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18 septembre, 2013

Les cinq plus grands regrets des mourants …

Classé dans : Actualités,Psychologie (72) — coukie24 @ 20:58

Psychologue, auteur et professeur américain

Les cinq plus grands regrets des mourants
Publication: 17/09/2013 09h09
Regrets

J’ai toujours éprouvé de l’intérêt pour la sagesse de nos aînés et voici un exercice que je fais souvent avec les étudiants et les clients, quand ils semblent se détourner de ce qui compte vraiment dans leur vie. Je leur demande de se projeter bien des années en avant et d’imaginer ce qu’ils auraient fait s’ils revenaient à cet instant précis. Bronnie Ware est une infirmière australienne qui a passé de nombreuses années à travailler en soins palliatifs. Elle a fini par publier un livre intitulé The Top Five Regrets of the Dying (Les 5 plus grands regrets des mourants).

Les regrets peuvent être bénéfiques s’ils nous aident à comprendre ce que nous pouvons changer aujourd’hui pour améliorer les choses. En voici donc un « top 5″. Utilisez-les comme l’étoile du Nord devant guider vos actes pour les années à venir vers une vie plus épanouissante. Bien que nous dévions parfois du droit chemin, voir cette étoile nous permet toujours de revenir sur la bonne voie.

Voici donc les 5 plus grands regrets des mourants:

  • 1 – J’aurais aimé avoir eu le courage de vivre la vie que je voulais vraiment, pas celle que les autres attendaient de moi.

Dès la naissance, nous nous sommes tournés vers nos parents pour qu’ils nous apprennent la marche du monde et nous guident sur la façon dont nous devrions -ou ne devrions pas- agir. Il est très courant que l’on se base sur notre culture ou sur les autres gens pour savoir comment s’habiller, parler, agir, et même quel métier exercer. Qu’est-ce que cela donnerait si vous vous écoutiez et que vous viviez enfin une vie authentique, qui vous convienne?

  • 2 – J’aurais dû travailler moins.

Comme on dit, rater un jour de travail ne vous tuera pas. Le fait de travailler trop vient parfois d’une habitude, d’attentes excessives d’autres personnes, ou bien d’un comportement addictif permettant de ne pas penser à autre chose.Mais n’y a-t-il vraiment pas d’autres choses plus nourrissantes que le travail auxquelles consacrer un peu plus de temps?

  • 3 – J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments.

Que ce soit au travail, en amitié ou en amour, on décide souvent un peu trop vite de se mordre la langue plutôt que de s’exprimer franchement. Vivre une existence sincère signifie prendre conscience de ses sentiments et les exprimer. On peut par exemple rater l’occasion de dire aux autres qu’on les aime, ce qui pourrait pourtant renforcer les liens; ou bien parfois quelqu’un nous fait mal, et on se tait par peur. Apprendre à prendre conscience de nos émotions et à les exprimer avec pertinence peut nous aider à nous sentir plus connecté, plus indépendant et plus heureux.

  • 4 – J’aurais aimé garder le contact avec mes amis.

Cela ne fait aucun doute: pour se sentir heureux et épanoui dans la vie, il est essentiel d’avoir des relations enrichissantes. De nos jours, il y a tant de façons de rester connectés à travers les sms, les chat, les mails, les réseaux sociaux, le téléphone, et bien sûr, les rendez-vous en face à face! A vous de réfléchir à la façon dont vous pourriez vous y prendre pour faire des relations avec les autres une partie intégrante de votre quotidien.

  • 5 – J’aurais aimé m’accorder un peu plus de bonheur.

Bronnie Ware explique que bien des gens ne se sont pas rendus compte avant la fin de leur vie que le bonheur était un choix. Si on en est conscient, on peut faire de véritables choix entre ce qui nous nourrit et ce qui nous vide. Entre les convictions dans lesquelles on a envie de s’investir et celles dans lesquelles on ne le souhaite pas. Il nous arrivera peut-être d’être gagné par le stress, l’anxiété, la dépression ou même d’éprouver des réactions traumatiques, mais on a la possibilité à un moment donné de choisir l’impact de ces sentiments sur nous, et grâce à cela, de mieux s’en débarrasser. Peut-être est-il temps de prendre plus de risques: qu’est-ce qui vous rend heureux?

Prenez un moment pour vous retourner une fois encore sur ces cinq regrets qu’éprouvent les gens, et essayez de voir comment vous pouvez commencer à les appliquer dés maintenant dans votre vie.

Comme toujours, partagez s’il vous plaît vos idées, vos histoires et vos questions ci-dessous. Ce sont vos réactions qui créent une vivante sagesse dont nous pouvons tous bénéficier.
En lire plus par le Professeur Elisha Goldstein, cliquez ici.

En savoir plus sur la pleine conscience, cliquez ici.

29 juin, 2013

Idées et opinions – les réviser et faire un tri …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 15:56
Idées et opinions - les réviser et faire un tri ... dans Psychologie (72)
Idées et opinions - les réviser et faire un tri

« Occupez-vous de réviser tout ce que vous avez accepté jusqu’à maintenant comme connaissances, idées, opinions; étudiez-les et demandez-vous si elles sont en accord avec la Science initiatique. Si oui, soulignez-les, renforcez-les, approfondissez-les. Mais si ce sont des notions qui vont à l’encontre de cette philosophie, sachez qu’elles vont vous égarer, vous créer des difficultés. Alors, rejetez-les: vous vous sentirez ensuite tellement dégagé et libre, vous y verrez tellement plus clair! Si pour le moment vous tâtonnez encore dans l’obscurité, si vous vous sentez toujours hésitant, tiraillé, entravé, c’est parce que vous êtes encombré de trop de choses qui vous alourdissent et qui obscurcissent votre regard; il est temps de chercher la lumière et la légèreté. Donc, voilà le travail à faire: savoir ce qu’il faut rejeter et ce qu’il faut garder. C’est sérieux, très sérieux. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov  

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6 juin, 2013

Extrait de « 52 petites choses qui font de grandes différences dans la vie (Marcel BELIVEAU)

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 10:07

 Extrait de

Quel monde ingrat !

Nous sommes tous peinés et désolés de voir la misère dans le monde, 

particulièrement dans les pays sous-développés. Ce qui n’empêche pas d’avoir

des miséreux dans notre propre pays. 

Des clochards et des sans abris qui n’ont même pas un toit pour se 

réfugier la nuit et qui n’ont mangé qu’un seul repas dans la journée. 

Vous sentez-vous coupable d’une telle situation ? Un tout petit peu peut-être ?

Vous avez tort. Imaginez un instant que vous gagnez un million de

dollars au loto. Vous devenez millionnaire d’un seul coup.

Tous vos parents et amis parlent de vous en terme du millionnaire que 

vous êtes. Certains, même plusieurs, sinon tous feront la réflexion 

suivante: – Qu’est-ce que ce serait pour lui de nous en donner un

tout petit peu ? Justement vous y aviez pensé. Vous dressez une liste 

d’abord des gens qui vous sont chers, parents, oncles, tantes, cousins,

cousines, neveux, nièces, ensuite amis et connaissances. Vous arrivez à

mettre sur votre liste une centaine de noms. Vous gardez pour vous

cinquante pour cent du magot, vingt-cinq pour cent à votre famille

immédiate et vingt-cinq pour cent aux autres. Ce qui veut dire que

chacun recevra un chèque de deux-mille-cinq-cents dollars. 

Vous ferez vingt pour cent d’heureux et quatre vingt pour cent de

mécontents. 

- J’aurais préféré ne rien avoir, qu’est-ce que c’est, deux mille cinq cent

sur un million, c’est rien du tout. – C’est tout ? Et ça se dit millionnaire,

ça ne couvre même pas mon hypothèque ni l’achat d’une voiture usagée. 

- Quel radin ! Ce qui signifie, que quoique que vous fassiez, il est impossible

de plaire à tout le monde.

Occupez-vous donc de vous. Soyez votre priorité…

abientot dans Psychologie (72)


1 juin, 2013

Image Positive Inspirante …

Classé dans : Habitations (16),Psychologie (72) — coukie24 @ 17:08

Les règles de la maison – auteur inconnu   

Image Positive Inspirante ... dans Habitations (16) regledelamaison-penseepositive

Vous l’aurez compris, il s’agit dans cette infographie positive d’un ensemble de règles à suivre bien entendu pour être plus réceptif à l’art de vivre mieux. Je vous invite à l’afficher chez vous et sur vos blogs afin d’inspirer votre entourage et vos lecteurs.

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10 octobre, 2012

Laissez le mérite aux autres …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 21:07

Laissez le mérite aux autres ... dans Psychologie (72) bougie_carre-led

Il se produit un phénomène merveilleux dans votre esprit – une sensation de calme ineffable vous envahit – lorsque vous renoncez à accaparer toute l’attention pour laisser aux autres le devant de la scène.

Notre appétit de gloire vient de cet égocentrisme qui nous souffle en permanence à l’oreille : « Regardez-moi ! Mon histoire est plus intéressante que la vôtre ! »

Cette voix intérieure ne s’exprime pas toujours haut et fort, mais son moteur est simple : elle veut se persuader que « tout ce qui me concerne vaut mieux que ce qui concerne les autres. »

L’égo est cet aspect de notre personnalité qui demande à être vu, entendu, respecté, souvent aux dépens de notre entourage. C’est cette partie de nous-mêmes qui n’hésite pas à interrompre notre interlocuteur, ou qui attend impatiemment son tour de parole afin de ramener au plus vite la conversation sur son nombril.

À des degrés différents, nous avons tous ce mauvais penchant. Et nous l’exerçons à notre détriment ! Car en ramenant sans cesse la conversation à nos préoccupations personnelles, nous diminuons la joie que notre vis-à-vis éprouve à partager une idée, une anecdote, une impression. Ce faisant, nous instaurons une distance entre lui et nous. Et au bout du compte, tout le monde est perdant.

La prochaine fois qu’une personne vous racontera une soirée, un voyage ou un projet, surveillez vos réactions : n’avez-vous pas tendance à parler de vous dans votre réponse ? N’essayez-vous pas subrepticement de lui confisquer les feux de la rampe ?

C’est là une habitude difficile à rompre. Mais c’est aussi un vrai plaisir que de s’effacer pour laisser un autre jouir de la lumière des projecteurs.

– Richard Carlson / Ne vous noyez pas dans un verre d’eau.

 

27 juillet, 2012

L’attitude psychologique face au stress …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 16:12

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La perception, l’attitude psychologique de l’individu a une influence directe sur sa capacité d’adaptation face au stress. Nos PETITS DISCOURS INTÉRIEURS, notre perception de nous-mêmes et de la vie influencent l’équilibre de notre stress.

L’attitude négative, les idées négatives et les inquiétudes prennent de notre énergie et augmentent notre niveau de stress. Elles finissent souvent par prendre toute la place dans nos esprits.
Ex: Se critiquer, se comparer, ne pas être satisfait de nous, se sous-estimer, avoir toujours peur…
Il devient donc important pour tout individu, de développer une attitude psychologique qui permet de mieux vivre le stress, d’être bien dans son corps, dans sa tête. Cela signifie donc, apprendre à chasser les idées négatives, les inquiétudes. PENSER POSITIVEMENT, CONNAÎTRE SES LIMITES, LES ACCEPTER ET AVOIR CONFIANCE EN SOI sont des outils (moyens) importants, afin de mieux gérer son stress, d’en diminuer l’intensité s’il devient trop élevé.
Personne ne peut combattre notre stress à notre place. Il est important d’apprendre à le gérer, à en être responsable. Entreprendre des changements pour réussir à réagir positivement (ou de manière plus adéquate) au stress de la vie. Il est important de développer une manière d’être, de penser, susceptible de favoriser le mieux-être.
 

28 mai, 2012

Le Moi véritable …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 7:44

Le Moi véritable ... dans Psychologie (72) Arcady-Oleynik

Extrait de Véronika a décidé de mourir de Paulo COELHO édition Anne Carrière

« A présent venons-en à votre maladie : chaque être humain est unique, il a ses propres qualités, ses instincts, ses formes de plaisirs, sa quête de l’aventure. Cependant la société impose une manière d’agir collective, et les gens ne cessent de se demander pourquoi ils doivent se comporter ainsi. Ils l’acceptent, comme les dactylographes ont accepté le fait que l’AZERTY fût le meilleur clavier possible. Avez-vous jamais rencontré quelqu’un qui se soit demandé pourquoi les aiguilles d’une horloge tournent dans un sens, et non dans le sens contraire ?
- Non.
- Si quelqu’un le faisait, il s’entendrait probablement répondre :   »Tu es fou !  » s’il insistait, les gens s’efforceraient de trouver une raison, mais bientôt ils changeraient de sujet, parce qu’il n’y a pas d’autres explication que celle que je vous ai donnée. Alors, je reviens à votre question. Répétez-la.
- Suis-je guérie ?
- Non. Vous êtes une personne différente qui veut ressembler aux autres. Et
cela, de mon point de vue, est considéré comme une maladie grave.
- C’est grave d’être différent ?
- C’est grave de s’obliger à ressembler à tout le monde : cela provoque des névroses, des psychoses, des paranoïas. C’est grave parce que c’est forcer la nature et aller à l’encontre des lois de Dieu, qui, dans tous les bois et toutes les forêts du monde, n’a pas créé une seule feuille identique à une autre. Mais vous pensez que c’est folie d’être différente, et c’est pourquoi vous avez choisi de vivre à Villete : ici, comme tous sont différents, vous devenez semblable à tout le monde. Avez-vous compris ? »
Maria acquiesça d’un hochement de tête.
 » Parce qu’ils n’ont pas le courage d’être différents, les gens vont à l’encontre de la nature, et leur organisme se met à produire  » le Vitriol « -ou l’Amertume, comme on appelle vulgairement ce poison !…. Comportez-vous comme des gens normaux. Courez le risque d’être différents, mais apprenez à la faire sans attirer l’attention. Et laissez se manifester votre MOI véritable.
- Qu’est-ce que le MOI véritable? demanda Véronika.
- C’est ce que tu es, et non ce qu’on a fait de toi! …. »

5 mars, 2012

Symptômes de paix intérieure …

Classé dans : Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 8:26

 

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Symptômes de paix intérieure

La tendance à penser et à agir spontanément plutôt qu’en raison de peurs basées sur des expériences passées.

Une immanquable capacité à se réjouir de chaque moment.

La perte d’intérêt à juger les autres.

La perte d’intérêt à interpréter les actions des autres.

La perte d’intérêt pour le conflit.

La perte de la capacité à se faire du souci (celui-ci est un symptôme très sérieux).

De fréquentes et irrésistibles périodes de gratitude.

Des sentiments profonds de connexions avec les autres et la nature.

Une tendance croissante à laisser les choses arriver plutôt qu’à les pousser à arriver.

Une sensibilité accrue à l’amour prodigué par les autres ainsi que l’incontournable besoin de le prodiguer à son tour.

Anonyme 

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Je vous souhaite à tous de posséder quelques uns de ces symptômes, voire tous !

 

13 janvier, 2012

Les 7 secrets de ceux qui savent se faire aimer …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 18:11

Les 7 secrets de ceux qui savent se faire aimer

Les 7 secrets de ceux qui savent se faire aimer

Savoir se faire aimer et apprécier est un des paramètres essentiels du bonheur.

En effet, sans amitié, sans amour ou tendresse, la vie ne vaudrait plus la peine d’être vécue. Vous connaissez certainement l’une de ces personnes que tout le monde aime. Et si, au lieu de penser qu’il s’agit d’un hasard ou d’une caractéristique génétique, si vous agissiez pour évoluer vers ce fonctionnement ? Voici quelques pistes pour vous aider… à vous faire aimer

  • 7 pistes pour vous faire aimer

1° – Sachez consacrer du temps aux autres. Si vous êtes toujours pressé, si vous n’avez jamais de temps pour échanger, vous ne pourrez même pas entrer en relation. Vous resterez transparent ou inexistant, tout simplement ! Le temps consacré aux autres est un investissement amical !

2 ° – Faites des compliments. Attention, il ne s’agit en aucun cas de flatteries ! Simplement, quand vous pensez quelque chose de positif de quelqu’un, dîtes-le lui. C’est simple ? Pas si sûr, nous avons tous tendance à garder ça pour nous. Alors que ça fait tellement de bien.

3° – Soyez positif avec vous-même : à partir du moment où vous pensez avoir une certaine valeur, où vous vous appréciez vous-même, vous transmettez cette idée à votre entourage. L’exact contraire de « je suis nul, restez à distance » !

4° – Cultivez le sens de l’humour : cela n’est pas forcément spontané. L’essentiel n’est pas d’avoir le mot qui fait mouche, mais d’être capable de se moquer de soi et de relativiser. Quand on sait rire de soi, on est tout de suite plus humain !

5° – Apprenez à demander : il est souvent plus facile de donner que de demander. Pourtant, en allant chercher de l’aide, vous permettez à l’autre d’être généreux. Et ça, c’est un beau cadeau : grâce à vous, il se fait une meilleure opinion de lui ! Rien de plus positif !

6 ° – Prenez plaisir à écouter : s’intéresser à celui qui est là. L’écouter vraiment avec gentillesse, empathie, intérêt. Cela paraît une évidence, mais peu de personnes en sont véritablement capables. Et celles qui le font sont toujours très aimées.

7° – Ne jugez jamais : juger, c’est très facile, mais très réducteur. Cela met une étiquette qui emprisonne. Et comme vous ne connaissez qu’une petite partie de l’autre, vous avez toujours tort ! Lui laisser la liberté d’être aussi tout autre que vous pouvez imaginer, c’est extrêmement précieux parce que plutôt rare !

Et continuez sur la lancée en y ajoutant votre grain de sel. En effet, chacun peut découvrir sa manière personnelle de se faire aimer : partagez vos passions, proposez des projets, soyez confiant et positif envers les autres, osez montrer vos limites et vos faiblesses, faites passer vos relations affectives en priorité, souriez, regardez la vie avec gourmandise, faites des cadeaux personnels, cultivez votre propre bonheur pour qu’il rayonne autour de vous… Finalement, il y a mille manières de se faire aimer !

Article publié par Dr Catherine Solano – médecin sexologue le 25/02/2004 – 01:00
Et mis à jour le 20/12/2011 – 16:04

 

21 octobre, 2011

Chacun porte en soi …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 15:50

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Chacun porte en soi les causes et les antidotes à ses maux …

17 octobre, 2011

La sagesse a ses excès …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 13:05

La sagesse a ses excès et n’a pas moins besoin de modération que la folie. [Montaigne]

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Pourquoi donc l’homme qui déraisonne nous inquiète-t-il ? Est-ce vraiment parce qu’il évoque un « autre monde » que celui dans lequel nous nous situons ? Autre que celui de la « raison » ?

    Non. C’est surtout parce qu’il a perdu le contrôle rationnel sur la pensée. 1) parce qu’il tient des propos incohérents : il dit une chose, puis le contraire, il revient sur ce qu’il a dit, il dit autre chose, il s’égare dans les méandres de sa pensée : il est en pleine confusion. L’incohérence de la pensée engendre l’incohérence du comportement et c’est cela même que nous décelons chez le fou. Voltaire dit à ce titre « Qu’est-ce que la folie? C’est d’avoir des pensées incohérentes et la conduite de même ».

    Ou bien 2), ce qui est beaucoup plus inquiétant, il déraisonne par ce qu’il organise une fausse cohérence qui repose sur une fixation mentale. Le paranoïaque en ce sens raisonne, il raisonne beaucoup, il raisonne même à l’excès, à partir d’une angoisse fixée sur une émotion, la peur d’être victime d’un complot. Il tisse un raisonnement autour de la croyance selon laquelle tout le monde lui en veut et il en recherche partout des confirmations… Qu’il trouve toujours ! Et c’est ce qui est inquiétant, l’esprit qui semble tourner en rond enfermé dans sa propre représentation. Ce qui nous inquiète alors chez l’homme qui déraisonne, c’est la construction mentale d’une illusion dans laquelle l’esprit vient s’enfermer et dont il ne sort plus.

Et voilà le vrai problème. : le fou est un rêveur qui ne revient plus dans l’état de veille, qui continue de rêver et reste sous l’emprise de ses propres constructions mentales.

Extrait de Leçon 89.   Raison et folie trouvé sur le net grâce à : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://sergecar.perso.neuf.fr/Dessins/folie.jpg&imgrefurl=http://sergecar.perso.neuf.fr/cours/raison2.htm&usg=__H3tLsOsXOvNrUlF8_Y4Kr-sevTY=&h=450&w=316&sz=39&hl=fr&start=15&zoom=1&tbnid=hBgJUbVps1aKdM:&tbnh=127&tbnw=89&ei=iCOcTqfHNIWdOpTuvYkK&prev=/images%3Fq%3Dimages%2Bde%2Bla%2Bfolie%26hl%3Dfr%26client%3Dqsb-win%26sa%3DX%26rlz%3D1R3GGLF_frFR344FR354%26tbm%3Disch&itbs=1

La notion de folie inclut une double dimension : interne, avec la quantité et la qualité du raisonnement ; externe, avec la relation aux autres.

4 mai, 2011

Etats négatifs …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 8:08

États négatifs – c’est nous qui les attirons

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« Quelqu’un vient me confier qu’il est visité par des pensées et des sentiments qui le perturbent, et il ne comprend pas pourquoi ; cela, d’après lui, n’a aucun sens, ces pensées et ces sentiments sont tellement éloignés de sa nature, de son caractère, de ses préoccupations ! Je lui dis : « En êtes-vous sûr ?… Vous n’en voyez peut-être pas la raison, mais ces pensées et ces sentiments ne peuvent pas vous venir par hasard. D’une façon ou d’une autre vous leur en avez fourni les conditions, vous leur avez préparé de la nourriture. »
Si vous avez mis un bol de lait sur le rebord de votre fenêtre, vous ne devez pas être étonné de voir arriver tous les chats du quartier. Vous vous contentez de les chasser, ça ne servira à rien, enlevez plutôt le bol de lait. Sinon les chats vous diront : « De quoi te plains-tu ? C’est toi avec ce lait qui nous as attirés. » Vous vous sentez envahi par certains états négatifs ? Commencez par vous demander ce que vous avez fait pour les attirer, car c’est sûr, vous les avez attirés. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov

http://www.prosveta.com/

22 avril, 2011

À quoi sert la politesse ? …

Classé dans : Moralité (13),Psychologie (72) — coukie24 @ 14:24

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La politesse doit être enseignée aux enfants sinon ils auront du mal à s’insérer dans la société. Pourtant, l’incivilité semble gagner du terrain et l’on s’en plaint aujourd’hui comme les adultes s’en plaignent depuis des millénaires quand ils parlent de la jeunesse qui  » n’est plus ce qu’elle était « . Pourtant, la politesse, même si elle est indispensable, semble aussi un carcan, lieu d’une véritable hypocrisie. Alors, à quoi sert-elle vraiment ?

La politesse, une règle implicite qui nous guide

Si la politesse semble souvent artificielle, elle a l’intérêt d’organiser un univers rassurant et prévisible. Grâce à elle, vous savez ce que vous devez faire ou ne pas faire, dire ou ne pas dire, comment vous devez réagir. Ses règles écrites ou implicites vous guident, vous soutiennent, vous facilitent la vie à des moments où il ne serait pas simple d’improviser rapidement. Vous savez où vous situer par rapport à l’autre grâce à ces règles. Vous ne parlerez ainsi pas de la même manière à votre patron ou à un subordonné. De même, vous saurez comment placer vos invités à table.

La politesse sert aussi à donner du positif aux autres

Un exemple : quand vous croisez un voisin, vous dites simplement  » bonjour « . En lui souhaitant une bonne journée, vous lui montrez qu’il n’est pas un inconnu pour vous, qu’il existe dans votre environnement, qu’il a sa place dans le monde. Ce n’est pas grand-chose, mais cela peut se révéler très important pour une personne seule qui apprécie énormément ce petit mot. De même le mot  » merci  » vous permet de reconnaître ce que l’autre vous a donné (un sourire, une aide, une attention) et lui renvoie une image positive de lui-même. Un merci est un mini cadeau qui répond à un autre cadeau. Ce sont donc des échanges d’objets positifs. De cette manière, la politesse huile les rouages sociaux et rend la vie plus agréable. Être poli, c’est ne pas laisser la loi de la jungle triompher, mais l’humanité gagner la partie. Un conducteur poli laisse passer les piétons sur un passage qui leur est réservé et n’injurie pas un conducteur étranger ou débutant qui a des difficultés à trouver son chemin. La politesse ne fait pas que mettre en avant du positif, elle atténue le négatif. Un enfant peut dire :  » elle est moche la dame  » alors qu’un adulte peut le penser, mais s’il est bien éduqué, ne le dira jamais. Il ne s’agit pas d’hypocrisie, mais d’une manière de faciliter la vie en communauté. Si chacun blesse les personnes de son entourage par manque de politesse, il sera lui aussi blessé un jour ou l’autre. Il s’agit donc d’un échange tacite de bons procédés. Personne ne va vous dire que vous êtes laid, ni que vous êtes mal habillé, à moins de souffrir d’un déficit grave de politesse. Aussi, quand on souhaite enseigner la politesse aux enfants, l’idéal est de parler non des règles, mais des valeurs que l’on souhaite transmettre.

Il semblerait que l’on puisse ramener les règles de la politesse à 4 grands principes :

- Le respect de soi qui consiste à se vêtir de manière soignée, et à parler d’une manière intelligible et claire pour l’entourage.

- Le respect d’autrui : il s’agit de ne pas gêner par des sons bruyants, de faire preuve de tact, de discrétion et d’éviter les remarques désobligeantes, de ne pas monopoliser les conversations, et de savoir exprimer son désaccord sans blesser l’autre.

- La sociabilité : il s’agit d’offrir des signes d’intérêt aux personnes que l’on côtoie, des compliments, de recevoir dans les formes et de faire preuve de bienveillance en leur proposant des services.

- L’équilibre : ici, on s’applique à rendre une invitation, à ne pas abuser du temps d’autrui, à éviter la familiarité excessive… Notons qu’en dehors de tous ses aspects positifs la politesse a aussi ses limites. Elle sert parfois à vous positionner dans une classe sociale. Chaque groupe culturel a ses propres règles et chacun reconnaît rapidement les siens. Cela peut être un plaisir de former un groupe, mais aussi une manière de s’isoler des autres, pas forcément positive…

À lire  » Pourquoi la politesse ? Le savoir vivre contre l’incivilité  » de Dominique Picard aux éditions Le Seuil (2007)

La beauté intérieure, ça compte vraiment !

Classé dans : Psychologie (72),Santé (166) — coukie24 @ 13:47

La beauté intérieure, ça compte vraiment !

C’est même scientifiquement démontré: les personnes dont nous pensons qu’elles ont une personnalité désagréable ont tendance à nous paraître moins belles ou attirantes physiquement. Une leçon à méditer en ces temps de chirurgie esthétique…

Ce qui compte, c’est la beauté intérieure ?

« Ce qui compte, c’est la beauté intérieure ». Qui n’a pas déjà entendu ce cliché… Et qui ne s’est jamais dit, justement, que c’était un cliché sans réel fondement ? Une étude américaine vient pourtant nous prouver que les gens qui ont une « belle » personnalité nous paraissent plus beaux que les autres.

Avant/après

Les participants à cette étude, étudiants d’une université des Etats-Unis, ont été chargés de regarder des photographies de personnes du sexe opposé, et de leur donner une note selon l’attirance qu’ils éprouvaient. La première fois, cette note dépendait uniquement de l’apparence physique. Mais après avoir fait quelques exercices pour effacer au maximum les visages de leur esprit, les étudiants ont dû refaire le même exercice… avec une petite différence.

Quand on en sait plus sur la personnalité des gens

La deuxième fois, les visages étaient les mêmes mais des informations étaient données aux étudiants sur les personnalités attachées à chaque visage. Certaines personnes étaient décrites comme généreuses, gentilles, drôles, intelligentes ou autres, tandis que d’autres héritaient d’une personnalité agressive, instable, cruelle, injuste, ou malpolie. Pour une troisième série de visages, la personnalité restait un mystère. En écoutant ces informations, les étudiants devaient à nouveau noter les visages, selon leur attractivité mais aussi le fait qu’ils étaient désirables comme amis ou comme amoureux.

Les opinions se modifient

Le résultat de l’étude : le fait d’avoir une information sur la personnalité de quelqu’un modifie ce que nous pensons de son apparence. On pouvait s’attendre, en toute logique, à ce que les éléments de personnalité aient un impact sur l’envie que les étudiants avaient d’être amis avec la personne montrée. Mais les résultats de l’étude montrent bien que c’est la perception de la beauté physique qui est modifiée ! Les personnes qui n’étaient pas jugées très attirantes au début pouvaient gagner des places si leur personnalité était décrite comme positive. Et à l’inverse, les prix de beauté avec de gros défauts perdaient du terrain.

Si vous avez envie d’améliorer votre apparence, considérez donc la possibilité de travailler votre personnalité au moins autant que votre physique….

Article publié par Marion Garteiser, journaliste santé le 16/02/2011 – 16:40

Sources : Personality goes a long way: the malleability of opposite-sex physical attractiveness. Gary W. Lewandowski Jr, Arthur Aron, Julie Gee. Personal relationships, Vol. 14, Issue 4, Dec.2007. Webmd.co

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Certaines paroles ou images que nous recevons sur Internet nous touchent parfois vraiment. Récemment, pour moi, il s’agissait de phrases d’Audrey Hepburn et de photos de son visage – de sa jeunesse éclatante au rayonnement de ses années de femme mûre. Enfant, elle avait failli mourir de faim dans les Pays-Bas dévastés de l’après-guerre et avait été sauvée grâce à l’aide aux réfugiés des Nations unies. A la fin de sa vie, à la question : « Quels sont vos secrets de beauté ? », elle répondait avec grâce : « Pour avoir de beaux yeux, cherchez des personnes généreuses » ; « Pour avoir une silhouette fine, partagez votre repas avec quelqu’un qui a faim » ; « Pour avoir de beaux cheveux, laissez un enfant y passer ses doigts » ; « Les gens, encore plus que les choses, ont besoin d’être rétablis, ravivés, récupérés et pardonnés ; ne rejetez jamais quelqu’un » ; « La beauté d’une femme n’est pas l’esthétique de son visage mais se reflète dans son âme.

Evocation de David Servan-Schreiber,

David Servan-Schreiber est psychiatre. Auteur de Guérir (Pocket, 2005) et d’Anticancer (Robert Laffont, 2007), il a fondé et dirigé un centre de médecine intégrative à l’université de Pittsburgh, aux États-Unis.

22 mars, 2011

Savoir écouter, c’est …

Classé dans : Citations, proverbes...,Psychologie (72) — coukie24 @ 7:43

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«Savoir écouter, c’est posséder, outre le sien, le cerveau des autres.»

Léonard de VINCI

20 janvier, 2011

Les couples heureux ont leurs secrets…

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 13:04

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Le secret des couples heureux, ce n’est pas d’éviter les conflits, ni même de chercher systématiquement à les résoudre. Des différends, même profonds peuvent exister toute la vie sans pourtant mettre en péril le bonheur, la survie, la durée d’un couple.. Alors, qu’est-ce qui explique la longévité conjugale heureuse ?

  • Comment fonctionnent les couples qui durent ?
  • La recette : se pencher sur tous vos plaisirs

Comment fonctionnent les couples qui durent ?

John Gottman et Nan Silver* ont étudié le fonctionnement psychologique de certains couples pour répondre à cette question.

Le résultat essentiel est le suivant : c’est le bonheur partagé, le plaisir d’être ensemble, bien plus que l’absence de conflit qui font durer un couple. On peut toute la vie se disputer systématiquement sur une belle mère trop envahissante, sans jamais rien résoudre, et pourtant, être heureux ensemble !

Ainsi, dans les couples heureux, on se donne mutuellement plus de plaisir. Le geste positif de l’un est récompensé par un geste positif de l’autre, à un sourire répond un autre sourire. Chaque action positive se voit récompensée par une attitude, un geste, un remerciement. Et cela crée une dynamique très bénéfique.

De cette façon, on peut dire que dans un couple, la quantité de positif est mise en balance avec la quantité de négatif. Si vous cultivez avec art le positif, l’amour, l’amitié, les sourires que vous échangez, si vous en avez en grande quantité, vous pourrez très facilement supporter des désaccords même importants. En revanche, si vous mettez très peu de positif dans votre relation, le moindre conflit va dégénérer gravement parce que vous n’avez pas de réserves de bonheur partagé pour y faire face.

La recette : se pencher sur tous vos plaisirs

Finalement, la recette est plutôt sympathique : plutôt que de chercher à résoudre les problèmes, si vous vous penchiez sur tous vos plaisirs ? Au lieu de vouloir limiter vos différends, si vous augmentiez votre ration de bonheur ? C’est une recette à la fois simple agréable et efficace !

* « Les couples heureux ont leurs secrets », Jean-Claude Lattès, Ed. Pocket, 2001.

Article publié par Dr Catherine Solano – médecin sexologue le 05/05/2004 – 01:00
Mis à jour par Dr Catherine Solano – médecin sexologue le 17/01/2011 – 11:38

21 octobre, 2010

ALTRUISME ! Etes vous un vrai ou un faux altruiste ?

Classé dans : Les mots (85),Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 15:53

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Pourquoi aide t-on ?

Il existe plusieurs types d’altruistes qu’on pourrait appeler les « vrais » et les « faux’. Afin de mettre en évidence l’altruisme pur, il faut éliminer diverses autres explications selon lesquelles tout comportement altruiste ne serait que de l’égoïsme déguisé. Les « faux altruistes » aident parce qu’ils ne supportent pas la détresse qu’il éprouvent devant la souffrance des autres et s’empressent de désamorcer leur propre tension émotionnelle. Ils aident aussi par crainte du jugement que l’on porte sur eux ou par désir d’être loués, ou encore pour éviter le sentiment de culpabilité. S’ils n’ont pas d’autres choix d’intervenir, ils secourent la personne en difficulté (pourvu que le prix à payer ne soit pas trop élevé) mais s’ils peuvent éviter d’être confronté au pénible spectacle de la souffrance ou s’esquiver sans que personne ne trouve à redire, ils n’interviennent pas plus que les individus faiblement altruistes.

Les « vrais altruistes » en revanche aident même s’il leur aurait été facile de détourner le regard, ou d’éviter d’intervenir sans que personne le sache. Des recherches montrent que, dans une population occidentale, on trouve en moyenne 15% d’altruiste vrais et que cet altruisme est, chez eux, un trait de tempérament durable.

Donnons un exemple.

Comment savoir si une personne dite altruiste n’agit pas simplement pour ressentir le sentiment de fierté que lui procure l’accomplissement d’un geste bienveillant? 

En vérifiant qu’elle sera tout aussi satisfaite si quelqu’un d’autre vient en aide. Pour un véritable altruiste, c’est le résultat qui compte, non la satisfaction personnelle d’avoir aidé.

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Extrait du livre  « Plaidoyer pour le bonheur » de Matthieu Riccard  

16 septembre, 2010

L’intuition …

Classé dans : Citations, proverbes...,Psychologie (72) — coukie24 @ 18:46

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L’intuition, c’est l’intelligence qui commet un excès de vitesse.

Citation de Henry Bernstein

En effet, nos décisions « instinctives » sont des processus très rationnels qui s’élaborent dans notre inconscient. Aucune force magique insondable là-dedans ! Elle réside dans la connexion en une fraction de seconde d’années d’expérience, de réflexions, de rencontres ou lectures accumulées en vrac au fil du temps, des hypothèses sans liens apparents entre elles. Coukie24

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Quelques autres citations

On tient pour suspectes l’induction et l’intuition.
L’induction, le grand organe de la logique
L’intuition le grand organe de la conscience.
Victor Hugo

____

L’intuition est une vue du coeur dans les ténèbres.
André Suarès

____ 

Le mental intuitif est un don sacré
et le mental rationnel un serviteur fidèle.
Nous avons créé une société qui honore le serviteur
et qui a oublié le don.
Albert Einstein

___

L’intuition est l’incarnation la moins entravée
de la nature.
Hélène Grimaud

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28 août, 2010

Agissez envers les autres …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 13:29

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2 avril, 2010

Qu’est-ce que la sublimation ?

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 15:51

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La sublimation est le déplacement d’une énergie instinctuelle vers un but social élevé. Ce terme a été introduit par S. Freud pour désigner le mécanisme de défense du moi par lequel certaines pulsions inconscientes, détachées de leurs objets primitifs, sont intégrées à la personnalité en s’investissant dans des équivalents ayant une valeur sociale positive.

L’esprit de compétition et certaines vocations de chirurgien s’expliquent par l’agression sublimée, par exemple, et l’altruisme par l’énergie de l’instinct sexuel. Pour reprendre une image connue, on peut dire que la sublimation est comparable à l’action de l’homme qui transforme une chute d’eau dévastatrice en une source de houille blanche dont il tire l’électricité.

La sublimation joue un rôle très important dans l’adaptation de l’individu à son milieu, en permettant son ajustement social sans nuire à son développement personnel.

Ne pas confondre avec la passion qui est un état affectif intense, stable et durable, orienté vers un objet exclusif. Il est vrai que la passion est capable de mobiliser toute notre énergie comme la sublimation. La sublimation est une pulsion donc éphémère. C’est un processus de production d’activités supérieures (intellectuelles, artistiques, morales, etc…) qui ne modifie pas le comportement à long terme.

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7 janvier, 2010

Les 10 secrets de l’estime de soi …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 17:27

 

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Le bonheur est un des principaux ingrédients de la longévité. Or pas de bonheur sans une bonne dose d’estime de soi. Bonne nouvelle, renforcer son estime de soi, ça s’apprend !

Renforcer son estime de soi

Avoir une bonne estime de soi permet d’être positif, d’agir selon ses aspirations et de faire face aux difficultés de l’existence. Il est donc essentiel de développer son estime de soi. Pour cela, un travail est nécessaire. À tout âge, à tout moment et dans toutes les situations, il est possible de travailler son estime de soi et de la renforcer. Comment procéder ? Voici 10 pistes à explorer.

1) Affirmez-vous ! Apprenez à dire ce que vous pensez, ce que vous souhaitez et aussi ce que vous ressentez. Attention, s’affirmer n’implique pas de devenir agressif. Vous devez apprendre à formuler vos pensées sans agressivité. Apprenez également à bien formuler vos souhaits et vos ressentis. Exprimez-vous clairement et toujours très concrètement.

2) Définissez vos priorités – Prenez le temps de réfléchir objectivement à vos projets de vie : quel est l’important pour vous ? Quelles sont vos priorités, vos projets dans la vie ? Etc. Vous pouvez ainsi mettre de côté vos doutes et vous focaliser sur vos priorités. Chercher à réaliser ses priorités bien établies améliore beaucoup l’estime de soi.

3) Listez vos valeurs fondamentales  – Listez vos valeurs fondamentales (liberté de pensée, respect de l’autre, amour, citoyenneté…) et ne vous laissez pas polluer par des faits accessoires et autres idées superficielles.Vivre avec des valeurs fortes contribue à rendre heureux.

4) Reconnaissez vos qualités – Nous avons tous des défauts et des qualités, lesquels peuvent même changer au fil de la vie. L’important n’est pas de focaliser sur ses défauts, mais sur ses qualités. Listez-les par écrit, relisez-les régulièrement et faites évoluer cette liste. Si nécessaire, demandez à vos amis ce qu’ils apprécient en vous, vous serez sans doute surpris !

5) Soyez positif et regardez toujours du côté de la solution

Face à un problème, on a souvent tendance à ne voir que les mauvais côtés des choses. Pourtant, il y a toujours du positif et des solutions. Exercez-vous. Face à une situation difficile, inscrivez dans une colonne les problèmes et les points négatifs, dans une autre, les points positifs et les solutions.

6) Regardez-vous avec tendresse et bienveillance

Vous faites de votre mieux et vous essayez tous les jours de vous améliorer. Cela vaut bien un peu de tendresse et de bienveillance. Parlez-vous et encouragez-vous, vous le méritez ! Et dès que vous croisez votre regard dans une vitrine ou une glace, souriez-vous.

7) Complimentez-vous et célébrez toutes vos petites victoires

Il n’y a pas que les promotions ou la réussite d’un examen qui comptent parmi vos victoires. La vie de tous les jours est ponctuée de petites et grandes réussites, dont vous devez vous imprégner (votre coq au vin était des plus réussis, vous avez bouclé votre dossier en un temps record, vous avez réparé le jouet cassé de votre enfant, vous avez organisé un super week-end, etc.). Clamez vos victoires et jouissez de ces petits instants magiques qui apportent du bonheur.

Et chaque soir, repensez à toutes vos réussites de la journée et à tous les évènements heureux.

8) Muselez votre critique intérieure

Nous avons tous une petite voix intérieure qui nous dit :  » ne te réjouis pas trop vite « ,  » ça ne va pas durer « ,  » je ne le mérite pas « … Ces critiques n’ont aucune justification et elles gâchent inutilement les instants heureux. Ne vous critiquez pas vous-même et appréciez simplement les instants présents.

9) Éliminez vos  » pensées toxiques « 

 » Je suis bête « ,  » je suis maladroite « ,  » je suis trop petite « ,  » je n’y arriverai pas « … ces formules et autres petites phrases assassines entravent, voire handicapent vos pensées et vos actes. Vous devez les éliminer.

10) Transformez vos défauts en qualité

Acceptez vos défauts, assumez-les ou débarrassez-vous-en. Commencez par les identifier objectivement. Certains traits de votre personnalité que vous considérez comme des faiblesses peuvent devenir des points forts. Certains aspects physiques peuvent aussi devenir des signes distinctifs. D’ailleurs, la beauté vient de l’intérieur. Enfin, rien n’est immuable, tout peut se transformer.

 

Isabelle Eustache
04/01/2010
 » Le guide de psychologie de la vie quotidienne « , Christophe André, Editions Odile Jacob.

6 janvier, 2010

Les 7 personnalités difficiles à vivre …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 10:26

Les 7 personnalités difficiles à vivre

Votre conjoint, vos enfants, vos amis, vos collègues ou vos supérieurs, tous ont des personnalités différentes, et heureusement ! Toutefois, certaines sont plus difficiles à vivre au quotidien. Savez-vous reconnaître les différentes personnalités ?

7 pistes pour comprendre le stress professionnel et réagir
L’arrêt du tabac, un phénomène social contagieux !
Quand votre bureau vous rend malade

Si l’on choisit son conjoint, on subit ses supérieurs et parfois aussi la personnalité difficile de nos enfants, voire de nos amis. Savez-vous reconnaître les différentes personnalités et dire en quoi ces personnes sont, parfois ou souvent, difficiles à vivre ?

Personnalité anxieuse :

Soucis trop fréquents et/ou trop intenses

Attention permanente aux risques

Tension physique excessive

Personnalité paranoïaque :

Méfiance (jalousie, facilement offensée, recherche de détails prouvant les soupçons…)

Rigidité (froide, manque de tendresse, d’émotions positives, d’humour, de rationalité…)

Personnalité obsessionnelle :

Perfectionnisme

Obstination

Doute de soi

Personne consciencieuse et avec scrupules

Froideur dans les relations

Personnalité histrionique :

Cherche à attirer l’attention des autres

Dramatise l’expression de ses émotions

Discours émotionnel

Tendance à idéaliser ou à dévaloriser son entourage

Personnalité narcissique :

Sentiment d’être exceptionnel

Ambitions de succès éclatant

Souci de son apparence physique

En attente de privilèges et d’attentions, sans forcément de réciprocité

Exploitation et manipulation des autres pour atteindre ses buts

Peu d’empathie

Personnalité évitante :

Hypersensibilité

Dévalorisation de soi

Peur de l’échec, comportement effacé

Évitement des relations avec les autres

Personnalité agressive :

Énergique dans l’action et dans les propos

Expression violente des émotions, peu de nuance, parfois blessante

Forte réactivité surtout face aux difficultés, manque de recul.
 

Isabelle Eustache
04/01/2010
 » Le stress au travail « , Patrick Légeron, Editions Odile Jacob.

14 décembre, 2009

Guérir de l’égoïsme …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 10:47

Guérir de l’égoïsme

L’égoïsme fait partie de ce que l’on appelle communément un « défaut », autrement dit un problème dans la manière de se comporter. Le plus souvent, on attribue l’égoïsme à un amour exagéré pour soi-même, un amour tel qu’il n’y aurait pas de place pour qui que ce soit d’autre. Si la personne égoïste semble effectivement ne s’intéresser qu’à elle-même, peut-on dire pour autant qu’elle s’aime trop ?

Guérir de l'égoïsme ... dans Psychologie (72)

Pour l’égoïste, selon Edgar Poe, « Le grand malheur est de ne pouvoir être seul ». L’égoïste est essentiellement préoccupé de lui-même ; ses choix, ses activités, ses relations convergent vers un même but : ramener tout à soi, s’approprier ce qui lui semble plaisant ; il ne tient compte ni du monde, ni des intérêts extérieurs, ne se soucie pas des autres et organise sa vie pour ne pas être dérangé. S’il entre en relation avec certaines personnes, c’est qu’il pense pouvoir en tirer quelque chose : du prestige, des avantages, du plaisir…

egoisme dans Psychologie (72)Le petit monde de l’égoïste

L’égoïste vit en circuit fermé ; il est comme empêché de voir et d’entendre ce qui ne le concerne pas personnellement ; le monde, c’est lui, le reste est ignoré !

Il est peu satisfait de sa vie et souvent solitaire (égoïsme et « célibat endurci » font bon ménage), soit par choix, soit par force. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a tendance à lasser son entourage !

Il arrive toutefois qu’il rencontre un(e) « alter ego », quelqu’un comme lui, avec qui il formera un couple replié sur lui-même : rassemblant leurs intérêts communs pour se prémunir du monde extérieur, ils vivront alors un « égoïsme  à deux » ; rien de bien neuf, si ce n’est qu’ils sont maintenant deux dans la même « cellule ».

Le reproche qui est fait le plus souvent aux personnes égoïstes, c’est de trop s’aimer pour pouvoir aimer les autres. Mais avant de dire qu’elles s’aiment trop, demandons nous déjà si elles s’aiment. Et dans le cas contraire, d’où leur vient alors de n’avoir qu’elles-mêmes en tête ?

Les racines de l’égoïsme et de l’amour de soi

Dans le tout premier stade de son évolution, l’être humain est exclusivement tourné vers ses propres besoins : être nourri, soigné consolé, stimulé et ce sont là les conditions de sa survie. Ce n’est qu’après avoir acquis un minimum d’indépendance qu’il s’ouvrira peu à peu à un environnement de plus en plus large (de la mère à la famille, de la famille à la crèche…etc.). Mais pour que cette ouverture progressive vers les autres se réalise sans embûches, il faut que l’enfant ait reçu suffisamment d’amour pour croire en lui, pour s’aimer; il pourra alors commencer à donner de l’amour en retour. Dans le cas contraire, il peut rester bloqué à ce stade où le monde entier semblait converger vers lui.

Autrement dit, la personne égoïste qui accapare tout à son profit, ne trouve pas plaisir à échanger, à donner, n’est pas atteinte d’un « trop plein » d’amour pour elle, elle souffre en fait de son contraire. Son avidité, son besoin d’arracher à la vie ce qu’elle pourrait obtenir autrement, ne sont pas le signe d’un trop grand amour de soi mais celui d’une difficulté à croire en elle-même.

Ce n’est pas l’amour de soi qui produit de l’égoïsme, mais l’attachement plus ou moins pathologique à une image périmée de soi-même, celle de « l’enfant merveilleux », à qui rien ne doit jamais manquer.

Peut-on « guérir  de l’égoïsme ?

Le point de départ est de prendre conscience de cette faiblesse et des effets dommageables qu’elle a pour soi-même ; à partir de là, il devient possible de se dégager petit à petit du cercle vicieux où elle nous enferme : « on ne peut rien attendre des autres… prenons ce qu’il y a à prendre… décidément, je me fais toujours avoir… on ne peut rien attendre des autres… etc ». 

Quelques conseils peuvent s’avérer utiles :

  • Commencer à donner, de petites choses, et de préférence à  quelqu’un qui soit capable de gratitude et de générosité…
  • Pratiquer les sports d’équipe ou un art martial, comme le judo, qui associe  présence à soi-même, contact, ouverture et respect des autres ;
  • Demander un accompagnement psychothérapeutique qui permettra de restaurer le sentiment de sa propre valeur et de celle du monde environnant.

En expérimentant ces quelques trucs, vous devriez réussir à sortir de cet égoïsme et enfin vous tourner vers les autres…

Dominique Pir

« Se replier sur soi-même et ses malheurs n’est-ce pas aussi une certaine forme d’égoïsme alors qu’aller vers les autres et ne pas oublier ceux qui nous entourent est une façon d’exorciser sa peine ? »  Coukie24

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7 décembre, 2009

Si un enfant …

Classé dans : Psychologie (72) — coukie24 @ 18:21

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Si un enfant vit dans la critique,

                                                 Il apprend à condamner.

Si un enfant vit dans l’hostilité,
Il apprend à se battre.

Si un enfant vit dans le ridicule,
Il apprend à être gêné.

Si un enfant vit dans la honte,
Il apprend à se sentir coupable.

Si un enfant vit dans la tolérance,
Il apprend à être patient

Si un enfant vit dans l’encouragement,
Il apprend à être confiant.

Si un enfant vit dans la motivation,

Il apprend à se faire valoir.

Si un enfant vit dans la loyauté,
Il apprend la justice.

Si un enfant vit dans la sécurité,
Il apprend la foi

Si un enfant vit dans l’approbation,
Il apprend à s’aimer.

Si un enfant vit dans l’acceptation et l’amitié,
Il apprend à trouver l’amour dans le monde.

Anonyme

 Jacques Salomé  » Car nous venons tous du pays de notre enfance »

24 novembre, 2009

L’humilité est la vertu …

Classé dans : Psychologie (72),Sentiments (132) — coukie24 @ 15:03

L’humilité est la vertu qui s’oppose à l’orgueil, à la suffisance ou à l’arrogance. La personne humble est celle qui reconnaît ses limites et ses fragilités.

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Une personne humble s’efforcera d’écouter et d’accepter les autres.
Plus elle acceptera les autres, plus elle sera tenue en grande estime,
et plus elle sera écoutée.
Un mot prononcé avec humilité a plus de sens que mille autres
.

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