L’hiver approche
L’hiver approche, les hirondelles ont fui,
Mais il ne reste que les moineaux
dans le pays.
Bien d’autres aussi qui font leurs nids.
La nature est morte, plus d’arbres en fleurs,
Le temps est couleur de neige.
Et n’oublions pas Noël qui lui aussi approche.
Lui qui descend du ciel chaque année,
Oui toi Noël qui vient nous apporter
Tant de joujoux ! Noël… Noël !
Guillaume Apollinaire
Chanson pour les enfants l’hiver
Dans la nuit de l’hiver
Galope un grand homme blanc
C’est un bonhomme de neige
Avec une pipe en bois
Un grand bonhomme de neige
Poursuivi par le froid.
Il arrive au village
Voyant de la lumière
Le voilà rassuré
Dans une petite maison
Il entre sans frapper
Et pour se réchauffer
S’assoit sur le poêle rouge
Et d’un seul coup disparaît
Ne laissant que sa pipe
Au milieu d’une flaque d’eau
Ne laissant que sa pipe
Et puis son vieux chapeau…
Il était une fois une veuve qui avait deux filles ; l’aînée lui ressemblait si fort et d’humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu’on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l’honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu’on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Il fallait entre autres choses que cette pauvre enfant allât deux fois le jour puiser de l’eau à une grande demi lieue du logis, et qu’elle en rapportât plein une grande cruche.
Un jour qu’elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de lui donner à boire. Oui-dà, ma bonne mère, dit cette belle fille ; et rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l’eau au plus bel endroit de la fontaine, et la lui présenta, soutenant toujours la cruche afin qu’elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit : Vous êtes si belle, si bonne, et si honnête, que je ne puis m’empêcher de vous faire un don (car c’était une Fée qui avait pris la forme d’une pauvre femme de village, pour voir jusqu’où irait l’honnêteté de cette jeune fille). Je vous donne pour don, poursuivit la Fée, qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une Fleur, ou une Pierre précieuse. Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d’avoir tardé si longtemps ; et en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux Roses, deux Perles, et deux gros Diamants. Que vois-je ? dit sa mère tout étonnée ; je crois qu’il lui sort de la bouche des Perles et des Diamants ; d’où vient cela, ma fille ? (Ce fut là la première fois qu’elle l’appela sa fille. ) La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de Diamants.
Vraiment, dit la mère, il faut que j’y envoie ma fille ; tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle ; ne seriez-vous pas bien aise d’avoir le même don ? Vous n’avez qu’à aller puiser de l’eau à la fontaine, et quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement. Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine. Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l’heure. Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus beau Flacon d’argent qui fût dans le logis. Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine qu’elle vit sortir du bois une Dame magnifiquement vêtue qui vint lui demander à boire : c’était la même Fée qui avait apparu à sa sœur mais qui avait pris l’air et les habits d’une Princesse, pour voir jusqu’où irait la malhonnêteté de cette fille. Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire, justement j’ai apporté un Flacon d’argent tout exprès pour donner à boire à Madame ! J’en suis d’avis, buvez à même si vous voulez. Vous n’êtes guère honnête, reprit la Fée, sans se mettre en colère ; hé bien ! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent ou un crapaud.
D’abord que sa mère l’aperçut, elle lui cria : Hé bien, ma fille ! Hé bien, ma mère ! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères, et deux crapauds. ô Ciel ! s’écria la mère, que vois-je là ? C’est sa sœur qui en est cause, elle me le payera ; et aussitôt elle courut pour la battre.
La pauvre enfant s’enfuit, et alla se sauver dans la Forêt prochaine. Le fils du Roi qui revenait de la chasse la rencontra et la voyant si belle, lui demanda ce qu’elle faisait là toute seule et ce qu’elle avait à pleurer. Hélas ! Monsieur c’est ma mère qui m’a chassée du logis. Le fils du Roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six Perles, et autant de Diamants, la pria de lui dire d’où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Le fils du Roi en devint amoureux, et considérant qu’un tel don valait mieux que tout ce qu’on pouvait donner en mariage à un autre, l’emmena au Palais du Roi son père où il l’épousa.
Pour sa sœur elle se fit tant haïr que sa propre mère la chassa de chez elle ; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulût la recevoir alla mourir au coin d’un bois.
MORALITE
Les Diamants et les Pistoles,
Peuvent beaucoup sur les Esprits;
Cependant les douces paroles
Ont encor plus de force, et sont d’un plus grand prix.
AUTRE MORALITE
L’honnêteté coûte des soins,
Et veut un peu de complaisance,
Mais tôt ou tard elle a sa récompense,
Et souvent dans le temps qu’on y pense le moins.
La princesse au petit pois
Il était une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une vraie princesse. Il fit le tour de la terre pour en trouver une mais il y avait toujours quelque chose qui clochait ; des princesses, il n’en manquait pas, mais étaient-elles de vraies princesses ? C’était difficile à apprécier, toujours une chose ou l’autre ne lui semblait pas parfaite. Il rentra chez lui tout triste, il aurait tant voulu avoir une véritable princesse.Un soir, par un temps affreux, éclairs et tonnerre, cascade de pluie que c’en était effrayant, on frappa à la porte de la ville et le vieux roi lui-même alla ouvrir.C’était une princesse qui était là dehors. Mais grands dieux ! de quoi avait-elle l’air dans cette pluie, par ce temps ! L’eau coulait de ses cheveux et de ses vêtements, entrait par la pointe de ses chaussures et ressortait par le talon … et elle prétendait être une véritable princesse !- Nous allons bien voir ça, pensait la vieille reine, mais elle ne dit rien. elle alla dans la chambre à coucher, retira la literie et mit un petit pois au fond du lit ; elle prit ensuite vingt matelas qu’elle empila sur le petit pois et, par-dessus, elle mit encore vingt édredons en plumes d’eider. C’est là-dessus que la princesse devrait coucher cette nuit-là.
Au matin, on lui demanda comment elle avait dormi. - Affreusement mal, répondit-elle, je ‘n’ai presque pas fermé l’oeil de la nuit. Dieu sait ce qu’il y avait dans ce lit. J’étais couchée sur quelque chose de si dur que j’en ai des bleus et des noirs sur tout le corps ! C’est terrible ! Alors, ils reconnurent que c’était une vraie princesse puisque, à travers les vingt matelas et les vingt édredons en plume d’eider, elle avait senti le petit pois. Une peau aussi sensible ne pouvait être que celle d’une authentique princesse. Le prince la prit donc pour femme, sûr maintenant d’avoir une vraie princesse et le petit pois fut exposé dans le cabinet des trésors d’art, où on peut encore le voir si personne ne l’a emporté. Et ceci est une vraie histoire.
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Il était une fois un petit sapin qui vivait dans la montagne avec son papa, sa maman, ses frères et sœurs. C’était au début de l’hiver. La neige recouvrait tout et Sylvain* – c’était le nom du petit sapin – était fier de son nouvel habit blanc aux reflets bleutés. Un jour, des hommes rudes et bruyants arrivèrent et, brutalement, le coupèrent du sol avec une scie, ainsi que ses frères et ses sœurs, ses cousins et ses cousines. Ils en firent un gros paquet et les emportèrent malgré l’indignation de leurs parents qui, ne pouvant ni bouger pour protéger leurs enfants, ni parler le langage des hommes pour les implorer de ne pas détruire leur famille, restèrent seuls, tristes et malheureux. Sylvain, ses frères et sœurs, ses cousins et ses cousines, furent descendus en ville et déposés sur un trottoir devant un grand magasin tout illuminé et tout décoré. Il y avait beaucoup de monde. Parfois, une personne s’arrêtait, choisissait un petit sapin et l’emportait avec elle. C’est ainsi que Sylvain fut bientôt séparé de ses frères et sœurs, de ses cousins et cousines. Il fut emporté dans un appartement, au dernier étage d’un immeuble, et fut mis dans un cagibi étroit et obscur. C’était le soir. Sylvain pensa à ses frères et sœurs, à ses parents, et des larmes silencieuses coulèrent le long de ses aiguilles. Peu de temps après, épuisé par les émotions de la journée, il sombra dans un sommeil agité. Il fut réveillé par des cris et des rires. La porte du cagibi s’ouvrit brusquement et deux petits enfants d’homme se précipitèrent, l’empoignèrent et l’emportèrent dans une grande salle vivement éclairée. Ils le déposèrent dans un coin en enfonçant son pied dans un trou à sa pointure pour qu’il tienne debout tout seul. Puis, avec l’aide de leur maman, ils commencèrent à le vêtir de guirlandes or et argent, de grosses boules multicolores, de bougies et de flocons de coton blanc. Au sommet de sa tête pointue, ils placèrent une étoile filante scintillante. Quand ils eurent achevé la décoration, les deux enfants et leur maman allumèrent mes bougies en chantant « Mon beau sapin, roi des forêts … » Sylvain se sentit heureux car il avait retrouvé une famille. Il en oublia la montagne, ses parents, ses frères et sœurs, ses cousins et cousines. La journée passa tranquillement, les parents occupés à préparer le repas de Noël et les enfants absorbés par des jeux calme. Sur le soir, chacun vint déposer à son pied une paire de souliers et une enveloppe sur laquelle on pouvait lire : Cher Père Noël, et on éteignit les bougies. Très tôt le lendemain matin, les deux enfants firent irruption dans le salon, en pyjama et pieds nus et se ruèrent sur les paquets cadeaux qui avaient été déposés au pied de Sylvain pendant la nuit. Ce dernier n’avait rien vu, car il avait dormi profondément en faisant plein de beaux rêves. Les paquets furent rapidement déchirés, rapidement éventrés, et les jouets rapidement déballés. Les parents apparurent peu après, encore tout endormis, et ouvrirent à leur tour leurs paquets. Tous semblaient enchantés de ce qu’ils avaient reçu. Les enfants jouèrent toute la matinée, tandis que les parents dressaient la grande table ronde au milieu du salon. A midi, des invités arrivèrent avec les bras plein de cadeaux. Ce fut encore un grand déballage, puis des rires de bonheur et des embrassades. Ensuite après avoir allumé les bougies du petit sapin, tout le monde se mit à table et le repas se déroula dans la bonne humeur. A la nuit tombante, les invités partirent. Les parents et les enfants débarrassèrent la table, donnèrent un coup de balai, s’installèrent dans le canapé et regardèrent la télévision. Au premier bâillement, tout le monde se leva et, après avoir éteint le poste, les bougies du petit sapin et la lampe du salon, tout le monde disparut par la grande porte du fond. Sylvain resta seul dans le noir. Il fut envahi par une grande tristesse. Toute la journée, il avait été le plus heureux des petits sapins. Maintenant, il se sentait abandonné. Personne n’avait eu la moindre attention pour lui avant de quitter le salon. Les jours qui suivirent furent moroses. Les enfants venaient parfois pour jouer, mais ils n’avaient aucun regard pour le petit sapin. Sylvain commença à déprimer et à s’étioler. Un matin, la maman des enfants dit : « Le sapin perd ses aiguilles. Il faudra bientôt s’en débarrasser. » Le soir même, le papa des enfants dévêtit le petit sapin de sa belle décoration, l’emporta, le descendit au bas de l’immeuble et le jeta sur le trottoir près des poubelles. Sylvain s’abandonna alors au désespoir. Il serra ses petites branches contre son tronc afin de se protéger de la bise glaciale qui balayait la rue. Il pensa alors à ses parents, à ses frères et sœurs, à ses cousins et cousines, à la montagne et son manteau de neige. Il se dit que la vie était bien injuste et qu’il était bien trop jeune pour mourir. Il se dit aussi que les humains étaient ingrats, égoïstes et cruels. Il se laissa glisser peu à peu dans un profond engourdissement. Il rêva qu’il s’envolait dans un ciel rempli d’étoiles et qu’il arrivait sur une montagne blanche et ensoleillée où l’attendaient ses parents, ses frères et sœurs, ses cousins et cousines, tout le peuple épicéa en habit blanc aux reflets bleutés. |
(Extrait de « L’oiseau du crépuscule et autres récits » de Georges-Claude Grandjean, Editions Almathée
ART – Un verre de vin, un adorable chien, un pot de Nutella, etc. Ivan Hoo a la capacité incroyable de transformer des sujets en dessin d’une manière particulièrement détaillée et pointilleuse. À tel point que ses œuvres semblent prendre vie.
L’artiste de 31 ans, né à Singapour, commence par trouver un objet et, à l’aide d’un crayon pastel, transpose l’image en deux dimensions sur une planche de bois. Il commence par une esquisse au crayon et comble ensuite le reste avec précision. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’il puisse consacrer jusqu’à trois jours pour compléter une seule œuvre.
[Nutella.Spill.] artwork for Mess Hall Gallery Penang ,Malaysia#wip. #pastel on wood.
A video posted by Ivan Hoo (@ivanhooart) on Oct 10, 2014 at 11:25pm PDT
Les grandes écoles d’art, Ivan Hoo ne les a jamais fréquentées. Autodidacte, il a perfectionné seul son talent.
« J’ai toujours aimé dessiner, depuis que je suis un enfant. Puis il y a environ quatre ou cinq ans, j’ai décidé de poursuivre mes connaissances en techniques de dessin », confie-t-il au Daily Mail.
Il dessine aujourd’hui à temps plein et partage couramment ses œuvres sur son compte Instagram. Retrouvez quelques exemples ci-dessous :
Voici un autre exemple d’un autre dessinateur, regardez la vidéo du « making-of »
ci-dessous.
Les apparences sont parfois trompeuses. À l’image du peintre René Magritte et de son tableau intitulé « La trahison des images », le dessinateur Italien Marcello Barenghi aime donner vie à des dessins incroyablement réalistes.
La rencontre entre une petite fille et un chanteur de rue est venue bousculer la routine du « métro, boulot, dodo » de New York.
Dans la vidéo ci-dessus, les voyageurs du métro ont pris plaisir à perdre quelques minutes durant leur trajet, quitte à arriver en retard au travail, pour assister à la danse improvisée d’une enfant sur le quai d’une station du quartier de Williamsburg, à Brooklyn.
En se déhanchant sur la reprise country du morceau « Me & My Uncle« , du groupe Grateful Dead, la petite fille a donné envie à plus d’un passant de l’imiter.
« Un professeur tend un billet de 20 € et demande à ses élèves : «Qui aimerait avoir ce billet ?» Les mains se lèvent.
Il chiffonne ce billet et demande : «Vous le voulez toujours ?» Les mains se lèvent encore.
Il jette le billet froissé par terre, saute dessus à pieds joints et dit : «Vous le voulez toujours ?» Et encore, les étudiants lèvent leurs mains.
Il leur dit alors : «Mes amis, vous venez d’apprendre une leçon !
Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours, car sa valeur n’a pas changé. Il vaut toujours 20 €.
Plusieurs fois dans votre vie, vous serez froissés, rejetés par les gens et les événements. Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien, mais votre valeur n’aura pas changé aux yeux des personnes qui vous aiment vraiment. Même les jours où nous sommes moins à notre meilleur, notre valeur reste la même ».
Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte.
La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l’atteindre. Le premier soir, il s’arrête pour bivouaquer non loin de la maison d’un vieil ermite.
Au moment d’attacher son dernier âne,il s’aperçoit qu’il lui manque une corde.
Si je n’attache pas mon âne se dit-il demain, il se sera sauvé dans la montagne ! Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction de la maison du vieil ermite. Arrivé, il demande au vieil homme s’il n’aurait pas une corde à lui donner.
Le vieillard avait depuis longtemps fait voeux de pauvreté et n’avait pas la moindre corde, cependant,il s’adressa au paysan et lui dit: “Retourne à ton campement et comme chaque jour,fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n’oublie pas de feindre de l’attacher à un arbre.”
Perdu pour perdu,le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme. Le lendemain dès qu’il fût réveillé,le premier regard du paysan fût pour son âne.
Il était toujours là !
Après avoir chargé les 3 baudets,il décide de se mettre en route,mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n’y fît.
L’âne refusait de bouger.
Désespéré,il retourne voir l’Hermite et lui raconte sa mésaventure.
“As-tu pensé à enlever la corde ?” lui demanda-t-il.
“Mais il n’y a pas de corde !” répondit le paysan.
“Pour toi, oui, mais pour l’âne…”
“Le paysan retourne au campement et d’un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde.
L’âne le suit sans aucune résistance.
Ne nous moquons pas de cet âne.
Ne sommes-nous pas, nous aussi,esclaves de nos habitudes, pire,esclaves de nos
habitudes mentales ?
Demandez-vous, quelle corde invisible vous empêche de progresser …
Sources : http://r-eveillez-vous.fr/la-corde-invisible/
Pour info : hermite peut s’écrire également ermite sans que pour cela vous fassiez une faute…
Un anthropologue avait caché des fruits dans un panier près d’un arbre et a dit à des enfants d’une tribu africaine qui l’entouraient, que le premier qui les trouverait gagnerait tous les fruits.
Quand il donna le coup d’envoi, tous les enfants se sont donné la main et ont couru ensemble pour trouver le panier, puis ils se sont assis tous ensemble pour déguster les fruits.
Lorsque l’ anthropologue leur a demandé pourquoi ils avaient couru ainsi alors qu’ un seul aurait pu gagner tous les fruits, ils répondirent « UBUNTU« , expliquant « Comment l’ un de nous pourrait il être heureux si tous les autres sont tristes ?
Auteur inconnu