Très joli texte …
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Un petit problème logique
Un petit test très simple comprenant quatre questions.
Important: Il faut y répondre instantanment, pas de réflexion.
1: Tu participes à une course pieds, tu doubles le second. En quelle position arriveras-tu ?
2: Si tu doubles le dernier, en quelle position arrives-tu ?
3: Prends 1000. Ajoute 40. Ajoute encore 1000. Ajoute 30. Encore 1000. Plus 20. Plus 1000. Et plus 10. Quel est le total ?
4: Le père de Maryse a cinq filles:
1. Chacha
2. Cheche
3. Chichi
4. Chocho
5. ????
Question: Quel est le nom de la cinquième ? Réfléchis vite… et la réponse est plus bas…
Réponses :
1 : Si tu as répondu que tu arrives le premier, c’est totalement faux. Tu as doublé le second et tu as pris sa place, donc tu arrives second. Au fait pour la deuxième question, essaye de réfléchir un peu moins longtemps !!
2 : Si tu as répondu avant-dernier, tu t’es trompé à nouveau. Réfléhis un peu…Comment peux-tu doubler le dernier ? Si tu es derrière, lui il n’est pas le dernier. La réponse est tout simplement impossible !! On dirait que ce n’est pas ton fort de réfléchir. Tu serais un bon maillon faible !!! Allez, on en essaye une autre, ne prends pas de notes ni de calculatrice et rappelle toi qu’il faut répondre du tac-au-tac. Allez, courage!!!!
3 : 5000 ??? Encore Faux !!! La bonne réponse est 4100. Refais-le avec une bonne calculatrice… Ce n’est pas un bon jour pour toi !!! La dernière devrait être la bonne quand même !!!!?
4 : Chuchu ??? Faux > Tout simplement Maryse !!! Relis bien la question…. Tu es décidément le maillon faible……..
Une vieille dame chinoise possédait deux grands pots, chacun suspendu au bout d’une perche qu’elle transportait, appuyée derrière son cou. Un des pots était fêlé, alors que l’autre pot était en parfait état et rapportait toujours sa pleine ration d’eau.
À la fin de la longue marche du ruisseau vers la maison, le pot fêlé, lui, n’était plus qu’à moitié rempli d’eau. Tout ceci se déroula quotidiennement pendant deux années complètes, alors que la vieille dame ne rapportait chez elle qu’un pot et demi d’eau.
Bien sûr, le pot intact était très fier de ses accomplissements. Mais le pauvre pot fêlé, lui, avait honte de ses propres imperfections, et se sentait triste, car il ne pouvait faire que la moitié du travail pour lequel il avait été créé.
Après deux années de ce qu’il percevait comme un échec, il s’adressa un jour à la vieille dame, alors qu’ils étaient près du ruisseau.
» J’ai honte de moi-même, parce que la fêlure sur mon côté laisse l’eau s’échapper tout le long du chemin lors du retour vers la maison »
La vieille dame sourit :
» As-tu remarqué qu’il y a des fleurs sur ton côté du chemin et qu’il n’y en a pas de l’autre côté ?
J’ai toujours su à propos de ta fêlure donc j’ai semé des graines de fleurs de ton côté du chemin et chaque jour, lors du retour à la maison, tu les arrosais.
Pendant deux ans, j’ai pu ainsi cueillir de superbes fleurs pour décorer la table.
Sans toi, étant simplement tel que tu es, il n’aurait pu y avoir cette beauté pour agrémenter la nature et la maison. «
Chacun de nous, avons nos propres fêlures, nos propres défauts.
Mais ce sont chacun de ces défauts qui rendent nos vies ensemble si intéressantes et enrichissantes.
Donc, à tous mes amis un peu » fêlés, » rappelez-vous de prendre le temps de sentir les fleurs qui poussent sur votre côté du chemin !
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Morale de l’histoire : Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées.
Certains d’entre nous sont diminués par la vieillesse, d’autres ne brillent pas par leur intelligence, d’autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d’autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.
Vous devez prendre les autres tels qu’ils sont, et voir ce qu’il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout.
Il y a beaucoup de bon en vous.