Bonnes Vacances !
Déposez régulièrement autour de vos plantations
des substances qui collent aux « pattes »
ou qui sont rugueuses comme de la cendre de bois,
de la sciure ou des copeaux de bois,
des coquilles d’œufs émiettées,
ou du marc de café que vous aurez préalablement séché.
Bon Jardinage !
C’est pour échapper aux insectes !
SCIENCE – Camouflage contre les fauves, moyen de réguler la chaleur ou encore marqueur social au sein du troupeau, chacun avait son avis pour expliquer cette drôle de robe. La question fascinait les scientifiques depuis des années, et une équipe de chercheurs américains et australiens a enfin trouvé la réponse. Si le zèbre s’est paré d’aussi belles rayures, c’est en fait pour échapper à un ennemi minuscule, le taon.
À l’aide d’animations et modélisations sur ordinateur, des chercheurs de l’université de Queensland, en Australie, sont en effet arrivés à la conclusion que les bandes noires et blanches créaient une illusion d’optique lorsque les zèbres étaient en mouvement.
Comme les roues d’une voiture en mouvement
Grâce à leurs rayures espacées sur les flancs et leurs marques verticales plus rapprochées sur le dos et la nuque, les zèbres perturbent les possibles assaillants. Et ce, particulièrement quand ils sont regroupés en troupeau.
L’illusion optique qui fait effet dans leur cas est similaire à celui que l’on peut voir régulièrement sur les jantes de voitures en mouvements, quand les roues donnent soudain l’impression de tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (voir le gif ci-dessous), assure le Dr How.
http://musee-des-illusions.skynetblogs.be
« Nous estimons que cette illusion trompe les prédateurs sur la direction du mouvement du zèbre. Ce qui conduit les insectes à abandonner leur atterrissage ou les prédateurs à mal calculer le moment où il est le plus judicieux d’attaquer. »
Une découverte qui pourrait aussi s’appliquer à d’autres espèces arborant des motifs géométriques comme certains serpents ou poissons.
Grâce à des expériences sur différentes espèces d’équidés, l’équipe du biologiste californien Tim Caro -biologiste à l’Université de Californie- a donc réussi à montrer que la présence de rayures sur tout le corps d’un animal influençait l’activité des taons donc, mais aussi de la mouche tsé-tsé, deux dangers naturels pour le zèbre. Au fil des siècles l’animal s’est donc constitué une parade extrêmement efficace contre ses adversaire redouté de la savane. Pas bête la guêpe.
Grâce à ses rayures, le zèbre se prémunit contre les maladies véhiculées par les insectes et contre leurs attaques intempestives (un taon peut sucer jusqu’à un demi-litre de sang chez un gros mammifère en une journée seulement). Résultat : les chercheurs ont constaté que les chevaux domestiques étaient bien plus sujets aux attaques que leurs cousins sauvages.
Infos trouvées sur Le HuffPost
Directioner: est un qualificatif désignant une personne (généralement une fille), fan du groupe One Direction.
One Direction est un groupe de chanteurs pour ados, One Direction est un boys band anglo-irlandais composé de cinq membres : Liam Payne, Harry Styles, Zayn Malik, Niall Horan et Louis Tomlinson. Ils ont terminé à la troisième place de la septième saison du X Factor britannique. Ils ont signé par la suite un contrat de 2 millions de livres sterling avec Syco.
Bon nombre d’adolescentes ont adopté ce mot sur les réseaux sociaux, afin de se définir et communiquer leur appartenance à l’image et au style communiqué par ce groupe musical résolument Teenage (musique électronique).
Ce terme a bien évidement intrigué les adultes qui l’ont remarqué surtout sur Twitter, à cause de la transparence des communications affichées, à l’inverse de Facebook, la plupart du temps privatisé par ses utilisateurs. (on ne va tout de même pas avoir ses parents dans sa liste d’amis).
Le succès du groupe musical a définitivement fait entrer le terme Directioner dans le quotidien de millions de jeunes ados, à la fois séduites par l’expression musicale, le jeu de scène, et le physique de ses membres.
Directioner est enfin un terme principalement utilisé par les adolescentes, et peu de garçons, et l’on aura compris les raisons.
Reste à décrypter les textes des chansons savamment élaborés par des professionnels de l’industrie de la musique, afin de comprendre l’état d’esprit qui habite vos chérubins actuellement.
Après tout, il vaut mieux qu’elles soient fans du groupe One Direction et qu’elles se définissent comme des Directioners, plutôt qu’elles soient fans de Tokyo Hotel et qu’on les surnomme les Hôtelières toquées dont les chansons abordent le plus souvent des thèmes liés aux expériences de la vie tels que la drogue, le suicide, la souffrance, la solitude, la rébellion, la soif de liberté, la vie après la mort, etc… plein de sujets trop forts pour les âmes sensibles de nos adolescentes…
Il ne s’agit pas de préparer un avenir meilleur mais de vivre autrement le présent.
François Partant
Qu’il serait bon que nos politiques s’en imprègnent car le monde change :
« On n’est pas dans une crise morale, on n’est pas dans une crise politique, financière, religieuse, on est dans une crise évolutive. Tel est le dernier aboutissement de l’idéal individualiste et de son mécanisme démocratique, et c’est le début de la banqueroute de l’âge rationnel. Ce qui est nécessaire c’est que quelques individus sentent un tournant dans l’humanité, aient la vision de cette transformation. »
Article inspiré par mes lectures chez :
http://journal-integral.blogspot.fr/
Voici comment sceller un sac de plastique pratiquement sous-vide !
Découpez une bouteille d’eau en gardant le col de la bouteille comme sur la photo.
Insérez le sac en plastique dans l’entonnoir que forme le col, retournez le sac et refermez le bouchon par-dessus.
C’est une excellente idée pour l’environnement à partager !!!
Pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessous, mon amie Sylviane vous confiera quelques petites choses que la vie lui a enseignées …
Je vous suggère de consulter ses blogs, vous y trouverez des articles très riches d’enseignement sur le stress, le bonheur, l’intuition …
Prière de Ste Thérèse d’Avila à ce sujet
Seigneur, tu sais mieux que moi que je vieillis, qu’un jour je ferai partie des « vieux ».
Garde-moi de cette fatale habitude de croire que je dois dire quelque chose à propos de tout, et en toutes occasions.
Débarrasse-moi du désir obsédant de mettre en ordre les affaires des autres.
Rends-moi réfléchie, mais non maussade, serviable, mais non autoritaire.
Il me parait dommage de ne pas utiliser toute ma vraie réserve de sagesse, mais tu sais, Seigneur, que je voudrais bien garder quelques amis.
Retiens-moi de répéter sans fin des détails.
Donne-moi des ailes pour parvenir au but.
Scelle mes lèvres sur mes maux et mes douleurs, bien qu’ils augmentent sans cesse, et qu’il soit de plus en plus doux, au fil des ans, de les énumérer.
Je n’ose pas te demander d’aller jusqu’ à prendre goût au récit des douleurs des autres, mais aide-moi à les supporter avec patience.
Je n’ose pas te demander une meilleure mémoire, mais donne-moi une humilité grandissante et un peu moins d’outrecuidance, lorsque ma mémoire se heurte à celle des autres.
Apprends-moi la glorieuse leçon qu’il peut m’arriver de me tromper.
Je n’ai pas tellement envie de la sainteté : certains saints sont si difficiles à vivre !!
Mais une vieille personne amère est assurément l’une des inventions suprêmes du diable.
Rends-moi capable de voir ce qu’il y a de bon là où on ne s’y attendait pas, de reconnaître des talents chez des gens où on n’en voyait pas.
Et donne-moi la grâce de le leur dire.
Il attache les mots, écrit « japel » au lieu de « j’appelle », se mélange les pinceaux entre les consonnes qui doublent et celles qui restent célibataires. Il est désarmé devant le son [é], surtout quand il se trouve à la terminaison d’un verbe, et confond les « s’ » et les « c ». On se moque de lui, on le traite volontiers de nul, en l’orientant vers des spécialistes qui lui laissent entendre qu’il a un problème. « Il », c’est cet élève, souvent dans le fond de la classe, qui ne déteste pas forcément l’école, mais qui a une trouille bleue des évaluations. Son problème ? L’écrit. Il ne maîtrise pas suffisamment le français et ses règles d’orthographe et de grammaire.
Quand il reçoit ses copies corrigées ou montre ses cahiers à son instituteur, son professeur ou parfois à l’un de ses parents, il entend souvent : « mais enfin, relis toi ! » ou « concentre-toi un peu, ce n’est pas compliqué, tous les autres ont compris ! ». Dans ces cas-là, il soupire, il prend sur lui. Il en a plus qu’assez d’expliquer que non, il n’a pas compris. Cet élève, c’est celui qui est victime d’un postulat, qu’il doit systématiquement démonter.S’il est mauvais à l’école, ce serait parce qu’il n’est pas assez assidu. Or,combien d’enfants échouent à retenir un savoir tout simplement parce que la façon dont on leur a expliqué ne leur convient pas ?
En ce qui concerne l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, il ne faut pas forcément incriminer la méthode globale ou mixte, qui a connu, certes, de nombreux échecs, mais qui a très bien fonctionné pour certains. Ce qu’il faudrait, c’est mettre sous les yeux de l’enfant qui apprend à lire une méthode qui correspond à son type de mémorisation. Car non, nous ne sommes pas égaux devant l’apprentissage. Un enfant qui possède une mémoire à dominante visuelle ne recevra pas un cours de la même manière qu’un enfant qui a une mémoire à dominante auditive ou kynesthésique, c’est à dire, qui a besoin d’avoir recours au geste pour retenir. Evidemment, il est compliqué de concocter un repas spécifique à chaque élève de CP d’une classe de 27 ou 28. En revanche, il est possible d’utiliser une méthode d’apprentissage qui sollicite à la fois les yeux, les oreilles et les mains des enfants, de façon à en laisser le moins possible sur le carreau. À une seule condition, cependant, celle d’être patient. Il faut neuf mois pour apprendre à lire correctement. Or, aujourd’hui, un enfant qui entre en CP en septembre doit souvent être capable de lire fin décembre. Où va t-on ? Cette année n’est t-elle trop importante pour prendre le risque de la bâcler pour le tiers des élèves ?
De la même manière, dans les classes supérieures, quand le professeur d’histoire énonce à voix haute un cours sur le krach boursier de 1929, en demandant aux lycéens de le prendre en notes puis de l’apprendre pour le devoir surveillé du jeudi suivant, à quel moment leur explique t-il comment apprendre ? Certains élèves reliront et sauront. Oui, mais les autres ? Combien de fois avez-vous entendu votre fils vous expliquer, les sourcils froncés et les yeux tristes, qu’il avait passé deux heures à apprendre sa leçon, mais qu’une fois, devant sa copie double, il avait eu « un trou »? Dans ces cas-là, on incrimine souvent le stress, sans chercher à en comprendre l’origine. Et là encore, on culpabilise, sans le vouloir, l’enfant, en lui signifiant qu’il est trop émotif. Evidemment, l’enfant perd ses moyens, puisqu’il est persuadé, au fond de lui, qu’il ne sait pas. Le cours n’a pas été ancré, il n’a aucun de moyen de se rassurer, puisqu’il ne s’est pas assuré en amont. Encore une fois, des outils existent pour aider certains élèves à s’approprier leurs leçons. Mais au delà du remède, qu’on dispense après coup, il serait intéressant de s’interroger sur les conditions de cette transmission. De fournir aux enseignants débutants des outils pédagogiques qui fonctionnent pour le plus grand nombre, et de penser à former à des méthodes alternatives ceux qui sont en poste depuis des années et qui se désolent de voir leurs élèves échouer sans qu’ils n’aient jamais été capables de les relever. Si rien ne fonctionne, pourquoi ne pas tenter autre chose ? Sans se réfugier, cela va sans dire, dans un soutien scolaire répétitif et vécu comme une punition par l’enfant ou l’adolescent.
Le jeu en vaut la chandelle ! Car si l’élève ne maîtrise pas la langue, dans un contexte purement scolaire, il ne maîtrisera pas les énoncés des exercices, donc de façon mathématique, il collectionnera les mauvaises notes. Si on ne lui apprend pas à apprendre, il se découragera, un jour, se persuadant qu’il est réellement médiocre, que l’école ne peut plus rien pour lui. Mais au delà de ça, si on ne cherche pas à mettre le français à la hauteur d’un maximum d’élèves, nous nous précipitons dans le mur. Quand on ne sait pas mettre en mots ce qui nous frustre, quand on s’est convaincu soi-même qu’on échouait là où un autre réussissait, et qu’on est jeune et en quête de reconnaissance, on trouve d’autres moyens de s’exprimer ou d’exister. Et quand on n’a pas les mots, on a, entre autres, les poings.
Il y a urgence. Cet enfant dont nous parlions au début de notre propos, est représentatif d’un nombre grandissant d’élèves. 40 % des enfants scolarisés arrivent en sixième sans posséder correctement le français. Le nombre de fautes dans une dictée de CM2 de quinze lignes a augmenté de 20 % en vingt ans.
Cet élève, c’est un enfant en souffrance, qui, s’il n’est pas repéré rapidement, va s’enfermer dans la honte. Qui, adulte, ne lira pas et sera persuadé d’être un peu moins digne d’intérêt que son voisin de bureau qui, lui, a une orthographe irréprochable et n’a pas besoin de faire relire ses mails avant d’appuyer sur « envoi ». Cherchons au delà de bâtons rouges qui s’accumulent dans la marge et cessons de stigmatiser les mauvais élèves ! Ils sont une chance, au contraire. Ils doivent être ceux qui poussent l’Education Nationale à se remettre une fois pour toutes en question.
La revanche des nuls en orthographe, d’Anne-Marie Gaignard, avec Gaëlle Rolin, ed. Calmann-Lévy, 256 pages.
Heureusement il n’y avait pas de chasseurs…. Vous aimez la nature ?
Ces photos montrent quelque chose qu’on ne voit pas souvent à la pêche !!!!!!!!
Scott Nelson et ses fils pêchaient quand un petit faon à queue blanche les a approchés sur la South fork of the Snake River.
Il avait dû passer l’été à fréquenter les campeurs ou peut-être qu’un des résidents le nourrissait.
C’est pourquoi il avait perdu sa peur des humains.
Ces photos sont superbes.
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L’obtention du permis de conduire est un moment unique de la vie. C’est accéder à une nouvelle forme d’indépendance et de liberté, grâce à une voiture que l’on a désormais le droit d’emmener. Un droit inaltérable… sauf annulation du dit permis, suite à une ou plusieurs (graves) entorses au code de la route. Bref, normalement, le permis de conduire c’est pour la vie ! Petit bémol pourtant : le code de la route change, mais les automobilistes, eux, ne remettent jamais leurs connaissances à niveau, ce qui ne va pas dans le sens d’une meilleure sécurité routière.
Et vous, seriez-vous pour ou contre ?
Aux âmes bien nées, la valeur n‘attend point le nombre des années. [Pierre Corneille]
Chaque année, j‘ai un an de moins que l‘année d‘après. Dieu sait comment ça va finir. [Tony Duvert]