Je n’ai jamais eu de chagrin …
Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. [Montesquieu]
Extrait des Pensées diverses
Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. [Montesquieu]
Extrait des Pensées diverses
« L’avenir est quelque chose qui se surmonte. On ne subit pas l’avenir, on le fait. »
Georges BERNANOS
La lecture, une porte ouverte sur un monde enchanté. [François Mauriac]
Extrait du journal Le Figaro littéraire
Le secret des couples heureux, ce n’est pas d’éviter les conflits, ni même de chercher systématiquement à les résoudre. Des différends, même profonds peuvent exister toute la vie sans pourtant mettre en péril le bonheur, la survie, la durée d’un couple.. Alors, qu’est-ce qui explique la longévité conjugale heureuse ?
John Gottman et Nan Silver* ont étudié le fonctionnement psychologique de certains couples pour répondre à cette question.
Le résultat essentiel est le suivant : c’est le bonheur partagé, le plaisir d’être ensemble, bien plus que l’absence de conflit qui font durer un couple. On peut toute la vie se disputer systématiquement sur une belle mère trop envahissante, sans jamais rien résoudre, et pourtant, être heureux ensemble !
Ainsi, dans les couples heureux, on se donne mutuellement plus de plaisir. Le geste positif de l’un est récompensé par un geste positif de l’autre, à un sourire répond un autre sourire. Chaque action positive se voit récompensée par une attitude, un geste, un remerciement. Et cela crée une dynamique très bénéfique.
De cette façon, on peut dire que dans un couple, la quantité de positif est mise en balance avec la quantité de négatif. Si vous cultivez avec art le positif, l’amour, l’amitié, les sourires que vous échangez, si vous en avez en grande quantité, vous pourrez très facilement supporter des désaccords même importants. En revanche, si vous mettez très peu de positif dans votre relation, le moindre conflit va dégénérer gravement parce que vous n’avez pas de réserves de bonheur partagé pour y faire face.
Finalement, la recette est plutôt sympathique : plutôt que de chercher à résoudre les problèmes, si vous vous penchiez sur tous vos plaisirs ? Au lieu de vouloir limiter vos différends, si vous augmentiez votre ration de bonheur ? C’est une recette à la fois simple agréable et efficace !
* « Les couples heureux ont leurs secrets », Jean-Claude Lattès, Ed. Pocket, 2001.
Tu peux te faire plus d’amis en deux mois si tu t’intéresses aux autres qu’en deux ans si tu attends que les autres s’intéressent à toi. [Dale Carnegie]
Un petit ventre bien plat, nous en rêvons toutes ! Hélas, ce n’est pas donné à tout le monde et le risque d’avoir un gros ventre augmente avec l’âge. Au minimum, trouvons l’explication et concentrons-nous sur les solutions adaptées.
Il existe deux types de morphologie, gynoïde et androïde. La première est typiquement féminine : les cellules graisseuses ont tendance à s’accumuler au niveau des jambes, des cuisses et des fesses. Le type androïde est inversement masculin, avec pour localisation préférentielle le ventre. Entre les deux, tout est possible. Autrement dit les femmes ont une morphologie plus ou moins gynoïde, dictée par leur hérédité. C’est ainsi que certaines femmes ont tendance à prendre du ventre alors que d’autres non.
Avec l’arrêt de la sécrétion hormonale au moment de la ménopause, la morphologie des femmes se modifie, passant d’une silhouette gynoïde à androïde. Autrement dit, la répartition des graisses se modifie, passant des cuisses au ventre. C’est ainsi que les femmes ménopausées qui prennent un peu de rondeurs grossissent plutôt du ventre, tandis qu’elles s’affinent des jambes.
Les femmes qui prennent un traitement hormonal substitutif de la ménopause conserveront une morphologie gynoïde. Mais les autres doivent faire attention, car prendre du ventre constitue un facteur de risque cardiovasculaire. Veillez à ne pas dépasser 88 cm de tour de taille (et 102 cm pour les hommes) !
La constipation est un trouble digestif très fréquent chez les femmes, qui accroît les risques de ballonnements et de gonflement du ventre. Donc pour garder un ventre plat, il est impératif de lutter contre la constipation.
Voici les bases :
Buvez beaucoup d’eau tout au long de la journée. En revanche, évitez les boissons gazeuses et l’alcool. Augmentez la part des fruits et légumes cuits riches en fibres (haricots verts, salades, prunes, pruneaux…), mais limitez les crudités. Évitez les aliments gras (viennoiseries, plats en sauce, fritures…). Évitez également les sucres rapides (sucreries, desserts, pain blanc) et privilégiez les sucres lents, idéalement les céréales complètes.
Sans muscles abdominaux suffisants, le ventre n’est pas maintenu, pouvant donner une impression de gros ventre. Une seule solution, lutter contre la sédentarité et faire de l’exercice physique très régulièrement et toute sa vie. Selon son âge et ses possibilités physiques : marche, vélo, natation, gymnastique…
Sinon, à tout âge, il existe des exercices pour renforcer ses abdominaux. Une petite séance quotidienne de 10 minutes est très efficace !
Au final, rien n’est inéluctable. On peut lutter contre une tendance androgyne ne serait-ce qu’en faisant du sport et grâce à l’alimentation (lutte contre la constipation et la prise de poids, voire une petite diminution régulière de la quantité de calories ingérées puisqu’avec l’âge, les besoins caloriques diminuent progressivement !).
Article publié par Isabelle Eustache le 07/01/2011 – 12:08
L’espérance, toute trompeuse qu’elle soit, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable. [François de La Rochefoucauld]
Extrait de Maximes
Ne soyez ni confiant, ni banal, ni empressé, trois écueils ! La trop grande confiance diminue le respect, la banalité nous vaut le mépris, le zèle nous rend excellents à exploiter.
[Honoré de Balzac]
Extrait de Le lys dans la vallée
Pour pouvoir composer « un bouquet de bonheur »
Il faut bien commencer par semer dans nos coeurs,
Une graine de paix, d’amour et d’indulgence,
Une autre de charité, d’union et de tolérance.
Lorsque ces graines germeront dans nos consciences,
Nous pourrons récolter ces fleurs en abondance,
Composer un bouquet à notre propre convenance,
Un bouquet embaumé d’une suave fragrance.
Un petit brin de paix et nous serons sans guerre,
Un petit brin d’amour et nous serons des frères,
Un grand brin d’indulgence pour savoir pardonner,
Un petit brin de charité pour aider son prochain.
Un petit brin d’union, et nous serons des alliés,
Un dernier bras de tolérance et voici le bouquet !
« Un bouquet de bonheur » de nos coeurs transformés,
Rendront le monde heureux, allons-nous le composer ?
Quel que soit votre passé, quelles que soient vos barrières, Tout cela est bien loin, secouez-en la poussière. Faites souffler sur votre vie un vent de volonté, La poussière des regrets sera vite balayée. La poussière des regrets est un mal ennuyeux, Qui pénètre partout et fait pleurer les yeux. Elle se glisse en douceur dans les moindres recoins, Pour nous faire étouffer et suffoquer de chagrin. Elle se dépose en une épaisse couche à terre, Pensée de la semaine : Pleurer sur son passé, |
“Si, pour toi, pardonner vaut beaucoup plus que la vengeance,
Si tu donnes gratuitement de ton temps et de ta chaleur,
avec ton cœur,
Si, pour toi, un sourire est plus fort que tout
et amène la joie et bonheur,
Si tu prêtes ton oreille au malheureux
tout en gardant ton sourire,
Si tu acceptes la critique,
et l’appliques positivement dans ta vie,
Si tu te réjouis de la joie et du succès de ton voisin sans l’envier,
Si, pour toi, c’est important de tendre la main à l’étranger
et de le considérer comme un frère,
Si tu partages ton pain en y mettant un morceau de ton cœur,
Si l’injustice face à autrui te fait aussi mal que celle que tu subis,
Si pour toi, ce qui lie les hommes est plus fort
et plus important que ce qui les divise,
Si tu préfères l’espérance au soupçon ou à la déception,
Si, pour toi, l’amour est la grande force de discussion,
Si le regard d’un enfant désarme encore et toujours ton cœur,
Sérénité et paix t’entourent”
Auteur inconnu
Personne ne se connaît vraiment soi-même, et il faut devoir vivre une situation extrême pour s’en apercevoir. [Lucia Etxebarria]
Extrait de Un miracle en équilibre
La Mère supérieure du couvent s’est réveillée de bonne humeur ce matin et décide de faire le tour des cellules.
- Bonjour Soeur Marie-Joseph, je vous trouve très bien aujourd’hui
et ce que vous tissez est très joli !
- Merci ma Mère, vous aussi vous êtes très bien, mais il semblerait
que vous vous êtes levée du mauvais côté du lit !
Cette réponse ne la satisfait pas mais elle continue ses visites de
cellule en cellule.
- Bonjour Soeur Maria, je vous trouve très bien aujourd’hui et ce
que vous brodez est très joli !
- Merci ma Mère, vous aussi vous êtes très bien, mais il semblerait
que vous vous êtes levée du mauvais côté du lit !
La Supérieure se mord les lèvres et continue son inspection mais
toutes les nonnes lui font la même réponse.
Quand elle arrive à la quinzième nonne, elle est à bout de nerfs et,
les dents serrées, elle dit :
- Bonjour Soeur Noëlla, soyez sincère… Croyez-vous que je me suis
levée du mauvais côté du lit ce matin ?
- Oui, ma Mère…
- Et qu’est-ce qui vous permet de dire ça…?
- Eh bien…..Euh…..vous avez mis les sandales du Père Emile !!!!
L’Afrique, où parfois rien n’a changé depuis des siècles, est comme une métaphore de la sérénité des peuples à l’ère du zapping et de l’urgence futile. [Nicolas de La Casinière]
Extrait du magazine L’Express – 14 Janvier 1999