Comment pouvons-nous passer une vie en solitaire, sans avoir au moins un ami à qui parler, à qui raconter les secrets de notre cœur ?
La véritable amitié ne s’achète pas, ne se trafique pas.
Elle est le résultat d’une combinaison de facteurs heureux.
L’ami est celui qui, malgré le temps qui passe, nous reste fidèle. Quand nous traversons des périodes difficiles, il est là. Quand nous voulons partager nos joies et nos folies, il est là. Quand nous avons envie de refaire le monde, il est le premier à vouloir le rebâtir avec nous.
Sans lui, nos petits tracas quotidiens deviennent des montagnes, et nos moindres craintes nous paraissent insurmontables.
L’amitié est un oasis de paix et de sérénité, car elle nous procure cette merveilleuse sensation de nous savoir compris, aimés et encouragés.
C’est avec une pointe de tristesse que l’on voit l’été se terminer… Mais il y a plein d’arguments en faveur de l’automne : le plaisir de chercher et déguster les champignons, d’admirer les couleurs des feuillages, de respirer la douceur de l’air encore tiède, de sentir l’odeur de la grappe de raisins du panier des vendangeurs …
Et oui, l’été s’en va mais l’automne nous réserve souvent bien des plaisirs : saveurs gourmandes, paysages superbes… Alors moral au beau fixe pour cette entrée dans l’automne !
Tant que les hommes continueront à détruire sans pitié les êtres vivants des règnes inférieurs, ils ne connaîtront ni la santé ni la paix. Tant qu’ils massacreront les animaux, ils s’entretueront. En effet, qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour.
Pour confectionner un bel amour,
Pensez d’abord au mot “toujours”
Puis ne pas oublier le principal
En quantité phénoménale :
La tendresse et l’affection
Ainsi que les petites attentions.
Faire des échanges la priorité,
Savoir autant recevoir que donner.
Saupoudrer le tout de respect mutuel,
De douceurs sincères et naturelles.
Quand la recette est bien réussie
Vous verrez qu’un miracle se produit :
Si vous ne craignez pas de l’accepter
Vous aurez tout ce qu’on peut espérer,
Et plus vous allez vous en servir
Plus ce bel amour va grandir.
Car c’est un sentiment magique
Qui rendra toute votre vie unique.
Une fleur magnifique venant du coeur
Qu’elle parfume d’un clair bonheur.
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Si tu te rappelles ma vie
Refrain d’amour que l’on partage
Comme le champs des coquillages
Aux heures pures de la vie
Mon tendre amour, oh ma blessure
Je te le dois, je te le jure
Ce cri d’amour inassouvi
Refrain de presque rien peut-être
Juste le temps de se connaître
En un été mélancolie
Oh mon amour, mon doux naufrage
Comment retrouver les rivages
De la tendresse et de l’oublie
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Que cette voix chantait ma vie
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Que cette voix chantait ma vie
Cette voix, un autre peut-être
Tant le temps change les êtres
Et brûle et bouscule nos vies
Cette voix, un autre sans doute
Tant elle nous change la route
Au gré d’énormes fantaisies
Elle chantait l’éternelle histoire
Des amours mortes sans gloire
Leur incroyable litanie
La fin du fabuleux voyage
Lorsque s’écarte sur la plage
Les pas des amants désunis
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c’est fini
Dix ans déjà, le temps s’enfuit
Si tu te rappelles ma vie
http://coukie24.unblog.fr/files/2008/09/situterappellesmavie.mp3
On dit toujours, on dit la vie
Et plus jamais quand c'est fini
Dix ans déjà, le temps s'enfuit
Si tu te rappelles ma vie
Refrain d'amour que l'on partage
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Ce bien-être que nous cherchons, il nous est donné par la beauté du monde. L’observer, la contempler, c’est un principe de régénération comme l’oxygène.
Si vous dites doucement à quelqu’un que le blanc est noir, c’est de la bêtise. Maintenant, si vous développez cela pendant une heure, en hurlant très fort et en tapant sur la table, là ce n’est plus du tout pareil. Ca devient de la politique. (blague du calendrier des ABB/CBC du 13/9/2010)
- « Bonjour ! C’est la réception ? J’aimerais parler avec quelqu’un à
propos d’un patient qui se trouve chez vous. J’aurais souhaité
connaitre son état de santé, savoir s’il va mieux ou si son problème
s’est aggravé. »
- « Quel est le nom du patient ? »
- « Il s’appelle Jean Dupont et il est à la chambre 302. »
- « Un instant je vous prie, je vous passe l’infirmière. »Après une longue attente :- « Bonjour, ici Françoise l’infirmière de service. Que puis-je pour vous ? »
- « J’aimerais connaitre l’état du patient Jean Dupont de la chambre
302. »
- « Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde. » Après une plus longue attente :- « Ici le Dr. Jean, le médecin de garde ; je vous écoute. »
- « Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l’état de Monsieur Jean
Dupont, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302. »
- « Un instant, je vais consulter le dossier du patient. »Après encore une autre attente :- « Huuuummm, le voici : il a bien mangé aujourd’hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments
prescrits et normalement on va lui enlever le monitoring cardiaque demain. Si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d’ici le Week-end. »
- « Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci. »
- « Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu’un de très proche, certainement de la famille ? »
- « Non, Monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même et je vous appelle du
302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre et personne ne me
dit rien. Je voulais juste savoir comment je me porte…
Cet été je me demandais pourquoi j’ai tellement de plaisir à faire de la planche à voile. Le vent était irrégulier, les vagues hautes, je filais à toute allure… et j’adorais cela. Et, brusquement, j’ai eu l’idée de faire la comparaison avec notre vie.
1. Si on n’apprend pas, on n’a pas de plaisir. À moins que vous n’aimiez tomber sans cesse, ce qui est passionnant, c’est de faire des progrès et de rendre les choses difficiles, faciles.
2. Imaginons que le destin soit le vent. Vous ne pouvez pas aller contre votre destin, contre le sens des événements. Il vous faut UTILISER le destin pour avancer. Même si le vent vous semble contraire, en utilisant sa force, vous pouvez aller là où vous voulez.
3. Les échecs (plouf! dans l’eau) sont des occasions de remonter sur la planche et de recommencer en évitant de refaire la même erreur.
4. Plus vous êtes tendu et plus vous vous fatiguez. Plus vous êtes confiant et relaxé, plus c’est facile. Je peux faire des heures et des heures de planche sans me fatiguer. C’est pareil dans la vie. Le stress ne sert à rien d’autre qu’à vous détruire, si vous ne le canalisez pas positivement.
5. C’est en se sentant UN avec l’eau, le soleil, le vent, l’Univers tout entier que l’on a les plus exaltantes sensations.
6. Quand on fait une erreur, il vaut mieux la reconnaître et lâcher la voile que s’accrocher et boire le bouillon. Dans la vie, c’est pareil.
7. S’il y a du soleil et du vent, il ne faut pas se dire : « Tiens j’irai faire de la planche demain » ou « Tout à l’heure ». Il faut saisir l’occasion et en profiter. Demain n’existe pas, et le vent peut tomber à tout instant.
Acceptons les cadeaux qui nous sont faits au moment où il le sont. La vie est magnifique, pourvu qu’on observe le sens du vent — quand il y en a –, qu’on en profite et qu’on ne cherche pas égoïstement à aller contre lui.
http://coukie24.unblog.fr/files/2011/04/souvenirsduvent.mp3
Cet été je me demandais pourquoi j'ai tellement de plaisir à faire de la planche à voile. Le vent était irrégulier, les vagues hautes, je filais à toute allure... et j'adorais cela. Et, brusquement, j'ai eu l'idée de faire la comparaison avec notre vie.
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Quand tout va mal, comme c’est parfois le cas.
Quand la vie semble dure et pleine de tracas.
Quand l’argent manque et que les dettes s’accumulent.
Quand vous voulez sourire mais que les larmes perlent.
Quand demain semble loin et que le moral est bas.
Reprenez votre souffle, mais n’abandonnez pas !
La vie n’est pas facile si l’on veut réussir,
c’est un combat sans fin qui ne fait que grandir.
Certains baissent les bras fatigués de lutter,
quand en persévérant ils auraient pu gagner.
Gardez toujours l’espoir et le succès viendra !
Reprenez votre souffle, mais n’abandonnez pas !
Le but est souvent plus proche qu’on ne le croît.
Celui qui capitule apprend toujours après,
qu’en s’acharnant encore une dernière fois,
il aurait pu se voir couronné de succès.
Rien ne s’obtient jamais sans en payer le prix,
Le succès ne dépend que de la volonté.
C’est le fruit du labeur et de l’assiduité.
Persévérez toujours, envers et contre tout.
Gardez la tête haute au plus dur du combat.
Une vieille dame décide de s’offrir un beau cadeau pour ses 75 ans en passant une nuit dans un magnifique hôtel. Au moment de payer le lendemain matin, l’employé au comptoir lui tend une note pour 250 €.
Elle demande alors pourquoi c’est si cher « Je suis bien d’accord que c’est un bel hôtel mais franchement ça ne valait pas 250 € pour juste une nuit et en plus, je n’ai pas pris de petit déjeuner ! »
L’employé lui répond que 250 € c’est le prix standard et que le petit déjeuner était compris et qu’elle aurait pu le prendre. Elle demande alors à parler au directeur.
Celui-ci apparaît et déjà prévenu par l’employé lui annonce :
« Cet hôtel a une piscine de taille olympique et un centre de conférences tout équipé »
- Mais je ne les ai pas utilisés » dit-elle. « Peut-être mais c’était là et vous pouviez les utiliser »
Il continua en expliquant que l’hôtel avait aussi un show très connu et qu’elle aurait pu y assister.
- Mais je n’y suis pas allée !
Et après chaque service que le directeur lui détaillait elle répondait qu’elle n’en avait pas profité. Et le directeur lui redonnait sa réponse standard :
« Mais vous auriez pu ! »
Au bout d’un moment, elle se décide et fait un chèque de 50 € qu’elle tend au directeur. Celui-ci surpris en regardant le chèque dit :
- Mais madame, le chèque est pour 50 € !
- C’est vrai mais je vous ai facturé 200 € pour avoir couché avec moi.
- « Mais madame, je ne l’ai pas fait » s’exclame le directeur surpris.
- « Ah c’est bien dommage, j’étais là et vous auriez pu en profiter ! »
« Je rêve la douceur, la bonté, la pitié, et le vaste pardon. De là ma solitude. »
Citation de Victor Hugo ; L’art d’être grand-père, Fraternité – 1877.
« Pour exceller en quelque chose, il faut y prêter une persévérante attention.»
Si des embûches se dressent sur votre chemin, changer de direction mais pas de destination…
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Nous pouvons améliorer les images du monde et, comme ça, nous pouvons améliorer le monde. [Wim Wenders]
Quelques citations…
La politesse est à l'esprit
Ce que la grâce est au visage
(Voltaire) -
Un compliment, c'est un peu d'amour
dans beaucoup d'esprit.
(E. Faguet) -
Tous les nuages sont bordés d'argent
(Proverbe)
Celui qui ne sait pas se contenter de peu
ne sera jamais content de rien
(Epicure)
Un regard est dans tout pays un langage
(G.Herbert)
La sagesse fait durer, les passions font vivre.
(Chamfort)
L'imagination est l'oeil de l'âme.
(Joseph Joubert)
Bonne Journée !
De tout en vrac
Il y a autour de nous une infinité de joies vraies, simples et faciles. Il ne s’agit que de s’en emparer.
Le défi le plus difficile à relever est d’être vous-mêmes dans un monde où chacun essaie de faire de vous une autre personne…
L’âme a des illusions comme l’oiseau a des ailes ; c’est ce qui la soutient. (Victor Hugo)