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2 septembre, 2009
23 août, 2009
25 juillet, 2009
16 juin, 2009
Prendre le temps…
Prends le temps de rire…
C’est la source du bonheur.
Prends le temps de travailler…
C’est le prix du succès.
Prends le temps d’aimer…
C’est le secret de la vie.
Prends donc le temps…
pendant qu’il est encore temps !
12 avril, 2009
9 février, 2009
1 février, 2009
Chaque saison a ses charmes…
Le temps …
Que l’on cherche à étirer
Ou que l’on souhaite pouvoir arrêter
Le temps passe irrémédiablement
Et rien ne sert de regarder le passé
Avec l’espoir de faire revivre l’enfance …
Elle s’en est allée !!!
Chaque jour que nous vivons
Imprime dans notre mémoire
La beauté de l’instant
Si nous n’en profitons pas au moment
Où il passe , nous risquons de constamment,
Regarder les différentes saisons de notre vie
Avec un pincement au coeur
Avec le regret de ne pas avoir su cueillir
Le bonheur quand nous l’avions
Au creux de nos maisons …
18 janvier, 2009
Je veux apprendre à regarder passer le temps…
« - La poésie n’est pas un métier. C’est un passe-temps. Un poème, c’est une eau qui s’écoule. Comme cette rivière. Yuko plongea son regard dans l’eau silencieuse et fuyante. Puis il se tourna vers son père et lui dit : - C’est ce que je veux faire. Je veux apprendre à regarder passer le temps. » (Maxence Fermine) |
8 janvier, 2009
Le paradoxe de notre temps !
Le paradoxe de notre temps dans l’histoire consiste en ce que nous ayons des
bâtiments de plus en plus longs, mais des tempéraments de plus en plus courts;
des autoroutes de plus en plus larges, mais des esprits de plus en plus étroits.
Nous dépensons de plus en plus, mais nous avons de moins en moins ;
nous achetons de plus en plus, mais nous profitons de moins en moins.
Nous avons des maisons de plus en plus grandes et des familles de plus en plus petites. Nous avons plus de facilités, mais moins de temps. Nous avons plus de diplômes mais moins de bon sens; plus de connaissance mais moins de sagesse; plus d’experts mais plus de problèmes; plus de médicaments mais moins de santé. Nous dépensons trop, rions très peu, conduisons trop vite; nous nous fâchons trop vite, veillons très tard et nous nous levons trop fatigués.
Nous lisons trop rarement, regardons trop la télé et prions trop rarement.
Nous avons augmenté nos richesses, mais nous avons rabaissé nos vertus.
Nous parlons trop, aimons trop rarement et mentons trop souvent.
Nous avons appris comment gagner notre vie mais n’avons pas appris comment vivre notre vie. Nous avons ajouté des années à notre vie mais pas de vie à nos années.Nous sommes allés sur la lune, mais nous avons du mal à traverser la rue pour rencontrer le nouveau voisin. Nous avons conquis l’espace mais pas notre fort intérieur. Nous avons fait de grandes choses mais pas de meilleures choses.
Nous avons purifié l’air environnant, mais avons pollué notre âme.
Nous avons maîtrisé l’atome mais asservi notre jugement.
Nous écrivons de plus en plus mais apprenons de moins en moins, planifions de plus en plus mais accomplissons de moins en moins. Nous avons appris à nous presser mais pas à attendre; nous avons des revenus très élevés mais des principes moraux très bas, plus de nourriture mais toujours moins de satisfaction, plus de rencontres mais moins d’amis, plus d’efforts mais moins de succès.Nous construisons toujours plus d’ordinateurs pour emmagasiner plus d’information, pour produire toujours plus de copies, mais nous communiquons de moins en moins.
Nous avons une longue vue sur la quantité, mais une vue courte sur la qualité. C’est l’époque des fast-foods et de la digestion lente; des hommes de grande taille mais de patience très courte, des gains immenses et des relations vides.
C’est l’époque où il y a beaucoup dans les vitrines et rien dans les réserves..
C’est l’époque des voyages éclairs, des couches jetables, de la réduction des risques, de la moralité au rabais, des aventures d’un soir, des pilules qui remontent, qui tranquillisent, qui tuent. C’est l’époque de plus de loisirs, mais de moins de joie; de menus de plus en plus variés, mais de moins en moins nutritifs.C’est l’époque des 2 salaires au foyer, mais de plus en plus de divorce; de maisons de plus en plus sophistiquées, mais de plus en plus de foyers brisés.
C’est l’époque de la paix mondiale, mais c’est aussi la guerre dans les familles.C’est le temps des grandes technologies.
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ou le méditer doucement et changer peu à peu…
À vous de décider.
Auteur inconnu
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Le facteur Temps…
Supposons qu’une banque dépose dans votre compte, chaque matin, un montant de 86400 €. Elle ne garderait aucun solde d’une journée à l’autre. Chaque soir, on effacerait tout ce que vous n’auriez pas utilisé durant le jour.Que feriez-vous? Retirer jusqu’au dernier sou, bien sûr ! Chacun de nous a une telle banque. Son nom est le TEMPS. Chaque matin, on dépose dans votre compte, 86400 secondes. Chaque soir, on efface tout ce que vous n’avez pas utilisé pour accomplir ce qu’il y a de mieux. Il ne reste rien au compte. Vous ne pouvez pas aller dans le rouge. Chaque jour, un nouveau dépôt est fait. Chaque soir, le solde est éliminé. Si vous n’utilisez pas tout le dépôt de la journée, vous perdez ce qui reste. Rien ne sera remboursé. On ne peut pas emprunter sur « demain ». Vous devez vivre le moment présent avec le dépôt d’aujourd’hui. Investissez-le de façon à obtenir le maximum en santé, bonheur et succès ! L’horloge avance. Faites le maximum aujourd’hui. Pour réaliser la valeur d’UNE ANNÉE, demandez à un étudiant qui a doublé son année. Pour prendre conscience de la valeur d’UN MOIS, demandez à une mère qui a accouché prématurément.
Pour connaître la valeur d’UNE SEMAINE, demandez à l’éditeur d’un hebdomadaire.
Pour connaître la valeur d’UNE HEURE, demandez aux amoureux qui sont temporairement séparés.
Pour comprendre la valeur d’UNE MINUTE, demandez à une personne qui a manqué son train.
Pour réaliser la valeur d’UNE SECONDE, demandez à qui vient juste d’éviter un accident.
Pour comprendre la valeur d’UNE MILLISECONDE, demandez à celui ou celle qui a gagné une médaille d’argent aux Olympiques.
Apprécions chaque moment que nous avons !
Apprécions-le encore plus en le partageant avec quelqu’un de spécial, d’assez spécial pour avoir besoin de notre temps. Enfin, rappelons-nous que le temps n’attend après personne.
HIER fait partie de l’histoire.
DEMAIN demeure un mystère.
AUJOURD’HUI est un cadeau.
C’est pour ça qu’on dit que c’est le PRÉSENT !
Montrons à notre famille et à nos ami(e)s combien nous nous intéressons à eux…
« C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. »
Le secret du renard dévoilé au petit prince de Saint Exupery.
Auteur inconnu
3 janvier, 2009
15 décembre, 2008
14 décembre, 2008
13 décembre, 2008
9 décembre, 2008
L’origine du sens des aiguilles d’une montre
Les toutes premières horloges mécaniques ont été fabriquées à la fin du XIIIe siècle. Auparavant, l’heure se lisait à l’aide des cadrans solaires.
Or dans l’hémisphère nord, le soleil parcourt le ciel d’est en ouest en passant par le sud. Autrement dit, les mouvements de l’ombre sur le cadran solaire se font précisément dans le sens « des aiguilles d’une montre ».
Ce sens naturel de rotation est ainsi devenu une convention mécanique.
7 décembre, 2008
3 décembre, 2008
20 novembre, 2008
Avec le temps… Léo Ferré
http://www.dailymotion.com/video/k6gcwV60v5pEmc2vXS
Avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
on oublie le visage et l’on oublie la voix
le cœur, quand ça bat plus, c’est pas la peine d’aller
chercher plus loin, faut laisser faire et c’est très bienavec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
l’autre qu’on adorait, qu’on cherchait sous la pluie
l’autre qu’on devinait au détour d’un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d’un serment maquillé qui s’en va faire sa nuit
avec le temps tout s’évanouitavec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
mêm’ les plus chouett’s souv’nirs ça t’as un’ de ces gueules
à la gal’rie j’farfouille dans les rayons d’la mort
le samedi soir quand la tendresse s’en va tout’ seule avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
l’autre à qui l’on croyait pour un rhume, pour un rien
l’autre à qui l’on donnait du vent et des bijoux
pour qui l’on eût vendu son âme pour quelques sous
devant quoi l’on s’traînait comme traînent les chiens
avec le temps, va, tout va bien
avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
on oublie les passions et l’on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
et l’on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l’on se sent glacé dans un lit de hasard
et l’on se sent tout seul peut-être mais peinard
et l’on se sent floué par les années perdues- alors vraiment
avec le temps on n’aime plus
10 octobre, 2008
Hier, aujourd’hui et demain !
Hier, aujourd’hui et demain !
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c’est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l’or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L‘autre jour qu’il convient de mettre à l’abri des soucis, c’est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu’à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n’a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu’aujourd’hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d’hier et de demain – ces deux terribles éternités – s’ajoutent aux inquiétudes d’aujourd’hui. Ce ne sont pas les expériences d’aujourd’hui qui nous désespèrent, c’est l’amertume du remords de la veille et la crainte de demain.À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !
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