. C’est le cas par exemple d’une tendinite se transformant en tennis-elbow. A savoir aussi que si une personne applique de la glace sur son torticolis par exemple, et qu’elle grelotte, c’est que la chaleur lui serait préférable.

A lire

« Rhumatismes, un mal de saison ? », Jacqueline Tarkiel, Editions Delville Santé.

Article publié par Isabelle Eustache le 26/04/2005 02:00
Mis à jour par Isabelle Eustache le 02/11/2010 15:38

Sources :  » Rhumatismes, un mal de saison ? « , Jacqueline Tarkiel, éditions Delville Santé.

21 octobre, 2010

Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 14:19

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Contre le vieillissement de l’organisme, il existe des plantes, des aliments et des épices qui ont de grandes propriétés antioxydantes. Quels sont les plus antioxydants ?

Les aliments et les plantes peuvent agir de deux façons. Ils sont eux-mêmes riches en antioxydants ou bien ils aident notre propre système antioxydant interne. Rappelons que les antioxydants sont des molécules qui, apportées par notre alimentation, sont également produites par l’organisme. Elles aident à lutter contre les radicaux libres, des molécules qui accélèrent le vieillissement. Les mettre régulièrement au menu est une excellente façon de lutter contre le vieillissement.

Les trois plantes les plus antioxydantes

Thé
Ginkgo biloda
Ginseng

Les aliments les plus antioxydants

Pruneau, prune
Raisin sec, raisin noir
Myrtille, mûre, framboise, fraise, cerise
Kiwi
Pamplemousse rose
Ail
Chou frisé, chou de Bruxelles
Épinard
Brocoli
Betterave
Poivron rouge
Oignon

Les épices les plus antioxydantes

Gingembre
Curcuma
Poivre noir
Muscade
Vanille

Précisons que ces aliments, épices et plantes, aussi bénéfiques soient-ils, doivent accompagner une alimentation variée et équilibrée. Pas question de manger à l’excès des pruneaux et des épinards, et de négliger les autres aliments.

Article publié par Isabelle Eustache le 20/08/2007 02:00
Mis à jour par Isabelle Eustache le 21/10/2010 14:57

Sources : Sources : Isabelle Delaleu, Anne Dufour et Muriel Gaudin, « 100 réflexes pour rajeunir en beauté », éditions Leduc.

1 octobre, 2010

Conseils pratiques pour prévenir la déprime…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 11:42

Conseils pratiques pour prévenir la déprime... dans Santé (166) 4369

En France, une personne sur 5 connaît un jour un épisode dépressif. C’est beaucoup. Mais sans être dépressif, tout le monde peut passer par des moments de déprime, où le moral baisse dangereusement. Si nous ne nous laissons pas tous couler, c’est que, sans en avoir parfois conscience, nous mettons en place des stratégies de prévention.

Comment prévenir la déprime ?

Pour prévenir une déprime, il y a d’abord les attitudes à éviter…
Les stimulants sont néfastes : fumer une cigarette, boire un verre, manger une barre de sucreries, peut sembler donner un coup de pouce. Et c’est bien le cas, mais de manière très fugace. Quelques heures plus tard, la baisse de moral revient, bien plus basse qu’elle ne le serait si l’on n’avait pas usé de stimulant artificiel. Au total, les drogues, les excitants, loin d’aider à remonter la pente, vous entraînent encore plus bas.

Contre la déprimer il y a des attitudes à favoriser :

Augmentez votre dépense physique. Si vous avez le blues, difficile de vous conseiller une heure de footing par jour. Mais sachez que même un tout petit exercice sera extrêmement bénéfique. Allez par exemple marcher 10 minutes. C’est très peu, mais déjà positif… même si vous le faites à l’intérieur, chez vous ! Vous en ressentirez les bienfaits pendant au moins deux heures. Prenez l’air. Ne restez pas enfermé, allez vous asseoir sur un banc dans un jardin public, jardinez, marchez ou même ouvrez la fenêtre et prenez l’air. Vous gagnerez en lumière, en oxygène, et ça fera du bien à votre moral.
Donc, l’idéal est de marcher dehors, dans un endroit où vous êtes entouré de nature !

Prenez soin de vous. Toilette, maquillage, parfum, douche, vêtements seyants, chouchoutez-vous. Cela paraît être de toutes petites choses. Et pourtant, la manière dont vous traitez votre corps est à l’image de la valeur que vous lui donnez. Il est très précieux et mérite le meilleur. Plus vous en prendrez soin, plus il aura de valeur positive à vos yeux. Pensez à vous offrir un gel douche délicieusement parfumé, une brosse à dents neuve, une nouvelle lime à ongles…

Respirez avec une grande amplitude. C’est un exercice minimal de relaxation à faire au moins une dizaine de fois par jour. Cela détend, apaise. Et cela ne vous prend guère de temps !

Donnez-vous du temps de contact agréable. Souriez à la caissière, remerciez la personne qui vous a tenu la porte, téléphonez à des amis, rencontrez vos proches, rendez-leur service ou demandez-leur un service… Chaque contact humain positif vous fait du bien au moral. Alors, cultivez-les volontairement.

Organisez l’espace autour de vous. Votre environnement doit être plaisant pour vous aider à aller vers des idées et une vie plaisante. Offrez-vous une plante, de jolies bougies, un tableau ou faites pousser un bulbe de tulipe, changez un peu l’ordonnance des meubles, choisissez une couleur gaie pour votre housse de couette, vos oreillers…

Contre la déprime : faites-vous du bien

Et puis, pensez à tout ce qui vous fait du bien à vous personnellement qui n’est peut-être pas superposable à quelqu’un d’autre. Une balade en forêt, un bon film au cinéclub, un roman policier, un spectacle comique, une visite au musée d’art moderne, un délire entre amis, faire les magasins, bricoler, jardiner, etc. Au total, avant de penser aux grands changements pour vous sentir mieux, commencez par les tout petits pas. Ils vous permettront d’en faire de plus grands ensuite.

Article publié par Dr Catherine Solano – médecin sexologue le 08/01/2007

Comment (bien) se couper l’appétit pour maigrir

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 11:36

Comment (bien) se couper l’appétit pour maigrir dans Santé (166) maigrir

Il n’y a pas photo. Quand on grossit, c’est que l’on absorbe plus de calories que l’on en dépense. Comment faire pour avoir moins d’appétit et donc moins manger sans tomber dans le piège des coupe-faim dangereux ?

« On est foutu, on mange trop »

« Tous empâtés, patauds, par les pâtés, les gâteaux, ankylosés, soumis sous les kilos de calories, on est foutu, on mange trop » chantait Alain Souchon en 1979, sans savoir alors – l’obésité étant encore rare à l’époque, du moins en France – que sa chanson était vraiment prémonitoire.

Trente ans plus tard, la « malbouffe » est de rigueur sur une grande partie de la planète et l’obésité est devenue une épidémie. On mange trop de gras, trop de sucre, le refrain est connu, qui rejoint « les pâtés, les gâteaux » de Souchon !

C’est ce que l’on a un appétit particulier pour le gras : c’est doux au palais, c’est moelleux, ça fait du bien, ça procure du plaisir : une frite, c’est plus agréable qu’une patate à l’eau !

Et quand ce gras est en même temps sucré, le plaisir s’en trouve décuplé. Tout une chimie se met en route dans notre tête, notre cerveau secrète des molécules particulières, les endorphines, qui procurent une sensation de plaisir, de bien-être. En fait, on se shoote au gras/sucré.

Faut-il éliminer tout ce qui est gras et sucré ? Certainement pas ! On ne va pas se priver de ce plaisir. Mais il faut trouver le moyen de manger moins, soit jamais au-delà de son appétit.

Écouter son appétit

Dans notre cerveau, un centre de contrôle de l’appétit est installé. A chaque bouchée avalée, des infos lui sont envoyées qui lui indiquent les doses de gras, de sucre, de protéines, de calories qu’elle contient. Il reçoit aussi celles de l’estomac au fur et à mesure de son remplissage.

Ce Bison futé de notre alimentation se tient tranquille tant que ces doses sont nécessaires et que l’estomac n’est pas rempli. Puis il envoie peu à peu des messages de ralentissement et de « stop » qui se traduisent par une diminution de l’appétit : au fur et à mesure du repas, on a de moins en moins envie de manger.

Vous adorez la blanquette de veau et vous vous en êtes servi une grande assiette ? Si vous avez atteint votre quota de calories avant de l’avoir terminée, ce qui reste vous paraîtra beaucoup moins bon et vous n’aurez pas envie de la terminer. Sauf en vous forçant à manger encore, ce qui vous fait absorber alors des calories dont vous n’avez pas besoin et qui vont augmenter le stock de graisse de vos fesses et de vos cuisses.

Du pain au début du repas

Si, avant de vous mettre à table ou dès que vous y êtes assise, vous prenez le temps de manger tranquillement un morceau de pain, en le mâchant bien, en avalant chaque bouchée quand elle est vraiment en bouillie, votre Bison futé alimentaire reçoit l’info « glucides ». Et il déclenche le processus d’enregistrement des données. Ce qui va faire remonter votre glycémie et diminuer votre appétit. Vous aurez moins faim et vous mangerez moins ensuite.

Un jus de tomate en apéritif

Le jus de tomate, bien épais, a l’heureux pouvoir d’occuper un estomac vide et ainsi de diminuer considérablement l’appétit.

Garnissez votre frigo de petites boîtes ou d’un pack de ce jus et prenez-en un verre avant de vous mettre à table, ou bien quand vous préparez le repas, que la faim vous hante et que vous êtes sur le point de craquer pour une tranche de saucisson ou un morceau de pâté.

Quand vous recevez des amis, mettez du jus de tomate en option pour l’apéritif. Prenez-en un verre avant de partir quand vous êtes invité quelque part.

Grâce à ce coupe-faim complètement naturel, vous absorberez en plus une bonne dose d’antioxydants ! La tomate en est riche et ça sera tout bon pour vos artères et votre peau.

Buvez en mangeant

De l’eau, bien sûr. Plus vous boirez en mangeant, plus vous remplirez votre estomac. Comme la sensation de réplétion intervient aussi dans l’appétit, celui-ci diminuera d’autant plus vite. L’eau est un très bon coupe-faim.

Des légumes en entrée

Les légumes apportent un peu de glucides, pas du tout de lipides, pas mal de fibres et très peu de calories. Ils sont des ralentisseurs d’appétit remarquables.

Si vous démarrez vos dîners avec une soupe de légumes, vous êtes certaine de manger moins ensuite car vous aurez ainsi rempli une partie de votre estomac.

Pour les déjeuners, la bonne solution c’est une salade verte : avec peu d’huile sinon vous emmagasinerez trop de lipides (gras).

La saison de la mâche arrive. Cette plante moelleuse est d’une richesse fantastique en vitamines, sels minéraux et oméga 3. Faites l’expérience un jour de démarrer un de vos déjeuners avec elle. Vous verrez qu’elle vous coupera en grande partie l’appétit.

Variez ces entrées coupe-faim : carottes râpées, dés de concombre au yaourt, tomates au basilic, poireaux vinaigrette, crudités mélangées, pamplemousse, tout cela est vite préparé, plein de vitamines, de sels minéraux, de fibres.

La seule à éviter, c’est le céleri rémoulade. Certes, il va bien vous couper l’appétit mais sa sauce est tellement chargée en gras que vous n’en tirerez aucun bénéfice côté poids !

Buvez en mangeant

De l’eau, bien sûr. Plus vous boirez en mangeant, plus vous remplirez votre estomac. Comme la sensation de réplétion intervient aussi dans l’appétit, celui-ci diminuera d’autant plus vite. L’eau est un très bon coupe-faim.

Des légumes en entrée

Les légumes apportent un peu de glucides, pas du tout de lipides, pas mal de fibres et très peu de calories. Ils sont des ralentisseurs d’appétit remarquables.

Si vous démarrez vos dîners avec une soupe de légumes, vous êtes certaine de manger moins ensuite car vous aurez ainsi rempli une partie de votre estomac.

Pour les déjeuners, la bonne solution c’est une salade verte : avec peu d’huile sinon vous emmagasinerez trop de lipides (gras).

La saison de la mâche arrive. Cette plante moelleuse est d’une richesse fantastique en vitamines, sels minéraux et oméga 3. Faites l’expérience un jour de démarrer un de vos déjeuners avec elle. Vous verrez qu’elle vous coupera en grande partie l’appétit.

Variez ces entrées coupe-faim : carottes râpées, dés de concombre au yaourt, tomates au basilic, poireaux vinaigrette, crudités mélangées, pamplemousse, tout cela est vite préparé, plein de vitamines, de sels minéraux, de fibres.

La seule à éviter, c’est le céleri rémoulade. Certes, il va bien vous couper l’appétit mais sa sauce est tellement chargée en gras que vous n’en tirerez aucun bénéfice côté poids !

Pomme et œuf dur

Vous avez une fringale ? Au lieu de vous précipiter sur une dangereuse barre chocolatée ou des biscuits forcément gras, mangez une pomme ou un œuf dur.

La première vous apporte plein de fibres et de sels minéraux, le second des protéines. L’un et l’autre peu de calories.

Les deux s’installent dans votre estomac qui vous laissera alors tranquille pour un bon moment, le temps de les digérer. On peut difficilement trouver mieux comme coupe-faim au milieu de la matinée ou de l’après-midi. D’autant plus qu’ils sont faciles d’emploi.

Si vous êtes de celles qui zappez en partie le petit déjeuner et qui êtes inévitablement victime d’une abominable fringale dans la matinée, emportez un œuf dur dans votre sac.

Et qu’est-ce qui vous empêche d’avoir toujours une ou deux pommes d’avance dans le tiroir de votre bureau ? 

Vive le dessert sucré !

En diminuant ainsi votre appétit avant ou au début de vos repas, votre Bison futé alimentaire vous dira que vous n’êtes pas encore vraiment rassasiée et qu’il y a encore une petite place pour le dessert.

Il vous apportera de douces sensations. Vous terminerez votre repas dans la béatitude glucidique sans être surchargée. Et il y a de grandes chances qu’alors, votre quota de glucides satisfait, vous n’ayez nulle envie de grignoter ensuite un truc sucré dans l’après-midi ou dans la soirée en regardant la télé ! 

C’est ainsi qu’en employant les bons coupe-faim, vous avez de grandes chances de ne plus manger au-delà de vos besoins énergétiques et de maigrir. Surtout si vous marchez régulièrement tous les jours et que vous augmentez ainsi ces derniers.

Article publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 27/09/2010 16:06

18 septembre, 2010

8 consignes alimentaires pour renforcer sa mémoire …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 7:30

8 consignes alimentaires pour renforcer sa mémoire

memoirealiment.jpgTrous de mémoire, difficultés d’apprentissage, baisse de concentration… sont des soucis qui peuvent survenir à tout âge et plus ou moins transitoirement. L’exercice physique, l’entrainement cérébral et les activités sociales sont autant de façons d’entretenir notre mémoire, mais l’alimentation joue aussi un rôle très important.


Renforcer sa mémoire grâce à son alimentation

1. Prendre un petit-déjeuner complet. Privilégier les céréales complètes. Eviter les sucres ajoutés (sucre blanc, chocolat à tartiner, confiture…) et les aliments très gras (saucisses, fritures…). Le cerveau dispose alors de tous les éléments nutritifs et énergétiques (glucides lents) nécessaires à son fonctionnement optimal, et on évite aussi le coup de fatigue intellectuelle en fin de matinée.

2. Au déjeuner, éviter les glucides raffinés : pain blanc, riz blanc, pâtes, semoule… et aussi les pommes de terre. Privilégier les protéines (volailles, poisson…) et les légumes. Éviter également les desserts sucrés. Les sucres simples et raffinés sont rapidement assimilés par l’organisme, ce qui favorise ensuite des baisses d’attention, de concentration et des performances intellectuelles dans l’après-midi.

3. Au dîner les glucides raffinés sont autorisés. D’assimilation rapide, ils favorisent la mise au repos le soir, nécessaire au bon fonctionnement du cerveau et à la consolidation des apprentissages.

4. Eviter les repas trop copieux. Privilégier inversement les repas légers et peu caloriques. Si nécessaire faire des petites collations dans la matinée et l’après-midi (fruits frais ou secs, laitages peu sucrés…). Et pourquoi ne pas conserver son dessert du déjeuner pour la collation de l’après-midi ?

5. Manger des oméga-3 en consommant du poisson trois fois par semaine (maquereau, sardine, saumon…), mais aussi certains fruits secs comme les amandes ou les noix du brésil, et encore les huiles de colza et de noix. Les oméga-3 sont des acides gras qui entrent dans la composition de la membrane de nos neurones. C’est ainsi que les oméga-3 sont indispensables au bon fonctionnement de notre cerveau et qu’ils aident à prévenir la maladie d’Alzheimer.

6. Consommer beaucoup de fruits et de légumes. Ils apportent de bonnes doses de vitamines, dont certaines sont antioxydantes et protègent nos facultés cérébrales.

7. Le fer, qui fait souvent défaut chez les femmes, joue aussi un rôle important. C’est lui qui participe au transport de l’oxygène vers le cerveau. Les viandes rouges, les abats et le boudin noir sont des aliments riches en fer, mais on trouve également cet élément dans les mollusques, les légumes verts, les céréales et les légumineuses.

8. Enfin, la déshydratation peut être à l’origine d’une baisse de la concentration. Il faut donc veiller à boire suffisamment et régulièrement tout au long de la journée.

Les bienfaits d’une bonne hygiène alimentaire

Une bonne hygiène alimentaire nous permet donc d’entretenir notre cerveau, mais nous pouvons aussi, à tout âge, booster nos performances cérébrales en optimisant nos apports alimentaires. Et bonne nouvelle, les 8 consignes indiquées ci-dessus sont aussi excellentes pour prévenir de nombreuses maladies (pathologies cardiovasculaires, diabète, cancer…).
Isabelle Eustache
17/09/2010
Hélène Baribeau, Nutritionniste, Canada.

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26 août, 2010

Pourquoi le soleil nous fait parfois éternuer ?

Classé dans : Culture Générale (21),Santé (166) — coukie24 @ 15:54

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Ce phénomène appelé le « réflexe photo-sternutatoire » est aussi connu sous le nom de « syndrome Achoo« . Il est déclenché par une brusque variation d’intensité lumineuse, comme l’exposition au Soleil après avoir quitté un endroit sombre.

La cause n’est pas clairement identifiée, mais on suppose qu’il s’agit d’un « court-circuit » entre les nerfs optiques et ceux qui relient la muqueuse nasale au cerveau. Environ une personne sur cinq en éprouve les symptômes. Ce réflexe est héréditaire et concerne surtout les personnes de descendance européenne.

Les pilotes de chasse américains sont sélectionnés pour leur insensibilité à ce phénomène.

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24 août, 2010

Le rire, c’est bon pour la santé !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 19:49

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Dommage que les Français rient de moins en moins – dix-neuf minutes par jour en 1939, six minutes en 1983, et une seulement en 2000 – car le rire a bien des vertus prouvées… et c’est du sérieux !

Le rire, c'est bon pour la santé !

Il a toutes les vertus !

Sur le plan physique

Le rire améliore la respiration, libère des endorphines cérébrales naturellement antalgiques, stimule l’immunité et coupe court au stress. Or le stress chronique fait le lit des maladies cardiovasculaires, des cancers et des décès prématurés. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce qu’une étude américaine (Université du Maryland à Baltimore) ait montré que le rire n’avait pas son pareil pour prévenir la survenue des maladies cardiovasculaires. Cela s’explique par le fait que le rire est un bon antidote au stress, mais aussi parce qu’il réduit la tension artérielle.Et ses bénéfices ne s’arrêtent pas là : le rire serait également capable de renforcer notre système immunitaire et d’augmenter notre tolérance à la douleur, d’où l’intérêt d’associations comme « Le Rire Médecin » à l’hôpital, en particulier dans les services où les traitements sont les plus lourds. Dans ces conditions, il n’y a rien d’étonnant à ce que l’un des secrets des centenaires soit le fait d’avoir hérité d’une nature foncièrement optimiste : pour vivre vieux, rions gaiement !

Sur le plan psychologique

Avoir le rire facile et le sens de l’humour nous rendrait plus attirant. Car aux dires des psychologues, le rire donne du recul, mais limite notre agressivité, ce qui facilite notre intégration en société. Le rire se révèle donc un bon moyen de nouer des relations et d’échanger, si possible des pensées positives : à plusieurs, on s’entraide et on se soutient en cas de coup dur…

  Des endroits juste pour rire

Bien sûr, on peut rire à tout moment de la journée et dans des endroits très disparates. Mais pour nous aider à renouer avec cette bonne vieille pratique, des ateliers du rire sont apparus dans de nombreuses villes et de plus en plus de centres de thalassothérapie ou de thermes en proposent. Les gens stressés s’y rendent pour évacuer leurs tensions. C’est efficace et moins contraignant que les tranquillisants !Parmi les exercices proposés, tous suivent un seul objectif : nous aider à stimuler notre propre capacité à rire et à nous relaxer. Exemple : former un cercle et taper des mains en vocalisant au même rythme des  » oh oh oh  » et des  » ah ah ah « . Ou encore, lancer un ballon imaginaire déclencheur de rire chez celui qui l’attrape, etc. Il existe de nombreuses variantes, mais à partir du moment où les exercices provoquent esclaffements et détente générale, c’est gagné !

Le sens de l’humour, aussi !

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Certains chercheurs ne manquent pas d’idées, comme Sven Svebak, un Norvégien qui étudie l’impact du sens de l’humour sur notre santé depuis plus de trente ans. Après avoir mesuré le sens de l’humour de quelque 53.500 Norvégiens qu’il a suivi pendant 7 ans (étude publiée dans L’international Journal of Psychiatry in Medicine), il en est arrivé à la conclusion qu’avoir un sens de l’humour amical (non agressif) diminuerait la mortalité d’au moins 20 %. A rappeler de toute urgence à nos politiques chargés de réduire le trou de la Sécurité sociale !

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Dr Philippe Presles
23/08/2010

29 juin, 2010

Le binge drinking détruit le cerveau des ados. Les jeunes et l’alcool : pour que l’insoutenable cesse !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 20:33

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Le binge drinking, biture express ou hyperalcoolisation rapide, abîmerait le cerveau en développement des adolescents. C’est l’hippocampe, zone cérébrale impliquée dans la mémoire, qui serait plus particulièrement touchée. Malheureusement, cette pratique délétère est de plus en plus fréquente chez les jeunes…

Biture express… L’hippocampe trinque  Le binge drinking détruit le cerveau des ados

L’hippocampe est une zone cérébrale impliquée dans la mémoire. Elle a la particularité d’être en constant remaniement, c’est ce que l’on appelle la neuroplasticité. Or cette structure est très sensible aux lésions induites par l’alcool. Chez des rats adultes, il a même été montré que l’administration répétée d’alcool (type binge drinking) entraîne une réduction du volume de l’hippocampe. Cette constatation pourrait expliquer en partie les troubles de la mémoire dont souffrent les personnes alcooliques.Chez l’adolescent, alors que le cerveau est encore en cours de maturation (la maturation cérébrale dure jusqu’à 20 -25 ans), les effets délétères de l’alcool consommé dans le cadre des bitures express, pourraient être beaucoup plus conséquents.Cette étude américaine menée chez des singes en témoigne. Elle a consisté à administrer de l’alcool quotidiennement à 7 singes (3g/kg d’alcool en une heure) pendant un an. La structure de leur cerveau a ensuite été analysée après 2 mois d’abstinence totale d’alcool. On constate ainsi qu’une consommation importante et continue d’alcool altère la formation et le développement des neurones de l’hippocampe. Ces altérations étant encore visibles 2 mois après l’arrêt de la consommation d’alcool, elles sont durables, voire certainement permanentes.Ce phénomène pourrait expliquer les mémoires défaillantes, voire le ralentissement cérébral de certaines jeunes pratiquant trop régulièrement le binge drinking

Biture express : un ados sur deux

Reste à savoir combien d’ados pratiquent le binge drinking. Il semblerait que près d’un ado sur deux s’adonne à la consommation express d’alcool, défini comme la consommation de 5 verres à la même occasion… Les campagnes de préventions s’imposent.

Isabelle Eustache
28/06/2010
Taffe M.A. et coll., PNAS, juin 2010, édition accélérée en ligne.

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