Cèpe si bon ! …
Clin d’oeil gourmand !
Clin d’oeil gourmand !
Pour confectionner un bel amour,
Pensez d’abord au mot “toujours”
Puis ne pas oublier le principal
En quantité phénoménale :
La tendresse et l’affection
Ainsi que les petites attentions.
Faire des échanges la priorité,
Savoir autant recevoir que donner.
Saupoudrer le tout de respect mutuel,
De douceurs sincères et naturelles.
Quand la recette est bien réussie
Vous verrez qu’un miracle se produit :
Si vous ne craignez pas de l’accepter
Vous aurez tout ce qu’on peut espérer,
Et plus vous allez vous en servir
Plus ce bel amour va grandir.
Car c’est un sentiment magique
Qui rendra toute votre vie unique.
Une fleur magnifique venant du coeur
Qu’elle parfume d’un clair bonheur.
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Si tu te rappelles ma vie
Refrain d’amour que l’on partage
Comme le champs des coquillages
Aux heures pures de la vie
Mon tendre amour, oh ma blessure
Je te le dois, je te le jure
Ce cri d’amour inassouvi
Refrain de presque rien peut-être
Juste le temps de se connaître
En un été mélancolie
Oh mon amour, mon doux naufrage
Comment retrouver les rivages
De la tendresse et de l’oublie
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Que cette voix chantait ma vie
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Que cette voix chantait ma vie
Cette voix, un autre peut-être
Tant le temps change les êtres
Et brûle et bouscule nos vies
Cette voix, un autre sans doute
Tant elle nous change la route
Au gré d’énormes fantaisies
Elle chantait l’éternelle histoire
Des amours mortes sans gloire
Leur incroyable litanie
La fin du fabuleux voyage
Lorsque s’écarte sur la plage
Les pas des amants désunis
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Si tu te rappelles ma vie
Onomatopée dont on se sert pour exprimer le froissement des feuilles, des vêtements, particulièrement des robes de soie, de taffetas.
Populairement. Faire frou-frou, faire du frou-frou, étaler un grand luxe.
nm Nom vulgaire des oiseaux-mouches.
Au pl. Des frou-frous.
Quel heureuxtemps que celui de l’enfance et de l’adolescence ! Toujours à la jouissance du moment, oublieuse du passé, insouciante de l’avenir.
Philippe Aubert de Gaspé
Ce bien-être que nous cherchons, il nous est donné par la beauté du monde. L’observer, la contempler, c’est un principe de régénération comme l’oxygène.
Jacques Perrin
Si vous dites doucement à quelqu’un que le blanc est noir, c’est de la bêtise.
Maintenant, si vous développez cela pendant une heure, en hurlant très fort et en tapant sur la table, là ce n’est plus du tout pareil. Ca devient de la politique.
(blague du calendrier des ABB/CBC du 13/9/2010)