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29 octobre, 2009
Les Origines de la fête d’Halloween…
D’où vient la fête d’Halloween ?
La fête d’Halloween a lieu le 31 octobre au soir ; Elle est fêtée la veille de la Toussaint. La tradition veut que les enfants se déguisent avec des costumes terrifiants et aillent sonner aux portes en demandant des bonbons en criant « Trick or treat » (« des bonbons ou un sort! »).
Les Origines
Halloween est une fête traditionnelle américaine qui tire sans doute sa lointaine origine de la tradition celtique : il y a vingt-cinq siècles, les Gaulois fêtaient leur jour de l’an – appelé Samain – aux environs du 1er novembre. Importée pour finir sur le nouveau continent par les immigrants catholiques irlandais – l’Irlande ayant été évangélisée très tardivement, c’est le pays où la fête de Samain a subsisté le plus longtemps.
Son nom actuel serait une altération de « All Hallow’s Eve », la veille de la fête catholique de la Toussaint.
Les Costumes
Les costumes les plus populaires sont, pour les garçons, les costumes de supers héros : Bob l’Éponge, Batman, Spiderman , Scooby-Doo, Shrek, Harry Potter, le Seigneur des Anneaux, Freddy & Jason, …
Chez les filles, les costumes des supers héroïnes, de princesses et de sorcières, les déguisements de Barbie et Disney remportent les suffrages.
Le Symbole Le symbole d’Halloween est le potiron ou la citrouille (Jack-o’-lantern en anglais) : on les découpe pour y dessiner, en creux, un visage, avant d’y placer une bougie en son centre.
Quand on pense à Halloween, les thèmes qui nous viennent à l’esprit sont ceux de la mort, magie noire, les vampires, monstres mythiques, fantômes, sorcières, chauves-souris, chats noirs, lutins, dames blanches, zombis et démons, aussi bien que certaines figures littéraires telles que le monstre de Dracula et de Frankenstein.
26 octobre, 2009
Célébration d’Halloween (artistes Américains)
De Laure F Carlisle ©
De Michelle Lash Ruff ©
De Krista Hamrick ©
De Jennifer Huber ©
De David Carter Brown ©
De Teresa Kogut ©
De Tim Coffey ©
De Susan Winget ©
De Steve Haskamp ©
De Steve Haskamp ©
De Patti Gay ©
De Stephanie Stouffer ©
De Stephanie Stouffer ©
De Lainey Daniels ©
De Lainey Daniels ©
De Karen Hillard Good ©
De Karen Hillard Good ©
De Kathy Hunter ©
De Julie Dobson Miner ©
19 août, 2009
Ce dimanche c’est la Fête des Roses !
La Sainte Rose nous donne l’occasion de nous pencher sur la « reine des fleurs ».
Percez avec moi les mystères de la rose !
Il y a beaucoup à dire sur cette fleur qui enchante la vue comme l’odorat.
La rose est une championne de la communication ! En effet, de multiples expressions mettent en scène cette fleur. Si vous avez bonne mine, vous serez « frais comme une rose ». A l’inverse une hygiène douteuse vous vaudra de ne « pas sentir la rose ». Vous avez une aventure sentimentale ? Ce sera donc une « histoire à l’eau de rose », sauf bien entendu si cette aventure prend une tournure plus passionnelle, auquel cas prenez garde car le proverbe dit qu’ »il n’y a pas de rose sans épines », ce qui signifie que chaque bonheur comporte sa part de douleur. Reste enfin l’expression « découvrir le pot aux roses », dont le sens nous est connu, mais l’origine beaucoup moins. La rose symbolise le secret, et par conséquent découvrir la rose… c’est découvrir un secret. Mais une autre explication a également été avancée : le pot aux roses pourrait être le pot dans lequel les femmes mettaient leur fard ou leur parfum, symbole de séduction, donc d’aventure amoureuse.
Ce qui est sûr, c’est que la rose est depuis toujours étroitement associée au sentiment amoureux ! Ainsi dans le langage des fleurs, la rose multiplie les déclarations. La rose blanche est respectueuse et admirative, la rose rose fait passer un message de tendresse et d’amitié, la rose rouge déclare un amour enflammé… Mais attention à la rose jaune et aux malentendus qu’elle pourrait déclencher ! En effet lorsqu’elle est jaune, la rose demande pardon pour une infidélité.
Le nombre de fleurs offertes a également une signification, mais retenons surtout qu’il faut offrir les roses par nombre impair, lorsqu’on en offre moins de dix, dans un souci purement esthétique : un trio de roses est toujours plus élégant dans un petit vase que deux roses !
La rose et le poète
Dans la littérature et la poésie, la rose a souvent été utilisée pour évoquer la fragilité de la beauté. Ainsi fait Pierre de Ronsard dans le célèbre poème « Mignonne allons voir si la rose… », où il évoque le destin de la fleur, belle au matin et fanée le soir. Le poète en tire une morale pour guider la vie humaine :« vivez si m’en croyez, n’attendez à demain
cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. »Prenez soin de vous pour la Sainte Rose !La fête de la Sainte Rose nous encourage à se concocter un programme spécial bien-être, rien que pour soi ou en amoureux. En cosmétique, la rose est présente sous différentes formes : lotions d’eau de rose, huiles de massage à la rose, crèmes hydratantes à la rose, qui feront merveille pour adoucir votre peau. La délicate senteur de la rose est également présente dans de nombreux parfums. Enfin, les utilisations culinaires de la rose ne manquent pas. Avec les pétales de roses, on prépare des infusions, des sirops, des bonbons, des confitures… Alors pour la Sainte Rose, mettez votre palais en fête et offrez-lui des douceurs à la rose ! Pour une belle soirée de la Sainte Rose, mettez de la rose au menu puis invitez l’élu(e) de votre cœur à partager avec vous un bain chaud où vous aurez plongé des pétales de rose… Romantisme garanti !
Cliquer sur la vidéo :
14 août, 2009
15 Août – fête de l’Assomption
Quand il pleut le jour de l’Assomption, il pleut jusqu’à la nativité. | |||||||
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22 juin, 2009
Fête de la Musique : origines, date, définition…
20 juin, 2009
La fête des mères ; sa date et ses origines…
Une mère ne meurt jamais car on l’appellera toujours maman. – André Lévy |
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10 avril, 2009
Pâques : origines, traditions…
« Pâques mouillées, épiage avorté. » | |||||||
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5 avril, 2009
Les Rameaux
Dicton
» S’il pleut sur les Rameaux, il pleut sur les fléaux. » (Périgord)
» Le vent du jour du Buis dure autant que lui. » (Beauce)
TRADITION
C’est une tradition qui se perd au fil du temps. Et pourtant lorsque nous étions enfants, on attendait avec impatience notre rameau garni de friandises.Le jour des rameaux, les enfants allaient à la messe avec des rameaux sur lesquels étaient accrochés, sur chaque branchette, des friandises ou des petits œufs et poissons en chocolat.
C’était en général le parrain et la marraine qui offraient ces rameaux aux enfants.
Je me souviens avec quelle impatience nous attendions la fin de l’office pour pouvoir goûter à toutes ces friandises.
Une autre tradition, mais pâtissière cette fois. Ce jour-là, on mangeait des « cornuelles ». Le trou placé au centre du gâteau permettait d’y glisser un brin de buis bénit et les cornuelles étaient souvent vendues à l’entrée de l’église. On ne les trouve plus aujourd’hui qu’en pâtisserie ou en supermarché.La symbolique de ce biscuit est religieuse pour certains (sa forme triangulaire représentant la sainte trinité : le Père, le Fils, le Saint-Esprit) ou rattachée aux fêtes païennes et priapiques du printemps pour d’autres (la forme évoquant alors le sexe et le pubis féminin). Il est ainsi vraisemblable que la tradition religieuse ait repris une tradition païenne liée à la fécondité.
De nos jours, les gens font bénir essentiellement des rameaux de buis ou d’olivier. Mais en fait, nos aieux apportaient ce qu’il possédaient : des branches de laurier ou autres. Le rameau béni se gardait généralement dans la chambre, on s’en servait pour bénir les morts, lorsqu’un décés survenait dans la famille.
Il préserve aussi la maison de la foudre, la protection Divine est ainsi dans la maison. Et puis notre brin de buis signifie la certitude de l’immortalité de l’âme et la résurrection des morts.
On ne jette pas le rameau de l’année précédente, soit on le fait brûler ou bien on l’enterre dans le jardin.
C’était en général le parrain et la marraine qui offraient ces rameaux aux enfants.
Je me souviens avec quelle impatience nous attendions la fin de l’office pour pouvoir goûter à toutes ces friandises.
Une autre tradition, mais pâtissière cette fois. Ce jour-là, on mangeait des « cornuelles ». Le trou placé au centre du gâteau permettait d’y glisser un brin de buis bénit et les cornuelles étaient souvent vendues à l’entrée de l’église. On ne les trouve plus aujourd’hui qu’en pâtisserie ou en supermarché.La symbolique de ce biscuit est religieuse pour certains (sa forme triangulaire représentant la sainte trinité : le Père, le Fils, le Saint-Esprit) ou rattachée aux fêtes païennes et priapiques du printemps pour d’autres (la forme évoquant alors le sexe et le pubis féminin). Il est ainsi vraisemblable que la tradition religieuse ait repris une tradition païenne liée à la fécondité.
De nos jours, les gens font bénir essentiellement des rameaux de buis ou d’olivier. Mais en fait, nos aieux apportaient ce qu’il possédaient : des branches de laurier ou autres. Le rameau béni se gardait généralement dans la chambre, on s’en servait pour bénir les morts, lorsqu’un décés survenait dans la famille.
Il préserve aussi la maison de la foudre, la protection Divine est ainsi dans la maison. Et puis notre brin de buis signifie la certitude de l’immortalité de l’âme et la résurrection des morts.
On ne jette pas le rameau de l’année précédente, soit on le fait brûler ou bien on l’enterre dans le jardin.
RELIGION | ||
Rameaux de palmes – Le dimanche des Rameaux précède Pâques. Il célèbre l’entrée de Jésus à Jérusalem. Il est sur un âne. La foule l’acclame en brandissant des rameaux et en criant : Hosanna ! Matthieu XXI, 8 Le peuple, en foule, étendit ses vêtements sur la route ; certains coupaient des branches aux arbres et en jonchaient la route. Les foules qui marchaient devant lui et qui suivaient, criaient : « Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui entre au nom du seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux ! « Jean XII, 12 La grande foule venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre. Ils criaient : « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le roi d’Israël ! »Cette fête s’implante en Europe vers le VIIIe siècle : on se rend à l’église avec un rameau à la main. C’est une palme, un rameau de palmier ou un équivalent selon la végétation du lieu. En général il s’agit d’un rameau de buis, ou de laurier en Bretagne notamment. On appelle souvent ce dimanche Pâques fleuries car ce rameau de buis ou de laurier doit être fleuri. On disait aussi Pâques à buis en Picardie, ou bien Hozanne, Dimanche Ozannier dans le Limousin, Dimanche des Paumes en Lorraine (paume : variante de palme).On décorait les croix de carrefour et des cimetières avec des rameaux : elle portait alors le nom de Croix Hosannière. arrivée de Jésus à Jérusalem par Gustave Doré |