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20 novembre, 2009

Définition de l’empathie … voir adresse http fin article

Classé dans : Les mots (85),Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 12:23

http://www.jokedujour.com/friend/animal_kiss.jpg

C’est une notion désignant le mécanisme par lequel un individu peut comprendre les sentiments et les émotions d’un autre individu, la faculté de s’identifier à quelqu’un et de ressentir ce qu’il ressent des ressentis de l’autre et, en particulier, de sa souffrance et de sa détresse.

 Sentiment bien plus fort que les croyances et les différences.

 Cela permet d’entrer dans les perceptions de l’autre, de sentir sa peur, sa colère, sa tendresse ; de vivre temporairement sa vie et de s’y mouvoir avec délicatesse, sans émettre de jugement.

Chercher les points communs avant les différences et il y a toujours plus de points communs que de différences.

 La sève, le cœur et l’âme…

 La chaleur humaine, c’est quand on offre de soi sans rien attendre de l’autre, simplement partager pour ne pas gâcher une vie et venir en aide à ceux qui n’ont pas cette faculté et, malgré toutes les difficultés, garder cette force, cette volonté ; donner un coup de cœur à ceux qui ne l’ont pas volé, juste un peu d’attention, et donner à chacun le droit d’exister.

 Sentiment supérieur à l’instinct et à la chaîne alimentaire.

 Sentiment qui nous permet de prendre soin de l’autre et à partager le peu que l’on possède et s’aider à se tenir chaud ou à se protéger.

 Savoir partager le bonheur, la tendresse, la protection et la complicité.

 On a tous besoin de chaleur humaine.

 On a tous besoin d’affection et se reconnaître parmi des semblables malgré les apparences, sans jamais se fier à l’habit, sans jamais se soucier du langage, puisque c’est quelque chose qui est invisible à l’œil nu, mais qui n’est pas inodore…

 La Science a prouvé que la différence entre l’homme et l’animal était justement l’empathie.

 MAIS…   la suite de la vidéo (à la 7,57 mn) est indispensable pour mesurer l’ampleur du désastre concernant la nature humaine dont on a fait si souvent l’éloge…

               http://www.dailymotion.com/video/x99ng8

Définition finale:

La science a prouvé que la différence entre l’homme et l’animal était justement l’empathie, mais alors pourquoi… fratricides… iniquité… dérèglements, etc…

J’ai bien conscience qu’avec cette vidéo, j’invite quelques personnes à se remettre en cause. Mais se remettre en cause, c’est se remettre aux commandes de sa vie et s’apercevoir que l’on a perdu le fondement de l’humanité.

Au fait, l’empathie ? Entre les hommes ou entre les animaux ?

 Excellent article trouvé chez : http://yog.lavie.over-blog.com/

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Malheureusement, les hommes ne sont pas parfaits et certains d’entre-eux sont totalement dépourvus d’empathie… Ils sont parfois sensibles, émotifs mais que pour ce qui touche leur situation ou leur intérêt, parfois ils arrivent à entrevoir ce que l’autre ressent que parce que l’autre se trouve dans un cas de figure semblable au leur ou parce qu’ils se sont projetés dans le scénario qui aurait pu être le leur… L’humain est complexe, il peut également s’attendrir sur des causes universelles, avoir la larme à l’oeil pour un acte de bravoure vu à la télé ou autre… mais cela reste superficiel. L’empathie est une qualité extraordinaire bien trop rare dans notre vie quotidienne. C’est la Conscience des sentiments de l’autre. C’est un essai de reproduire volontairement en soi les composantes émotionnelles qui émanent de l’autre, de les percevoir avec finesse sans pour autant les éprouver activement. Il s’agit de trouver ainsi un juste équilibre entre l’indifférence et la compassion.

Coukie24  

L’empathie ou la compréhension empathique consiste en la perception correcte du cadre de référence d’autrui avec les harmoniques subjectives et les valeurs personnelles qui s’y rattachent.  Percevoir de manière empathique, c’est percevoir le monde subjectif d’autrui « comme si  » on était cette personne – sans toutefois jamais perdre de vue qu’il s’agit d’une situation analogue, « comme si « . La capacité empathique implique donc que, par exemple, on éprouve la peine ou le plaisir d’autrui comme il l’éprouve, et qu’on en perçoive la cause comme il la perçoit (c’est-à-dire qu’on explique ses sentiments ou ses perceptions comme il se les explique), sans jamais oublier qu’il s’agit des expériences et des perceptions de l’autre. Si cette dernière condition est absente, ou cesse de jouer, il ne s’agit plus d’empathie mais d’identification.

Carl ROGERS

(Psychothérapie et relations humaines. (1962) Vol. 1, p. 197)

4 novembre, 2009

Qu’est-ce que la solitude ?

Classé dans : Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 23:13

La solitude
Une pseudo-émotion

Des exemples

  1. Je me sens seul aujourd’hui.

  2. Je me sens seule dans la vie.

  3. Je me sens seul parmi cette foule.

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Qu’est-ce que c’est ?

La solitude n’est pas une émotion, c’est un état de fait. Lorsqu’on emploie ce mot toutefois, c’est habituellement pour traduire autre chose que cette situation de fait; c’est dans le but d’exprimer un sentiment. Mais il est impossible de déduire automatiquement le sentiment de cette expression.

Être seul peut s’avérer une situation heureuse comme malheureuse, mais l’expression je me sens seul a toujours une connotation de manque, de privation.

À quoi sert « l’impression » de solitude ?

L’expression « se sentir seul » fait image. Comme chaque fois qu’on utilise une image pour traduire le vécu, celle-ci sert d’approximation des sentiments. Je me sens seul aujourd’hui peut être une façon de dire: je suis triste car je n’ai d’importance pour personne ou encore, j’ai besoin de contact. Je me sens seule dans la vie peut signifier: je n’ai personne sur qui m’appuyer; je n’ai pas de contact réellement nourrissant; je n’ai pas d’ami intime; je n’ai pas l’amour dont j’ai besoin; etc… et cela m’attriste.

Les manques affectifs engendrent de la tristesse. L’impression d’être seul peut être considérée comme l’antichambre de la tristesse ou comme une manière voilée de parler de sa tristesse.

Mais l’impression de solitude n’est pas toujours empreinte de peine. « Je me sens seule dans cette foule » peut avoir toutes sortes d’autres significations: je ne connais personne et j’ai peur; je suis étrangère à tous ces gens et cela me déplaît; je n’arrive pas à établir des contacts et cela me déçoit; personne ne fait attention à moi et cela me peine; etc…

L’impression de solitude est toujours accompagnée d’émotions. Ce sont ces dernières qui permettent d’identifier ce qu’elle traduit vraiment.

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18 octobre, 2009

Souvenirs d’enfance …

Classé dans : Citations, proverbes...,Psychologie (72) — coukie24 @ 0:02

Il reste toujours quelque chose de l’enfance, toujours … » (Marguerite Duras)

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15 août, 2009

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. Ce simple geste démontre à une personne qu’elle est importante pour nous et que ce qu’elle dit nous intéresse.

Classé dans : Psychologie (72),Textes à méditer (239) — coukie24 @ 19:34

Écouter, Rencontrer, Vivre… 

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un. Ce simple geste démontre à une personne qu’elle est importante pour nous et que ce qu’elle dit nous intéresse. dans Psychologie (72) kg9d7yrl

Écouter est, peut-être, le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. C’est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps :
tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là,
tu vas m’enrichir car tu es ce que je ne suis pas . . .
Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même,
c’est d’être écoutée par une autre !

Écouter, c’est commencer par se taire. . .

Avez-vous remarqué combien les « dialogues » sont remplis d’expressions de ce genre :
« C’est comme moi quand. . . », ou bien « ça me rappelle ce qui m’est arrivé. . . ».
Bien souvent, ce que l’autre dit n’est qu’une occasion de parler de soi.

Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur,
son monologue portatif, pour se laisser habiter par l’autre.
C’est accepter que l’autre entre en nous-même comme il entrerait dans notre maison
et s’y installerait un instant, en prenant ses aises.

Écouter, c’est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe
pour donner tout son temps à l’autre.
C’est comme une promenade avec un ami :
marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui,
s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui.

Écouter, c’est ne pas chercher à répondre à l’autre,
sachant qu’il a en lui-même les réponses à ses propres questions.
C’est refuser de penser à la place de l’autre,
de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.

Écouter, c’est accueillir l’autre avec reconnaissance tel qu’il se définit lui-même, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être. C’est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l’autre le temps et l’espace de trouver la voie qui est la sienne.

Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela,
c’est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques.
Être attentif à quelqu’un qui souffre,
ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance,
c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s’en libérer.

Apprendre à écouter quelqu’un,
c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire
pour nous libérer de nos propres détresses. . .

Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a, peut-être, encore jamais donné :
de l’attention, du temps, une présence affectueuse.
C’est en apprenant à écouter les autres
que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes,
notre corps et toutes nos émotions,
c’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie,
c’est devenir poète, c’est-à-dire sentir le cœur et voir l’âme des choses.

À celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface :
il communie à la vibration intérieure de tout vivant,
il commence à découvrir l’infini qui vit à la fois la richesse et l’originalité de l’autre.
C’est alors qu’il entrevoit combien la rencontre est source d’être et non pas d’avoir.

« Tu ne vaux que ce que valent tes rencontres,
le seul luxe est celui des relations humaines » (Saint-Exupéry).

C’est le seul luxe gratuit car offert à la décision et à la liberté de chacun.

Article paru dans Non-violence actualité (février 1995)
Repris de La Lettre des amis, bulletin des Quakers de France (décembre 1994)

La pratique de l’Écoute peut devenir une ouverture sur le monde parce qu’elle permet de comprendre ce que les autres vivent vraiment. C’est une expérience enrichissante sur le plan humain et personnel. Lorsque que vous avez un élan de générosité et que vous vous demandez quoi donner; alors donner de votre temps en écoutant les gens autour de vous. L’écoute nécessite du respect, de la persévérance, de la patience, et énormément d’ouverture d’esprit; mais en revanche, elle permet de recevoir beaucoup.  

« Écouter, c’est permettre à l’autre de s’exprimer
afin qu’il trouve lui-même son propre chemin. »

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12 avril, 2009

L’espace de l’échange …. et Savoir ouvrir la petite porte de notre coeur… 2 belles leçons de vie !

Classé dans : Psychologie (72),Textes à méditer (239) — coukie24 @ 16:44

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18 février, 2009

Sensibilité personnelle…

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 22:25

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9 février, 2009

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 13:33

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Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 13:22

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8 février, 2009

Le renouveau…

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 16:19

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1 février, 2009

Êtes vous Psychopate ?

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 17:49

Ceci est un vrai test psychologique…

C’est l’histoire d’une jeune fille. Aux funérailles de sa mère, elle rencontre un jeune homme qu’elle ne connaissait pas. Elle le trouve fantastique, l’homme de ses rêves quoi.C’est le coup de foudre, elle en tombe éperdument amoureuse …Toutefois, elle ne lui a jamais demandé son nom ni son numéro de téléphone et de plus elle ne pu trouver quelqu’un le connaissant. Quelques jours plus tard, la jeune fille tue sa propre soeur…    Question : Pour quel motif a-t-elle tué sa soeur ?

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Réfléchissez d’abord à votre propre solution à cette énigme, sinon ce n’est pas amusant.

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Puis, regardez la solution qui se trouve plus bas…b_down_1  b_down_1b_down_1

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La solution…

Elle espérait que le gars se pointerait de nouveau aux funérailles.

Si vous avez répondu correctement à la question, vous pensez comme un psychopathe.

Ce test était utilisé par un célèbre psychologue américain pour savoir si une personne avait une mentalité d’assassin. Bon nombre de tueurs en série ont subi ce test et ont répondu correctement à la question.

Si vous n’avez pas trouvé la bonne réponse – tant mieux pour vous.

Si vos amis la trouvent, je vous recommande de garder vos distances…

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18 janvier, 2009

Une infinie pureté

Classé dans : Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 23:12

Une infinie pureté

« Etre un homme, c’est savoir qu’il y a en nous de l’espace, une infinie pureté, et en même temps de la matière, du corps.  Et c’est dans cette acceptation que, peut-être, pouvons-nous sortir de l’angoisse, de la culpabilité et de la violence. » (Jean-Yves Leloup)

Une infinie pureté dans Psychologie (72) re1pw0

Décharger notre lac intérieur

Classé dans : Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 22:41

 « Pleurer décharge notre lac intérieur » (Pierre Filion)

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5 janvier, 2009

Faire confiance

Classé dans : Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 18:28

Faire confiance dans Psychologie (72) zquvwzw1 

Faire confiance

Y a-t-il sentiment plus ambigu, plus complexe, plus instable que la confiance ? Car on ne peut la donner sans risque, sans toutefois l’accorder les yeux fermés. La confiance se donne sans assurance, mais se gagne au moyen de signes et se retire si elle est déçue. La confiance s’inspire ou se perd, ce qui en fait une disposition hésitante mais libre, fragile mais éclairée.

A mi-chemin entre crédulité et circonspection, entre ignorance et assurance, ce sentiment qui ne naît ni sans crainte ni sans gage est donc une forme de générosité inquiète, de foi sans certitude, de don sans garantie. La confiance est prudente et imprudente, on croit sur pièces en n’ayant que des signes.

Faut-il donc ou non l’accorder ? Faut-il faire confiance à la confiance ? Quoique ambivalente n’est-elle pas vertu plutôt que naïveté ? Par exemple, ne devient-elle pas aveugle à proportion d’une cécité moins grande ? Pour que la confiance soit totale, les signes ont dû se multiplier. La confiance croît à mesure que grandit l’assurance. Elle se donne donc d’autant plus qu’elle est plus sûre. Elle ne croît qu’en étant moins risquée.

Mais il y a plus, car sans attendre les signes qui la confortent, elle peut les faire naître en se manifestant. On l’observe presque toujours. L’adolescent honoré par elle se responsabilise ; le salarié reconnu travaillera mieux ; la faute pardonnée sera plus vite oubliée. La confiance est donc vertu car elle est l’acte de s’installer en l’autre sans tout attendre de lui, courage de se donner elle-même le préalable dont elle a besoin. En somme, elle s’assure rétrospectivement. Engendrant après coup sa légitimité, elle se garantit en se donnant.

Tel est le cercle vertueux de la confiance. Quel plus beau crédit faire aux autres et à soi ?

http://jchichegblancbrude.blog.lemonde.fr

ni29edzf dans Sentiments (132)                       3uoi64k9

4 janvier, 2009

Grande adepte de l’Harmonie, j’ai envie de vous faire partager une théorie que j’essaye d’appliquer depuis déjà longtemps et qui m’aide toujours autant…

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 15:16

Une théorie à quatre pattes

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Plusieurs théories psychologiques ont cherché à expliquer la personnalité. Chacune apporte son point de vue spécifique et nous permet d’apprendre à mieux nous connaître afin de mieux nous aimer et mieux nous comporter. Aujourd’hui, j’aimerais partager avec vous ma théorie des 4 P.

Pour moi, chaque individu est à la fois Partenaire, Parent, Professionnel et possède une vie Privée. Tout comme les quatre pattes d’une table doivent être égales pour que celle-ci ne soit pas bancale, chacun des 4 P de notre personnalité doit être bien développé pour assurer notre équilibre mental, affectif, relationnel et professionnel. 

Notre côté Partenaire, c’est notre besoin d’être en relation d’égalité avec tous les autres : un humain parmi les autres humains. Il recouvre tous les besoins suivants: aimer, être aimé, sexualité, complicité, engagement, partage, fusion… Pour y parvenir, parmi tous les humains rencontrés, nous recherchons activement un Partenaire privilégié, un Pp. C’est évidemment à l’intérieur d’un couple que l’on peut le mieux satisfaire ces besoins de partenariat.

Le Parent, c’est la partie de nous qui veut aider les autres, la partie de nous qui se met au service d’autrui. Nos enfants sont ceux qui ont le plus besoin de notre aide parentale et avec lesquels nous nous devons d’être Parent, mais nous sommes aussi Parent lorsque nous aidons notre partenaire, lorsque nous conseillons nos amis, lorsque nous prenons soin de nos propres parents ou lorsque nous faisons du bénévolat.

Le Professionnel qui existe en nous est celui qui veut s’épanouir dans son travail et ses activités professionnelles ; c’est celui qui a besoin de se sentir utile et qui veut prendre une (sa) place dans la société et ainsi gagner (€) sa vie et celle des gens qui  dépendent de nous. Je considère le travail non pas dans son sens étymologique de  » torture « , mais dans son sens ludique, soit le plaisir de se réaliser dans son travail, dans sa profession.

Le côté Privé, c’est le monde des loisirs, des projets et rêves personnels ; c’est notre jardin secret, celui où un sain égoïsme doit se manifester (l’égoïsme en question ici est le mouvement qui consiste à partir de soi pour aller vers l’autre, et non le mouvement qui va des autres vers soi, ce qui serait de d’égocentrisme). C’est la relation à moi-même, la partie de moi qui me regarde vivre et qui discute avec moi. C’est celle qui prend conscience que je passerai le reste de ma vie avec moi-même et qui doit faire tout en sorte pour je sois pour moi un excellent compagnon.La personne en équilibre est celle qui satisfait et développe équitablement ces 4 P. La personne en déséquilibre est celle qui valorise une dimension au détriment des autres. Par exemple, les hommes ont tendance à s’investir dans leur rôle de Professionnel au détriment de leur rôle de Partenaire ou de Parent ; quant aux femmes, elles se consacrent souvent exclusivement à leur rôle de Parent ou de Partenaire au détriment de leur Profession et de leur vie Privée.

Qu’il puisse y avoir des moments dans la vie où l’une ou l’autre de ces dimensions prenne toute la place, il n’y a là rien de plus normal. Par exemple, le temps de la grossesse et les premières années de la vie de l’enfant peuvent amener une femme à se consacrer exclusivement à son rôle de Parent pendant un certain temps ; mais elle ne pourrait le faire durant toute sa vie sans danger pour son développement mental, celui de ses enfants et celui de son partenaire. Il est tout aussi compréhensible que l’on puisse, à un certain moment de notre vie, investir davantage de temps et d’énergie dans sa Profession pour s’assurer d’un confort matériel et d’une sécurité financière, mais le faire au détriment des autres dimensions de notre vie risque de faire de nous un véritable « workaholique » et ruiner non seulement notre vie professionnelle, mais aussi notre relation amoureuse et nos liens avec nos enfants.

Toute personne doit s’assurer que ces quatre P puissent se développer de façon harmonieuse afin de pouvoir, à la fin de sa vie, regarder son passé et se dire: mission accomplie et vie bien remplie. Idéalement, nous devrions investir 25 % de notre temps de vie et de notre énergie vitale dans chacune des « pattes » de notre personnalité.

Yvon Dallaire

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  Sources : Yvon Dallaire est psychologue, sexologue et auteur. Il exerce en pratique privée au Centre Psycho-Corporel de Québec et offre des conférences au Québec et en Europe, sur demande. Yvon Dallaire est aussi auteur du livre  « S’aimer longtemps »

3 décembre, 2008

Est-ce que les personnes peuvent changer?

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 18:07

Est-ce que les personnes peuvent changer? dans Psychologie (72) coq 

Une personne est caractérisée par une personnalité c’est-à-dire un ensemble de qualités et de défauts, une manière de s’exprimer et de réfléchir qui nous est propre !

Pour répondre à la question, je suis assez sceptique sur le fait qu’un Individu puisse changer comme il le veut !

Une personnalité se forge grâce aux expériences que nous avons vécues, à nos nombreux souvenirs qui font de nous ce que nous sommes.

Changer, cela serait juste se cacher derrière un masque en jouant un rôle comme au théâtre, mais un jour au l’autre le masque tombe et l’on se dévoile vraiment. Mais nous pouvons tout de même dire que nous changeons car si l’on part du nouveau-né qui serait pur et innocent, alors seul l’entourage, l’éducation et les expériences de la vie le feront devenir ce qu’il est, donc je dirais que nous changeons lors des premières étapes de la vie qui s’arrêtent vers l’enfance ou l’adolescence …

Si l’on est par exemple influençable, nous allons certes changer, faire des choses que nous ne voulions peut être pas, mais notre cœur lui est toujours en accord avec nous même et nous pouvons faire des choses tout en sachant que cela ne nous représente pas. Pour conclure nous pouvons donc dire que nous changeons tout en restant nous même..

… Si vous voulez vous exprimer sur ce sujet n’hésitez pas …

 dans Psychologie (72)

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