DE TOUT EN VRAC

Bienvenue chez Coukie24 !

25 avril, 2014

Oatman

Classé dans : Voyages (60) — coukie24 @ 23:59

C’est sans aucun doute, la plus belle portion de la route 66, entre Needles et Oatman…
Le désert plat laisse place aux montagnes arides, aux couleurs jaunes,orangées, roses,beiges,bleutées…
C’est Magnifique ! Et avons du mal à quitter ces paysages grandioses. 

La Côte Ouest et L.A ne sont plus très loin… La fin de la 66 est proche !

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10 avril, 2014

Eternelle route 66

Classé dans : Voyages (60) — coukie24 @ 1:00

Eternelle route 66 dans Voyages (60) 7719679-panneau-de-signalisation-routiere-historique-route-66« Voir un panneau de la route mère provoque à chaque fois la joie puérile d’y être et de l’avoir trouvée ! » - 

Jean-Paul Naddeo , Marie-Sophie Chabres

 oklahoma-route66_01 dans Voyages (60)

Ce n’est pas une route, c’est LA route.

Celle qui vous emmène à la découverte de l’Amérique, au coeur de son histoire récente mais tourmentée, de ses villes fantômes ou animées, de ses paysages grandioses, luxuriants ou arides et de sa population chaleureuse et bigarrée. L’odyssée commence à Chicago et traverse huit Etats, Saint-Louis, Oklahoma City, Amarillo, Gallup… Tout au long du chemin, le voyageur croise Jesse James, longe le Sentier des Larmes, traverse le Grand Canyon, s’arrête au Bagdad Cafe ou bifurque vers Las Vegas. 
At the end, Santa Monica. C’est plus qu’une traversée des Etats-Unis. C’est un parcours initiatique !

A bientôt !

 

 

http://coukie24.unblog.fr/files/2014/04/06-morceau-6.mp3 Ce n'est pas une route, c'est LA route. Celle qui vous emmène à la découverte de l'Amérique, au coeur de son histoire récente ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >

9 avril, 2014

Chicago !

Classé dans : Voyages (60) — coukie24 @ 1:00

Début du périple ! A nous l’aventure !

Chicago

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7 avril, 2014

« L’heure qui passe ne revient jamais »

Classé dans : Le Temps (89) — coukie24 @ 14:28

Fins

Le tic-tac des horloges, on dirait des souris qui grignotent le temps.

A Allais

ROUTE 66 – L’échappée belle

Classé dans : Voyages (60) — coukie24 @ 1:00

Parmi les routes mythiques qui traversent l’histoire des Etats-Unis, il y en a une, The mother road, qui a tracé ses sillons au plus profond de l’imaginaire américain. Pendant plus de cinquante ans, la route 66 a étalé ses kilomètres de bitume à travers huit Etats et trois fuseaux horaires. De Chicago à Los Angeles, elle suivait la course du soleil et creusait l’Amérique profonde. Aujourd’hui morcelée, presque oubliée, elle n’en reste pas moins une légende.

 

Et pour cause. Cette ligne rouge qui file d’un bout à l’autre du pays a vu défiler l’histoire, des premiers pionniers aux enfants de la beat generation, de l’Indien bafoué au dernier des Américains moyens. Nombreux sont les hommes, les familles à avoir pris ce chemin, des rêves plein la tête et des illusions plein les poches, pour se construire une vie plus belle sous le soleil de l’Ouest. Année après année, la route 66 a inscrit son nom sur le tableau des grands mythes américains. Pourtant aujourd’hui, elle n’est plus qu’une vieille dame au bout du rouleau. Remplacée par des autoroutes plus performantes, elle avait disparu des cartes. Si des passionnés l’ont sortie de l’oubli, si le tourisme a doucement repris, cette grande diagonale reste en danger. Un organisme américain, World Monuments Fund, vient même de la classer parmi les cent monuments historiques les plus menacés au monde.

Du rêve américain

ROUTE 66 - L'échappée belle dans Voyages (60) 1440_1

La route 66 a 82 ans. C’est à Cyrus Stevens Avery, un homme d’affaires originaire d’Oklahoma, que l’on confie en 1923 la conception de cette voie transcontinentale. Il s’agit d’améliorer le réseau routier, de relier l’Est à l’Ouest au nom du développement économique. Il faut sortir les régions figées du Middle West de leur ennui en les abreuvant de trafic. Des millions de chômeurs fuient la Grande Dépression pour participer à ce vaste chantier qui s’étend sur douze ans et 4.000 kilomètres. Pendant la Seconde Guerre, de nombreux appelés arpentent cet axe stratégique. Ils vont, ils viennent entre usine d’armement et camp d’entraînement. L’un d’eux, Bobby Troup, composera plus tard cet hymne fameux, ‘Get your Kicks on Route 66′. La chanson, reprise par Nat King ColeChuck Berry, par les Stones, Brian Setzer Orchestra, les Cramps, Guitar Wolf et d’autres musiciens éclectiques, va alimenter le folklore qui vagabonde sur cette voie. 

Les années d’après-guerre vont dessiner l’american way of life. La 66 porte haut les couleurs et les emblèmes de cette culture populaire. La middle classaméricaine se rue sur le Middle West. C’est les vacances, on gagne la côte Ouest. L’artère mère connaît alors son apogée. Elle voyage à l’intérieur du pays, traverse les villes. Une multitude d’affaires familiales, des milliers de motels, de fast-foods et de stations-service font fleurir leurs enseignes ici et là. C’est l’avènement du « mom and pop business »(1). On est loin des grandes chaînes commerciales et de l’uniformisation qu’elles allaient bientôt induire.

Le trafic est infatigable. L’Highway 66 devient rapidement l’un des moteurs de la culture américaine. Cette voie royale alimente l’amour du peuple pour les belles bagnoles. Le cinéma et la littérature en font un décor mythique. Wyatt « Captain America » et Billy – les deux motards d’Easy Rider -, Thelma et Louise, les Blues Brothers, Raoul Duke et son avocat… Tous ont roulé leur bosse le long de cette diagonale, menés, évidemment, par Sal Paradise et Dean Moriarty, les héros autobiographiques de Kerouac. Son roman, ‘Sur la route’, qui conte la traversée hallucinée de ce pays-continent, compose les premières notes de la beat generation. Publié en 1957, il inspire une foule de jeunes Américains qui, avides de nouvelles expériences, se lancent sur ce ruban de bitume. Le road trip y vit alors ses plus belles heures, de randonnées sauvages en chevauchées mécaniques, entre le parfum violent de l’asphalte et l’odeur grisante de la liberté.

De déchéance en renaissance

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Mais peu à peu, l’avenue centrale des Etats-Unis, élimée par sa propre gloire, montre des signes de faiblesse et d’usure qui rendent les trajets de plus en plus meurtriers. En 1956, les hauts responsables américains, impressionnés par les puissantes autoroutes à quatre voies observées en Allemagne pendant la guerre, décident de construire le long de la 66, les « Interstates Highway ». Ils auraient pu rénover la vieille route, la renforcer ou l’agrandir pour lui offrir une seconde jeunesse, mais les politiques vont choisir de la doubler, signant ainsi l’arrêt de mort de cette ligne de vie. De nouvelles voies, plus rapides et moins dangereuses, s’élancent. Exit, donc, la piste 66. Le flux des vacanciers et des voyageurs lui préfère ses jeunes voisines, bien mieux roulées. Ces autostrades impersonnelles contournent les villes qui jalonnaient jadis le voyage. 

Les aires d’autoroutes volent la vedette aux downtown, isolant définitivement les touristes du pittoresque local. En bâillonnant la route 66, c’est toute une économie que l’on étouffe. Les milliers de petits commerces qui bordent la diagonale sont contraints, faute de public, à mettre la clé sous la porte. Les symboles du rêve américain tombent en ruine. En 1985, le dernier tronçon de la route est dépassé par l’Highway 40. La voie express enterre la 66. Déclassée, la fameuse route n’apparaît même plus sur les cartes.

Heureusement, on ne fait pas si facilement la peau à une légende. La route mère est inscrite au patrimoine historique, et dans les années 1990, de nombreuses associations se battent pour la ressusciter. En 1995, quelques panneaux surgissent çà et là, comme pour prévenir les badauds : « Attention, vous marchez sur un bout d’histoire. » Petit à petit, le tourisme se réveille. Quelques commerces typiquement américains rallument leurs enseignes. La 66 n’est pas toujours en bon état, mais peu importe, les voyageurs viennent. Ils veulent rencontrer cette autre Amérique, profonde et intemporelle. Parmi eux, beaucoup d’Européens, venus chercher un peu de légende, hantés par les livres qu’ils ont lus, marqués par le cinéma hollywoodien et ses symboles. De nombreux Américains font également le voyage. Ils parcourent cette route, comme on regarde de vieilles photographies, en y cherchant les souvenirs d’un autre temps. Un temps où il faisait bon se goinfrer de glaces éléphantesques, perché sur un tabouret de bar, en écoutant le King et en rêvant des oranges de Californie.

(1) Le « mom and pop business », littéralement « commerce de maman et papa », désigne une offre commerciale composée de nombreuses affaires individuelles et familiales.

Go West

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C’est l’éternelle conquête de l’Ouest, le mythe de la terre promise qui se rejoue, encore et encore. La ligne blanche qui court sur le macadam a des vertus libératrices. Des plates et vastes plaines de l’Illinois jusqu’au désert embrasé de la Californie, la route file et les espaces s’étirent toujours plus. La 66 sillonne huit Etats qui exhibent, chacun, leurs paysages et leurs histoires. Tout commence à Chicago, capitale du blues, et ancienne mère du grand banditisme. Il faut tourner le dos à sa banlieue grise pour entamer le voyage. Il faut croiser Cicéro, la ville d’Al Capone et dépasser le pénitencier de Joliet pour que la route se laisse enfin aspirer par le décor. Là, elle n’en finira plus d’onduler, de champs en collines, de collines en montagnes, et de montagnes en déserts, au gré des terres qui la transportent. Après avoir enjambé le Mississippi, elle visite le Missouri, « The Bible Belt », cet Etat ultraconservateur, symbole du puritanisme sauce américaine où il pousse des églises comme il court des lapins blancs au Pays des merveilles, où Jésus-Christ est le vrai roi de la route… (2) Elle s’offre une brève irruption au Kansas avant d’aller entailler les contrées ingrates de l’Oklahoma. Ici, la route est une ligne de fuite. Bien avant la naissance de la voie goudronnée, les Indiens chassés de leurs terres par les premiers colons arpentaient déjà celle qu’ils nommèrent, pour l’amère occasion, la piste des larmes (3). En 1934, les Oakies, ces millions d’Américains ruinés, empruntaient ce même chemin forcé vers l’exil. Immortalisés par Steinbeck dans ‘Les Raisins de la colère’, ils laissaient derrière eux des terres désolées, ravagées par le « Dust Bowl » (4), ses tempêtes de sable et la sécheresse.

L’avenue centrale des Etats-Unis continue vers le Texas. Elle traverse ce pays amoureux des armes à feu qui marque la première moitié du voyage. Les passagers de la 66 basculent alors dans le grand Ouest américain, patrie des derniers Indiens et des anciens cow-boys, des premiers pionniers et des attaques de diligences. D’étendues sauvages en hauteurs flamboyantes, la toile de fond prend des allures de vieux western. Au Nouveau-Mexique, les Navajos, héros des romans de Tony Hillerman, et d’autres Indiens d’Amérique vivent dans de tristes réserves, entre tradition et modernité ratée. En Arizona, le paysage se livre avec force, de forêt fossilisée en désert bariolé (5) avant de prendre son envol au Grand Canyon.

On the road again…

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Pour arriver à destination, il faut encore s’engouffrer en Californie par l’infini du désert de Mohave. Au bout du voyage, se dresse la triste banlieue de Los Angeles, Hollywood et son gigantisme, les plages de Santa Monica. Le chemin s’achève alors, les illusions avec. Bien sûr, c’est le voyage qui a compté. Ce trajet-là s’impose à lui-même, dessinant un autre visage des Etats-Unis, un visage immobile. La 66 échappe presque au monde moderne. Les villes fantômes de nos fantasmes américains, les motels et les stations-essence laissés à l’abandon, les carcasses de voitures qui dépérissent, tout au long de la route, ces vestiges glissent au rythme des miles qui s’égrènent. Les voitures sont rares et les espaces assoupis. Les touristes voyagent peut-être en compagnie du néant, mais partout les enseignes immobilisées de ces anciens motels aux allures Art déco rappellent au voyageur la glorieuse jeunesse de la route mère. Dans les commerces qui survivent, l’atmosphère est restée telle quelle, délicieusement kitsch. On y avale de gargantuesques breakfasts en discutant avec les gérants de ces petites affaires, les vieux de la vieille, les incontestables stars de la 66. Et dans le fond, résonne toujours la même chanson, en forme de suggestion : « If you ever plan to motor west / Travel my way, take the highway, that is the best / Get your kicks on route sixty-six… » (6)

(2) Parmi les nombreuses chapelles de Saint-Louis, on trouve celle de Jesus Christ, king of the road - Source : « Voyage sur les routes du monde, de la route de la soie à la route 66″, Géo.
(3) En 1889, plusieurs tribus indiennes occupent l’Oklahoma mais en avril, les 
land run, de frénétiques courses à la terre, débutent. Les colons s’approprient, sous la menace du canon, la plupart des espaces.
(4) Le 
« Dust Bowl » désigne une série de tempêtes de poussière qui sévit dans les années 1930 et ravage la région des grandes plaines aux Etats-Unis et au Canada.
(5) On trouve, en Arizona, le parc national du Painted Desert, où les différentes sortes de roches peignent des stries de couleur sur les reliefs, ainsi que le parc national de la Petrified Forest, qui abrite des arbres fossilisés.
(6) Extrait de 
‘Get Your Kicks on Route 66′, composée par Bobby Troup. 

« Si tu prévois de rouler vers l’Ouest / Suis mon chemin / Choisis la route principale / C’est ce qu’il y a de mieux / Et prends ton pied sur la route 66… »  

Amélie Weill pour Evene.fr – Juin 2008 – Le 06/06/2008

 

 

http://coukie24.unblog.fr/files/2014/04/08-morceau-8.mp3 Parmi les routes mythiques qui traversent l'histoire des Etats-Unis, il y en a une, The mother road, qui a tracé ses sillons au plus profond de l'imaginaire américain. Pendant plus de cinquante ans, la route 66 a étalé ses kilomètres de bitume à travers ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >

4 avril, 2014

Selon des études récentes…

Classé dans : Humour (284),Lecture, écriture (57) — coukie24 @ 14:58

Selon des études récentes…

Si on le fait…

Debout, fortifie les muscles
Sur le ventre, améliore la circulation du sang
Sur le dos, est plus agréable
Tout seul, c’est bon, mais égoïste

On peut aussi le faire,

En groupe ça peut être amusant
Dans les toilettes, c’est très relaxant
Le faire fréquemment, développe l’imagination
À deux, enrichit le savoir,
Mais, à genoux, ça peut faire mal

 

Il y en a qui le font,

Sur la table ou sur le bureau
Avant de manger ou après 
Dans le lit ou le hamac, tout nu ou habillé,
Sur le gazon ou le tapis, avec fond musical ou en silence
Dans des draps ou sans draps

Le faire,

donne beaucoup de plaisir et nous détend complètement
Peu importe l’âge, la race, les croyances, le sexe, ni la position …

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 Car lire est un plaisir !!!

Eh oui ! 

Tu vois qu’il est bon de lire,
car tu as donné libre cours à ton imagination ! 

 

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BONNE JOURNÉE !

3 avril, 2014

La vieillesse c’est …

Classé dans : Humour (284) — coukie24 @ 18:03

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« La vieillesse c’est la seule maladie, dont on ne peut espérer guérir. »

- Orson Welles -

De vrais petits clowns !

Classé dans : Les Chats (55) — coukie24 @ 17:41

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Petite devinette !

Classé dans : Humour (284) — coukie24 @ 17:16

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Cherchez un peu avant de regarder la solution!

1- Vous êtes en Afrique.
2- On vous a tendu un piège.
3- Vous êtes attaché en haut d’un arbre par une corde.
4- Une bougie au sol est en train de brûler la corde.

Sachant que vous êtes seul à des kilomètres à la ronde,
que vous n’avez rien sur vous,
que pouvez-vous donc faire?

Voici l’image du résumé de la situation.

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Aucune idée ?

Vous avez bien cherché ?

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La solution plus bas…

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119

Vous chantez «Joyeux Anniversaire » au lion,
pour qu’il souffle la bougie !

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BONNE JOURNÉE !

2 avril, 2014

Coexistence, cohabitation …

Classé dans : Textes à méditer (239) — coukie24 @ 17:02

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Il existe…

Des fleurs très simples

et de très sophistiquées.

Il y en a qui sont timides

et d’autres sur la défensive.

 Il y a les solitaires

et celles qui vivent en groupe.

 Celles qui vivent

près de la terre…

Celles qui vivent

dans les arbres,

ou sous les arbres,

ou sur l’eau.

Il y a celles qui préfèrent le confort

d’un jardin.

Il en existe de remarquables,

de très étranges,

et même des carnivores…

qui cohabitent pacifiquement dans la nature.

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 Pourquoi n’apprendrions-nous pas,

nous, habitants de la terre,

à être plus sages

pour que nos enfants puissent, un jour,

cohabiter comme cohabitent les fleurs ?

 

 Auteur inconnu

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Pourquoi les zèbres ont des rayures ?

Classé dans : Généralités & Divers (152) — coukie24 @ 10:59

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C’est pour échapper aux insectes !

SCIENCE – Camouflage contre les fauves, moyen de réguler la chaleur ou encore marqueur social au sein du troupeau, chacun avait son avis pour expliquer cette drôle de robe. La question fascinait les scientifiques depuis des années, et une équipe de chercheurs américains et australiens a enfin trouvé la réponse. Si le zèbre s’est paré d’aussi belles rayures, c’est en fait pour échapper à un ennemi minuscule, le taon.

À l’aide d’animations et modélisations sur ordinateur, des chercheurs de l’université de Queensland, en Australie, sont en effet arrivés à la conclusion que les bandes noires et blanches créaient une illusion d’optique lorsque les zèbres étaient en mouvement.

Comme les roues d’une voiture en mouvement

Grâce à leurs rayures espacées sur les flancs et leurs marques verticales plus rapprochées sur le dos et la nuque, les zèbres perturbent les possibles assaillants. Et ce, particulièrement quand ils sont regroupés en troupeau.

L’illusion optique qui fait effet dans leur cas est similaire à celui que l’on peut voir régulièrement sur les jantes de voitures en mouvements, quand les roues donnent soudain l’impression de tourner dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (voir le gif ci-dessous), assure le Dr How.

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« Nous estimons que cette illusion trompe les prédateurs sur la direction du mouvement du zèbre. Ce qui conduit les insectes à abandonner leur atterrissage ou les prédateurs à mal calculer le moment où il est le plus judicieux d’attaquer. »

Une découverte qui pourrait aussi s’appliquer à d’autres espèces arborant des motifs géométriques comme certains serpents ou poissons.

Grâce à des expériences sur différentes espèces d’équidés, l’équipe du biologiste californien Tim Caro -biologiste à l’Université de Californie- a donc réussi à montrer que la présence de rayures sur tout le corps d’un animal influençait l’activité des taons donc, mais aussi de la mouche tsé-tsé, deux dangers naturels pour le zèbre. Au fil des siècles l’animal s’est donc constitué une parade extrêmement efficace contre ses adversaire redouté de la savane. Pas bête la guêpe.

Grâce à ses rayures, le zèbre se prémunit contre les maladies véhiculées par les insectes et contre leurs attaques intempestives (un taon peut sucer jusqu’à un demi-litre de sang chez un gros mammifère en une journée seulement). Résultat : les chercheurs ont constaté que les chevaux domestiques étaient bien plus sujets aux attaques que leurs cousins sauvages.

Infos trouvées sur Le HuffPost 

1 avril, 2014

Juste pour rire !

Classé dans : Humour (284) — coukie24 @ 17:01

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Poisson d’Avril !

Classé dans : Autres fêtes ou évènements — coukie24 @ 1:00

 

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