Les pires régimes du monde … à proscrire et non à prescrire !!!
Le régime coton
Jour 2 : soupe + légumes + 1 patate.
Jour 3 : soupe + fruits + légumes
Jour 4 : soupe + banane + lait écrémé
Le régime coton
Marie-Berthe, grâce au progrès de la science,
vient d’avoir un enfant, alors qu’elle a 75 ans.
Ses voisines, Marie et Suzanne,
viennent lui rendre visite et voir le gamin.
Vous le verrez plus tard.
Pour le moment, ce n’est pas possible.
Je vais faire du café en attendant.
L’après-midi avance
et les voisines lui redemandent de voir le bébé.
Ce n’est toujours pas possible
Alors, Marie lui demande :
Pourquoi, n’est-ce pas possible ?
J’attends qu’il pleure !
BONNE JOURNÉE !
Extrait du journal québécois Le Devoir -15 mars 2000
Il était une fois un vieil homme assis à l’entrée d’une ville du Moyen-Orient.
Un jeune homme s’approcha et lui dit :
- Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieil homme lui répondit par une question :
- Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
- Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir, dit le jeune homme.
Le vieillard répondit:
- Tu trouveras les mêmes gens ici.
Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.
- Je viens d’arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?
Le vieille homme répondit de même :
- Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
- Ils étaient bons et accueillants, honnêtes; j’y avais de bons amis; j’ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.
- Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.
Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche :
- Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?
- Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur.
Anonyme
Dans ce récit je prétends faire voir
D’un certain sot la remontrance vaine.
Un jeune enfant dans l’eau se laissa choir,
En badinant sur les bords de la Seine.
Le Ciel permit qu’un saule se trouva,
Dont le branchage, après Dieu, le sauva.
S’étant pris, dis-je, aux branches de ce saule,
Par cet endroit passe un Maître d’école.
L’Enfant lui crie : « Au secours ! je péris. «
Le Magister, se tournant à ses cris,
D’un ton fort grave à contre-temps s’avise
De le tancer : « Ah! le petit babouin !
Voyez, dit-il, où l’a mis sa sottise !
Et puis, prenez de tels fripons le soin.
Que les parents sont malheureux qu’il faille
Toujours veiller à semblable canaille !
Qu’ils ont de maux ! et que je plains leur sort ! «
Ayant tout dit, il mit l’enfant à bord.
Je blâme ici plus de gens qu’on ne pense.
Tout babillard, tout censeur, tout pédant,
Se peut connaître au discours que j’avance :
Chacun des trois fait un peuple fort grand ;
Le Créateur en a béni l’engeance.
En toute affaire ils ne font que songer
Aux moyens d’exercer leur langue.
Hé ! mon ami, tire-moi de danger :
Tu feras après ta harangue.
Jean de La Fontaine (1621-1695)
Morale :
Comme chaque fable, La Fontaine fait référence à ce qui se passe dans la vie réelle de façon imagée. Devant la peur d’une guerre, de la famine, les puissants de ce monde discutent en premier de façon vaine avant de penser à résoudre les problèmes.
Le Maître d’école aurait dû sortir vite l’enfant de la rivière car il aurait pu se noyer de son manque de réaction rapide. Il lui aurait parlé après dès que l’enfant aurait été en sécurité.
L’action avant le discours.
Agir avant de discourir.
Fable toujours d’actualité ! On dirait que parfois l’humanité se comporte essentiellement comme ce maître d’école ! Parler, faire d’intenses discours qui tournent souvent en rond, occultent, ou tout du moins relèguent l’action efficace au second plan…. nos politiques démontrent bien trop souvent cette terrible attitude… Coukie24
Le staphylocoque doré est une bactérie bien connue pour être responsable d’intoxications alimentaires et d’infections nosocomiales à l’hôpital.
Le point sur ce redoutable agent infectieux impliqué dans quantité d’autres infections encore…
Les staphylocoques sont des bactéries très présentes dans notre environnement et dans notre organisme, au niveau de notre peau et de nos muqueuses. En temps normal, on peut être porteur de ces bactéries sans développer de symptôme. Ce n’est qu’en cas de baisse des défenses immunitaires ou lorsque ces bactéries traversent la barrière cutanée ou les muqueuses qu’il peut y avoir infection.
Parmi les staphylocoques, le staphylocoque doré (staphylococcus aureus) est celui qui est responsable du plus grand nombre d’infections.
Les infections à staphylocoque doré peuvent être plus ou moins sévères, localisées ou étendues.
Le staphylocoque doré est notamment responsable :
Toutes ces infections généralisées peuvent se compliquer et entraîner une septicémie et un choc septique pouvant être fatal.
Le staphylocoque est aussi l’un des germes les plus souvent impliqués dans les infections alimentaires et les maladies nosocomiales.
Le staphylocoque doré représente la deuxième bactérie responsable en France d’intoxications alimentaires, après les salmonelles.
Dans les aliments, les staphylocoques se multiplient et produisent des substances toxiques appelées entérotoxines à l’origine des symptômes : vomissements, diarrhées.
L’infection est généralement bénigne. La guérison est alors spontanée en un à deux jours.
Les aliments sont le plus souvent contaminés par le staphylocoque lors de leur manipulation, par des mains souillées notamment, ou après une mauvaise conservation (décongélation/recongélation par exemple).
Avec la bactérie Escherichia coli, le staphylocoque doré est le germe le plus fréquemment impliqué dans les infections nosocomiales, ces infections que l’on contracte à l’hôpital et qui sont d’autant plus difficiles à combattre que la majorité des souches sont aujourd’hui multirésistantes auxantibiotiques. En effet, le traitement des infections nosocomiales repose sur les antibiotiques, mais au fils des années, les staphylocoques deviennent de plus en plus résistants à ces seuls traitements dont nous disposons que sont les antibiotiques. Autrement dit, il est parfois difficile d’enrailler l’infection qui peut alors se généraliser et entraîner des complications comme une septicémie. D’où les campagnes nationales visant à réduire la consommation d’antibiotiques et à promouvoir les règles d’hygiène.
La contamination se fait lors d’une baisse des défenses immunitaires ou lors des procédures de soins impliquant du matériel implantable (sondes, cathéters, prothèses…), favorisant la pénétration des souches de staphylocoque véhiculées par le patient lui-même ou par le personnel de santé.
Les procédures d’hygiène mises en place visent à limiter les risques d’infections nosocomiales.
D’une manière générale, l’hygiène contribue à prévenir tous les types d’infections impliquant les staphylocoques.
Sources : Institut Pasteur, http://www.pasteur.fr/.
Si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout.
Noam Chomsky
Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.
Sören Kierkegaard.
Il est aisé d’écraser, au nom de la liberté extérieure, la liberté intérieure de l’homme.
Rabindranàth Tagore.
La liberté, ce n’est pas la liberté de faire n’importe quoi , c’est le refus de faire ce qui est nuisible.
Alexandre Minkowski.
L’oppression d’un peuple ou même d’un simple individu est l’oppression de tous et l’on ne peut violer la liberté d’un seul sans violer la liberté de chacun.
Mikhaïl Bakoukine.
Etre libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.
Nelson Mandela.
La liberté est le droit de faire ce que les lois permettent.
Montesquieu.
Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité.
Victor Hugo.
Il n’est plus une insulte, une exaction, un égoïsme qui ne se proclame liberté individuelle, y compris la liberté de nuire. Toute contrainte étant devenue insupportable, même la présence de l’Etat, l’ensemble des libertés s’appelle le libéralisme.
Armand Farrachi – Petit lexique d’optimisme officiel – Page 111 – Fayard – 2007
Etre libre, ce n’est pas avoir la capacité de faire n’importe quoi ; la liberté de l’individu seul sur une île n’a pas de contenu. Etre libre, c’est accepter des contraintes discutées en commun et auxquelles chacun se soumet au nom d’un objectif supérieur : la liberté de la parole est l’aboutissement des contraintes du langage.
Albert Jacquard – né en 1925 – J’accuse l’économie triomphante – 1995
Le premier des droits de l’homme c’est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail.
Jean Jaurès – 1859-1914
Il est une science d’aimer son prochain et de le trouver aimable, comme il est un savoir bien vivre
Œuvre : La Fanfarlo – 1847.
Le propre de la solidarité, c’est de ne point admettre d’exclusion.
Auteur : Victor Hugo
Œuvre : Proses philosophiques, L’âme (1860-1865)
Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées.
Notre cerveau et notre coeur sont nos temples.
(Dalaï Lama)
« Aujourd’hui, il serait bon de faire quelque chose qui sorte de l’ordinaire.
Nous pourrions, par exemple, danser dans la rue en partant au travail,
regarder un inconnu droit dans les yeux et parler d’amour au premier coup d’oeil,
suggérer à notre patron une idée apparemment ridicule mais à laquelle nous croyons,
acheter un instrument dont nous avons toujours voulu jouer sans jamais oser.
Les guerriers de la lumière s’autorisent des journées de ce genre.
Aujourd’hui, nous pouvons verser des larmes pour quelques injustices
qui nous sont restées en travers de la gorge.
Nous allons téléphoner à quelqu’un à qui nous avons juré de ne plus jamais parler.
Cette journée doit se démarquer du scénario de nous chaque matin.
Aujourd’hui, toutes les fautes seront permises et pardonnées.
Aujourd’hui et un jour à profiter de la vie.
(Paulo Coelho)
Alors d’après vous, Vrai ou Faux ?
En tout cas, le site existe vraiment !
http://www.lamaisonpoulaga.com/
La Maison Poulaga n’est pas une rôtisserie comme une autre.
Le décor, avec un liseré bleu et une caisse installée derrière des barreaux, crée l’ambiance d’entrée ; les employés portent l’uniforme presque parfait du policier.
Quant au véhicule ? Le net est tellement « encombré » de montages !
Cependant, tout porte à croire qu’il existe vraiment !
Pour en savoir plus, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessous, mon amie Sylviane vous confiera quelques petites choses que la vie lui a enseignées …
Je vous suggère de consulter ses blogs, vous y trouverez des articles très riches d’enseignement sur le stress, le bonheur, l’intuition …
La vraie fête, c’est faire ce dont on a envie, indépendamment de ce que font les autres, sans tenir compte du calendrier, en se moquant des usages et en faisant fi du qu’en-dira-t-on. Rare et difficile.
La psychogénéalogie invite à travailler sur la transmission des traumatismes de génération en génération, en explorant chaque branche de notre « arbre ». Beaucoup y trouvent une réponse à des souffrances récurrentes, un apaisement, un nouveau sens à leur vie.
Créatrice de la discipline, la psychanalyste Anne Ancelin- Schützenberger, auteur de « Aïe, mes aïeux ! », (1993), nous guide dans les arcanes de ces héritages qui manipulent nos vies, à travers l’expérience de quatre témoins. Comment repérer et se débarrasser de ces « valises » encombrantes ?
Ce décodage de nos mémoires cachées offre un voyage fascinant et émouvant au coeur des familles, pour proposer une leçon d’espoir et de liberté, qui peut faire écho en chacun d’entre nous.