Devant la fenêtre ouverte sur la forêt…
« J’atteins à la plus grande puissance de vie quand je lis debout, devant la fenêtre ouverte sur la forêt.
Le cœur est une menthe sauvage. Quand deux mains le frottent, il donne tout son parfum.
La forêt a un cerveau lent qui enregistre tout. Le jour, elle s’approche de la maison. La nuit, elle m’avale.
Christian Bobin – La nuit du cœur