Incompréhension …
« L’intelligence est caractérisée par une incompréhension naturelle de la vie. »
de Henri Bergson
Extrait de L’évolution créatrice
Extrait de L’évolution créatrice
La fête de la Saint-Jean, célébrée tous les ans le 24 juin, est à l’origine une fête païenne. Elle était célébrée avant la naissance du Christ parmi les premiers peuples slaves pour bénir les moissons. Cette fête a ensuite été christianisée et est aujourd’hui fêtée à travers le monde à quelques jours du solstice d’été pour célébrer, grâce aux feux de la Saint-Jean, la lumière de l’été.
La légende dit que cette célébration serait issue du culte païen d’Ivan Kupalo, le dieu du soleil, de la réincarnation et de la purification par l’eau de l’amour et de la fertilité. Les peuples de Russie et de l’est le célébraient en portant des couronnes de fleurs, en jetant des herbes dans de grands feux, en chantant et en dansant autour de ces derniers. La tradition voulait aussi qu’en hommage à Kupalo le peuple se baigne la nuit dans les rivières pour se purifier par l’eau. Cette nuit-là les gens se livraient également à des actes d’amour et aux plaisirs charnels.
Cette célébration était aussi l’occasion de faire un pèlerinage jusqu’à la roche d’Ivan, près du village de Meeksi en Estonie, qui selon la tradition est réputée pour ses vertus curatives pour les hommes et les animaux.
Dès la christianisation de la Russie, les dieux païens ont été remplacés par des Saints et les baignades nocturnes de cette fête ont été interdites. La France catholique du cinquième siècle a décidé de remplacer la célébration de Koupalo par la Saint-Jean-Baptiste.
Dans la religion chrétienne, Jean-Baptiste est le cousin de Jésus. Il annonçait l’arrivée du royaume de Dieu en baptisant les gens avec l’eau du fleuve Jourdain. Le choix de remplacer la fête d’Ivan Kupalo par la Saint-Jean n’a rien d’un hasard, puisqu’Ivan en slave signifie Jean, et que Kupalo signifie la baignade. Saint Jean-Baptiste fut décapité sur ordre d’Hérode, souverain de la Palestine, vers 28-29
Depuis la fusion des traditions païennes et chrétiennes, la célébration de la fête de la Saint-Jean a lieu le 24 juin, jour de sa naissance. Cette fête a été exportée bien plus tard en Amérique, puis elle est devenue en 1977 la fête nationale du Québec.
Certains rituels sont apparus au fil des siècles autour de cette fête. Les cendres des feux de la Saint-Jean préservaient par exemple de la foudre et des orages. Pour les amoureux, le fait de sauter par-dessus le feu garantissait que leur amour dure toute l’année. Les femmes célibataires devaient quant à elles porter des couronnes de fleurs sur leur tête en guise de symbole de leur virginité.
Dans certaines régions les rituels étaient différents. Dans la Creuse par exemple, il fallait tourner 9 fois autour du feu pour espérer trouver un mari ou une femme dans l’année. En Gironde, pour s’assurer de l’argent toute l’année, il fallait jeter une pièce dans le feu et la retrouver dans les cendres.
La fête de la Saint-Jean était célébrée de différentes manières suivant les régions de France. Elle est très populaire à la campagne où ce jour-là, sont montés des buchers de bois qui seront allumés à la tombée de la nuit. La danse et la musique font partie intégrante des festivités.
On célèbre aussi cette tradition dans les quartiers de certaines grandes villes, les feux y sont présents. La Saint-Jean est souvent l’occasion d’un grand rassemblement de la population.
Aaaah ! Je ne peux pas résister ! C’est trop bon, j’ai trop faim, j’en ai trop envie, je ne peux pas m’en passer. C’est avec ces mots que l’on justifie souvent l’impossibilité de maigrir à cause de ces pulsions qui nous jettent sur des aliments savoureux et dont l’excès nous a fait grossir. Comment arriver à les maîtriser sans que la vie ne soit synonyme de frustrations ?
Ca sent bon chez le boulanger, il y a juste une fournée de tartes aux pommes qui vient de sortir. On en achète une pour le dîner, ça fera plaisir à tout le monde. Et on ne résiste pas à une pulsion vers un chausson aux pommes dont on se régale sur le trottoir, petite récompense perso.
On fait ses courses hebdomadaires au supermarché, on en a plein le dos de pousser ce chariot rempli de lessives, de sacs poubelles, de croquettes pour le chien, de paquets de litière pour le chat, de bouteilles de lait et on arrive devant le rayon des biscuits. A la maison, tout le monde adore les petits biscuits fourrés d’un truc gras/sucré, car ils sont bien croquants et fondent ensuite délicieusement dans la bouche. On en achète trois paquets et une pulsion nous pousse à en croquer la moitié d’un en faisant la queue à la caisse. Histoire de se récompenser inconsciemment de la corvée et du stress des courses.
Dans un tiroir de son bureau, on stocke des billes de chocolats qui ne fondent pas dans les doigts. On les adore parce que l’on peut les croquer discrètement (et sans être obligé d’aller se laver les mains pour ne pas salir le clavier de l’ordi) quand on a besoin de se faire du bien, de se récompenser pour cause de fatigue, d’ennui, de client désagréable, de logiciel récalcitrant etc.
Les occasions de s’offrir ainsi une récompense tout au long de la journée ne manquent pas. Et chaque fois, on met en branle un système super sophistiqué dans notre cerveau.
En effet, il y a dans celui-ci une petite zone de neurones, un circuit nerveux appelé système de la récompense où sont activés des neuromédiateurs, des petites molécules qui nous font du bien, nous donnent une sensation de plaisir. C’est ce même système de la récompense qui fonctionne avec les drogues, le tabac et l’alcool.
Un véritable ping-pong, dont les balles sont les neuromédiateurs, se joue dans notre cerveau, l’un en renvoyant un autre dans une autre zone, puis dans une autre, dont celle de la mémoire.
Le résultat de ce jeu super sophistiqué et permanent est que l’on recherche toujours le plaisir apporté par un truc gras/sucré (genre Nutella !), ou sucré tout court (bonbons, sodas) ou gras tout court, peu importe.
Alors, quand on retourne chez le boulanger, même s’il n’y a pas d’odeurs tentantes de tarte aux pommes, on risque fort d’avoir une belle pulsion sur le chausson qui nous a tant fait plaisir la veille !
Mais, plus diabolique, le seul souvenir des petits biscuits fondant dans la bouche ou du grignotage des billes de chocolat peut susciter une pulsion vers le produit.
Alors, quand les biscuits ne sont pas loin dans le placard de la cuisine, quand les billes de chocolat sont à portée de main dans le tiroir du bureau, on y va et hop ! dans la bouche.
Résultat : on s’y accoutume, on en a besoin, on en devient dépendant. A force d’en manger, on grossit car ils apportent des calories dont on n’a pas besoin. Et si l’on entreprend de maigrir, c’est quasiment impossible de s’en passer !
Ce circuit de la récompense ne fonctionne pas de la même façon chez tout le monde. Certains y sont génétiquement plus sensibles, ils sont ainsi plus vulnérables.
Le stress joue aussi un rôle important : il favorise terriblement les pulsions car on a besoin de compenser, de se faire du bien, après une contrariété quelle qu’elle soit.
Quant à l’environnement alimentaire, il est primordial. Si on ne voit pas de petits biscuits ou de billes de chocolat à l’horizon, on ne peut guère céder à cette satanée pulsion.
Se priver ?
Faut-il se retenir ? Ranger le paquet de petits biscuits qu’on a dans la main, refermer le tiroir du bureau au moment d’empoigner des billes de chocolat en se disant que ça va nous faire grossir ?
Ca peut marcher mais pas toujours ! Car le facteur temps joue aussi son rôle. Le plaisir immédiat de manger a une plus grande influence sur la décision que la perspective future de grossir. Surtout si on se promet en même temps d’aller dépenser plus tard, à vélo ou en courant, les calories engrangées, ce que l’on ne fera pas forcément !
Il faut aussi une volonté de fer pour résister à une de ces pulsions. Certes, c’est une façon de faire marcher sa tête, mais pas sur le bon chemin. Car celui-ci conduit vers la frustration alors qu’on a, ligués contre soi, la bousculade des neuromédiateurs du système de récompense !
Il s’agit d’éviter que ce foutu système de récompense ne se mette en route. C’est la bonne façon de faire marcher sa tête et pour cela, il y a plusieurs trucs.
Le premier est de faire ses courses avec une liste de bons aliments bien sains. On active alors une autre partie du cerveau, le cortex préfrontal, où se situe, entre autres fonctions, le contrôle de soi et la planification, ce qui va inhiber les pulsions d’achat. Si les petits biscuits ou les billes de chocolat ne sont pas sur la liste, on ne les achètera pas.
Ce truc marche aussi quand on fait ses courses sur une épicerie en ligne. Il marche d’autant mieux que l’on évite la fatigue stressante au supermarché et la pulsion qui peut lui être liée.
Un autre truc, évident, est de ne pas stocker les produits gras/sucré suscitant les pulsions. C’est d’autant plus facile si l’on n’en achète pas. Quand il n’y a pas, on ne mange pas !
Reste la tentation devant un distributeur et les pulsions que la simple vue des confiseries qui y sont alignées peut déclencher. Là encore, il faut faire marcher son cortex préfrontal et déclencher le contrôle de soi en choisissant quand il y en a – ce qui est heureusement de plus en plus fréquent – un fruit. On peut aussi décider d’éviter de passer devant la machine quand celle-ci ne contient aucun aliment sain !
Entraîner son cerveau, faire marcher sa tête dans le bon sens, ça n’est pas vraiment compliqué ! C’est certainement le bon moyen de ne plus – ou presque plus – manger de ces produits gras et sucré qui déséquilibrent l’alimentation, font grossir ou empêchent de maigrir.
Sources : Bradley M. Appelhans, Matthew C. Whited, Kristin L. Schneider, Sherry L. Pagoto. Time to Abandon the Notion of Personal Choice in Dietary Counseling for Obesity?Journal of the American Dietetic Association, 2011; 111 (8): 1130 DOI: 10.1016/j.jada.2011.05.014
La réflexologie est l’une des thérapies alternatives les plus populaires.
Mais comment l’utilise-t-on ?
Et quels sont ses effets ?
Le principe de la réflexologie est que nos pieds, nos mains et nos oreilles sont constituées de zones « réflexes ». Chacune correspond à un organe. Ainsi, masser un point précis du pied, de l’oreille ou de la main permet de rééquilibrer l’organe correspondant.
En raison de sa popularité, la réflexologie a déjà fait l’objet de nombreuses études, mais qui ont toutes constaté le manque de données scientifiques précises. Le mécanisme de son influence fait l’objet de différentes théories. La plus acceptée aujourd’hui est celle de la stimulation du système nerveux autonome (qui régule les fonctions non volontaire du corps, comme la digestion, les battements du cœur, etc.). Un effet sur la circulation sanguinea aussi parfois été supposé.
Quelle que soit l’explication de l’efficacité de la réflexologie, celle-ci a été appuyée par différentes études qui montrent son effet positif sur la qualité de vie, le stress, l’anxiété et la douleur.
Il semble cependant difficile de justifier l’utilisation de la réflexologie à des fins de traitement de maladies, même si dans les pays où elle est très répandue elle tient un rôle médical. Sous nos latitudes, on utilisera surtout la réflexologie comme une technique de massage très efficace. Les praticiens estiment qu’elle aide à sécréter des endorphines, ces hormones du bonheur qui apportent une détente profonde.
Du côté des utilisateurs, on vante un massage qui ne demande pas d’ôter tous ses habits, ce qui prend du temps et ne plaît pas à tout le monde. Et qui ne détend pas seulement, mais donne aussi de l’énergie. Alors que d’habitude, en sortant d’un massage on est surtout bon pour une sieste !
Le choix de la réflexologie plantaire (massage des pieds), auriculaire (massage des oreilles) ou palmaire (massage des mains) dépend des préférences du praticien et de son client. En effet mains, oreilles et pieds contiennent des zones réflexes qui permettent de toucher tous les organes du corps. La réflexologie plantaire est cependant beaucoup plus répandue chez nous, et donc plus facile à trouver. Il faut dire qu’un massage de pieds, zones réflexe ou pas, est très efficace pour éliminer la fatigue !
Et à la maison ?
Il existe des appareils qui sont supposés stimuler les zones réflexes, mais leur coût est difficile à justifier en l’absence de preuves d’efficacité. Par ailleurs, il existe de nombreuses « cartes » des mains, des pieds et des oreilles qui montrent les zones réflexes. Vous pouvez très bien les stimuler vous-même pour vous soulager ou vous détendre. Si la technique vous intéresse, des manuels sont aussi facilement disponibles dans le commerce.
Article publié par Marion Garteiser, journaliste santé le 16/06/2014
Sources : McCullough, J.E.M. et al., Evid Based Complement Alternat Med. 2014; 2014: 502123. Published online May 5, 2014. doi: 10.1155/2014/502123
Texte intégral de l’appel du 18 juin 1940
Tel qu’il a été entendu ce jour-là.
Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont
formé un gouvernement.
Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s’est mis en rapport avec
l’ennemi pour cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et
aérienne, de l’ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des
Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des
Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont
aujourd’hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle
définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est
perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un
jour la victoire.
Car la France n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle a un
vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l’Empire britannique qui tient la mer
et continue la lutte. Elle peut, comme l’Angleterre, utiliser sans limites l’immense
industrie des Etats-Unis.
Cette guerre n’est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre
n’est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale.
Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n’empêchent pas qu’il y a,
dans l’univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis.
Foudroyés aujourd’hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l’avenir par
une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j’invite les officiers et les soldats
français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s’y trouver, avec
leurs armes ou sans leurs armes, j’invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des
industries d’armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s’y
trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne
s’éteindra pas.
Demain, comme aujourd’hui, je parlerai à la Radio de Londres.
Charles de Gaulle
Source : http://www.charles-de-gaulle.org/article.php3?id_article=44
Quasiment toute la France est en alerte rouge concernant le risque d’allergie aux pollens.
À cette période de l’année, les végétaux incriminés sont les graminées, dont la pousse a été favorisée par l’alternance pluie/soleil des derniers jours.
Conseils pour se prémunir des pollens.
La France entière ou presque affiche un risque maximal (niveau 5/5). En cause, les graminées (herbes folles qui poussent sur les bas-côtés des routes), dont la dissémination des pollens a été favorisée par une météo conjuguant soleil et vent. Résultat, les personnes allergiques souffrent derhinite allergique et de conjonctivite : nez qui coule, nez bouché, éternuements à répétition, yeux qui piquent, etc.
Selon le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), « tous les autres pollens seront placés en second plan, plantain, urticacées, oseille, chêne, olivier seront présents mais avec un risque allergique dépassant rarement le niveau faible. Les tilleuls seront toujours à surveiller, ces arbres en fleurs disséminant des pollens à proximité, seront la source de gênes pour les allergiques. »
La désensibilisation est la seule façon de guérir l’allergie.
Pour en bénéficier, il faut consulter un allergologue.
Mais le traitement étant de longue haleine, vous devez dès maintenant vous protéger des pollens en respectant les quelques précautions suivantes :
L’autre grande recommandation est de ne pas attendre pour prendre son traitement. Qu’il soit prescrit par le médecin ou conseillé par le pharmacien, plus celui-ci est pris tôt, avant que les symptômes ne soient sévères, plus il sera efficace.
Sources : Bulletin allergo-pollinique du Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), n°24 du 13 juin 2014, http://www.pollens.fr/les-bulletins/bulletin-allergo-pollinique.php. Asthme & Allergies, http://asthme-allergies.org
Article publié par Isabelle Eustache le 17/06/2014
Quand vous verrez la lumière au bout du tunnel, priez pour que ce ne soit pas le train.
Daniel LEMIRE – Humoriste québécois (Né en 1955)
Vous autres Européens, dont l’esprit se remplit dès l’enfance de tant de préjugés contraires au bonheur, vous ne pouvez concevoir que la nature puisse donner tant de lumières et de plaisirs. Votre âme, circonscrite dans une petite sphère de connaissances humaines, atteint bientôt le terme de ses jouissances artificielles : mais la nature et le cœur sont inépuisables.
Paul et Virginie
[ Bernardin de Saint-Pierre ]
Cette métaphore est d’origine météorologique alors que le « beau fixe » désignait un beau temps stable, matérialisé par l’aiguille du baromètre ‘fixée’ sur la zone de beau temps.
Au XIIIe siècle, ‘fixe’ a d’abord été utilisé en alchimie pour désigner un gaz qu’on ne pouvait liquéfier. Au XIVe, et aujourd’hui encore, il s’emploie pour qualifier ce qui ne change pas de position. C’est à partir du XIXe qu’il prend également le sens de « établi de manière durable » qu’on retrouve dans notre expression.
Plante aromatique qui fleure bon l’été, le basilic est aussi une herbe qui recèle de multiples vertus santé.
Son principal point fort ?
Soulager les troubles digestifs.
Mais pas seulement…
Le basilic contient différents antioxydants : de l’acide rosmarinique principalement, mais aussi des acides phénoliques et des flavonoïdes.
Au niveau des minéraux, le basilic est très riche en vitamine K (une vitamine qui participe notamment au processus de coagulation du sang). Et est également une source intéressante de provitamine A, de calcium et de phosphore.
Petit bémol : utilisé comme assaisonnement, le basilic est consommé en petite quantité. Pour bénéficier de cet apport en antioxydants et minéraux, il faut donc l’ajouter aux aliments de façon significative (au moins une cuillère à soupe de feuilles hachées par jour).
Le basilic est particulièrement réputé pour ses vertus digestives et antispasmodiques.
Il améliore la digestion, combat les gaz intestinaux, traite les ballonnements, soulage les crampes d’estomac et autres douleurs gastriques.
En cas de digestion difficile, consommez-le :
Le basilic sous forme d’herbe fraîche peut causer des interactions néfastes chez les personnes qui suivent un traitement anticoagulant.
Si c’est votre cas, discutez avec votre médecin des doses à ne pas dépasser. Sachez par ailleurs que le basilic s’oxyde très vite et qu’il s’altère à la cuisson. Pour conserver tous ses arômes, ajoutez-le à la dernière minute dans vos préparations.
Le basilic sous forme d’huile essentielle est contre-indiqué pendant la grossesse, l’allaitement et chez les jeunes enfants.
Comme cette huile essentielle contient de l’estragol, un composé cancérigène quand il est consommé à très fortes doses, elle ne doit en aucun cas être utilisée de façon abusive et prolongée. Ne dépassez ainsi jamais une cure de trois semaines.
Article publié par Karell Robert, journaliste santé le 09/06/2014
Sources : Merci à Bernadette Préat, docteur en médecine, phytothérapeute et professeur de phytothérapie pour sa collaboration à cet article.
Un délice que cette langue qui est le Français !
Que c’est beau….toutes les subtilités et les richesses de la langue française
Ne dit-on pas que cette langue est très difficile à apprendre
En voici un exemple :
Une vieille demoiselle se présente chez un notaire pour enregistrer l’acte d’achat de sa maison récemment acquise
Le notaire l’invite à s’installer, appelle son clerc, et lui demande textuellement :
« Veuillez, s’il vous plait, ouvrir la chemise de mademoiselle, examiner son affaire, et si les règles ne s’y opposent pas,faites une décharge pour qu’elle entre en jouissance immédiate ! »
On n’a toujours pas rattrapé la vieille fille !
Pour moi, elle n’aurait pas du fuir : elle aurait du essayer de tirer les choses au clerc …. !!!
Chaque soir, vous enfilez méthodiquement le vieux pyjama mollasson que vous aimez tant avant de vous glisser, couverte de couches et de couches de tee-shirts publicitaires, sous la couette dans laquelle vous vous enroulez tel un nem échoué. Sans le savoir, vous faites là une grave erreur,accélérant irrémédiablement votre vieillissement, ouvrant grand la porte aux maladies et enterrant peut-être pour l’éternité tout espoir d’une vie sexuelle épanouie (mais ça vous le saviez, non ?).
Eh oui, malgré ce que pensent certains, rebutés par cette habitude qu’ils estiment propre aux seuls habitués du Cap d’Agde, dormir nu est au contraire très sain et ce, pour plein de raisons. Explications.
Engoncer votre intimité dans une culotte ou même un pyjama la soumet à une forte chaleur et à un environnement dans lequel les infections bactériennes peuvent se développer bien plus facilement. On conseille au contraire d’aérer son entrejambe la nuit, afin de prévenir ces maladies. Aérons, aérons.
Lorsqu’on dort, il est très important d’offrir à son corps un environnement confortable. Si latempérature du corps baisse progressivement pendant le sommeil, il est indispensable de ne pas le soumettre à une température trop élevée en le recouvrant de couches de pyjamas et de couvertures, au risque de lui faire subir un inconfort qui perturbera votre sommeil. De plus, s’il est certes difficile de se glisser dans des draps froids lorsqu’on va se coucher, l’effort que fera votre organisme pour lutter contre ce changement d’environnement soudain vous fera brûler quelques calories avant de trouver le sommeil. En bref, c’est tout bénef’.
>> Tous les aliments d’un bon sommeil <<
Oui, c’est fou, mais sachez que la sécrétion de la mélatonine et de l’hormone de croissance, hormones anti-âge, serait très perturbée par une trop forte chaleur. Ainsi, avoir trop chaud pendant son sommeil nuirait à cette régénération constante, au contraire boostée par la baisse de la température du corps. Vous conviendrez qu’il serait dommage de se priver de ce petit lifting naturel nocturne pour quelques petits frissons, d’autant que qui dit hormones « belle peau » dit également beaux cheveux… Etre belle au réveil, c’est facile.
Assumer son corps nu sous les draps et le contact de ceux-ci sur sa peau aide clairement à se sentir plus confiant et bien dans ses baskets en reprenant contact avec son corps. On le sait, le désir naît davantage de ce que l’on dégage que du physique lui-même. Vous vous sentez sexy après votre naked night ? Vous devenez sexy !
>> Sexe et sommeil : les liaisons vertueuses <<
5. Vous aurez du meilleur sexe
Last but not least, l’abandon DÉFINITIF de vos grenouillères « Coup de cœur » donnera sans aucun doute un second souffle à votre vie sexuelle. Vous coller à la peau nue de votre partenaire, dont vous redécouvrirez l’épiderme après une longue période de ceinture de chasteté à imprimé écossais, devrait vous donner des idées à tous les deux.
Et puisqu’il est prouvé que plus on pratique, plus on pratique, il est fort probable que cette abdication du pyjama vous fasse gagner dix ans en quelques jours. Si si.
On commence ce soir ?
Par Adèle Bréau
Publié le 3 juin 2014 sur http://www.terrafemina.com/
Nombre de gens pourraient mieux s’amuser
Ils ne sont heureux qu’à moitié
Toujours accrochés à leur passé
Ils n’ont qu’un désir, recommencer
Ils ont vécu des moments bons, ou mauvais
Même de très bons, ou de très mauvais
C’est redevenir jeune qu’ils aimeraient
Pouvoir, tout revivre ce qu’ils ont fait
Ils pensent d’ailleurs et trop souvent
Que leur vie ne sera plus comme avant
Ils se rappellent, des amis importants
Se souviennent, de leur vie évidemment
Ils voudraient encore leur parler
Ils voudraient, les entendre se raconter
Ils aimeraient encore, les revoir sourire
Ils vivent dès lors, tous leurs vieux souvenirs
Au fond, s’ils pouvaient justes se décider
Se dire, qu’ils en ont vraiment assez
S’ils pouvaient, revenir dans leur présent
S’ils essayaient, de sourire plus souvent
Ils ne seraient plus, heureux qu’à moitié
C’est toute leur vie qui pourrait changer
On peut tous hélas ! Vivre une belle vie
Il suffit de vouloir, de relever ce défi
Texte Claude Marcel Breault