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7 avril, 2009
6 avril, 2009
La mort n’est rien…
La mort n‘est rien
La mort n’est rien,je suis seulement passé, dans la pièce à côté.
Je suis moi. Vous êtes vous.Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours.
Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné,parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.N’employez pas un ton différent,ne prenez pas un air solennel ou triste.Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez, souriez,pensez à moi,priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maisoncomme il l’a toujours été,sans emphase d’aucune sorte,sans une trace d’ombre.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été.Le fil n’est pas coupé.Pourquoi serais-je hors de vos pensées,simplement parce que je suis hors de votre vue ?Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
Canon Henry Scott-Holland (1847-1918), traduction d’un extrait de « The King of Terrors », sermon sur la mort 1910
Quelquefois attribué à Charles Péguy, d’après un texte de Saint Augustin
La colombe de la paix, Aziadée, poète, recueil de poésie, poèmes
La colombe de la paix
Un rameau d’olivier dans son bec
Déployant ses ailes blanches
La colombe parcourt sans cesse
Le monde qui vit dans l’errance.
Elle offre avec générosité
Une plume de son plumage
Pour graver en lettres dorées
Les serments de la Paix…
Mais les hommes de la terre
Ne tiennent pas leur promesse
Et de signature en signature
Arrachant plume après plume
S’entre-tuent sans repos
Pour un territoire ou un puits de pétrole…
La colombe, amoureuse délaissée
Au corps ensanglanté
Au brin d’olivier brisé
Accueillera toujours en son coeur blessé
« Les Hommes de Bonne Volonté » !
Gabrielle Simond, Poète (nom d’écriture : Aziadée)
Présidente du cercle universel des ambassadeurs de la Paix
Présidente de l’Ambassade universelle de la Paix
Edition : Le Grand livre de la Sérénité au Cherche Midi France,
Rêves et Réalités au Cercle francophone France
http://globalcommunitywebnet.com/PeaceNow/GabrielleSimond.rtf
5 avril, 2009
Rome sous le choc après la découverte d’enfants afghans dans ses égouts
© 2009 AFP (Joel Saget)
Ce ne sont encore que des enfants et pourtant ils ont déjà franchi seuls et clandestinement des milliers de kilomètres: la découverte cette semaine de 24 jeunes afghans de 10 à 15 ans dormant dans les sous-sols et égouts de la gare d’Ostiense a choqué la ville de Rome.
« Je n’aurais jamais imaginé me trouver face à une situation aussi choquante surtout quand on pense à ce que ces enfants ont du endurer avant d’arriver ici (…) et à leur terrible et commune souffrance » a reconnu Carlo Casini, le chef de la sécurité ferroviaire de Rome, qui les a confiés aux services sociaux.
Aucun de ces jeunes ne parle italien et nul ne sait exactement d’où ils viennent et quel est leur âge exact. Pour ces enfants, Rome n’est souvent qu’une étape vers l’Europe du Nord où ils tentent de rejoindre des compatriotes ou des membres de leur famille.
La découverte d’autant d’enfants abandonnés dormant dans des cartons ou sous des couvertures sales dans l’une des trois plus importantes gares de Rome a choqué le maire Gianni Alemanno, qui a jugé la situation à la fois « très grave » et « impressionnante ». Le maire souhaite la création de brigades spécialisées pour « éviter que des enfants soient abandonnés » de cette manière. « Certaines situations sont une honte pour la ville », a-t-il reconnu lors d’une émission télévisée.
Selon les services sociaux de Rome, les 24 mineurs recueillis à la gare d’Ostiense étaient arrivés depuis cinq jours dans la capitale.
© 2009 AFP (Alberto Pizzoli)
Les Rameaux
Dicton
» S’il pleut sur les Rameaux, il pleut sur les fléaux. » (Périgord)
» Le vent du jour du Buis dure autant que lui. » (Beauce)
TRADITION
C’est une tradition qui se perd au fil du temps. Et pourtant lorsque nous étions enfants, on attendait avec impatience notre rameau garni de friandises.Le jour des rameaux, les enfants allaient à la messe avec des rameaux sur lesquels étaient accrochés, sur chaque branchette, des friandises ou des petits œufs et poissons en chocolat.
C’était en général le parrain et la marraine qui offraient ces rameaux aux enfants.
Je me souviens avec quelle impatience nous attendions la fin de l’office pour pouvoir goûter à toutes ces friandises.
Une autre tradition, mais pâtissière cette fois. Ce jour-là, on mangeait des « cornuelles ». Le trou placé au centre du gâteau permettait d’y glisser un brin de buis bénit et les cornuelles étaient souvent vendues à l’entrée de l’église. On ne les trouve plus aujourd’hui qu’en pâtisserie ou en supermarché.La symbolique de ce biscuit est religieuse pour certains (sa forme triangulaire représentant la sainte trinité : le Père, le Fils, le Saint-Esprit) ou rattachée aux fêtes païennes et priapiques du printemps pour d’autres (la forme évoquant alors le sexe et le pubis féminin). Il est ainsi vraisemblable que la tradition religieuse ait repris une tradition païenne liée à la fécondité.
De nos jours, les gens font bénir essentiellement des rameaux de buis ou d’olivier. Mais en fait, nos aieux apportaient ce qu’il possédaient : des branches de laurier ou autres. Le rameau béni se gardait généralement dans la chambre, on s’en servait pour bénir les morts, lorsqu’un décés survenait dans la famille.
Il préserve aussi la maison de la foudre, la protection Divine est ainsi dans la maison. Et puis notre brin de buis signifie la certitude de l’immortalité de l’âme et la résurrection des morts.
On ne jette pas le rameau de l’année précédente, soit on le fait brûler ou bien on l’enterre dans le jardin.
C’était en général le parrain et la marraine qui offraient ces rameaux aux enfants.
Je me souviens avec quelle impatience nous attendions la fin de l’office pour pouvoir goûter à toutes ces friandises.
Une autre tradition, mais pâtissière cette fois. Ce jour-là, on mangeait des « cornuelles ». Le trou placé au centre du gâteau permettait d’y glisser un brin de buis bénit et les cornuelles étaient souvent vendues à l’entrée de l’église. On ne les trouve plus aujourd’hui qu’en pâtisserie ou en supermarché.La symbolique de ce biscuit est religieuse pour certains (sa forme triangulaire représentant la sainte trinité : le Père, le Fils, le Saint-Esprit) ou rattachée aux fêtes païennes et priapiques du printemps pour d’autres (la forme évoquant alors le sexe et le pubis féminin). Il est ainsi vraisemblable que la tradition religieuse ait repris une tradition païenne liée à la fécondité.
De nos jours, les gens font bénir essentiellement des rameaux de buis ou d’olivier. Mais en fait, nos aieux apportaient ce qu’il possédaient : des branches de laurier ou autres. Le rameau béni se gardait généralement dans la chambre, on s’en servait pour bénir les morts, lorsqu’un décés survenait dans la famille.
Il préserve aussi la maison de la foudre, la protection Divine est ainsi dans la maison. Et puis notre brin de buis signifie la certitude de l’immortalité de l’âme et la résurrection des morts.
On ne jette pas le rameau de l’année précédente, soit on le fait brûler ou bien on l’enterre dans le jardin.
RELIGION | ||
Rameaux de palmes – Le dimanche des Rameaux précède Pâques. Il célèbre l’entrée de Jésus à Jérusalem. Il est sur un âne. La foule l’acclame en brandissant des rameaux et en criant : Hosanna ! Matthieu XXI, 8 Le peuple, en foule, étendit ses vêtements sur la route ; certains coupaient des branches aux arbres et en jonchaient la route. Les foules qui marchaient devant lui et qui suivaient, criaient : « Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui entre au nom du seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux ! « Jean XII, 12 La grande foule venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre. Ils criaient : « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le roi d’Israël ! »Cette fête s’implante en Europe vers le VIIIe siècle : on se rend à l’église avec un rameau à la main. C’est une palme, un rameau de palmier ou un équivalent selon la végétation du lieu. En général il s’agit d’un rameau de buis, ou de laurier en Bretagne notamment. On appelle souvent ce dimanche Pâques fleuries car ce rameau de buis ou de laurier doit être fleuri. On disait aussi Pâques à buis en Picardie, ou bien Hozanne, Dimanche Ozannier dans le Limousin, Dimanche des Paumes en Lorraine (paume : variante de palme).On décorait les croix de carrefour et des cimetières avec des rameaux : elle portait alors le nom de Croix Hosannière. arrivée de Jésus à Jérusalem par Gustave Doré |
4 avril, 2009
L’île de Socotra
C’est la « dvipa sukhatara« (« l’île des félicités ») des Indiens, la Dioscoride des Grecs, située à moins de 250 km de la Corne d’Afrique et d’un millier de Km d’Aden, l’ex-capitale du Sud Yémen. L’île a la forme d’un croissant étiré et mesure 130 km sur 40. Montagneuse, elle culmine à 1400 mètres, et exposée aux deux moussons, elle est dépourvue de mouillages sûrs et est souvent difficile d’accès.
Refuge séculaire des plus étranges plantes du monde, sur les 850 espèces de plantes recensées à Socotra, près d’un tiers sont uniques. Nombre de ces espèces endémiques sont les vestiges d’anciennes flores qui disparurent il y a très longtemps du continent africain. Cette singulière végétation fait de Socotra la dixième île la plus riche au monde en ce qui concerne les espèces de plantes endémiques selon le Centre Mondial pour la Conservation.
L’équilibre…
Rester debout pour une idée à laquelle tu crois,
Malgré les obstacles que tu rencontres,
En supportant les critiques des autres,
… « courage ».
Garder le sourire,
Dans le but de soutenir les autres,
Même si à l’intérieur,
Tu as envie de mourir,
… « force ».
Ne pas t’arrêter aux embûches,
Faire ce qui est juste,
Parce que c’est ton cœur qui le suggère,
… » détermination ».
Faire plus qu’on te demande,
Juste pour aider quelqu’un de malheureux,
Sans jamais te plaindre,
… » compassion ».
Aider un ami dans le besoin,
Peu importe le temps ou l’effort,
Au mieux de ta capacité,
… » fidélité ».
Donner plus que tu peux,
A quelqu’un qui compte sur toi,
Sans rien attendre en retour,
… » générosité ».
Garder la tête haute,
Toujours faire de ton mieux,
Même si ta vie semble tomber à tes pieds,
Affronter chaque difficulté avec calme,
Affronter les problèmes avec sagesse,
Et toujours te dire que demain est un jour nouveau,
… « équilibre ».
3 avril, 2009
2 avril, 2009
Rêver…
Rêver…
Rêver, c’est oublier la réalité
en se donnant un moment de liberté.
Rêver c’est dire non à l’impossible
mais aussi atteindre ce qui est inaccessible.
Rêver c’est s’inventer des roses
quand dans la vie il n’y a pas grand-chose.
Rêver c’est se promener dans son jardin secret
aussi sereinement qu’un roitelet.
Rêver c’est se créer un monde à soi
illuminé par un soleil de joie.
Rêver c’est toucher la beauté
mais aussi émouvoir sa sensibilité.
Rêver c’est broder un poème
avec la soie d’un je t’aime
sur le ciel de son cœur
pour le donner à toutes les douleurs.
Rêver c’est savoir se mentir
et transfigurer la souffrance en plaisir.
Rêver c’est pénétrer dans un autre univers
où l’on ne voit ni la tristesse ni l’enfer.
Serge LÉONARD (BRIVE)
Le seuil de la maturité
Eh oui… tous, un jour ou l’autre, nous l’atteindrons ce seuil !Aussi bien en rire qu’en pleurer !
Et si vous ne savez pas rire, apprenez vite ! Car ça fait du bien !***
Tu es « mature » quand…
Au déjeuner, tu peux entendre des cric, crac, pop et pourtant ça ne vient pas de tes céréales.
Tu te lèves le matin et tu ne ressembles plus à la photo sur ton permis de conduire. La seule personne qui te visite régulièrement, c’est le…
Ça te prends 2 petites poussées pour te lever du divan.
L’idée d’une nuit à la belle étoile veut dire dormir sur ton patio.
Un « HAPPY HOUR » veut dire un petit dodo d’une heure.
En vacances, tu manques d’énergie avant de manquer d’argent.
Tu discutes avec les jeunes et tu répètes constamment que…
~dans ton temps, c’était pas comme ça…~
Tout ce que tu veux pour ta fête, c’est qu’on ne mentionne pas ton âge.
Tu descends le bord du trottoir et tu regardes dans la rue
pour être sûr qu’il n’y a pas une autre marche.Tu te demandes si tu es assez en forme pour aller passer l’hiver en Floride.
Ça te prend plus de temps à te reposer qu’à te fatiguer.
Ta mémoire diminue mais tes plaintes augmentent.Toi et tes dents ne couchez plus ensemble.
Tu commences à avoir de sérieux problèmes pour sortir de ton bain.
Tu ne peux pas te lever de ta chaise à cause du ventilateur au plafond.
Ton pharmacien connaît ton nom par coeur et est devenu ton confident.
Être chanceux, c’est de te trouver un place de stationnement près de l’entrée.
Ça te prend 2 fois plus de temps pour te mettre 2 fois moins beau qu’avant.
Tu cherches tes lunettes 4-5 fois par jour minimum…
Tu as abandonné toutes tes mauvaises habitudes mais tu files encore un mauvais coton.
Tu es moins « sur les principes » qu’avant mais la seule raison c’est
que tu n’as plus d’énergie pour t’obstiner.
Par contre… il y a quelques avantages !
Les ravisseurs ne sont plus intéressés à toi. Et dans une situation d’otages, tu as une bonne chance d’être relâché le premier.
Les gens ne te téléphonent plus après 21h00.
Les vêtements que tu t’achètes n’auront pas le temps de s’user.
Vous n’avez plus jamais de contravention de vitesse à payer.
Vous savez toujours le temps qu’il fera grâce à vos articulations.
Vos secrets sont bien gardés car vos amis ne s’en souviennent plus !
On est « mature » et on l’assume !
Monte avec moi dans mon canot…
Sur la rivière de l’amitié
Monte avec moi dans mon canot
Et permets-moi de t’emmener
Avec douceur au fil de l’eau
Sur la rivière de l’amitié
Chassons d’un souffle les nuages
Qui moutonnaient sous le soleil,
Vois défiler le paysage
Et parcours 1001 merveilles
Imprègne-toi de la nature,
De la vie, du vent… tu entends?
Le clapotis de l’eau murmure
Quelques mots tendres et apaisants…
Ecoute les oiseaux rieurs
Laisse leur musique t’envoûter:
Savoure ces moments enchanteurs
Sur la rivière de l’amitié
Installe-toi confortablement
Découvre la sérénité
D’un monde fertile et verdoyant
Dont les richesses te sont données
Ferme les yeux, sens la fraîcheur
De l’eau qui coule entre tes doigts
Regarde, sur la rive, les pêcheurs
Assis avec leur canne en bois
Comme eux, laissons couler le temps
Et cessons même de pagayer
Suivons les caprices du courant
Sur la rivière de l’amitié.
Oublie tout, laisse-toi dériver
Chasse un à un tous tes soucis
Ne pense plus aux mauvais côtés
Qui assombrissent parfois la vie
Ne pense à rien, laisse-toi griser
Par les éclaboussures d’écume
Dont la blancheur va effacer
Chagrin, rancœur et amertume
Je t’offre un moment de douceur,
Une trêve dans ce monde insensé
Viens, laisse un peu voguer ton cœur
Sur la rivière de l’amitié
auteur : Marco
L’alimentation végétarienne protège-t-elle du cancer ?
L’alimentation végétarienne protège-t-elle du cancer ?
Si vous hésitez à abandonner la viande pour devenir végétarien, voici une information qui pourrait vous faire franchir le pas. Le risque de cancer est diminué de 11% chez les végétariens.
Moins de cancers chez les végétariens ?
Depuis longtemps maintenant, on nous dit que pour échapper au cancer, il faut manger plus de fruits et légumes, et moins de viande rouge et de graisses animales.
Une étude nous apporte une nouvelle démonstration de l’influence de notre alimentation sur le développement des tumeurs. Celle-ci a porté sur une population américaine de 63.000 personnes suivies durant près de 20 ans. Chez les sujets végétariens l’incidence du cancer était inférieure de 11%. Cette constatation est valable pour tous les cancers (poumon, gorge, foie, sein…), excepté les cancers de la prostate et du côlon.
A noter que cette dernière exception est surprenante, particulièrement pour le cancer du côlon, puisque la viande rouge est déjà considérée comme un facteur de risque et l’alimentation riche en fibres comme un facteur protecteur de ce cancer.
Faut-il abandonner la viande ?
Il ne s’agit pas que d’une histoire de viande. En effet, pour expliquer cette diminution du taux des cancers chez les personnes qui ne consomment pas de viande, les chercheurs indiquent que les végétariens ont globalement une meilleure hygiène de vie que les ‘ carnivores ‘. Certes, ils mangent beaucoup de fruits, de légumes et de céréales (souvent complètes), mais aussi, ils fument moins, boivent moins d’alcool et pratiquent plus d’activités physiques. En conclusion, ils ont tendance à cumuler les facteurs protecteurs et au final, cela paye avec une baisse de11% des cancers !
En pratique, comment manger moins de viande ?
On ne va pas forcément recommander d’abandonner purement et simplement la viande. En revanche, on peut diminuer la part de la viande dans notre alimentation quotidienne. Voici deux conseils :
1) Ne mangez des protéines animales qu’une fois par jour en privilégiant les volailles et le poisson.
2) Remplacez la viande par des céréales et des légumineuses, également sources de protéines.
Enfin, contre le cancer, attachez-vous également à consommer 5 fruits et légumes par jour, veillez à ne pas fumer et limitez votre consommation d’alcool.
Isabelle Eustache
30/03/2009
Key Timothy et coll., The American Journal of Clinical Nutrition, mars 2009.
1 avril, 2009
J’aime le printemps !
J’AIME LE PRINTEMPS!
Ahhh! Le printemps.
Les fleurs, les oiseaux, le parfum de la terre.
Les bourgeons qui font éclosion dans les arbres.
La chaleur du soleil qui nous annonce la venue prochaine de l’été.
Les érables qui vont bientôt nous donner leurs doux nectar.
Les jonquilles et le muguet qui montreront sous peu le bout de leurs tiges…
Finalement…, les beaux jours sont à nos portes.
C’EST LE PRINTEMPS.