L’automne,
« L’automne, l’automne merveilleux, mêlait son or et sa pourpre aux dernières verdures restées vives, comme si des gouttes de soleil fondu avaient coulé du ciel dans l’épaisseur des bois. »
Guy de Maupassant
« L’automne, l’automne merveilleux, mêlait son or et sa pourpre aux dernières verdures restées vives, comme si des gouttes de soleil fondu avaient coulé du ciel dans l’épaisseur des bois. »
Guy de Maupassant
« Les illusions de la vie tombent une à une comme en automne les feuille de l’arbre … »
John PetitSenn
Il y a
un plaisir infini à trouver dans les accidents d’un paysage,
dans la transparence de l’air,
dans les parfums de la terre,
la poésie qu’ils ont dans l’âme.
La nature parle pour eux.
Honoré de Balzac
C’est au temps de la chrysanthème
« Les temps difficiles m’ont aidée à mieux comprendre combien la vie est infiniment riche et belle, et que beaucoup de choses qui nous préoccupent n’ont pas la moindre importance. »
(Karen Blixen)
A l’automne de ma vie,
Je regarde le temps,
Poursuivant mes envies,
Délaissant mes printemps,
Hier encore vois-tu,
Je croyais en demain,
Aux doux mots décousus,
Sur le fil du destin,
A l’automne de ma vie,
Je ne crains plus le froid,
Je me réchauffe d’aujourd’hui,
Puisque lui seul est là,
Hier encore vois-tu,
Je voulais être une autre,
Pleine d’idées préconçues,
Pour qu’ailleurs soit des nôtres,
Mais la vie m’a appris,
Qu’il n’y a rien à chercher,
Et l’automne de ma vie,
M’aide à mieux apprécier,
Hier encore vois-tu,
Je délaissais le temps,
L’éternel contenu,
Dans les amours naissants,
A l’automne de ma vie,
Le fragile a sa place,
Je prends soin d’aujourd’hui,
Alexandra JULIEN, Auteur de plusieurs livres disponibles sur https://www.thebookedition.com/fr/15199_alexandra-julien
Apprenez à répéter le mot Tranquillité. Non seulement il compte parmi les plus harmonieux de notre langue, mais il crée l’état d’esprit correspondant.
Sérénité est un autre mot porteur de guérison. Répétez-le lentement en vous imprégnant de son sens. Les mots de cette nature ont réellement un pouvoir apaisant.
Norman Vincent Peale
Il était une fois une petite souris si timide qu’elle s’imaginait que si elle sortait de son trou, si elle allait en promenade, elle risquait de déranger tout le monde et en particulier de faire du mal aux éléphants en marchant sur leurs pieds.
Quand elle sortait de chez elle, elle marchait avec beaucoup de précautions, avançait avec hésitation, regardait soigneusement autour d’elle afin de ne déranger personne. Elle craignait tellement de déranger qu’elle aurait voulu être invisible.
Lorsque je vous ai dit que cette petite souris était timide, j’aurais dû vous préciser qu’elle était surtout égocentrique. Égocentrique est un mot du langage des souris qui veut dire: centré sur soi, préoccupée d’elle-même.
Au pays des souris, c’est un fait connu, tous les timides sont souvent des individus qui ont une perception d’eux-mêmes tellement forte qu’ils ramènent tout à eux. Ils imaginent que dès qu’ils sortent de leur trou, dès qu’ils sont en public, tous les autres voient aussitôt qu’ils sont là. C’est un paradoxe, les souris timides pensent que chacun cessant son activité, déviant le cours des ses pensées, se met aussitôt à avoir une opinion, un point de vue, un commentaire sur elles.
Alors ces petites souris soi-disant timides se mettent à vivre, à se comporter à partir de tout un imaginaire, à partir duquel, hélas, elles construisent et organisent la plupart de leur comportement. « Si je fais ceci, je risque de faire de la peine. Si je dis cela, je risque de provoquer la colère. Si je ne dis pas, ils vont penser que, si je ne fais pas, il vont imaginer que… »
Elles passent ainsi à côté de leur existence, sans pouvoir se réaliser et aller vers le meilleur d’elles-mêmes, tellement elles s’enferment dans ce qu’elles ont imaginé de l’imaginaire de l’autre. Les petites souris timides se donnent ainsi à l’intérieur d’elles-mêmes une importance très grande, si grande qu’elle envahit tout l’espace autour d’elles…
Jacques Salomé
( La répression imaginaire fait certainement plus de dégâts dans l’existence de certains que toutes les violences extérieures qu’ils pourront côtoyer ou rencontrer)
Auteur : Paul Verlaine |
Il pleure dans mon coeur Ô bruit doux de la pluie Il pleure sans raison C’est bien la pire peine |
Celui qui, par quelque alchimie sait extraire de son coeur, pour les refondre ensemble, compassion, respect, besoin, patience, regret, surprise et pardon crée cet atome qu’on appelle l’amour. (Khali Gibran) | ||