Quelques belles citations …
Qui ne se préoccupe pas de l’avenir lointain, se condamne aux soucis immédiats. (Confucius)
Le seul véritable voyage n’est pas d’aller vers d’autres paysages, mais d’avoir d’autres yeux. (Marcel Proust)
Que ta vision soit à chaque instant nouvelle. – Le sage est celui qui s’étonne de tout. (André Gide)
Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres.(Proverbe chinois)
Le préjugé est l’enfant de l’ignorance. (William Hazlitt)
Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition farouche des esprits médiocres. (Albert Einstein)
Il y a la même différence entre les savants et les ignorants qu’entre les vivants et les morts. (Aristote)
On se voit d’un autre œil qu’on ne voit son prochain, lynx envers nos pareils et taupe envers nous. (Jean de La Fontaine)
Je ne connais pas d’autres marques de supériorité que la bonté. (Ludwig van Beethoven)
Agissez comme s’il était impossible d’échouer. (Winston Churchill)
Il n’y a que la main d’un ami qui arrache l’épine du coeur. (Charles Acrien Helvétius)
Il y a deux façons de concevoir sa vie. Une est de penser que les miracles n’existent pas et l’autre de penser que chaque chose est un miracle. (Albert Einstein)
Comprendre, c’est pardonner. (Madame de Staël)
Le blé et la reconnaissance ne poussent qu’en bonne terre. (Proverbe allemand)
Dans la jeunesse, c’est la contemplation; dans l’âge mûr, la réflexion qui domine; l’une est le temps de la poésie, l’autre plutôt celui de la philosophie. (Arthur Schopenhauer)
On se lasse de tout, sauf de comprendre. (Virgile)
La parfaite raison fuit toute extrémité, et veut que l’on soit sage avec sobriété. (Molière)
La liberté n’existe que là où l’intelligence et le courage parviennent à mordre sur la fatalité. (Roger Caillois)
La joie de contempler et de comprendre, voilà le langage que me porte la nature. (Albert Einstein)
En amitié, toutes pensées, tous désirs, toutes attentes naissent sans parole et se partagent souvent dans une joie muette. (Khalil Gibran)
Le mot progrès n’aura aucun sens tant qu’il y aura des enfants malheureux. (Albert Einstein)