Si vous êtes …
Si vous êtes dépressif, vous vivez dans le passé. Si vous êtes anxieux, vous vivez dans le futur. Si vous êtes en paix, vous vivez au présent.
Lao Tseu
Si vous êtes dépressif, vous vivez dans le passé. Si vous êtes anxieux, vous vivez dans le futur. Si vous êtes en paix, vous vivez au présent.
Lao Tseu
Le jour où un enfant se rend compte que toutes les grandes personnes ont des défauts, il devient un adolescent ; le jour où il leur pardonne, il devient adulte ; le jour où il se pardonne à lui-même, il devient un sage.
Alden Nowlan
L’essentiel, ce n’est pas celui qui rit avec toi, mais celui qui sera là quand tu ne pourras plus rire.
Ce n’est pas parce que je ne te parle pas que je t’oublie. Ce n’est pas parce que je ne t’écris pas que je n’ai pas envie de te voir. L’amitié n’est pas faire ce qu’on veut, mais ce qu’on peut ! Les vrais amis comprendront que chacun à sa vie et que le temps file comme le vent…
Ce n’est pas ce qui vous arrive qui vous rend heureux ou malheureux, mais la façon dont vous choisissez d’y réagir. Dès l’instant où vous vous acceptez, les choses se mettent à changer pour le mieux. En devenant conscient et en cessant de vous juger, vous vous êtes déjà amélioré.
Don Miguel Ruiz
« Les hommes pensent que le rêve de toute femme est de rencontrer l’amour de sa vie. Erreur, le rêve de toute femme est de manger sans grossir. »
Dans la vie, il faut éviter trois figures géométriques : les cercles vicieux, les triangles amoureux et les esprits trop carrés.
Mario Benedetti
Le plus précieux cadeau que vous puissiez faire à quelqu’un est le cadeau de votre temps et de votre attention.
De Miharu Yokota ©
( artiste japonnaise )
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Trouvé chez catavenueTags
Benjamin Franklin venait de dire à une dame que trop de richesses gâtaient parfois le bonheur. Il s’aperçut que sa visiteuse semblait incrédule.
Et prenant une belle pomme rouge dans une corbeille de fruits, il la tend à un petit garçon qui passait par là. L’enfant peut à peine la tenir dans sa main. Franklin lui en offre une deuxième, le petit tout souriant la prend dans l’autre main. Le docteur en choisit une troisième, encore plus belle et la présente à l’enfant, qui essaie de l’attraper en serrant les deux autres contre lui. Après quelques efforts, il en laisse tomber une par terre et fond en larmes.
- Voici un petit homme, dit-il, qui a trop de richesses pour pouvoir en jouir. Avec deux pommes, il était heureux, il ne l’est plus avec trois !
« Le bonheur, c’est une station sur la route entre le pas assez et le trop. »
Channing Pollock
“Le vrai nom du bonheur, c’est le contentement.”
Personne n’est propriétaire du bonheur, on a parfois la chance d’avoir un bail, et d’en être locataire. Il faut être très régulier sur le paiement de ses loyers, on se fait exproprier très vite.
Marc Levy.
Vous êtes déjà demandé pourquoi les oies forment un « V »
lors de leur vol migratoire ?
La nature à une bonne raison de les doter de cet instant.
Chaque coup d’aile, d’une oie soulève l’air et celle qui la suit en bénéficie.
Lors de la formation en « V », toute la volée profite d’un accroissement
d’efficacité d’au moins 71 %, cela comparé à un oiseau volant seul.
Quand une oie se détache de la formation, essayant de voler seule,
elle ressent soudain la résistance de l’air …
et rapidement elle revient à la formation …
Comme les oies …
les personnes qui partagent un but commun et ont un sens
d’appartenance, l’atteignent avec plus d’assurance
et plus rapidement que
celles qui cheminent seules.
Quand une oie est fatiguée, elle se retire à l’arrière de la formation
et une autre prend la tête.
Si les gens avaient autant d’intuition que les oies ont d’instinct,
chacun comprendrait que finalement le succès dépend du travail
d’équipe, chacun, à son tour, assumant les tâches ardues
et partageaient le leadership.
Les oies aux derniers rangs de la formation, encouragent de leurs cris
celles qui sont à l’avant afin qu’elles accélèrent la vitesse.
Il est important que nos « cris » d’arrière garde soient encourageant
sans cela ils ne sont que des cris.
Quand une oie est malade ou blessée,
deux autres oies se détachent avec
elle de la formation et l’accompagnent au sol
pour lui assurer aide et protection.
Ces deux oies demeurent avec le membre malade,
jusqu’à ce qu’elle puisse à nouveau voler ou jusqu’à ce qu’elle meure.
Alors elle se joignent à une autre volée
ou essaient de rejoindre leur propre volée.
Puissions nous avoir cet esprit d’oubli de nous même
qui mérite de tels amis (es)
Nul besoin d’être savant … pour suivre les leçons de la nature.
Il faut seulement savoir s’arrêter et
observer les merveilles qui nous entourent.
« Demande aux bêtes, elles t’instruiront;
aux oiseaux du ciel, ils te parleront,
à la terre, elle t’enseignera et les poisons des mers t’expliqueront…
On a demandé aux oies alors regarde …
Auteur inconnu
Inspirons-nous de cette belle leçon que nous enseignent les oies.
Ces braves gros oiseaux, dotés d’un cerveau bien plus petit que le nôtre, ont compris que c’est dans la solidarité, l’entraide et la coopération, que les tâches, même les plus difficiles, deviennent réalisables.
Et si chaque flocon devenait un « je t’aime »
Et si chaque flocon devenait un poème
Le monde transformé, doux comme une caresse
Nous dirait de la vie la paisible tendresse
Et si chaque flocon devenait un plaisir
Et si chaque flocon était éclat de rire
L’univers converti en un terrain de jeux
Offrirait aux enfants des rêves merveilleux
Et si chaque flocon devenait un désir
Et si chaque flocon devenait un soupir
Les amants réunis dans le froid et le gel
Graveraient dans l’hiver des promesses éternelles
Et si chaque flocon était une musique
Et si chaque flocon devenait si magique
Que la neige en chantant se ferait mélodie
Et que nous danserions dans sa douce folie…
Philippe Deleval