« Je marche moins, mais je regarde mieux. Je ne gambade pas avec mes jambes, mais avec le regard. »
Pierre SANSOT
« Je marche moins, mais je regarde mieux. Je ne gambade pas avec mes jambes, mais avec le regard. »
Pierre SANSOT
« Si vous êtes capable d’être heureux quand vous êtes seul, vous avez appris le secret d’être heureux. »
OSHO
Que l’on préfère la musique symphonique, le jazz, le classique ou le rythme et le blues américain, un mélomane sommeille en nous tous ! On dit que la musique adoucit les mœurs, et les grands artistes amoureux de mélodie, d’harmonie, de chant et de solfège n’ont cessé au cours du temps d’être inspirés par le murmure de ce langage universel.
Elle accompagne notre vie, souligne nos souvenirs, s’invite dans notre intimité.
Art universel, la musique possède bien des vertus…
“La musique est la langue des émotions. ”
Aujourd’hui c’est l’été, symbole de l’énergie Yang par excellence ! Une énergie d’abondance, de plénitude, de mouvement, de lumière, de chaleur. La force du feu, l’ouverture du coeur… les fleurs s’épanouissent, les parfums s’exaltent… On se rassemble autour du feu de la Saint Jean. On célèbre la vie, la joie, le soleil, une certaine légèreté du bonheur où il fait chaud au dedans, comme au dehors. Accueillez et savourez la magie estivale !
Nasreddine se promène dans la rue, quand tout à coup, il aperçoit une peau de banane sur le trottoir.
« Catastrophe, je vais encore tomber aujourd’hui ! », dit-il, résigné.
“En se résignant, le malheureux consomme son malheur.”
« Il faudrait accomplir toute chose et même les plus ordinaires, ouvrir une porte, écrire une lettre, tendre une main, avec le plus grand soin et l’attention la plus vive, comme si le sort du monde et le cours des étoiles en dépendaient, et d’ailleurs, il est vrai que le sort du monde et le cours des étoiles en dépendent. »
Christian Bobin
« Plus on a, moins on possède », nous rappelle maître Eckhart.
C’est pourquoi l’enseignement zen propose de ne posséder les choses qu’en un seul exemplaire : un belle théière, un manteau de qualité, un sac pratique, un châle douillet ou un canapé confortable afin de désencombrer notre vie et nous centrer sur l’essentiel. Ouvrir les yeux, et regarder les splendeurs du vaste monde qui nous entoure.
« Quand vous prenez conscience que rien ne vous manque, le monde entier vous appartient. »
LAO-TSEU
Vous avez sans soute déjà été témoin de coïncidences mystérieuses, de curieux hasards, de clins d’oeil du destin qui sont venus apporter une solution inattendue ou changer des existences. Ce phénomène porte un nom : sérendipité de l’anglais serendipity.
Si ce terme décrit un événement accidentel heureux, il définit également la capacité à favoriser de tels faits. C’est l’art d’être curieux et de savoir percevoir les opportunités présentes là où on ne les attendait pas. En franchissant les frontières rassurantes du connu et en vous ouvrant à l’inattendu, des imprévus heureux viennent alors illuminer votre quotidien. Riche voyage qui vous apportera spontanéité, créativité, confiance nouvelle dans la vie et aptitude à savourer des moments magiques.
Amusez-vous bien en profitant de ces petits signes placés sur votre route !
« Nous passons tous, sans cesse, par des seuils initiatiques. Chaque accident, chaque incident, chaque joie et chaque souffrance est une initiation. Et la lecture d’un beau livre, la vue d’un grand paysage peuvent l’être aussi. Mais peu de gens sont assez attentifs et réfléchis pour s’en rendre compte. »
Marguerite Yourcenar
Le ciel est tendre et vaste,
l’air est doux et paisible.
Vous pouvez entendre le chant
d’un oiseau proche ou lointain.
Et soudain, sans bien savoir
pourquoi, vous êtes heureux.
Vous vous sentez à votre place
dans ce monde.
“Notre grande erreur est d’essayer d’obtenir de chacun en particulier les vertus qu’il n’a pas, et de négliger de cultiver celles qu’il possède. ”
article de SERGE HEFEZ 6 MAI 2007 – LIBERATION
(MISE À JOUR : 29 JANVIER 2015)
Les pervers narcissiques n’éprouvent aucun respect pour les autres, qu’ils considèrent comme des objets utiles à leurs besoins de pouvoir, d’autorité, ou servant leurs intérêts. Il font des promesses qu’il ne tiendront pas, sachant que les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Pris en flagrant délit de mensonge, ils sont capables de nier avec un aplomb hors du commun…
Charité bien ordonnée commençant toujours par soi-même, ils savent parfaitement et farouchement défendre leurs intérêts dont ils ont toujours une vision très claire. Ils essaient de profiter à chaque instant de toutes les opportunités, de toutes les personnes rencontrées, et ces personnes sont systématiquement instrumentalisées pour en tirer, autant que possible, avantage pour eux. Comme pour tous les narcissiques, tout leur est dû. Ils n’admettent aucune remise en cause et aucun reproche.
Les pervers narcissiques sont incapables d’aimer les autres. Dans leur immense majorité, ils n’ont aucune «humanité», aucun sentiment humain, aucun état d’âme, aucun affect. Ils sont froids et calculateurs, totalement indifférents à la souffrance d’autrui. Mais tout en étant, le plus souvent, incapables d’avoir des sentiments humains, ils simuleront le fait d’être emplis, en apparence, de bons sentiments et d’une sincère empathie pour autrui.
Les déceptions entraînent chez eux de la colère ou du ressentiment avec un désir de revanche. Cela explique la rage destructrice qui s’empare d’eux lors des séparations. Quand un pervers perçoit une blessure narcissique (défaite, rejet), il ressent un désir illimité d’obtenir une revanche. Ce n’est pas, comme chez un individu coléreux, une réaction passagère et brouillonne, c’est une rancune inflexible, implacable à laquelle le pervers applique toutes ses forces et ses capacités de raisonnement. Et alors, il n’aura de cesse d’assouvir son dessein de vengeance.
Les pervers narcissiques ont souvent besoin de haïr pour exister. La haine peut être chez eux un moteur très puissant.
Souvent, le pervers narcissique est quelqu’un qui n’a jamais été reconnu dans sa personnalité propre, qui a été victime d’investissement narcissique important de la part de ses parents et qui a été obligé de se construire un jeu de personnalités (factices), pour se donner l’illusion d’exister.
Du fait d’une histoire personnelle, où il ont été, par exemple le bras armé d’un de leurs parents, les pervers n’ont pas pu se réaliser. Ils observent alors avec envie ce que d’autres qu’eux ont pour y parvenir.
Les pervers narcissiques ne sont jamais sincères, toujours menteurs. Ils peuvent aussi bien dire la vérité que mentir avec aplomb. Le plus souvent, ils effectuent de sensibles falsifications de la vérité, qu’on ne peut pas vraiment qualifier de mensonges, et encore moins de constructions délirantes. Mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise —ce qui est, pour l’autre, très déstabilisant— fait partie de leur jeu.
Le déni (de leurs défauts, de l’autre) leur permet de «s’aimer» (et de s’aimer toujours plus). Ils se mentent à eux-mêmes, sur leur vraie valeur, sur ce qu’ils sont réellement. A certains moments, ils finissent par croire à leur mensonge, à d’autres, ils en ont conscience. C’est toute l’ambivalence de la pathologie mythomane. Le pervers narcissique est un «comédien né». Ses mensonges à force d’entraînement sont devenus chez lui une seconde nature.
Sa palette de personnalités, de personnages, d’émotions feintes est étonnante. L’éventail de son jeu d’acteur est infini, sans cesse renouvelé.
Il donne le plus souvent l’image d’une personne parfaitement calme, ne s’énervant jamais.
Le pervers narcissique est le plus souvent doté d’une combativité extrême et d’une capacité de rebond remarquable. Sa mégalomanie, son narcissisme, voire sa paranoïa, renforcent cette combativité. Souvent immensément orgueilleux, voire mégalomane, le pervers narcissique aime gagner, à tout prix, sans fin, et ne peut admettre, une seule fois, de perdre. Il est prêt à tout, même aux coups les plus retors, pour ne jamais perdre. Le pervers est comme un enfant gâté. S’il ne rencontre pas de résistance, il ira toujours plus loin.
A la longue cette tendance, qui peut lui assurer une dynamique du succès pendant un certain temps, devient une addiction. Signe de sa mégalomanie, elle la renforce en retour, et l’amène à ne plus pouvoir tolérer la moindre frustration ou contradiction.
« Partage ton gâteau, il diminue.
Partage ton toit, il ne bouge pas.
Partage ta joie, elle augmente. »
Je sais, un peu partout, tout le monde s’entretue, c’est pas gai, mais d’autres s’entrevivent, j’irai les retrouver.
« La vie est un écho ; ce que tu envoies te revient, ce que tu sèmes, tu le récoltes, ce que tu donnes, tu l’obtiens et ce que tu vois dans les autres existe en toi. »
Zig Ziglar
“Le temps dont nous disposons chaque jour est élastique ; les passions que nous ressentons le dilatent, celles que nous inspirons le rétrécissent, et l’habitude le remplit.”