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20 août, 2013

9 explications inattendues pour l’insomnie …

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The Huffington Post  |  Par Sarah Klein – Publication: 20/08/2013 08h02

explications insomnie

Le manque de sommeil peut avoir de nombreuses explications.

SOMMEIL – Il arrive à tout le monde, de temps à autre, de ne pas arriver à s’endormir, et le plus souvent, la cause de cette insomnie est évidente: un café trop tard dans la journée, une nuit mouvementée dans le quartier ou encore des allergies. Néanmoins, il arrive que notre insomnie passagère nous semble tout simplement inexpliquée, sinon inexplicable, et tout ce qu’il vous reste pendant la journée qui suit cet épisode sans sommeil, c’est le souvenir angoissé de l’alarme imminente de votre réveil.

Voici pour vous un petit florilège des raisons parfois inattendues qui peuvent causer de l’insomnie chez certaines personnes. Certaines sont hors de votre contrôle, tandis que d’autres ne nécessitent que de petits changements afin de vous permettre de dormir à poings fermés.

Vous avez fait la grasse matinée pendant le week-end

Nous sommes tous tentés de rester au lit, les samedi et dimanche matin (ou les deux!), mais les experts s’accordent pour dire que des changements trop marqués dans nos habitudes de sommeil au cours du week-end ne sont pas bénéfiques, et pas simplement pour une question de productivité. En fait, changer votre heure de réveil peut chambarder vos rythmes circadiens de façon si radicale que le résultat est similaire à un décalage horaire, et il est fort probable que vous aurez de la difficulté à vous endormir le dimanche soir.

C’est la pleine lune

Non, pas besoin d’être un loup-garou pour être sensible aux cycles lunaires. C’est du moins ce que laisse entendre une petite étude sur l’influence de la lune sur la qualité du sommeil. Selon cette étude, au cours des quelques jours précédant et suivant la pleine lune, les humains auraient un sommeil plus léger, moins d’heures totales de sommeil et mettraient en moyenne de 5 à 6 minutes de plus à s’endormir.

Votre chambre à coucher est trop fraîche ou trop chaude

Vous avez sans doute une idée bien précise de la température parfaite pour vous sentir confortable dans votre chambre à coucher, mais des études ont établi qu’il existe une température optimale pour un sommeil optimal: entre 15,5 et 19,5 degrés Celsius. À l’opposé, une température de moins de 12 degrés ou de plus de 24 degrés aura des effets négatifs sur la qualité de votre sommeil.

Vous ne portez pas de chaussettes

Même si vous avez ajusté votre thermostat à la température idéale, vous avez froid aux pieds. Eh! bien, croyez-le ou non, cela peut avoir un impact sur la rapidité à laquelle vous tomberez dans les bras de Morphée. Une étude publiée en 1999 a démontré que la température des mains et des pieds jouait un rôle important au moment de s’endormir. Vous avez froid aux pieds en vous mettant au lit? N’hésitez surtout pas à enfiler une paire de chaussettes chaude et propre.

Votre chambre à coucher est trop silencieuse

Oh! bien entendu, vous aimez que votre chambre à coucher soit silencieuse, mais le silence complet peut être problématique pour certaines personnes. Si votre chambre à coucher est trop silencieuse, la moindre petite variation sonore dans votre environnement deviendra d’autant plus dérangeante. Reseignez-vous au sujet d’un appareil générateur de bruit blanc.

Vous avez peur dans le noir

L’orgueil vous empêche probablement de l’admettre, à vous-même et aux autres, mais prenez un instant et soyez parfaitement honnête: avez-vous peur dans le noir? Cette crainte pourrait effectivement être une des causes de votre insomnie. Selon une recherche présentée lors de la conférence SLEEP en 2012, les sujets qui se décrivaient comme ayant un sommeil léger étaient généralement plus anxieux et plus facilement effrayés par des bruits lorsqu’ils se trouvaient dans l’obscurité que les gens qui se décrivaient comme de bons dormeurs. Selon les chercheurs de cette étude, l’anxiété reliée au sommeil serait très souvent reliée à une phobie tout à fait légitime et non traitée.

Vous avez mangé un steak au dîner

Tout le monde sait que la caféine, surtout lorsqu’elle est prise en fin de journée, aura un effet adverse sur votre sommeil, mais saviez-vous qu’il n’y a pas que le café, le thé ou le chocolat qui peut avoir ce genre d’effet? De nombreux aliments qu’on ne suspecte pas automatiquement peuvent également jouer des tours à votre nuit de sommeil, dont notamment les aliments gras, les mets épicés et les protéines.

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Un copieux repas de steak, par exemple, requiert énormément de digestion, et votre organisme n’est pas conçu pour devoir travailler si fort pendant la période du sommeil, selon ce que révélait en février dernier à HuffPost Kelly Glazer Baron, Ph.D., M.P.H, chercheuse et professeure de neurologie à la Feinberg School of Medicine de la Northwestern University. En d’autres mots, ne dînez pas trop tard et ne mangez pas des aliments trop riches en protéines si vous ne voulez pas passer la nuit à compter les moutons.

Vous êtes épuisés

Votre journée (ou votre semaine!) a été éreintante et vous êtes au bout du rouleau. Rien ne vous intéresse sinon de vous jeter dans votre lit, et même cette idée vous épuise encore plus. Malgré tout, vous avez de la difficulté à vous endormir. Mais qu’est-ce qui se passe?

En termes simples, il faut comprendre qu’il y a une grande différence entre avoir sommeil et être épuisé. Votre corps est encore tout à fait alerte, même si vous avez l’impression d’à peine arriver à traîner votre carcasse, que ce soit à cause du stress ou de l’activité physique. En d’autres mots, se précipiter au lit ne signifiera pas précipiter son sommeil. Peu importe à quel point vous vous sentez épuisé, il vous faut prendre le temps de relaxer un minimum avant d’aller au lit.

Vous partagez votre lit

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Tout le monde aime se blottir contre quelque chose de bien chaud, mais permettre à Fido ou à Moustache de partager votre lit est une excellente façon de perturber votre sommeil. Chacun de leur mouvement sera une source de distraction pour vous, sans parler de leurs pellicules allergènes qui n’ont simplement pas leur place dans la chambre à coucher.

Bien entendu, il n’y a pas que les animaux de compagnie qui peuvent être nuisibles à votre sommeil: un partenaire humain qui bouge beaucoup ou qui ronfle est, de toute évidence, une importante source de dérangement quand vient le temps de s’endormir. Une étude de la BBC a constaté que les couples qui partagent un lit ont 50% plus de chances d’avoir des problèmes de sommeil que les célibataires. D’ailleurs, les lits séparés sont de plus en plus populaires: un sondage mené dans la région de Toronto a révélé qu’entre 30 et 40% des couples faisaient lit ou chambre à part.

Êtes-vous insomniaque ? Qu’en est la cause, selon vous ? 

Faut-il plonger dans le régime sans gluten ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 9:57

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Sommes-nous tous ou presque intolérants au gluten ?

La question peut se poser devant la déferlante, depuis quelques mois, tant en Europe qu’aux États-Unis, des adeptes du régime sans gluten qui ne cessent de clamer ses bienfaits, people et sportifs de haut niveau en tête.

  • Le gluten, c’est quoi ?
  • Qu’est-ce que l’intolérance au gluten ?
  • Comment savoir si on a une intolérance au gluten ?
  • Faut-il se mettre au régime sans gluten ?   

Le gluten, c’est quoi ?   

Une substance composée essentiellement de deux protéines qui se trouve dans les graines des céréales, sauf dans celles du maïs et du riz.

Le gluten ne se dissout pas dans l’eau. Mélangé avec celle-ci, il forme une masse visqueuse, collante et élastique (d’où son nom, issu de « glu »).

C’est cette propriété qui permet de fabriquer du pain : les bulles de gaz carbonique (CO2) qui se forment lors de la fermentation de la pâte sont enfermées dans le réseau formé par le gluten, ce qui la fait « lever » mais lui donne aussi son élasticité et sa souplesse, ce qui permet de la mastiquer ensuite facilement quand le pain est cuit. 

Bien évidemment, c’est le même phénomène qui intervient dans les gâteaux à pâte levée. Sans gluten, pas de brioche !

Par ailleurs, le gluten extrait du blé et réduit en poudre est très employé dans la boulangerie industrielle mais aussi dans l’industrie alimentaire pour épaissir et donner du liant à certaines préparations genre sauces, plats cuisinés.

Autrement dit, en dehors du pain, des pâtes et des très nombreux autres produits à base de farine de blé, de seigle, d’avoine et d’orge, le gluten est très présent dans notre alimentation.   

Qu’est-ce que l’intolérance au gluten ?  

C’est une maladie digestive très compliquée, appelée maladie cœliaque, et qui n’est pas récente. Elle fut décrite la toute première fois au 2ème siècle par Aretius de Cappadoce, un médecin grec. De là vient son nom, dérivé du mot grec koelia, qui signifie « abdomen ».

En 1888, un médecin anglais, Samuel Gee, en détaille les symptômes chez l’enfant : diarrhée chronique, anorexie, fatigue, ventre ballonné, etc. En 1950 et en Hollande, un jeune médecin, D.W. Dicke, publie sa thèse sur le rôle essentiel des céréales et l’intérêt du régime sans gluten.

Les recherches se sont poursuivies ensuite permettant de mieux décrire le rôle du gluten dans cette maladie cœliaque. On sait maintenant que c’est une maladie immunitaire : le gluten déclenche une réaction inflammatoire de la muqueuse intestinale (d’où l’autre nom d’intolérance au gluten). Peu à peu, celle-ci s’abîme et ne fait plus correctement son boulot. La digestion se fait mal et l’absorption des éléments nutritionnels est de plus en plus perturbée.

D’où un tas de catastrophes survenant au fil des ans. Elles vont de la fatigue à l’anémie et à la perte de poids, en passant par l’ostéoporose, l’installation d’une autre intolérance, celle au lactose, des atteintes diverses et variées du système nerveux, des douleurs articulaires et même parfois une dermatite herpétiforme (démangeaisons, cloques rouges).

On ne sait toujours pas pourquoi certain(e)s sont victimes d’une intolérance au gluten. On est seulement certain que c’est en grande partie héréditaire : on en a même identifié les principaux gènes. On sait aussi que les diabétiques de type 1 courent plus le risque d’en développer une. 

Comment savoir si on a une intolérance au gluten ?  

L’intolérance au gluten se manifeste par des troubles divers et variés, allant de la constipation aux diarrhées, en passant par les ballonnements, les crampes intestinales, les nausées. Parfois aussi par des douleurs articulaires, de la déprime, des démangeaisons et des rougeurs.

Mais tous ces symptômes peuvent avoir d’autres origines, en particulier les troubles digestifs qui sont les mêmes que ceux du fameux côlon irritable, tellement fréquent.

C’est pourquoi le diagnostic de l’intolérance au gluten est très difficile à établir à partir seulement des symptômes.

Il existe heureusement un test sanguin qui détecte les anticorps spécifiques de l’intolérance au gluten. S’il se révèle positif, on fait alors une biopsie, un prélèvement des tissus dans l’intestin grêle qui permet de juger de la gravité de l’atteinte de la muqueuse. La mise au régime sans gluten ensuite confirme ou infirme le diagnostic.

On estime actuellement que 1 personne sur 100 souffre de maladie cœliaque. Mais ce chiffre est remis en question et il serait en moyenne de 1 personne sur 270 dans les pays occidentaux. Selon certains chercheurs, il serait même plus élevé, faute de dépistage systématique.  

Faut-il se mettre au régime sans gluten ?  

Un régime difficile à suivre
Même s’il existe de nombreux produits « sans gluten » ou « gluten free » et une Association Française des Intolérants au gluten qui en tient une liste précise, même si quelques restaurants « sans gluten » existent, même si, sur Air-France, on peut commander un plateau « sans gluten », le régime est particulièrement difficile à suivre étant donné la fréquence de cette substance parfois cachée dans les produits industriels. Mais aussi, et surtout, parce que le fait de se passer de tous les produits issus des céréales autres que le maïs et le riz est loin d’être évident.

Si vous pensez que vous souffrez de la maladie cœliaque, il faut d’abord consulter un gastro-entérologue, et ce avant d’entamer un régime sans gluten car alors les résultats du test sanguin seront faussés.
Mais si vous voulez plonger dans ce régime pour tenter d’être aussi performant que le champion de tennis Novak Djokovitch (chez qui une vraie maladie cœliaque a été diagnostiquée en 2011) et/ou d’obtenir la minceur et la jolie peau des stars américaines qui revendiquent d’être « gluten free », bref, de céder à la mode actuelle, vous devez vraiment bien y réfléchir.

Vous ne risquez pas vraiment de carence nutritionnelle mais vous vous exposez sévèrement à une carence sociale et familiale.

En effet, vous serez obligé(e), sauf dans un restaurant «sans gluten », de manger tout(e) seul(e). Il est évidemment hors de question de mettre vos enfants à ce régime.
Il n’est pas évident non plus d’arriver chez des amis ou chez Tatie Danièle avec votre-manger-sans-gluten dans une boîte ou de faire le tri sélectif tout au long du repas !

Article publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 13/08/2013

Sources : Gee S. On the coeliac affection. St Bartholomew’s Hospital Reports 1888 ; 24 : 17-20.
Green PH. The many faces of celiac disease: clinical presentation of celiac dis- ease in the adult population. Gastroenterology 2005 ; 128 (Suppl. 1) : S74-8.
Sprue – maladie coeliaque, une maladie aux multiples visages. Patrick Aepli, Dominique Criblez . Forum Med Suisse 2011;11(49):907–912.

15 août, 2013

Pourquoi les gens ne guérissent pas ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 16:07

 

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Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre compte que « la guérison était très désagréable !

Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime, et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.

La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures. Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.

Refuser de pardonner à un événement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites. Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.

Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.

Quand nous arrivons à voir un événement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet événement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.

Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime. Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres grâce à leurs blessures parce qu’ils ont trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.

La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !!!

Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…

Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.

La guérison nécessite une action. Manger, l’exercice quotidien, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.

Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.

Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.

 

Auteur : Lelahel Zen   

13 août, 2013

Pour faire de vieux os, évitez les colas et autres sodas ! …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:10

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Dès 2003, une étude réalisée aux Etats-Unis montrait que la consommation quotidienne de cola diminue la densité minérale osseuse des femmes adultes.

Rappelons qu’une bonne densité minérale osseuse est signe de solidité des os.

Soda et santé des os : explications.

  • Cola et densité minérale osseuse
  • La densité minérale osseuse est diminuée chez les femmes qui boivent des sodas
  • Quel est le mécanisme en cause ?

Cola et densité minérale osseuse  

De nombreuses études ont souligné un risque accru de fracture chez les enfants qui boivent régulièrement des boissons sucrées, dont du cola. En revanche, peu sont parvenues à élucider le mécanisme : diminution de la consommation de produits lactés par déplacement des habitudes, augmentation de l’élimination du calcium, effet direct sur le métabolisme du phosphore, ou présence excessive de fructose, de caféine, etc.
De même, personne ne sait si cet effet des sodas s’exerce à l’identique chez les adultes.

La densité minérale osseuse est diminuée chez les femmes qui boivent des sodas  

Cette étude américaine a porté sur plus de 1.600 femmes et 1.100 hommes. La densité minérale osseuse de leurs os au niveau de la hanche et de la colonne vertébrale a été mesurée, puis mise en relation avec les habitudes alimentaires.

Chez les hommes, la consommation régulière de sodas ne se répercute pas sur la composition des os. En revanche, les femmes qui s’hydratent quotidiennement au cola perdent entre 2,3 et 5% (selon les points testés) de densité minérale osseuse.

Quel est le mécanisme en cause ?  

L’acide phosphorique dans les sodas
Il ne s’agit pas d’un manque de calcium, connu comme le premier responsable de perte osseuse, puisque les buveurs de sodas ont des apports calciques équivalents à ceux des consommateurs occasionnels (une fois par semaine). De la même façon, aucune responsabilité n’a pu être attribuée à d’autres habitudes alimentaires, aux prises de suppléments vitaminiques, au tabagisme, à l’alcool ou à l’activité sportive.
C’est ainsi que les chercheurs ont soupçonné l’acide phosphorique, présent en bonne quantité dans les sodas, particulièrement dans le cola. En effet, ce minéral est fortement lié au calcium osseux.

Santé des os : calcium ET phosphore
Pour construire et entretenir le capital osseux, l’organisme a autant besoin de calcium que de phosphore.
Mais attention, point trop n’en faut. Et c’est justement ce qui se produit avec les sodas, qui en apportant un excès d’acide phosphorique modifient l’équilibre calcium/phosphore. Résultat, l’excédent de phosphore agit inversement en diminuant l’absorption de calcium, menant à une fragilité osseuse.

E338 en cause
L’acide phosphorique est un acidifiant caché sous le nom E338. Il est présent dans les sodas, et plus particulièrement dans le cola. Une canette de cola de 33cl en apporte 44 à 62 mg et son homologue allégé entre 27 et 39 mg. Les autres en contiennent, mais en moindre quantité.

Ainsi, Mesdames, à tout âge, prévenez l’ostéoporose en pratiquant une activité physique régulière, en ne fumant pas, en veillant à des apports calciques suffisants et en limitant les sodas !

Mis à jour par le 08/08/2013
Créé initialement par Isabelle Eustache le 08/10/2003

Sources : Tucker K., 25th Annual Meeting of the American Society for Bone and Mineral Research (ASBMR), Abstract SU259, 21 septembre 2003.

11 juillet, 2013

Les 7 vertus de l’huile essentielle de lavande

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 22:57

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Si vous ne deviez en emporter qu’une seule, ce serait elle ! L’huile essentielle de lavande, connue pour sa haute tolérance et ses nombreux usages, est à glisser illico dans votre trousse familiale. Cicatrisante, antiseptique, antispasmodique, antalgique… Elle est l’huile essentielle incontournable à toujours avoir sur soi ou dans son armoire à pharmacie.

  • Lavande, la reine des huiles essentielles
  • Quelques précautions
  • Les 7 bienfaits de l’huile essentielle de lavande  

Lavande, la reine des huiles essentielles  

La lavande est utilisée depuis l’Antiquité pour ses vertus relaxantes et désinfectantes. Son nom est d’ailleurs dérivé du latin « lavare » car les Romains l’utilisaient déjà pour parfumer leur bain. Cicatrisante, antiseptique, antispasmodique, antalgique… ses nombreuses vertus en ont fait la reine de l’aromathérapie moderne. Si son usage est déconseillé aux femmes enceintes et aux bébés – au même titre que les autres huiles essentielles –, l’huile essentielle de lavande est aussi reconnue pour son innocuité, y compris chez les enfants.  

Quelques précautions  

De nombreux produits sont estampillés « à base d’huile essentielle de lavande »… mais contiennent souvent beaucoup d’ingrédients chimiques et peu de lavande naturelle. Pour profiter de tous les bienfaits de la lavande, préférez l’huile essentielle pure. Attention, il faut privilégier l’huile essentielle de qualité HECT (huile essentielle chémotypée) ou HEBBD (huile essentielle botaniquement et biochimiquement définie), et la dénomination latine lavandula angustifolia (dite aussi lavande « vraie ») car il existe plusieurs sortes de lavandes, qui ont chacune leurs propriétés spécifiques. La lavande vraie est cependant celle qui présente la plus grande variété d’usages.

Les 7 bienfaits de l’huile essentielle de lavande  

1. En cas de long trajet en voiture
Pour rester zen dans les embouteillages et inciter vos rejetons à la patience, placez un coton imbibé d’une ou deux gouttes d’huile essentielle de lavande dans l’intérieur de chaque portière de la voiture.

2. En cas de stress
Pour vous détendre avant d’aller dormir, mélangez 15 à 20 gouttes dans une base (huile d’amande douce, savon liquide non parfumé, miel, etc.) et versez ce mélange dans l’eau tiède pour un bain relaxant.

3. En cas de brûlure
Après avoir stoppé la propagation de la chaleur en faisant couler de l’eau froide sur la lésion pendant une dizaine de minutes, appliquez une à deux gouttes d’huile essentielle de lavande directement sur la brûlure. Renouvelez trois à cinq fois par jour. L’huile essentielle désinfecte en effet en profondeur et active la cicatrisation.

4. En cas de piqûre d’insecte
Appliquez directement une goutte d’huile essentielle de lavande sur la piqûre pour soulager la douleur et les démangeaisons. Remarquablement efficace sur les piqûres de guêpe, surtout si vous choisissiez pour cet usage spécifique de la lavande aspic (lavandula latifolia).

5. En cas de douleurs musculaires
Préparez une huile de massage en diluant deux à quatre gouttes d’huile essentielle de lavande (ou éventuellement de lavandin) dans une cuillère à soupe d’huile végétale. Massez les endroits douloureux.

6. En cas d’insolation ou de maux de tête
Versez cinq gouttes d’huile essentielle de lavande dans un demi-verre d’eau froide. Remuez et imbibez un mouchoir de ce mélange. Appliquez ensuite sur le front en faisant attention à ne pas en mettre dans les yeux.

7. En cas d’insomnie
Au coucher, appliquez cinq gouttes d’huile essentielle de lavande sur les avant-bras et le plexus solaire (au centre de l’abdomen, entre le sternum et le nombril). Vous pouvez aussi appliquer deux gouttes sur le revers d’une veste de pyjama ou sur un mouchoir que vous garderez près de vous pendant le sommeil. Évitez de mettre l’huile essentielle de lavande directement sur la taie d’oreiller car elle peut être irritante pour les yeux, surtout chez les enfants.

Article publié par Julie Luong, journaliste santé le 08/07/2013

 Les 7 vertus de l'huile essentielle de lavande dans Santé (166) huile-essentielle-de-lavande-30ml-150x150   

29 juin, 2013

Exercice anti-stress : SOURIEZ… C’est bon pour la santé !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 18:59

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… LE PLUS SOUVENT POSSIBLE !
Même si vous n’avez pas envie ! C’est bon pour la santé !

Lorsque vous souriez, vous faites agir 42 muscles faciaux, qui envoient des signaux électrochimiques  au système nerveux autonome, lequel régule certaines fonctions du corps comme la respiration, l »activité cardiaque, la tension musculaire.

Ce processus libère également dans le cerveau des endorphines, ces fameuses « molécules du bonheur » ! L’effet est immédiat !

24 juin, 2013

Que manger le soir, pour bien dormir toute la nuit ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 17:34

Que manger le soir, pour bien dormir toute la nuit ?

Que manger le soir, pour bien dormir toute la nuit ?

On recommande souvent de « dîner léger » pour ne pas grossir et bien s’endormir.

Oui mais… on se réveille parfois dans la nuit avec une belle fringale. En revanche, après un repas trop lourd, on a souvent du mal à s’endormir !

Comment organiser ses dîners pour un sommeil paisible ?
  • À quelle heure, le dîner ?
  • Un dîner riche en tryptophane
  • Un dîner riche en glucides et pas gras
  • Un dîner pas trop épicé
  • Le bon menu pour bien dormir ?
  • Les petits plus   

À quelle heure, le dîner ?  

Au minimum, 3 heures avant  l’heure habituelle où vous vous mettez au lit. Soit une petite heure pour dîner tranquillement (en mangeant lentement, bien sûr afin d’arriver à l’indispensable satiété) et deux heures (ou plus) ensuite pour vaquer à vos occupations favorites. Ce qui laisse le temps à votre estomac d’effectuer le plus gros de son boulot et aux neurotransmetteurs nécessaires au sommeil de se mettre en place.  

Un dîner riche en tryptophane  

Le tryptophane, c’est quoi ?
Un acide aminé, composant des protéines. Il est indispensable à la mécanique chimique qui fabrique la sérotonine et la mélatonine, ces neurotransmetteurs du cerveau qui gouvernent votre endormissement mais aussi les différentes phases de votre sommeil, dont celle du sommeil profond.

Où trouver du tryptophane dans l’alimentation ?
Le tryptophane est un acide aminé relativement rare. Vous le trouvez surtout dans les viandes, les coquillages, les œufs, le lait et les produits laitiers : fromages frais et fermentés, yaourt. Et ce sont ces derniers que vous devez privilégier. Pourquoi ? Parce que les viandes sont riches en un autre acide aminé, la tyrosine, nécessaire à la fabrication de la dopamine, un autre neurotransmetteur indispensable à l’activité motrice. Donc pas favorable du tout à un bon sommeil

Un dîner riche en glucides et pas gras  

Le plein de glucides
Le tryptophane ne peut s’activer efficacement qu’en compagnie de beaucoup de glucides. Vous devez donc manger du pain, des pâtes, du riz (complet de préférence car il a l’avantage de contenir un peu de tryptophane), ou d’autres céréales comme le quinoa ou des légumes secs qui, eux aussi, sont en même temps bien fournis en tryptophane. Vous assurez en même temps votre quota de glucides qui vont délivrer leur énergie au cours de la nuit (car vous en dépensez même quand vous dormez). Et ainsi, vous ne risquez pas d’avoir une fringale à 2 heures du mat parce que vous n’avez pas assez mangé ! 

Attention aux dîners trop gras
Mais ce bel équilibre est mis à mal si votre dîner est trop gras. En effet, pour avoir un sommeil bien profond, la température de votre corps doit s’abaisser. Et ça n’est pas qu’une affaire de couette et de chauffage dans votre chambre. La digestion produit de la chaleur, vous l’avez évidemment remarqué : après un repas, on a toujours plus chaud. Or, on met beaucoup plus de temps à digérer un repas gras qui est forcément copieux.

Donc, si vos pâtes sont bien grasses, très pleines de sauce genre carbonara, votre estomac sera encore en plein boulot quand vous vous coucherez et il faudra beaucoup plus de temps pour que la température de votre corps s’abaisse suffisamment pour que vous dormiez bien.  

Un dîner pas trop épicé  

Certaines épices ont le même effet, celles dites, à juste titre, chaudes ou brûlantes : cumin, gingembre, paprika, piment et poivre. Elles excitent la motilité du tube digestif, ce qui favorise la digestion mais élève aussi la température du corps. Un tour de moulin à poivre dans les pâtes du dîner, très bien. Mais pas de riz (même complet !) épicé à l’indienne, et encore moins de steak au   poivre !

Le bon menu pour bien dormir ?  

Équilibré évidemment ! Une étude américaine vient encore de démontrer l’influence d’une alimentation diversifiée sur la qualité du sommeil. Le pilier de votre dîner doit être un plat de féculents que vous pouvez garnir d’un peu de viande ou de volaille ou de poisson ou de coquillages, ce qui vous fera un plat complet, facile à cuisiner.

Menu varié !
Le choix ne manque pas, en dehors des sempiternelles pâtes (mais que tout le monde adore !) : risotto, quinoa (qui peut se cuisiner comme celui-ci), salade de lentilles ou de haricots (il suffit d’ouvrir une boîte de ces légumes secs au naturel). En entrée ? Un potage ou une salade de légumes, crus ou cuits. Pour terminer ? Un laitage ou du fromage, pour le tryptophane et des fruits pour un supplément de glucides.

Vous pouvez varier et commencer votre dîner avec un velouté de légumes secs, chaud ou froid, selon la saison. Dans ce cas, vous équilibrez ensuite avec un plat de légumes et un œuf à la coque ou au plat. Ou bien avec une grande salade de légumes avec un œuf dur.

Consistant mais léger…
Tout cela étant accompagné de pain (glucides) et cuisiné avec peu de corps gras, ce genre de dîner reste « léger ». Mais vous ne risquez pas pour autant d’être réveillé(e) dans la nuit par les gargouillis de votre estomac criant famine.  

Les petits plus   

Pour le tryptophane : du parmesan dans les céréales, des graines de courge ou de lin ou de sésame grillées dans les salades. Ces produits en sont particulièrement bien fournis.

Pour les glucides : un peu de sucre en fin de repas (ou un peu après) car il va favoriser une sécrétion d’insuline supplémentaire qui agit aussi sur la fabrication de la sérotonine. Ce peut être du chocolat au dessert (une salade de fruits avec un sorbet chocolat ou du chocolat râpé dans du fromage blanc ou un yaourt), des œufs au lait ou le bon vieux bol de lait au miel de nos grands-mères qui a toujours eu la réputation de favoriser le sommeil.    

 

Article publié par Paule Neyrat, Diététicienne le 10/06/2013

13 mai, 2013

Les coupe-faim naturels

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 16:58

Les coupe-faim naturels

Nous rêvons tous de perdre du poids, facilement et rapidement.

Savez-vous qu’il existe des coupe-faim naturels ?

Efficaces, ils ont aussi l’avantage de ne pas mettre votre santé en danger, comme c’est le cas de nombreux médicaments en vente libre en pharmacie, régulièrement retirés du marché pour cause d’effets secondaires graves.

  • L’eau, premier des coupe-faim naturels !
  • Les crudités
  • Les fruits riches en pectines
  • Les aliments riches en protéines
  • Les céréales riches en glucides complexes

Ne vous jetez pas sur les produits miracles promettant une perte de poids rapide grâce à un effet coupe-faim. Dans l’hypothèse d’un résultat, vous mettrez aussi votre santé en danger. Regardez plutôt dans votre assiette et choisissez les aliments qui ont naturellement des propriétés coupe-faim.

L’eau, premier des coupe-faim naturels !

Lorsque l’on boit un grand verre d’eau, ou toutes autres boissons non sucrées, les fibres gastriques se distendent, ce qui induit une diminution de la sensation de faim. Cet effet coupe-faim s’obtient donc par un mécanisme de remplissage de l’estomac. Attention toutefois, les liquides transitent rapidement par l’estomac, d’où un effet coupe-faim de courte durée. Les soupes, quant à elles, combinent l’effet rassasiant mécanique des boissons avec celui des fibres, bien connues pour leur effet coupe-faim.

Les crudités

 Également riches en fibres, les crudités calment la sensation de faim. À noter que leur consommation demande aussi un effort important de mastication. Or la mastication, justement, contribue aux signaux de satiété.

Les fruits riches en pectines

 Les pectines sont des fibres qui, dans l’estomac, forment une sorte de gel augmentant la sensation de satiété. Certains fruits procurent une satiété plus importante que d’autres. C’est par exemple le cas de la pomme. À noter que comme les crudités, les fruits demandent un effort de mastication qui renforce encore leur pouvoir satiogène.

Les aliments riches en protéines

 Les aliments riches en protéines, et particulièrement la viande blanche (blanc de poulet, blanc de dinde, escalope de veau, jambon blanc) et certains poissons (thon, saumon), exercent un effet coupe-faim intéressant. L’oeuf dur, également riche en protéines, procure une sensation de satiété immédiate et aussi de longue durée.

Les céréales riches en glucides complexes

 Les pâtes, le riz, le blé, sont des céréales riches en sucres lents qui rassasient rapidement et durablement. A condition bien sûr, de privilégier les versions complètes de ces céréales (si possible en bio pour éviter les pesticides), l’effet coupe-faim sera renforcé en raison d’un apport plus important en fibres. À consommer souvent, en petites portions tout en restant raisonnable sur l’ajout de matières grasses ou de sauces.

Mis à jour par Isabelle Eustache le 22/04/2013
Créé initialement par Isabelle Eustachele 29/03/2010

Sources : Marie-Laure André,  » Je ne suis pas une machine à maigrir « , Éditions Hachette Pratique.  

21 mars, 2013

L’huile d’argan, un petit miracle pour la peau !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 19:22

L'huile d'argan, un petit miracle pour la peau !

L’huile d’argan provient d’un arbre, l’arganier, que l’on ne rencontre qu’au Maroc. Préparée artisanalement, cette huile possède des vertus culinaires ancestrales.

Mais l’huile d’argan est aussi utilisée par les connaisseurs pour ses exceptionnelles propriétés esthétiques : anti-âge, anti-rides, massage, beauté des ongles, des cheveux, etc.

  • L’argan, d’abord une huile culinaire marocaine
  • L’huile d’argan : des vertus anti-âge pour lutter contre le vieillissement de la peau
  • Anti-âge : comment utiliser l’huile d’argan ?
  • Les autres utilisations de l’huile d’argan : cheveux et ongles !  

L’argan, d’abord une huile culinaire marocaine  

L’huile d’argan est préparée artisanalement.

Conformément à la tradition berbère, cette huile est consommée nature avec du pain, entre dans la composition des assaisonnements et dans la préparation des mets de choix, des salades, tajines, couscous, tomates et poivrons grillés, etc.

Elle est également employée pour la préparation de l’Amlou, un fortifiant réputé aphrodisiaque qui se déguste sur du pain (mélange d’huile d’argan, de poudre d’amandes, et de miel).

Mais l’huile d’argan est aussi un formidable allié pour votre peau du fait de de ses nombreux propriétés.  

L’huile d’argan : des vertus anti-âge pour lutter contre le vieillissement de la peau  

On a aussi découvert que l’huile d’argan renferme des propriétés anti-âge.

Appliquée sur la peau, elle aide à lutter contre le vieillissement.

Si aujourd’hui l’huile d’argan entre dans la composition de gammes de soins de nombreux laboratoires, elle s’utilise toujours « nature » en application cutanée contre le vieillissement et pour les peaux très sèches, pour le massage ou mélangée à l’eau du bain.

L’intérêt de l’huile d’argan réside dans :

  • Sa richesse en vitamines E qui lui confère d’excellentes propriétés anti-oxydantes, essentielles pour lutter contre le vieillissement.
  • Sa teneur en insaponifiables (composé que l’on trouve également dans l’huile d’avocat) qui lui confère des propriétés restructurantes.

L’huile d’argan est la seule huile à offrir cette double action restructurante et anti-oxydante. 

A savoir :

L’huile d’argan est aussi utile pour lutter contre certains problèmes de peau : dans la pharmacopée marocaine, on la recommande contre l’acné, les gerçures, les brûlures. En effet, elle aide à la cicatrisation et aide par exemple aussi à faire disparaître les traces de varicelle….

En massage, l’huile d’argan adoucit la peau, l’hydrate et la protège du dessèchement.  

Astuce pour une beau soyeuse :

Lorsque vous sortez du bain (ou de la douche), massez doucement votre corps avec de l’huile d’argan.
Epaules, bras, poitrine, cuisses, mollets, pieds… badigeonnez-la partout !

Si vous peau est très sèche, appliquez l’huile d’argan 30 minutes avant votre bain ou votre douche, et laissez reposer ! Passées ces 30 minutes, plongez dans l’eau et détendez-vous !

Anti-âge : comment utiliser l’huile d’argan ?  

L’huile d’argan en soin de jour comme de nuit !

En crème de jour, l’huile d’argan prévient le vieillissement précoce dû aux agressions (soleil, pollution, froid, stress…).

En soin de nuit, elle régénère la peau et lutte contre le vieillissement cutané.

Idéalement, alternez huile d’argan et crème anti-rides, car si l’argan est très riche en vitamine E, en revanche, elle ne contient pas de vitamine A, laquelle est aussi indispensable à la beauté de la peau.

Sinon, ajoutez quelques gouttes d’huile d’argan à votre crème anti-rides.  

Les autres utilisations de l’huile d’argan : cheveux et ongles !  

En application sur la chevelure, l’huile d’argan redonne éclat, brillance et souplesse aux cheveux.

Sur des ongles fragilisés (mélangée à du jus de citron), l’huile d’argan fortifie et protège.

Astuce pour les ongles :

Les femmes Berbères préparent un mélange moitié huile d’argan, moitié jus de citron.
Elles s’en enduisent les ongles et laissent le produit agir toute la nuit en se protégeant avec des gants. 

Isabelle Eustache le 05/02/2007 

L'huile d'argan, un petit miracle pour la peau ! dans Santé (166) 81a7e7d54cf6e74077342884caf31c44-29681f2ddde9fd27d636cda37a43ab49-300x199      

24 janvier, 2013

L’Aloe vera : une plante miracle pour la peau ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 16:12

L’Aloe vera : une plante miracle pour la peau ?

Plante originaire des régions chaudes, l’Aloe vera présente de nombreuses vertus, en particulier dermatologiques.

L’aloe vera pousse dans les régions chaudes et sèches. Ses feuilles charnues évoquent un cactus, mais il est en réalité une plante grasse.

Une plante pas comme les autres !

  • Aloe vera : la plante tendance !
  • Quelles sont les vertus dermatologiques de l’Aloe vera ?
  • Comment utiliser l’Aloe vera ?
  • Les vertus de l’Aloe vera ne s’arrêtent pas à la peau  

Aloe vera : la plante tendance !    

L’Aloe vera : une plante miracle pour la peau ? dans Santé (166)

Originaire d’Afrique du Sud, l’Aloe vera est aujourd’hui cultivé dans de nombreuses régions du monde, de l’Espagne au Mexique, en passant par le sud des États-Unis.

Facile à faire pousser, cette plante grasse est devenue en quelques années l’objet d’un véritable business !

Des crèmes aux compléments alimentaires, en passant par les lessives, yaourts et autres boissons « bien-être », il est partout.

Sans être un produit miracle, l’Aloe vera peut néanmoins se prévaloir de certaines vertus sur la santé et le bien-être…  

Quelles sont les vertus dermatologiques de l’Aloe vera ?  

Les bienfaits les mieux connus de l’Aloe vera sont dermatologiques.

Riche en éléments nutritifs (vitamines, minéraux et acides aminés), le gel d’Aloe vera est particulièrement apprécié pour ses propriétés adoucissantes.

Il peut être appliqué en usage externe sur les brûlures, piqûres et autres irritations de la peau pour son effet calmant et cicatrisant.

L’Aloe vera est également utilisé pour traiter l’herpès génital, mais aussi dans certaines formes de psoriasis légères à modérées (1).

L’Aloe vera est également un produit hydratant et apaisant particulièrement adapté aux peaux sensibles.
Un usage régulier permettrait de favoriser la beauté de la peau et de lutter contre les signes de l’âge. Le secret de beauté de Cléopâtre dit-on !

Comment utiliser l’Aloe vera ?    

 dans Santé (166)

Si vous possédez un Aloe vera en pot, vous pouvez vous-même en extraire le gel. Il s’agira alors de couper la feuille à la base, de l’ouvrir en deux et de presser la demi-feuille contre la peau (petites blessures ou irritations superficielles).

Une fois coupée, la feuille d’Aloe vera peut être conservée une à deux semaines au réfrigérateur.

Si vous préférez avoir toujours de l’Aloe vera prêt à l’usage, préférez-le sous forme de gel ou de crème et faites-lui une place dans la salle de bain.  

Les vertus de l’Aloe vera ne s’arrêtent pas à la peau  

Le gel d’aloès, on l’a vu, est utilisé pour soigner la peau. Mais il n’est pas le seul atout de l’Aloe vera

Extrait de la paroi externe des feuilles de l’Aloe vera, le latex est une substance jaune riche en aloïne, une molécule reconnue par l’OMS pour ses vertus laxatives.

D’autres vertus de l’Aloe vera, dans le diabète par exemple, sont en cours d’étude. Mais à l’heure actuelle, rien n’est prouvé.

Mieux vaut donc profiter des bienfaits de l’Aloe vera sur votre peau !

Article publié par le 21/01/2013

Sources : (1) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1313538/ – http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22336851.

20 janvier, 2013

Six effets salutaires du baiser…

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 16:26

Six effets salutaires du baiser... dans Santé (166) 450x200_six-effets-salutaires-du-baiser

Qu’est-ce qui fait fondre le monde entier, vous donne le trac et rend votre cœur fou de désir ? Un baiser bien-sûr !

« J’adore embrasser mon petit ami », déclare Krysten Ritter, actrice et star de la série Don’t Trust the B—- in Apartment 23. « Cela vous relie ». Un baiser, c’est ce qui crée des liens entre les gens – ou si vous embrassez mal, ce qui les fait s’enfuir dans la direction opposée ! « Lors d’un baiser passionné, le cerveau libère de la dopamine, à l’origine des sentiments de désir et des liens affectifs », indique le Dr. Yael Varnado, fondateur de Get Checked 4 Life, une association à but non lucratif qui fournit un accès aux soins médicaux pour les communautés à risque. 

Mais un baiser, c’est bien plus qu’un rapide frisson ou qu’un rapprochement avec l’être cher. Le baiser provoque bon nombre d’effets salutaires sur notre organisme. Il accroît le métabolisme et allonge l’espérance de vie. « Les substances chimiques libérées par le baiser soignent non seulement les douleurs physiques mais aussi les « bobos » affectifs. Ils permettent de vous maintenir en bonne santé et d’accroître votre résistance », explique le Dr. Varnado. Cela montre bien que les joies du baiser ont un impact encore plus grand que vous ne l’imaginez. Voici une liste des plus grands bienfaits d’une séance de pelotages avec votre chéri(e).

Bienfait n°1 : vos dents conserveront leur blancheur nacrée

Bien que cela ne nous dispense pas de nous brosser les dents, un baiser peut contribuer à éliminer la plaque dentaire et à empêcher la formation de caries. En effet, la salive aide à retirer les bactéries de la surface de la dent. « Le baiser est le processus de nettoyage naturel par excellence », affirme Heidi Hausauer, porte-parole de l’Academy of General Dentistry (Académie générale de dentisterie). « La salive rince la bouche et aide à retirer les particules alimentaires responsables des caries qui s’accumulent après les repas ». Les minéraux présents dans la salive contribuent également à la reconstruction de l’émail, empêchant ainsi l’apparition des caries. Non seulement les baisers vous donneront des dents plus propres mais ils finiront aussi par vous faire économiser sur vos frais dentaires.

Bienfait n°2 : vous garderez un visage plus jeune même en prenant de l’âge

En parlant d’économies, vous pouvez dire au revoir au Botox et aux peelings à l’acide glycolique (ou du moins réduire votre consommation de soins anti-âge trop coûteux). N’avez-vous jamais remarqué à quel point les couples heureux et amoureux conservaient un souffle de jeunesse et ce, même en vieillissant ? Des baisers réguliers pourraient être la clé de cette fraîcheur. Selon la sexologue et auteur Ava Cadell : « Le baiser a un effet liftant. Un baiser active plus de 30 muscles faciaux, aidant ces derniers à rester lisses et tendus tout en empêchant vos joues de se relâcher ». Laurel House, auteur de QuickieChick’s Cheat Sheet to Life, Love, Food, Fitness, Fashion and Finance (Les antisèches de QuickieChick appliquées à la vie, l’amour, la nourriture, la forme, la mode et aux finances – le tout à petit budget) compare également le baiser à une séance de tonification du visage : « Tout comme le travail des abdominaux, travailler les muscles faciaux peut favoriser leur tonification et leur renforcement tout en minimisant les signes visibles du temps ».

Bienfait n°3 : un métabolisme renforcé

Outre la gymnastique du visage, le baiser peut également contribuer à l’affinement de votre taille. Quand vous vous penchez pour embrasser, vous avez sans doute la sensation que votre rythme cardiaque s’accélère. Vous ne rêvez pas, votre cœur bat plus vite. « À mesure que le cœur s’emballe, il libère de l’adrénaline ainsi que d’autres neurotransmetteurs dans le sang. L’augmentation d’adrénaline accroît votre métabolisme et contribue à brûler les calories superflues », ajoute le Dr. Varnado. 

Un baiser passionné peut vous faire brûler entre deux et cinq calories par minute, soit le double de votre taux normal de consommation d’oxygène au repos. Le Dr. Cadell en a fait l’expérience durant l’émission télévisée, The Doctors. En branchant un couple en train de s’embrasser à un moniteur cardiaque et à un compteur de calories, le Dr. Cadell a constaté qu’en une heure, les partenaires avaient brûlé un total combiné de 575 calories, soit 287,5 calories chacun.

Bien que vous ne puissiez sans doute pas compter sur les baisers pour vous aider à perdre beaucoup de poids (peut-être entre 500 g et 1 kg), votre métabolisme pourrait connaître une amélioration.

Bienfait n°4 : votre système immunitaire recevra un bon coup de pouce

Comme l’exercice physique, le baiser peut accroître votre résistance. Alors si vous avez une peur panique des microbes, lisez ce qui suit : « Le mélange des salives implique le mélange des microbes, ce qui constitue la forme la plus naturelle de vaccination », explique le Dr. Varnado. « Être exposé aux microbes des autres provoque la création d’anticorps ce qui, par la suite améliore la résistance et prévient les maladies ». Ce constat est valable du moment que vous n’embrassez pas une personne malade ou qui a un bouton de fièvre. Veillez donc à ce que l’objet de votre désir n’ait pas la grippe avant de lui offrir vos lèvres.

Bienfait n°5 : amélioration de l’humeur et baisse du stress

Avez-vous déjà remarqué à quel point vous vous sentiez bien après une bonne séance de pelotages ? C’est comme si vous étiez au septième ciel, tous vos soucis se sont envolés et vous avez l’impression que tout est possible. C’est parce que le baiser libère un antidépresseur naturel appelé l’ocytocine. Le Dr. Joshua Gizersky, fondateur et directeur deVitality Logix Internal Medicine, affirme qu’un « baiser passionné libérera une forte production d’ocytocine, conduisant à de meilleures relations sexuelles et à des orgasmes plus soutenus ».

Mais le baiser ne fait pas qu’augmenter la production de substances chimiques euphorisantes dans nos corps – il réduit aussi nos taux de cortisol et de cholestérol. « Une étude réalisée sur les couples mariés et en concubinage a montré que la fréquence plus élevée des baisers réduisait le stress et le taux de cholestérol. Le stress est un facteur bien connu de risque de maladies cardiaques », ajoute le Dr. Varnado. Un cœur sain, c’est la clé d’une vie plus longue !

Bienfait n° 6 : un antalgique naturel

Dernier point mais non des moindres, le baiser procure une forme naturelle d’antidouleur. Avant de prendre une aspirine la prochaine fois que vous avez mal à la tête, attrapez votre chéri(e) et embrassez-le/la à pleine bouche à la place. Le Dr. Varnado ajoute que : « Le baiser libère des substances chimiques naturelles dans le corps appelées endorphines. Ces dernières peuvent être plus puissantes que la morphine pour soulager la douleur », et tout cela bien entendu sans les effets secondaires négatifs liés à la prise d’un narcotique.

Il semble que votre corps comporte déjà tous les outils et substances chimiques nécessaires à votre bien-être, votre santé et à votre gestion du stress… La première chose à faire est donc d’embrasser votre partenaire !

10 janvier, 2013

Comment éviter ces fichus kilos d’hiver ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 18:19

Comment éviter ces fichus kilos d’hiver ?

Il est généralement admis qu’il est normal de grossir en hiver pour cause de froid, de baisse de moral, de besoin de se réchauffer avec les traditionnels plats bien roboratifs et de se faire du bien avec des produits gras et sucrés.

Comment contourner ces idées reçues afin de ne pas engranger de kilos en trop ?

  • Dépenses caloriques en berne ?
  • Moral dans les chaussettes ?
  • Envie de plats consistants ?
  • Soupe tous les soirs
  • Fruits à chaque repas
  • Prenez soin de vous !

Dépenses caloriques en berne ?  

Quand il fait froid, les dépenses caloriques augmentent, ceci parce que votre système de thermorégulation s’active plus afin de maintenir la température de votre corps

Oui ! Mais ça c’est la théorie et c’était valable du temps où les maisons étaient chauffées avec une cheminée et qu’on s’activait dehors dans le froid glacial en coupant le bois nécessaire pour nourrir cette cheminée. On dépensait alors un paquet de calories !

Cela n’est plus le cas maintenant ! Votre système de thermorégulation fonctionne au ralenti car il y a du chauffage partout, y compris dans les voitures.

En plus, justement parce qu’il fait froid, vous avez une fâcheuse tendance à ne plus sortir le vélo, à renoncer aux séances de footing. L’idée de vous déshabiller vous fait horreur, donc vous éliminez la piscine et la salle de gym.

Si vous n’avez pas l’habitude de ces exercices bénéfiques, vous abrégez toutes les occasions de marcher. De toute façon, le canapé est votre lieu favori.

Résultat : vous vous bougez beaucoup moins et vous thermorégulez normalement.

Conséquence : vos dépenses caloriques sont diminuées lorsqu’il fait froid. Il n’y a aucune raison, bien au contraire, pour manger plus !

Solution : bougez-vous à la maison !
Investissez dans un vélo d’appartement (et pédalez en regardant la télé). Ou bien devant un DVD de gym, comme celui de Jane Fonda, le top du top actuel surtout si vous avez les articulations susceptibles.
  

Moral dans les chaussettes ?  

C’est assez habituel en hiver.

Les jours sont courts, le soleil est rare, le froid et la pluie ne donnent pas vraiment envie de se distraire. Enfants, ados, parents ne sont pas non plus d’une humeur enchanteresse, et ils vous cassent les pieds plus que de coutume.

On vous rabache les oreilles avec la crise et même si par bonheur vous avez un boulot sûr, un compte bancaire pas dans le rouge et des ados pas alcooliques, vous ne pouvez vous empêcher de cafarder et de ressasser les problèmes quotidiens, inhérents à toute vie.

Résultat : vous vous consolez volontiers avec une barre bien sucrée et bien grasse ou vous plongez dans la boîte de biscuits. Après, vous vous sentez mieux.

Conséquence : vous emmagasinez des calories dont vous n’avez pas du tout besoin.

Solution : il est fort possible que vous soyez en manque de vitamine D, elle joue aussi son rôle dans le moral.
Rechargez-vous en profitant du moindre rayon de soleil et en mangeant souvent des tartines de foie de morue (en boîte, délicieux avec un jus de citron), des rillettes de sardines et/ou de maquereaux.
 

Envie de plats consistants ?  

Ne vous en privez surtout pas !

Mais cuisinez-les avec le minimum de corps gras. Si vous dégraissez les morceaux de viande, si vous jetez l’huile de la cocotte après les avoir fait revenir, un bon bœuf bourguignon, une savoureuse daube ne vous apporteront guère plus de calories qu’une entrecôte. Doublez les quantités de légumes qui les garnissent.

Pendant les week-ends, préparez un pot-au-feu, c’est le plat de saison par excellence, super pratique. Les restes de légumes se transforment en soupe, ceux de viande en hachis parmentier. Seule précaution à prendre : bien dégraisser le bouillon.
Cela n’est pas difficile : laissez-le refroidir puis mettez-le au congélateur pendant 30 minutes, la graisse monte à la surface et elle est alors facile à éliminer.

Pour changer du pot-au-feu, pensez à la poule au pot : elle se prépare et s’utilise ensuite de la même façon.
   

Soupe tous les soirs  

Bien épaisse, la soupe remplit l’estomac et vous cale.

Vous mangerez moins ensuite et vous aurez ainsi votre quota de légumes. Inutile d’y ajouter du beurre ou de la crème, vous ne feriez que nuire à la saveur des légumes et ajouter des calories superflues.

Les légumes d’hiver se prêtent beaucoup mieux aux soupes que ceux d’été : aucune excuse pour ne pas en préparer n’est valable !

Si vous avez peu de temps (ou de courage), contournez l’épluchage en la préparant avec des légumes surgelés nature ou bien avec ces mélanges de légumes frais coupés, en barquette, et prêts à l’emploi.

Et, au pire, achetez des soupes en briques, qu’il vous suffit de chauffer au micro-ondes. Mais choisissez celles qui sont vraiment natures, et bio de préférence : scrutez les étiquettes.

Fruits à chaque repas  

Les fruits vous apportent sels minéraux et vitamine C, indispensables pour lutter contre les méfaits du froid et vous redonner de lénergie.

Pour le petit-déjeuner, épluchez des clémentines, détachez les segments et mettez-les dans une coupe. Préparez cela la veille au soir : ainsi tout le monde en mangera facilement, tels ou mélangés dans du fromage blanc ou un yaourt.

Au déjeuner, pas de problème : il y a des fruits ou de la salade de fruits dans tous les restaurants d’entreprise et dans les fast-foods.
Même si celle-ci sort d’une boîte industrielle, c’est mieux que rien. Et vous pouvez fort bien grignoter une mandarine dans l’après-midi.

Au dîner, variez de temps en temps avec des fruits exotiques : tous sont très riches en vitamine C et en antioxydants et ça change des sempiternelles pommes et poires.
Préparez un de ces fruits en salade mélangé avec une mangue ou une papaye.  

Prenez soin de vous !  

Ne perdez pas votre corps de vue, surtout si vous l’enfouissez dans des couches de vêtements.

Gommez, crémez, hydratez, massez comme si vous deviez aller à la plage dans l’après-midi ou le lendemain.

Vous êtes toute pâlichonne ?

L’autobronzant, ça s’utilise toute l’année, pas seulement à la veille des vacances et du maillot de bains !

Si votre corps vous plaît, vous limitez aussi au maximum le risque des kilos d’hiver. 

Cela va vous demander un petit effort, comme celui de vous bouger à la maison, de préparer des soupes et des pot-au-feu ? Certes !

Mais ce sont les bons moyens – pas vraiment désagréables, reconnaissez-le – pour ne pas grossir en hiver.

Et rien ne vous empêche, pour vous récompenser de ces efforts, de savourer un bon morceau de chocolat. On vous l’a déjà expliqué en détails, c’est très bénéfique !

Article publié par le 07/01/2013

Sources : Depression Is Associated With Decreased 25-Hydroxyvitamin D and Increased Parathyroid Hormone Levels in Older Adults, Witte J. G. Hoogendijk, MD, PhD; Paul Lips, MD, PhD; Miranda G. Dik, PhD; Dorly J. H. Deeg, PhD; Aartjan T. F. Beekman, MD, PhD; Brenda W. J. H. Penninx, PhD – Arch Gen Psychiatry. 2008;65(5):508-512. doi:10.1001/archpsyc.65.5.508.

7 décembre, 2012

Mal aux cervicales ? 5 exercices pour les renforcer !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 19:36
Mal aux cervicales ? 5 exercices pour les renforcer !

Vous avez les cervicales fragiles ?

Votre cou et vos épaules sont parfois à l’origine d’une gêne, voire d’une douleur ? Il est peut-être temps de muscler vos cervicales.

Voici 5 exercices de renforcement à pratiquer plusieurs fois par semaine.

  • Cervicales fragiles à renforcer
  • Musculation des cervicales : exercice n°1
  • Musculation des cervicales : exercice n°2
  • Musculation des cervicales : exercice n°3
  • Musculation des cervicales : exercice n°4
  • Musculation des cervicales : exercice n°5

Cervicales fragiles à renforcer

 Vos cervicales n’assurent pas toujours et de moins en moins ? Certaines positions, certains mouvements et certaines activités, comme le travail sur ordinateur par exemple, peuvent provoquer des raideurs, une gêne, voire parfois une douleur dans le cou et les épaules. Pour faire disparaître ces malaises, commencez par renforcer vos cervicales en réalisant de simples exercices.

Attention, les exercices proposés ici visent uniquement à diminuer les tensions qui siègent dans le haut du dos. Les torticolis et autres problèmes d’arthrose susceptibles de toucher les cervicales relèvent de la compétence d’un médecin ou d’un kiné.

Il est temps de renforcer les cervicales et de les assouplir.

Quelques exercices pour vous y aider !

Musculation des cervicales : exercice n°1

 Croisez vos mains derrière la tête, coudes écartés sur les côtés et menton rentré.

Vos mains poussent votre tête vers l’avant, tandis que votre tête résiste en poussant vers l’arrière.

Procédez par pressions brèves, sans faire le mouvement dynamique.

Répétez les pressions 15 à 20 fois.

Musculation des cervicales : exercice n°2

Placez la paume d’une de vos mains sur votre front en guise d’appui.

Poussez la tête vers le bas comme pour réaliser une flexion.

Là encore, procédez par pressions brèves, sans faire véritablement de mouvement.

Répétez les pressions 15 à 20 fois.

Vous pouvez aussi croiser les mains devant votre front, les paumes tournées vers l’extérieur.  

Musculation des cervicales : exercice n°3

 Placez cette fois-ci une paume de main sur chaque tempe, les coudes écartés sur les côtés.

Alternativement, une main puis l’autre, exerce une brève pression à laquelle votre tête doit résister pour se maintenir en position droite.

Musculation des cervicales : exercice n°4  

Il s’agit d’une variante de l’exercice précédant : inclinez votre tête sur le côté et appliquez la paume de votre main sur votre tempe du côté opposé pour exercer une résistance.

Musculation des cervicales : exercice n°5

Bras tendus au-dessus de la tête, croisez vos mains et exercez une forte traction comme pour les séparer. Redescendez les bras tout en maintenant l’effort.

Prenez votre temps pour faire ces exercices. Surtout évitez les mouvements et pressions rapides. Très progressivement, augmentez légèrement l’intensité des pressions afin d’accroître le travail de résistance. Vous pouvez aussi augmenter le nombre de pressions de 20 à 50.
Enfin, pour être efficaces, ces exercices sont à répéter plusieurs fois par semaine, idéalement 3 à 4 fois.

Parallèlement, il est évident que vous devez adopter les bonnes positions lors de toutes vos activités : travail ou loisirs sur ordinateur (hauteur de l’écran, position face au clavier…), bureau (dos bien droit), lorsque vous téléphonez (ne coincez pas le téléphone entre votre oreille et votre épaule), au volant (réglage du siège et des rétroviseurs)… et même pour dormir (nuque dans le prolongement de la colonne vertébrale) ou regarder la télévision (yeux à hauteur de l’écran).

Mis à jour par Isabelle Eustache le 05/11/2012
Créé initialement par Isabelle Eustachele 22/06/2009

Sources : Rhumatologie en Pratique, http://www.rhumatopratique.com ; Association Française de Chiropratique www.chiropratique.org ; Commission scolaire de la Région de Sherbrooke, Canada.

8 octobre, 2012

Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 23:12

 Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ?

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ? dans Santé (166) ginseng
Contre le vieillissement de l’organisme, il existe des plantes,   des aliments et des épices qui ont de grandes propriétés antioxydantes.

Quels sont les plus antioxydants ?

  • Antioxydants : les aliments et les plantes peuvent agir de deux façons
  • Quelles sont les trois plantes les plus antioxydantes ?
  • Quels sont les aliments les plus antioxydants ?
  • Quels sont les épices les plus antioxydantes ?

Antioxydants : les aliments et les plantes peuvent agir de deux façons  

Ils sont eux-mêmes riches en antioxydants ou bien ils aident notre propre système antioxydant interne.

Rappelons que les antioxydants sont des molécules qui, apportées par notre alimentation, sont également produites par l’organisme. Elles aident à lutter contre les radicaux libres, des molécules qui accélèrent le vieillissement.

Les mettre régulièrement au menu est une excellente façon de lutter contre le vieillissement.

Quelles sont les trois plantes les plus antioxydantes ?  

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  • Le thé
  • Le ginkgo biloda
  • Le ginseng  

Quels sont les aliments les plus antioxydants ?  

Pour vos besoins en antixodydants,  privilégiez les aliments suivants :

Les fruits :

  • Pruneau, prune
  • Raisin sec, raisin noir
  • Myrtille, mûre, framboise, fraise, cerise
  • Kiwi
  • Pamplemousse rose

Les légumes :

  • Ail
  • Chou frisé, chou de Bruxelles
  • Épinard
  • Brocoli
  • Betterave
  • Poivron rouge
  • Oignon

Quels sont les épices les plus antioxydantes ?  

Pour agrémenter vos plats, misez sur :

  • Le gingembre
  • Le curcuma
  • Le poivre noir
  • La muscade
  • La vanille
Précisons que ces aliments, épices et plantes, aussi bénéfiques soient-ils, doivent accompagner une alimentation variée et équilibrée.
Pas question de manger à l’excès des pruneaux et des épinards, et de négliger les autres aliments. 
 

 Sources : Sources : Isabelle Delaleu, Anne Dufour et Muriel Gaudin, « 100 réflexes pour rajeunir en beauté », éditions Leduc.  

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28 septembre, 2012

Choisir le bon pain, la clé d’une alimentation équilibrée !

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 8:44

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Gris, blanc, complet, aux graines ou multicéréales

Il existe une multitude de sortes de pains. Et c’est une bonne nouvelle, car il est à la base d’une alimentation équilibrée.

À condition, bien sûr, de faire le bon choix !

  • Pain et régime, incompatibles ?
  • Pain blanc ou pain complet ?
  • Du pain pour tous les goûts !

Pain et régime, incompatibles ?  

Pour commencer, tordons le cou à une idée reçue : le pain ne fait pas grossir.

Il est donc inutile de le bannir d’emblée de son alimentation, même lorsque l’on souhaite perdre du poids. Le tout est de ne pas en manger en accompagnement d’un autre féculent (riz, pâtes…) et de ne pas en consommer excessivement, sachant qu’une tranche de pain apporte entre 20 et 40 kcal selon sa variété.

En réalité, lorsqu’il est bien choisi, le pain répond à toutes les recommandations des diététiciens en termes de composition nutritionnelle. En effet, il contient :

  • des fibres alimentaires, qui facilitent le transit intestinal et provoquent une sensation de satiété,
  • des glucides complexes (essentiellement de l’amidon), qui, digérés, se transforment en glucose et fournissent de l’énergie au corps,
  • des vitamines du groupe B qui participent au bon fonctionnement cellulaire et du système nerveux et de la vitamine E qui possède des vertus antioxydantes,
  • des minéraux, tels que le potassium, le magnésium, le fer, le calcium et le phosphore.
Ce qui fait grossir, ce n’est pas le pain, mais bien les charcuteries, fromages et autres confitures que l’on met dessus !  

Pain blanc ou pain complet ?  

Sans hésitation, les diététiciens conseillent de privilégier le pain complet. Son atout ? Sa teneur élevée en fibres alimentaires.

Contrairement au pain blanc, le pain complet est fabriqué à partir d’une farine dans laquelle on utilise des grains de blé complets. Et c’est justement dans le son et le germe que l’on retrouve le plus de fibres alimentaires mais aussi de minéraux et de vitamines.

Une règle simple s’impose pour bien choisir son pain : plus la mie est foncée, plus les qualités nutritionnelles sont intéressantes ! 

En cas de trouble digestif, le pain blanc convient cependant mieux à la muqueuse intestinale fragilisée : il est plus facile à digérer grâce à sa mouture fine et à son taux réduit en fibres alimentaires.

Cependant, il est conseillé de réintroduire petit à petit le pain complet, à fine mouture et sans graines, dans l’alimentation. L’idéal est de commencer par du pain semi-complet pour ne pas surcharger brutalement l’intestin.  

Du pain pour tous les goûts !  

On trouve dans les boulangeries des dizaines de sortes de pains différents, il serait dommage de ne pas en profiter.

En variant le pain que vous consommez, vous découvrez de nouvelles saveurs mais vous diversifiez aussi vos apports nutritionnels. Seigle, épeautre, froment… chaque céréale a une particularité nutritionnelle qui la rend intéressante dans le cadre d’une alimentation équilibrée.

N’oubliez pas non plus les pains aux graines (tournesol, sésame, lin…) : celles-ci sont très riches en acides gras poly-insaturés, qui contribuent à la bonne santé cardiovasculaire.

Évitez, par contre, le pain de mie : il fait souvent l’objet d’adjonction de sucres rapides et de matières grasses. De plus, ce pain mou, tout comme les sandwiches, est trop facile à mâcher et retarde l’apparition du sentiment de satiété

Souvent associée au régime, la biscotte est, en réalité, beaucoup moins diététique qu’il n’y paraît. Non seulement elle présente un pourcentage en matières grasses supérieur à celui du pain, mais on la mange aussi souvent généreusement garnie.
Au final, elle est donc plus grasse et plus sucrée.

Un régime « biscotte » ? Une fausse bonne idée !   

Article publié par Stéphanie Koplowicz, Journaliste Santéle 24/09/2012

Sources : Jessica Wouters, diététicienne-nutritionniste au centre paramédical Dietconsult, www.dietconsult.be  

Choisir le bon pain, la clé d’une alimentation équilibrée ! dans Santé (166) pains

19 septembre, 2012

La confiance en la pharmacologie a ses limites …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 6:59

58 médicaments dangereux, la liste !

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Le Pr Bernard Debré et le Pr Philippe Even dévoilent une liste de 58 médicaments jugés « dangereux » pour la santé.

Des médicaments bien connus du grand public, largement prescrits et remboursés pour la plupart !

Voici la liste.

Médicaments cardio-vasculaires : 4 vasodilatateurs coronaires et artériels : Adancor (Derono), Ikorel (Sanofi), Vastarel et Trivastal (Servier), 1 anti-insuffisance cardiaque : Procoralan (Servier),  1 antiarythmique : Multas (Sanofi), 3 anticoagulants ou antiagrégants : Ticlid (Sanofi), Pradaxa (Boehringer), Xigris (Lilly).
Pilules contraceptives : Cycleane, Mercilon, Varnoline (Schering Prough), Melodia, Yaz, Diane 35, Jasmine-Jasminelle (Bayer), Carlin, Triafemi, Holgyème (Effik), Minesse (Wyeth), Felixita (Theramex), Lumalia (Pierre Fabre), Evépar (Mylan), Minerva (Biogaran).
Anti-inflammatoires : Indocide (MSD), Nexen (Therabel), Ketum cutané (Ménarini), Celebrex (Pfizer), Arcoxia (MSD).
Antidiabétiques : Byetta (Lilly), Victoza (NovoNordisk), 8 Gliptines : Galvus et Eucrers (Novartis), Januvia et Janumet (MSD), Xanuvia et Velmétia (Pierre Fabre), Trajenta et Onglyzia (Boehringer), 2 glitazines : Actos et Compecta (Takeda).
Antiparkinsonniens : Celance (Lilly), Parlodel (Pfizer, également prescrit pour inhiber la lactation lors de l’allaitement), Requip (GSK) et Tasmar (Madiapharma).
Anti-ostéoporose : Protelos ( Servier).
Médicaments psychiatriques : Ritaline (Novartis), Concerta (Janssen), Tofranil (CSP), Anafranil (Sigma-Tau), Surmontil (Sanofi) et Stablon ( Servier).
Anticrampes musculaires : Hexaquine et Quinine-vitamine C (Goménol) et Okimus (Biacodex).
Stimulant respiratoire : Vectarion (Servier).
Antitabac : Champix (Pfizer) et Zyban (GSK).
Anti-angiogènes en cancérologie : Avastin (Roche).

Source Le Nouvel Observateur, 13 septembre 2012.

Le 13/09/2012 - Marion Guégan, rédactrice santé

Bernard Debré, député UMP de Paris, et Philippe Even, directeur de l’Institut Necker, auteurs en 2011 d’un rapport au vitriol dans l’affaire du Mediator, ont passé au crible 4.000 médicaments dans « un livre choc » intitulé « Guide des 4.000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux ». C’est « un livre d’information, pas d’opinion », assure le Pr Even dans une interview vidéo au Nouvel Observateur.

L’ancien doyen de la Faculté de médecine de Paris lance néanmoins une nouvelle charge contre l’industrie pharmaceutique, qualifiée de « la plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries ». Selon le Pr Even, pour régler le problème du manque d’argent dans le domaine de la santé et du déficit de l’assurance maladie, « il suffirait de retirer du marché les médicaments dangereux, inutiles ou inefficaces ».

Le livre recense ainsi,le Figaro « 50% de médicaments inutiles, 20% de mal tolérés, 5% de ‘potentiellement très dangereux’, mais, incroyable paradoxe, 75% sont remboursés ». A suivrel’évolution de ce constat !

Nos médecins en tiendront-ils compte ? Il est évident que nous devons limiter les dépenses sociales, bien des prescriptions parfois sont inutiles ou mal adaptées et nos médecins ne se laissent-ils pas quelquefois influencer par les offres alléchantes des laboratoires vantant leurs produits ? …

11 septembre, 2012

Pourquoi j’ai les yeux secs ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 21:02

 

Pourquoi j’ai les yeux secs ?

Les yeux qui piquent, cette impression de sable sous la paupière, la vision qui se trouble…

Nombreux sont ceux qui ont déjà connu la désagréable expérience des « yeux secs ».

Quelles en sont les causes ? Comment traiter ce problème des yeux secs ?

Zoom sur la sécheresse oculaire.

Quels sont les symptômes de la sécheresse oculaire ?

 La sécheresse oculaire désigne non pas une maladie mais un symptôme qui peut être causé par un ensemble de maladies.

Leur point commun ? Elles affectent la production des larmes et la surface de l’œil.

Yeux secs : pas un mais plusieurs symptômes…

 Les symptômes les plus fréquents :

  • Des picotements dans les yeux.
  • Une sensation d’inconfort, d’irritation voire des douleurs.
  • L’impression qu’un corps étranger, comme du sable, s’est glissé sous vos paupières.
  • Une baisse de la vision.
  • Des yeux rouges.
Dans le cas de la sécheresse oculaire, le larmoiement excessif est paradoxal : il est dû à la mauvaise qualité des larmes et à une réaction-réflexe s’est déclenchée pour en produire davantage.  

Pourquoi ces « yeux secs » ? Les causes de la sécheresse oculaire  

  • Un environnement propice à la sécheresse oculaire :
    Une mauvaise qualité de l’air, le vent ou le tabac sont susceptibles de provoquer ces sensations d’inconfort.
  • Le « syndrome de l’informaticien » :
    Vous passez la journée derrière un écran d’ordinateur ?
    Peut-être êtes-vous atteint(e) de ce syndrome fréquent dans le monde du travail.
    L’exposition prolongée aux écrans
    provoque en fait une anomalie dans le clignement des yeux.

    Le conseil d’e-santé : accordez quelques minutes de repos à vos yeux toutes les heures.
  • Le port de lentilles de contact, depuis quelques années :
    Il peut entraîner une perte de sensibilité de la surface de l’œil.
    Le réflexe de base du larmoiement est dès lors plus faible.
    Pour éviter ce problème, consultez régulièrement votre ophtalmologue pour vérifier que l’interaction entre vos lentilles et vos yeux est toujours optimale.
  • L’âge :
    En vieillissant, nous devenons plus à risque de développer une sécheresse oculaire.
  • Un dysfonctionnement hormonal :
    C’est l’une des raisons pour lesquelles les femmes sont plus souvent sujettes à la sécheresse oculaire que les hommes.
    La ménopause, les règles ou la grossesse sont toutes susceptibles de troubler le bon fonctionnement hormonal.
  • Une anomalie anatomique de l’œil.
  • Les effets secondaires de certains médicaments (certains antidépresseurs, contraceptifs, antihistaminiques…).
  • L’évaporation de différentes composantes de la larme :
    Cette évaporation peut être due à un dysfonctionnement des glandes de Meibomius.
    Situées au bord des paupières, elles sécrètent un substance huileuse dont la fonction est de ralentir l’évaporation des larmes.
  • Une maladie auto-immune :
    La maladie de Gourgerot – Sjögren, par exemple, abîme la glande lacrymale principale.
    Cette maladie est rare et ne touche pas seulement les yeux.
    Elle est aussi responsable d’une atteinte des glandes salivaires et d’une sécheresse de bouche.

Yeux secs : quel traitement ?  

Vous souffrez de sécheresse oculaire ?

Parlez-en à votre ophtalmologue : il vous aidera à en soulager les symptômes et à en déterminer la cause.

  • Soulager les symptômesIl existe des larmes artificielles (collyre) qui se substituent aux larmes naturelles.
  • Traiter la causeEn toute logique, le traitement proposé varie en fonction de la cause de la sécheresse oculaire : éviction des médicaments dont les effets secondaires ont été mis en cause, prise d’un traitement en cas de maladie auto-immune, opération, massage spécifique des paupières en cas de dysfonctionnement des glandes de Meibomius,…
Article publié par le 10/09/2012

Sources : Dr Mamisoa Andriantafika, ophtalmologue.

 

14 août, 2012

Piqûre de frelon : grave ou pas ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 23:25

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Les piqûres de frelon et d’insectes font partie des maux typiques de l’été.

Si ces prédateurs ailés s’invitent en terrasse, aux pique-niques et aux barbecues, ne les laissez pas gâcher votre plaisir.

Rappelez-vous plutôt l’adage : une petite bête ne mange pas une grosse !

Frelon, guêpe et abeille : même combat !

 Cousin de la guêpe et de l’abeille, le frelon effraie par sa taille : 35 millimètres de long !

Il est vrai que son dard est toujours prêt à réagir en cas d’attaque. L‘arrivée du frelon asiatique, réputé plus agressif, fait peur aussi.

Mais les frelons ne sont pas plus dangereux que des insectes plus petits et plus habituels, à condition de ne pas être allergique. Ils sont même peu agressifs : à moins de déranger un nid ou de vous agiter, le risque d’être piqué est pratiquement inexistant.

Quant au venin du frelon, il est même moins toxique que celui de l’abeille.
En revanche, la piqûre du frelon est connue pour être particulièrement douloureuse. Son dard plus long s’enfonce en effet plus profondément dans la peau. Le venin peut donc être directement injecté dans les vaisseaux sanguins, ce qui accélère la réaction.

 Piqûres : trois réactions possibles

 En général, il y a plus de peur que de mal : 70% des appels reçus dans les centres enti-poison concernent des réactions locales dont les symptômes (rougeur, douleur et gonflement) ne nécessitent pas d’intervention médicale.

Il faut, en revanche, réagir rapidement face à certaines piqûres de frelon, de guêpe ou d’abeille :

  • Au niveau de la bouche ou de la gorge :
    le risque d’étouffement suite au gonflement de la zone est sérieux.
  • Au niveau de l’œil :
    c’est une piqûre rare, mais qui exige une intervention d’urgence.
  • En cas de piqûres multiples (une vingtaine), la quantité de venin injectée dans le corps est bien plus importante et une réaction toxique est à craindre.
    Cette réaction peut se manifester par des vomissements, des maux de tête, de la diarrhée, voire des chutes de tension et une perte de connaissance.
    Hospitalisation et surveillance médicale sont de mise !

Chez certaines personnes, une seule piqûre de frelon peut provoquer une réaction locale étendue.

Un gonflement local de plus de 10 cm et des symptômes (rougeur, douleur et gonflement) persistant 12h après la piqûre doivent vous alerter.

Et même si cette fois, vous vous en sortez avec un antihistaminique ou un corticoïde, sachez que 5 à 10% des personnes présentant une réaction étendue risquent de faire une réaction allergique grave lors de la prochaine piqûre.

Moins fréquentes, les réactions allergiques nécessitent une intervention rapide. Elles peuvent se manifester par un urticaire étendu, un gonflement des paupières et de la gorge, des difficultés respiratoires, une chute de tension. Ces réactions peuvent être mortelles !

Vous craignez d’être allergique aux piqûres de frelon, de guêpe ou d’abeille, mais vous n’en êtes pas sûr(e) ?
Consultez un allergologue qui vous aiguillera vers un test cutané ou des séances de désensibilisation. 

 Piqûre de frelon : les gestes qui sauvent  

  • En cas de piqûre de frelon, retirez l’eventuel dard et désinfectez la plaie avec une solution antiseptique.
    Si la douleur est intense, un antidouleur vous soulagera.
  • Si vous êtes piqué(e) au doigt, retirez vos bagues avant que le doigt ne gonfle.
  • N’oubliez pas que ce type d’insecte fréquente les poubelles, et peut donc transmettre des virus ou des bactéries…
    Une piqûre est donc une bonne occasion de vérifier que vous êtes bien vacciné(e) contre le tétanos, et si ce n’est pas le cas, de faire un rappel.
  • Vous observez une réaction anormale ?
    Une intervention médicale rapide s’impose : contacter le Samu (15). Un antihistaminique ou un corticoïde peuvent également ralentir la réaction.
  • Vous soupçonnez une allergie ou vous êtes allergique ?
    Soyez particulièrement prudent(e).
    Evitez de manger et de boire des boissons en cannette à l’extérieur : nos aliments attirent les frelons, les guêpes et les abeilles.
    N’hésitez pas à prévenir vos proches et gardez sur vous un antihistaminique et un corticoïde oral, voire une injection d’adrénaline en cas d’allergie sérieuse.

Article publié par  le 13/08/2012

Sources : Dr. Martine Mostin, directrice du centre antipoison.

 

(more…)

19 juillet, 2012

Faut-il attendre une heure avant d’aller se baigner ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 13:36
Faut-il attendre une heure avant d'aller se baigner ?

Selon une très vieille croyance populaire, il ne faut pas aller se baigner juste après le déjeuner, mais attendre au moins une heure que digestion se fasse.

Cette croyance est-elle vraiment justifiée ? Faut-il vraiment attendre une heure avant d’aller se baigner ?

  • Quel délai entre le déjeuner et la baignade ?
  • Sur quoi repose une telle croyance ?

Quel délai entre le déjeuner et la baignade ?

 Selon des experts canadiens et américains de la Croix Rouge, cette légende ne repose sur aucun fait concret.

Autrement dit, il n’existe aucun argument valable pour interdire la baignade après un déjeuner, qu’il s’agisse de la baignade récréative des enfants, de la baignade rafraîchissante des parents ou d’une baignade sportive.

 Bien entendu, il est préférable d’éviter les repas très copieux, très gras et arrosés d’alcool, car en prolongeant la digestion, de tels repas s’accompagnent d’un sentiment d’inconfort quel que soit le type d’activités, allant de la lecture à la sieste en passant par la baignade.

Sur quoi repose une telle croyance ?

Certains disent qu’il est nécessaire d’attendre la fin de la digestion.

Or, la digestion est un processus qui dure des heures, au minimum 3 heures selon la nature du repas. Il faudrait donc attendre plus de 3 heures avant d’aller se baigner et non pas seulement une petite heure.

Selon d’autres croyances, c’est une question de température.

En effet, lors de la digestion, la température corporelle s’accroît, ce qui augmente le risque de malaise par choc thermique lorsque l’on entre dans l’eau. Cette différence est cependant minime et il suffit d’entrer progressivement dans l’eau et de mettre un peu d’eau sur sa nuque pour atténuer la transition.

Une autre hypothèse repose sur le fait que l’estomac et les muscles des membres entreraient en compétition pour le sang oxygéné. Après un repas, le sang afflue au niveau de l’abdomen, mobilisé pour la digestion, et donc indisponible pour les muscles. Seulement voilà, le volume de sang oxygéné est largement suffisant pour subvenir en même temps à la digestion et à l’activité musculaire des membres.

En conclusion, mieux vaut faire un repas pas trop riche avant une baignade pour une question de confort.Mais se baigner juste après manger n’est pas associé à un risque accru de noyade….

D’ailleurs, il est bien recommandé aux nageurs olympiques de manger un peu avant une compétition….

Mis à jour par Isabelle Eustache le 02/07/2012
Créé initialement par Isabelle Eustachele 28/07/2008

Sources : La presse canadienne, 16 juillet 2008.

16 juillet, 2012

Barbecue et santé : le vrai du faux …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 17:51

Barbecue et santé : le vrai du faux ... dans Santé (166) testbarbecue1

Les plaisirs du barbecue, c’est maintenant ! Pour apprécier ce mode de cuisson régulièrement tout au long de l’été, et ne prendre aucun risque pour votre santé, quelques précautions s’imposent.

Et vous, savez-vous comment cuire au barbecue sans risque ?

  • La cuisson de la viande au barbecue génère des substances cancérigènes.
  • La viande cuite au barbecue ne doit pas toucher les flammes.
  • Au barbecue, la viande doit être saisie à très haute température.
  • Inutile de nettoyer la grille entre chaque barbecue.
  • Ajouter des ceps de vigne au charbon de bois est une excellente idée.
  • La grille doit être placée à 5 cm des braises.
  • Pour une cuisson saine au barbecue, plus la viande est maigre, mieux c’est.
  • Il ne faut pas respirer la fumée ni l’air chaud dégagés par le barbecue.
  • Pour raviver les flammes, il faut utiliser un liquide inflammable, type alcool à brûler.
  • Après utilisation, on arrose les braises avec de l’eau.

La cuisson de la viande au barbecue génère des substances cancérigènes.

 Vrai.

La viande cuite à haute température (plus de 300°C) génère des composés chimiques potentiellement cancérigènes. C’est pourquoi on conseille de ne pas manger les parties noircies et de ne pas cuire sa viande systématiquement et tout au long de l’année au barbecue.
 
Au barbecue, la viande doit être saisie à très haute température.

Faux.

Pour limiter la formation de composés cancérigènes, on recommande inversement de réduire l’intensité du feu.
 
Inutile de nettoyer la grille entre chaque barbecue.

 Faux.

 Les résidus collés sur la grille sont des concentrés d’hydrocarbures,qui risquent de contaminer les aliments du prochain barbecue.

 La viande cuite au barbecue ne doit pas toucher les flammes.

Vrai.

Eviter le contact direct avec les flammes diminue la formation des composés cancérigènes.
 
 Ajouter des ceps de vigne au charbon de bois est une excellente idée.

Faux.

 Il y a des fongicides dans les ceps de vignes. Quant aux cageots et poutres, ils apportent des pesticides. Utilisez un charbon de bois certifié NF qui permet d’éviter les polluants.

La grille doit être placée à 5 cm des braises.

Faux.

 Les aliments doivent être placés à 10 cm des braises,car une température trop chaude (300 à 600 °C) favorise la formation d’hydrocarbures cancérigènes.

 Pour une cuisson saine au barbecue, plus la viande est maigre, mieux c’est.

 Vrai.

Il faut éviter que les graisses ne coulent sur les braises, s’enflamment et dégagent de la fumée lors de la cuisson. Privilégiez les morceaux maigres (poulet, veau, etc.) ou ôtez un maximum de gras apparent de vos steaks et brochettes.

Il ne faut pas respirer la fumée ni l’air chaud dégagés par le barbecue.

 Vrai.

La fumée et l’air chaud dégagés par le barbecue contiennent du monoxyde de carbone, comme la fumée de cigarette ou les feux de cheminée.
 

Pour raviver les flammes, il faut utiliser un liquide inflammable, type alcool à brûler.

 Faux.

Surtout, n’utilisez jamais aucun liquide inflammable (type alcool à brûler) pour raviver les flammes de votre barbecue !

 Après utilisation, on arrose les braises avec de l’eau.

 Vrai.

C’est la meilleure façon de s’assurer qu’il est bien éteint et qu’il n’y a plus aucun risque.De toute façon, un barbecue qui chauffe ne doit jamais être laissé sans surveillance, même s’il n’y a plus aucun aliment sur la grille.
 
 Article publié par Isabelle Eustache le 12/07/2012
 

3 juillet, 2012

Boule sous la peau : qu’est-ce qu’un lipome ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 20:53

 

Boule sous la peau : qu’est-ce qu’un lipome ?

Un lipome est une boule de graisse qui apparaît sous la peau.

Des lipomes peuvent se développer à n’importe quel endroit de l’organisme.

Bénin, le lipome présente des caractéristiques spécifiques permettant de le différencier d’une tumeur maligne…

  • Un lipome, c’est quoi exactement ?
  • Comment reconnaître un lipome ?
  • Faut-il enlever les lipomes ?
  • Comment différencier un lipome d’une tumeur cancéreuse ?

Un lipome, c’est quoi exactement ?

 Les lipomes sont des amas de cellules graisseuses sous-cutanés qui prennent l’aspect de boules sous la peau.
On ne sait pas exactement pourquoi ils se forment.

Les lipomes sont plus fréquents chez les femmes que chez les hommes.

Ils peuvent se développer à n’importe quel endroit sans que l’on sache pourquoi. Toutefois, ils apparaissent plus souvent sur les avant-bras, le torse et la nuque, mais peuvent aussi siéger sur un sein par exemple (faisant penser aux femmes qu’il s’agit d’une tumeur).

Alors que certaines personnes développent un seul lipome, d’autres en ont plusieurs.

Comment reconnaître un lipome ?

 Les lipomes sont présents juste sous la peau, formant des nodules de formes rondes ou ovales, au contour lisse.

  • La peau qui recouvre le lipome a un aspect normal.
  • Leur diamètre dépasse rarement 5 à 7,5 cm.
  • De consistance molle, ces boules se déforment sous les doigts.
  • À noter cependant que parfois, certains lipomes ont une consistance assez dure.

Faut-il enlever les lipomes ?

 Les lipomes sont des masses lipidiques bénignes.

Il est très rare qu’elles se transforment en tumeur maligne.

Les lipomes n’entraînent généralement aucun trouble et ne nécessitent aucune intervention.

Mais selon leur localisation, à proximité d’un nerf par exemple, ils peuvent être douloureux.

Ils peuvent aussi être gênants en fonction de leur taille, de leur nombre et de l’endroit ils se trouvent.

Il est alors possible de les enlever par :

  • Ablation chirurgicale.
  • Liposuccion (qui consiste à aspirer les cellules graisseuses qui constituent le lipome).

Comment différencier un lipome d’une tumeur cancéreuse ?

 Un lipome n’est pas un cancer.

Encore une fois, il s’agit d’une masse de tissu graisseux généralement bénigne qui ne nécessite aucune intervention.

En revanche, il est vrai qu’une boule peut être de nature cancéreuse. Mais les caractéristiques de cette boule sont alors très différentes de celles du lipome :
  • la boule est dure et non souple comme pour le lipome,
  • ses contours sont irréguliers contrairement au lipome,
  • et, adhérant aux tissus, la boule n’est pas mobile sous les doigts.   
Malgré des caractéristiques spécifiques, au moindre doute, il ne faut pas hésiter à consulter son médecin.Par précaution, celui-ci peut proposer une biopsie afin de vérifier la nature du tissu prélevé et écarter ainsi tout risque de cancer.
Article publié par  le 02/07/2012

Sources : Manuel Merck, Editions Larousse.

 

19 mars, 2012

Sucre ou gras : qu’est-ce qui fait le plus grossir ?

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 20:04

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Tour à tour, nous accusons le gras et le sucre d’être responsables de la progression de la prise de poids et de l’obésité. Il faut dire que notre consommation de matières grasses a fortement augmenté au cours des dernières décennies, tout comme celle de sucre… Que faut-il savoir à propos du sucre et des acides gras ? Quel est le pire des deux en matière de prise de poids ?

  • Le gras est plus calorique que le sucre
  • Méfiez-vous du gras caché
  • Méfiez-vous du sucre caché
  • Que retenir en pratique pour ne pas grossir à cause du sucre et du gras ?

Le gras est plus calorique que le sucre

 La première chose à savoir est que les lipides (matières grasses ou acides gras) apportent plus de calories que les glucides. Ainsi, pour chaque gramme de sucre consommé, on apporte à notre organisme 4 calories, tandis qu’un gramme de lipides apporte 9 calories.

Le gras est donc plus de deux fois plus calorique que le sucre.

C’est ainsi que dans l’équilibre alimentaire, les quantités de lipides recommandées sont moindres par rapport aux glucides (sucres) et aux protéines.

Ainsi, les apports nutritionnels conseillés en lipides sont de 30 à 35% des calories totales ingérées, de 50 à 55% pour les glucides (première source d’énergie) et de 9 à 12% pour les protéines.

À titre indicatif, sachez que la 3e catégorie de nutriments que sont les protéines, apporte comme le sucre 4 calories par gramme.

Or notre mode alimentaire a fortement dérivé et ces proportions ne sont plus respectées expliquant la progression du surpoids.

Le problème que l’on rencontre actuellement vient essentiellement du sucre et des matières grasses cachées, résultat de l’industrialisation de notre alimentation. Autrefois, lorsque l’on cuisinait soi-même avec des aliments de base, on savait précisément doser les quantités de sucre et de matières grasses ajoutées. Aujourd’hui, ces ingrédients sont cachés dans les produits tout prêts et difficiles à identifier même en lisant la composition sur les étiquettes…

Méfiez-vous du gras caché

Certaines matières grasses donnent du goût, voire du moelleux ou inversement du croustillant. C’est ainsi que les industriels en ajoutent dans la plupart de leurs préparations, voire parfois en abusent. 

Pour ne pas être victime d’excès de gras, la première consigne est de limiter les plats cuisinés et les produits industriels transformés, qui vous incitent à consommer à votre insu un surplus de matières grasses.

Mais le gras se cache dans la plupart des produits courants sans qu’on le soupçonne : à commencer par les viandes, les fromages (le pourcentage de matières grasses de certains fromages est calculé à partir du poids sec, ce qui porte à confusion), les poissons, les fruits de mer, les sardines à l’huile, les biscuits sucrés et les gâteaux, les biscuits salés, le pain de mie, les pâtes à tarte, à pizza…

Sachez par ailleurs qu’il existe 3 types d’acides gras, les acides gras mono-insaturés, les acides gras polyinsaturés (dont font partie les oméga-3 et les oméga-6), et les acides gras saturés. Ces derniers ne sont pas bénéfiques à la santé et sont donc à limiter : ce sont globalement les graisses d’origine animale (viandes rouges, charcuteries, produits laitiers…). Et méfiez-vous des sauces et vinaigrettes ! Même en petites quantités, ce sont de véritables concentrés de matières grasses !

Méfiez-vous du sucre caché

Comme pour le gras, du sucre est ajouté dans la quasi totalité des produits transformés. Du sucre est même ajouté dans les produits salés (sauces, plats tout prêts, pains industriels, pâtes…).

Quant aux produits que l’on sait par définition sucrés, c’est souvent en excès : soda, boissons aux fruits, céréales du petit-déjeuner, barres chocolatées, gâteaux et biscuits industriels, etc.

Comme avec les matières grasses, revenir aux préparations « maison » permet de doser la quantité de sucre. Il est également nécessaire de freiner sur les boissons sucrées, et si nécessaire de recourir aux édulcorants et aux produits allégés en sucre.

On recommande également de privilégier les glucides à index glycémique (IG) bas au détriment de ceux ayant un IG élevé, le sucre blanc raffiné étant la référence en la matière. Plus l’IG est élevé, plus la sécrétion d’insuline est élevée, augmentant la résistance à l’insuline et le risque de diabète. 

Globalement, les aliments à IG élevés sont ceux à base de sucres raffinés (bonbons, sucre blanc, sodas, sirop d’érable, de maïs, confiture…) et de farines blanches (pain blanc, pâtes peu cuites, riz blanc, muffins, viennoiseries, galettes de riz, céréales de petit déjeuner raffinées et sucrées).

Les aliments à IG bas à favoriser sont : les céréales complètes (pain multi céréales, riz complet ou basmati, pâtes semi-complètes, quinoa, avoine, sarrasin…), lentilles, haricots, fruits naturels, édulcorants…

Que retenir en pratique pour ne pas grossir à cause du sucre et du gras ?

Le gras est à limiter en priorité, mais il faut également se méfier du sucre raffiné (IG élevé). Vous devez aussi prendre conscience et identifier les produits dans lesquels se cachent des quantités supplémentaires de gras et de sucre.

À minima, respecter ces trois règles :

  1. Limiter les produits préparés industriellement en cuisinant vous-même avec des ingrédients de base.
  2. Limiter les produits d’origine animale au profit des produits végétaux.
  3. Privilégier les produits à IG bas et limiter le sucre raffiné.

 Prise de poids : et l’alcool ?
L’alcool aussi fait grossir avec 7 calories par gramme d’alcool, c’est donc plus que le sucre, et pas très loin des lipides… !

Article publié par Isabelle Eustache le 24/02/2012 – 11:27

Sources : Institut Moncey 

5 mars, 2012

Faut-il diaboliser le sucre ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 15:34

 

Faut-il diaboliser le sucre ?

Si on posait la même question pour le tabac, on ferait l’unanimité. Oui, la relation entre le tabagisme, les cancers et les infarctus a été largement démontrée. Oui, la nicotine est une substance puissamment addictive contre laquelle il faut protéger les jeunes. Mais qu’en est-il du sucre qui fait maintenant l’objet d’attaques aux USA aussi bien sur le plan scientifique que politique ?

  • Le sucre, une substance doublement addictive
  • L’usage massif des sucres industriels
  • Alors faut-il diaboliser le sucre ?

Le sucre, une substance doublement addictive

Le sucre est très clairement une substance addictive, et même doublement addictive. Pourquoi ?

Tout d’abord parce qu’à l’instar de la nicotine, nous disposons dans notre cerveau de récepteurs au glucose, la forme chimique la plus simple du sucre.

Ensuite parce qu’au contraire de la nicotine, nous en avons besoin pour vivre, le glucose étant notre source d’énergie la plus directement assimilable. De plus, le cerveau consommant à lui seul le quart de notre énergie, sa dépendance au sucre est encore plus forte. C’est pourquoi nous retrouvons des sucres dans notre alimentation, pour la moitié de nos apports, le reste étant constitué d’acides gras et de protéines.

Ce pouvoir addictif du sucre – qui peut agir comme une véritable drogue – est parfaitement illustré par la découverte du sucre raffiné obtenu à partir de la canne à sucre. Dès que le sucre, « pur » ou raffiné, a été disponible, les besoins ont véritablement explosés, amenant à augmenter massivement les terres cultivables pour la canne à sucre. Cela a été la base de l’esclavage aux Antilles au 18ème siècle.

L’usage massif des sucres industriels

De nos jours, nous consommons du sucre de multiples manières, tant de canne à sucre ou de betterave, que par l’utilisation de fructose (le sucre des fruits) ou de sirop de glucose à haute teneur en fructose issu du maïs (pour sucrer notamment les sodas ou les plats cuisinés).

Ceci explique pourquoi notre consommation de sucre augmente de manière considérable. Si au début du 19ème siècle, notre consommation moyenne de sucre pur était d’environ 5 kg par an et par personne, elle est passée de nos jours à 35 kg par an et par personne.
Aux Etats-Unis, cette consommation annuelle de sucre pur atteint 70 kg par personne ! D’où l’épidémie d’obésité que l’on observe Outre Atlantique, la proportion de gens obèses atteignant les 40 % dans certains Etats…

Comment les Américains en sont arrivés là ? La moitié du sucre raffiné qu’ils consomment provient des boissons, comme les sodas, les jus de fruits, les boissons chaudes, etc. Les Américains passent leur temps avec un gobelet à la main et ne boivent que très peu d’eau. Ensuite, ils grignotent sans cesse des friandises, des barres chocolatées, des snacks, etc. Pour terminer, lors de leurs principaux repas, ils font appel essentiellement à des plats cuisinés industriels et à des fast-foods, les Américains ne faisant plus la cuisine eux-mêmes.

Que constater en Europe ? Que nous prenons le même chemin, que l’épidémie d’obésité nous touche, que nous cuisinons de moins en moins et que nous consommons de plus en plus de produits fortement sucrés. C’est d’autant plus préoccupant qu’il est maintenant scientifiquement établi qu’une consommation excessive de sucre raffiné ou industriel est retrouvée derrière de nombreuses maladies, comme l’obésité morbide bien entendu, mais aussi le diabète, l’infarctus et l’attaque cérébrale, et encore les cancers.

Alors faut-il diaboliser le sucre ?

 On comprend pourquoi les institutions américaines veulent le faire car c’est devenu le problème de santé publique N°1 dans ce pays.

La question se pose maintenant en Europe, car il faut inverser la tendance et ne pas copier le système américain. Cela veut dire qu’il faut une mobilisation globale de la société pour une alimentation saine et qu’il faut dans ce but convaincre les industriels d’améliorer leurs produits et les consommateurs d’être attentifs aux étiquettes et à leurs choix.

Plus que jamais, la promotion de la bonne cuisine, des bons produits, de l’eau comme boisson et des bonnes habitudes est essentielle, notamment dans les écoles, les familles et les collectivités.

Source : Lustig R. Nature, 2 février 2012.

Article publié par Dr Philippe Presles le 10/02/2012 – 14:03

17 janvier, 2012

Insuffisance veineuse : le point sur la contention …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 12:34

 

Insuffisance veineuse : le point sur la contention

Jambes lourdes, varices, crampes nocturnes, impatiences et oedèmes témoignent d’un mauvais retour veineux. Arrivé dans les pieds, le sang peine à remonter jusqu’au coeur. Les maladies veineuses ou insuffisances veineuses font notamment appel à la contention. Bas, collants, chaussettes, que faut-il savoir sur la contention, traitement de base de l’insuffisance veineuse ?

Maladies veineuses : un tiers de la population

Plus de 20 millions de Français sont concernés par l’insuffisance veineuse. En dehors du traitement chirurgical, lequel est réservé aux cas les plus sévères de maladies veineuses, la prise en charge des maladies veineuses repose sur deux traitements, l’un est médicamenteux, avec les veinotoniques, l’autre repose sur la contention.

À savoir que la contention est également très utile en prévention.

La contention, c’est quoi ?

 Cette technique repose sur les bas de contention (mais aussi chaussettes, collants et bandes) qui, portés du matin au soir, exercent une pression sur les jambes et les chevilles. Cette pression est dégressive de la cheville vers la cuisse. Elle tend à resserrer les veines et favorise ainsi le retour veineux. Douleurs, lourdeurs, oedèmes s’estompent.

Attention à ne pas les confondre avec les « bas de maintien », lesquels n’agissent que sur les veines superficielles.

4 catégories de bas de contention

 En fonction de la pression qu’ils exercent, il existe 4 catégories de bas de contention s’adressant alors aux différentes maladies veineuses.

  • Classe 1 : en cas de jambes lourdes, de varices débutantes et en prévention de la thrombose veineuse en avion.
  • Classe 2 : en cas de maladies veineuses chroniques modérées (phlébectomie, varices de la grossesse, etc.).
  • Classe 3 : en cas de maladies veineuses chroniques sévères (thrombose veineuse profonde, lymphoedème, etc.).
  • Classe 4 : réservée aux maladies veineuses évoluées (ulcère de jambe, lymphoedème sévère, syndrome post-thrombotique sévère, etc.).

Mais attention, il faut également les porter. En effet, les malades disent souvent que les bas de contention sont difficiles à supporter, à enfiler, etc. Bien sûr, il faut savoir persévérer pour s’habituer, mais il est également conseillé de prendre son temps lors de l’achat et de les essayer.

Sources : Egora.fr, 11 août 2006.

Sinusite : quels symptômes et quels traitements ? …

Classé dans : Santé (166) — coukie24 @ 12:24

Sinusite : quels symptômes et quels traitements ?

La sinusite désigne une inflammation des sinus, ces derniers étant les cavités osseuses situées autour du nez. Quels sont les symptômes de la sinusite et comment la soigner ?

Quels sont les symptômes de la sinusite ?

 Rhume, allergie, polype, abcès dentaire, utilisation excessive de spray décongestionnant, changement d’altitude, corps étranger, inhalation d’eau contaminée, etc., sont autant de situations susceptibles de boucher les sinus, offrant un endroit idéal aux bactéries et autres virus pour se développer, provoquant alors une inflammation des sinus, soit une sinusite.

Cette inflammation se manifeste par une congestion nasale (nez bouché), un écoulement nasal, une douleur derrière les yeux, des maux de tête, une difficulté à respirer, voire également de la fièvre.

Ces symptômes de la sinusite sont peu spécifiques, ressemblent à ceux du rhume et de l’allergie, d’où parfois la nécessité d’examiner de près les sinus (radio, prélèvement de liquide nasal, nasofibroscopie) pour confirmer le diagnostic de sinusite.

La sinusite aiguë, ponctuelle, est généralement bénigne. Mais parfois, elle tend à récidiver, voire à devenir chronique, nécessitant alors un traitement de longue durée en raison des complications graves qui peuvent en découler. En effet, l’infection peut se propager aux os du crâne, à l’œil, aux méninges…  

Quels traitements pour soigner une sinusite ?

Le traitement de la sinusite consiste à soulager la douleur et à décongestionner les sinus afin d’enrayer l’inflammation.

L’hydrothérapie dite contrastée, qui consiste à appliquer sur les narines successivement du chaud et du froid à l’aide de compresses humides chaudes, soulage la congestion et la douleur.

Des antibiotiques sont utiles en cas d’origine infectieuse bactérienne. En cas de sinusite chronique ou sévère, des corticoïdes administrés sous forme de spray nasal sont intéressants pour réduire l’inflammation.

La naturopathie (solution nasale à base de plantes) est également recommandée. À savoir également que la sinusite figure sur la liste des infections courantes établie par l’Organisation mondiale pour la santé (OMS), susceptibles d’être soulagées par l’acupuncture.

Enfin, en cas de déviation de la cloison nasale, la chirurgie est indiquée.

Du côté des compléments alimentaires, on peut recommander le zinc qui, en prévenant les rhumes, diminue les risques de sinusite, ainsi que les vitamines antioxydantes A, C et E qui stimulent le système immunitaire.

Quelles consignes pour prévenir les sinusites ?

  • Prévenir les rhumes : hygiène (lavage des mains, mouchoirs jetables…), protection contre le froid, arrêt du tabac…
  • Identifier et traiter les allergies respiratoires et alimentaires (éviction des allergènes).
  • Éviter les agressions nasales : mouchage en douceur d’une narine puis de l’autre.
  • Veillez à une bonne humidification des pièces, en plaçant si nécessaire un humidificateur dans la chambre.
  • Adopter une alimentation saine et riche en fruits et légumes (sources d’antioxydants).
  • Boire beaucoup d’eau, et éviter l’alcool
Sources : Centre Duke, Encyclopédie pratique de la nouvelle médecine, Editions Robert Laffont
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