C’est beau la vie
(Jean Ferrat)
Le vent dans tes cheveux blonds
Le soleil à l’horizon
Quelques mots d’une chanson
Que c’est beau, c’est beau la vie
Un oiseau qui fait la roue
Sur un arbre déjà roux
Et son cri par-dessus tout
Que c’est beau, c’est beau la vie
Tout ce qui tremble et palpite
Tout ce qui lutte et se bat
Tout ce que j’ai cru trop vite
A jamais perdu pour moi
Pouvoir encore regarder
Pouvoir encore écouter
Et surtout pouvoir chanter
Que c’est beau, c’est beau la vie
Le jazz ouvert dans la nuit
Sa trompette qui nous suit
Dans une rue de Paris
Que c’est beau, c’est beau la vie
La rouge fleur éclatée
D’un néon qui fait trembler
Nos deux ombres étonnées
Que c’est beau, c’est beau la vie
Tout ce que j’ai failli perdre
Tout ce qui m’est redonné
Aujourd’hui me monte aux lèvres
En cette fin de journée
Pouvoir encore partager
Ma jeunesse, mes idées
Avec l’amour retrouvé
Que c’est beau, c’est beau la vie
Pouvoir encore te parler
Pouvoir encore t’embrasser
Te le dire et le chanter
Oui c’est beau, c’est beau la vie
- Accueil
- > Archives pour novembre 2008
29 novembre, 2008
C’est beau la Vie !
Hommage à Lisa, petit Amour… qui le 26.11.2004 rejoignait les anges
Le Voyage de l’Ame
Le parcours de tout être charnel,
Ne demeure jamais éternel.
Telle une bougie qui s’allume, qui s’éteint,
La vie d’un corps connaît toujours sa fin.
Mais ce qui brille en nous, cette étincelle,
Dont on dit souvent qu’elle monte au ciel,
C’est notre âme, notre esprit, notre chemin,
Qui voit toujours un lendemain.
L’enfant, le parent qui part trop tôt,
L’ami ne retenant plus nos sanglots,
L’âme soeur qui reste yeux clos,
N’oubliez pas: ils nous voient là-haut !
Car au-delà de la mort,
Leur lien avec nous est plus fort.
L’âme et l’amour dépassent le corps,
Chaque jour pour nous, ils vivent encore.
Ils nous parlent sans arrêt,
Dans leurs messages d’amour.
Écoutons, observons, ils sont tout prêts,
Dans les signes de tous les jours.
Remercions Dieu pour avoir créé
La seule chose qui traverse les mondes,
Le plus beau cadeau qui ait jamais existé,
Cette chaleur qui se diffuse chaque seconde :
L’ Énergie d’Amour.
Tout cela pour dire,
Que la mort n’est pas un obstacle à l’esprit,
Que toujours en chacun il y a la vie,
Que ce que l’on croit perdu ne l’est jamais,
Qu’une âme chère en aucun cas ne disparaît.
Voilà pourquoi, tous ensemble aujourd’hui,
Prenons conscience de cet amour infini.
Il faut le croire, ils sont ici.
Notre chemin avec eux, c’est pour la vie.
Sébastien Cottart
http://www.dailymotion.com/video/khJTaNd3JHwpOd4hJO
Vole vole petite aile
Ma douce, mon hirondelle
Va t’en loin, va t’en sereine
Qu’ici rien ne te retienne
Rejoins le ciel et l’éther
Laisse-nous laisse la terre
Quitte manteau de misère
Change d’univers
Vole vole petite soeur
Vole mon ange, ma douleur
Quitte ton corps et nous laisse
Qu’enfin ta souffrance cesse
Va rejoindre l’autre rive
Celle des fleurs et des rires
Celle que tu voulais tant
Ta vie d’enfant
Vole vole mon amour
Puisque le nôtre est trop lourd
Puisque rien ne te soulage
Vole à ton dernier voyage
Lâche tes heures épuisées
Vole, tu l’as pas volé
Deviens souffle, sois colombe
Pour t’envoler
Vole, vole petite flamme
Vole mon ange, mon âme
Quitte ta peau de misère
Va retrouver la lumière
28 novembre, 2008
27 novembre, 2008
Aragon
Que ce soit dimanche ou lundi
Soir ou matin minuit midi
Dans l’enfer ou le paradis
Les amours aux amours ressemblent
C’était hier que je t’ai dit
Nous dormirons ensembles
C’était hier et c’est demain
Je n’ai plus que toi de chemin
J’ai mis mon cœur entre tes mains
Avec le tien comme il va l’amble
Tout ce qu’il a de temps humain
Nous dormirons ensemble
Mon amour ce qui fut sera
Le ciel est sur nous comme un drap
J’ai refermé sur toi mes bras
Et tant je t’aime que j’en tremble
Aussi longtemps que tu voudras
Nous dormirons ensemble
24 novembre, 2008
Rien de telle qu’une petite vidéo pour résumer notre voyage au Costa Rica
Voyage du 11 mars 2008 au 9 avril 2008 que nous avons fait de long, en large et en travers… de l’Atlantique au Pacifique où la chaleur est encore plus intense.
http://www.dailymotion.com/video/k4VWHIX5RPZLqmGpgE
Le Costa Rica se situe au centre du bras de terre qui unit l’Amérique du Nord à l’Amérique du Sud. La nature règne en maître sur ces terres volcaniques et équatoriales ; le pays détient à lui seul 5% des espèces animales et végétales de la totalité de la Terre (pour une surface de 51 000 km², soit la moitié de la superficie de Cuba.)
Jungle dense et épaisse, forêts sèches ou humides, mangroves constellées d’orchidées,
volcans actifs ou lacs aux couleurs étranges : les paysages y sont exotiques et peuplés
d’espèces animales. Vous croiserez sans doute iguanes, paresseux, kinkajous,
grenouilles vénimeuses aux couleurs éclatantes, mais aussi des tortues vertes ou des jaguars en plus des 1 000 espèces d’oiseaux.
Le Costa Rica est également un modèle de démocratie et de modernité. Découvert en 1502
par Christophe Colomb, il obtient son indépendance en 1821. L’école y est obligatoire
dès 1869, la peine de mort abolie en 1885. En 1949, le Costa Rica rejoint le club très
restreint des pays dénués d’armée et possédant « une sécurité sociale » pour tous .
Peintures de Caroline Steel
Poème sur l’amitié
L’amitié est née avec le monde
On ne peut interrompre sa ronde
Pour la trouver il suffit de chercher
Dans les endroits gais
On est sûr qu’elle y est
Chacun l’a dans le Cœur
Elle est comme une Fleur
Elle transforme la vie
Qui est pleine d’ennuis
Elle permet de rêver à la liberté
Elle ressemble à une Fée
Qui apporte la Paix
Il y a toujours quelqu’un de prêt
Pour la distribuer et la partager
Il n’existera jamais
Quelqu’un pour la refuser
La chose la plus belle
C’est sûrement Elle
Son admirable refrain
Est loin de porter le chagrin
On peut aller dans les rues crier
Rien n’est plus beau que l’amitié
Auteur : isabelled.monalisa : http://isabelled.unblog.fr
23 novembre, 2008
Un petit clin d’oeil à un être cher…
Comment ?
Comment peux-tu vieillir en paix si tu regrettes ton enfance ?
Comment peux-tu parler d’aimer si tu ne t’aimes pas ?
Comment peux-tu parler de paix quand ton coeur vit la rage ?
Comment peux-tu parler de bonheur quand ton coeur vit la tristesse ?
Comment peux-tu parler de joie quand ton coeur vit le chagrin ?
Comment peux-tu parler de vie quand ton coeur vit la mort ?
Comment peux-tu parler au présent quand ton coeur vit dans le passé ?
Comment peux-tu parler de rêve quand ton coeur vit tes échecs ?
Comment peux-tu rendre les autres heureux quand ton coeur ne l’est pas?
Comment peux-tu pardonner si tu ne te pardonnes pas ?
Comment peux-tu accepter les autres si tu ne t’acceptes pas ?
Comment peux-tu guérir si tu n’as pas la foi ?
Comment peux-tu rayonner si aucune lumière n’entre en toi ?
Comment peux-tu écrire si tu es vide d’expérience ?
Comment peux-tu créer si tu ne fais pas confiance et ne t’abandonnes pas?
Comment peux-tu changer les autres si tu ne te changes pas d’abord?
Comment peux-tu désirer la richesse si tu as toujours peur de la perdre ?
Comment peux-tu réussir si tu n’es pas heureux de la réussite des autres ?
Comment peux-tu voyager si tu ne rêves pas de voyage ?
Comment peux-tu recevoir si tu ne donnes pas ?
Comment peux-tu vivre, si tu ne crois pas à la vie ?
Comment peux-t-on espérer être ce que l’on n’est pas ?
Marcel Gagnon
22 novembre, 2008
Aujourd’hui est à toi…
La chose la plus précieuse
que tu possèdes au monde est “aujourd’hui”.
Aujourd’hui, tu peux être heureux.
La plupart de nos misères sont des restes d’hier
ou des soupçons empruntés à demain.
Tous tes hiers, il les a repris
Tous tes demains sont entre ses mains.
Aujourd’hui est à toi:
prends-en les joies et sois heureux,
prends-en les peines et sois toi.
Décide aujourd’hui même
de jouir de ton travail comme de tes loisirs.Aujourd’hui est à toi :
vis-le.
emploie-le,
chante-le,
de sorte que, toujours tu puisses dire :
j’ai aimé mes Aujourd’huis
Avant de juger…
Avant de juger…
C’est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas
dans la vie des autres. Nous nous disons souvent :
“Si j’étais à sa place,
je ferais telle chose, telle chose, telle chose !”Mais avons-nous déjà pensé
que si nous étions réellement à la place de l’autre personne,
vraiment dans ses souliers,
nous serions alors aux prises avec ses émotions,
ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes,
ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions,
ses instincts, bref,
nous aurions son passé,
son présent et son avenir
et il est fort probable que nous agirions
exactement de la même façon qu’elle ?Avant de condamner quelqu’un,
essayons non seulement de le comprendre,
mais de vibrer au même diapason que lui
et nous constaterons alors
que nos émotions ressemblent aux siennes.Anonyme
Changeons de stratégie…
On raconte qu’un aveugle était assis sur un trottoir, avec un chapeau à ses pieds et un bout de carton sur lequel on pouvait lire :
“SVP, AIDEZ-MOI, JE SUIS AVEUGLE”.
Un créatif dans la publicité, qui passait devant lui, s’arrêta et constata le peu de pièces qu’il avait récoltées. Sans lui demander la permission, il prit le panneau, le retourna, prit une craie et y nota une autre annonce. Il remit le carton sur les pieds de l’aveugle et s’en alla.
Dans l’après-midi, le créatif repassa devant l’aveugle et constata que son chapeau était beaucoup plus rempli.
L’aveugle reconnut ses pas et lui demanda ce qu’il avait inscrit sur son panneau. Le publicitaire lui répondit :
- Rien de plus vrai que votre annonce, mais avec d’autres mots.
Il sourit et poursuivit son chemin.
La nouvelle annonce disait :
“AUJOURD’HUI, C’EST LE PRINTEMPS ET JE NE PEUX PAS LE VOIR”.
Changeons de stratégie lorsque les choses n’iront pas et nous verrons que les choses peuvent changer.
Anonyme
Il y a au moins neuf possibilités de …
Entre ce que je pense,
ce que je veux dire,
ce que je crois dire,
ce que je dis,
ce que vous voulez entendre,
ce que vous entendez,
ce que vous croyez en comprendre,
ce que vous voulez comprendre, et
ce que vous comprenez,
Il y a au moins neuf possibilités
de ne pas se comprendre.
Mais, s’il vous plaît, essayons quand même.
Anonyme
21 novembre, 2008
Les mots
Il était une fois une petite fille qui ne trouvait pas les mots
pour dire ce qu’elle ressentait.
Chaque fois qu’elle tentait de s’exprimer, de traduire ce qui se passait à l’interieur d’elle,elle éprouvait comme une sorte de vide. Les mots semblaient courir plus vite que sa pensée.
Ils avaient l’air de se bousculer dans sa bouche mais n’arrivaient pas à se mettre ensemble pour faire une phrase. Dans ces moments là, elle devenait agressive, violente, presque méchante. Et des phrases toutes faites, coupantes, cinglantes sortaient de sa bouche. Elle lui servaient uniquement à couper la relation qui aurait pu commencer.
-De toute façon tu ne peux pas comprendre.
-Ca ne sert à rien de dire.
-C’est des bêtises de croire qu’il faut tout dire !
D’autres fois, elle préférait s’enfermer dans le silence,
avec ce sentiment douloureux.
-Que de toute façon personne ne pouvait savoir ce qu’elle ressentait, qu’elle n’y arriverait jamais. Que les mots ne sont que des mots. Mais tout au fond d’elle même, elle était malheureuse, désespérée, vivant une véritable torture à chaque tentative de partage.
Un jour, elle entendit un poète qui disait à la radio :
-Il y a chez tout être humain un Chemin de Mots qu’il appartient à chacun de trouver.
Et, dès le lendemain, la petite fille décida de partir sur le Chemin des Mots qui était à l’intérieur d’elle. La première fois où elle s’aventura sur le Chemin des Mots, elle ne vit rien. Seulement des cailloux, des ronces, des branchages, des orties et quelques fleurs piquantes. Les mots du Chemin des Mots semblaient se cacher, paraissaient la fuir.
La seconde fois où elle chemina sur le chemin des mots, le premier mot qu’elle vit sur la pente d’un talus fut le mot “Oser”.
Quand elle s’approcha, ce mot osa lui parler.
Il lui dit d’une voix exténuée :
-Veux-tu me pousser un peu plus haut sur le talus ?
Elle lui répondit:
- Je crois que je vais te prendre avec moi et je vais t’emmener très loin dans ma vie.
Une autre fois, elle découvrit que les mots étaient comme des signes sur le bord de ce chemin et que chacun avait une forme différente et un sens particulier.
Le deuxième mot qu’elle rencontra fut le mot “Vie”.
Elle le ramassa, le mit contre son oreille.
Tout d’abord, elle n’entendit rien. Mais en retenant sa respiration,
elle perçut comme un petit chuchotement :
- Je suis en toi, je suis en toi
Et plus bas encore : -Prends, soin de moi.
Mais là, elle ne fut pas très sûre d’avoir bien entendu.
Un peu plus loin sur le Chemin des Mots, elle trouva un petit mot tout seul, recroquevillé sur lui même, tout frileux comme s’il avait froid.
Il avait vraiment l’air malheureux, ce mot-là. Elle le ramassa, le réchauffa un peu, l’approcha de son coeur et entendit un grand silence. Elle le caressa et lui dit :
-Comment tu t’appelles, toi ?
Et le petit mot qu’elle avait ramassé lui dit d’une voix nouée :
-Moi, je suis le mot “Seul”. Je suis vraiment tout seul. Je suis perdu, personne ne s’intéresse à moi, ni ne s’occupe de moi.
Elle serra le petit mot contre elle, l’embrassa doucement et poursuivit sa route. Près d’un fossé, sur le Chemin des Mots, elle vit un mot à genoux, les bras tendus.
Elle s’arrêta, le regarda et c’est le mot qui s’adressa à elle :
-Je m’appelle “Toi”, lui dit-il. Je suis un mot très ancien mais difficile à rencontrer car il faut me différencier sans arrêt des autres. La petite fille le prit en disant :
-J’ai envie de t’adopter, “toi”, tu seras un bon compagnon pour moi.
Sur le Chemin des Mots elle rencontra d’autres mots qu’elle laissa à leur place.
Elle chercha un mot tout joyeux, tout vivant. Un mot qui puisse scintiller dans la nuit de ses errances et de ses silences. Elle le trouva au creux d’une petite clairière. Il était allongé de tout son long, paraissait détendu, les yeux grands ouverts.
Il avait l’air d’un mot tout à fait heureux d’être là. Elle s’approcha de lui, lui sourit et dit :
-C’est vraiment toi que je cherchais, je suis ravie de t’avoir trouvé.
Veux-tu venir avec moi ? Il répondit :
-Bien sûr, moi aussi je t’attendais…
Ce mot qu’elle avait trouvé, était le mot “Vivra”.
Quand elle rassembla tous les mots qu’elle avait recueillis sur le Chemin des Mots, elle découvrit avec stupéfaction qu’ils pouvaient faire la phrase suivante : “Ose ta vie, toi seule la vivras.”
Depuis ce jour, la petite fille prit l’habitude d’aller se promener sur le Chemin des Mots. Elle fit ainsi des découvertes étonnantes, et ceux qui la connaissaient furent surpris d’entendre tout ce que cette petite fille avait à l’intérieur d’elle. Ils furent étonnés de toute la richesse qu’il y avait dans une petite fille très silencieuse.
Ainsi se termine le conte de la petite fille qui ne trouvait jamais les mots pour le dire.
Jacques Salomé
Photos et Images Reposantes…
20 novembre, 2008
Avec le temps… Léo Ferré
http://www.dailymotion.com/video/k6gcwV60v5pEmc2vXS
Avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
on oublie le visage et l’on oublie la voix
le cœur, quand ça bat plus, c’est pas la peine d’aller
chercher plus loin, faut laisser faire et c’est très bienavec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
l’autre qu’on adorait, qu’on cherchait sous la pluie
l’autre qu’on devinait au détour d’un regard
entre les mots, entre les lignes et sous le fard
d’un serment maquillé qui s’en va faire sa nuit
avec le temps tout s’évanouitavec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
mêm’ les plus chouett’s souv’nirs ça t’as un’ de ces gueules
à la gal’rie j’farfouille dans les rayons d’la mort
le samedi soir quand la tendresse s’en va tout’ seule avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
l’autre à qui l’on croyait pour un rhume, pour un rien
l’autre à qui l’on donnait du vent et des bijoux
pour qui l’on eût vendu son âme pour quelques sous
devant quoi l’on s’traînait comme traînent les chiens
avec le temps, va, tout va bien
avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
on oublie les passions et l’on oublie les voix
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
avec le temps…
avec le temps, va, tout s’en va
et l’on se sent blanchi comme un cheval fourbu
et l’on se sent glacé dans un lit de hasard
et l’on se sent tout seul peut-être mais peinard
et l’on se sent floué par les années perdues- alors vraiment
avec le temps on n’aime plus
18 novembre, 2008
La morale
Le propre de toute morale est de considérer la vie humaine comme une partie que l‘on peut gagner ou perdre, et d‘enseigner à l‘homme le moyen de gagner. |
|
[Simone de Beauvoir] |
17 novembre, 2008
15 novembre, 2008
Lettre d’un père…
Lorsque j’étais tout enfant, je me disais qu’un jour je serais grand et qu’il me faudrait marcher sur les traces de mon père pour effacer les siennes et laisser mes empreintes. Mais jamais, pas un jour depuis tant et tant d’années, je n’ai eu à chasser de ma mémoire sa présence si réconfortante et sa tendresse bourrue qui m’ont donné des ailes. Il y a ainsi des souvenirs si fortement ancrés en nous-même qu’ils nous apportent, au creux des vagues à l’âme, une formidable bouffée d’espoir et la force de se ressaisir. J’ignore si je suis et serai pour toi aussi bon, j’ignore si tu auras de moi l’image d’un père » copain » – ce que je déteste – ou si, au contraire, tu garderas la mémoire de mon infinie tendresse. Je sais, cependant, au risque de t’ennuyer, qu’il me faut continuer à te guider pour que tu puisses, sur la route de ton choix, aller de l’avant sans te retourner. J’ai l’immodestie de croire que, grâce à ton indulgence et à ta bienveillante attention, ces lignes n’auront peut-être pas été écrites en vain.
Je sais qu’il est plus difficile de gagner et de conserver l’estime de ses enfants que celle de son prochain. Je ne peux pour l’instant apaiser tes cris de bébé, qui réveillent en moi les souvenirs de mon enfance, que par des guignolades. Plus tard, j’éviterai de t’asséner toutes ces » vérités » et c’est pour cela que j’ai choisi de m’en remettre au temps pour que tu en prennes connaissance quand tu le souhaiteras. J’espère te dire ce que je pense, ce que je crois, et j’aurai alors accompli ce que chaque père doit pouvoir confier à ses enfants. Ainsi, entre nous, n’y aura-t-il jamais de conflit. Ne dis rien. Un sourire de toi, un mot, à l’occasion, à la volée, seront pour moi la preuve que tu auras parcouru certaines de ces lettres. Les marins égarés sur une île déserte jettent à la mer, quand ils l’ont à portée de la main, une bouteille messagère de leur ultime espoir. Le mien, plus modeste, est que ces pages te parviennent, un jour ou l’autre, d’une manière ou… d’une autre.
Bizarreries !
Bizarreries !
- Les papillons goûtent avec leurs pattes.
- Le cri d’un canard ne fait pas d’écho, et personne ne sait pourquoi.
- En 10 minutes, un ouragan produit plus d’énergie que toutes les armes nucléaires combinées.
- En moyenne, 100 personnes chaque année s’étouffent à mort avec leurs stylos.
- En général, les gens craignent plus les araignées que de mourir.
- 90% des chauffeurs de taxi de New York sont des immigrés fraîchement débarqués.
- 35% des gens qui utilisent les agences de rencontre sont déjà mariés.
- Les éléphants sont les seuls animaux qui ne peuvent pas sauter.
- Seulement 1 personne sur 2 milliards vivra jusqu’à 116 ans ou plus.
- Il est possible de faire monter des escaliers à une vache, mais impossible de la faire redescendre.
- Les femmes clignent des yeux 2 fois plus souvent que les hommes.
- Il est physiquement impossible de se lécher le coude.
- La librairie principale de l’université d’Indiana s’enfonce d’un pouce chaque année, car lorsque elle a été construite, les ingénieurs ont oublié de prendre en compte le poids des livres qui occuperaient l’édifice.
- Un escargot peut dormir durant 3 ans.
- Vos yeux sont de la même grosseur qu’à votre naissance, mais votre nez et vos oreilles ne cessent jamais d’augmenter.
- Affolant ! La chaise électrique a été inventée par un dentiste.
- Tous les ours polaires sont gauchers (j’aimerais rencontrer celui qui a conduit ce test.).
- Dans l’Égypte ancienne les prêtres s’arrachaient tous les poils du corps, y compris les sourcils et les cils.
- L’œil d’une autruche est plus gros que son cerveau.
- Un crocodile ne peut pas sortir la langue. (Ce doit être la même personne qui a conduit le test sur les ours polaires… Je me demande si elle est encore en vie !).
- Le briquet a été inventé avant les allumettes.
Presque tous ceux qui ont lu ce texte ont essayé de se lécher le coude.
Avez-vous essayé ?
Auteur inconnu
14 novembre, 2008
Des amours de petits chats
On est bien au chaud !!
Rien n’est plus doux,
Rien ne donne à la peau une sensation plus délicate,
Plus raffinée,
Plus rare,
Que la robe tiède et vibrante d’un chat.
(Guy de Maupassant)
13 novembre, 2008
L’Amour !
L’ a m o u r
http://www.dailymotion.com/video/k5cEqXeW7hTgmIuOqx
Une bonne relation, ce n’est pas un jeu que nous jouons ou une fête que nous faisons avec notre moi ( ego trip ). C’est une question d’amour et de deux personnes. Aimer quelqu’un peut nous apporter la plus grande joie que nous connaîtrons dans notre vie, mais ça peut aussi nous blesser plus que nous ne le croirons jamais. Si nous aimons quelqu’un, nous devrions être prêt à faire aussi bien l’expérience du bonheur que du chagrin. C’est la récompense et le risque qu’il faut prendre. À moins d’être d’accord pour en faire l’expérience, nous ne saurons jamais réellement ce que c’est d’aimer et d’être aimé.Partager un amour est probablement l’expérience la plus valable et la plus significative qu’une personne puisse vivre. Et il y a une différence entre être en amour avec quelqu’un et aimer quelqu’un. C’est la différence entre un amour volage, fou, de courte durée et un amour tendre, passionné et durable. Le premier est facile. Le second, celui qui compte vraiment pour nous tous, demande du travail — parce qu’il s’agit de garder la relation.Aimer quelqu’un exige des efforts. Nous devons être capable de communiquer l’un avec l’autre. Personne ne peut lire la pensée d’une autre personne. Nous présumons toujours que notre partenaire sait ce que nous pensons et sentons. Peut-être qu’avec le temps nous pouvons être capable de prédire ou de sentir les pensées de l’un et de l’autre, mais ce n’est jamais parfait et ça prend du temps à développer.Avoir la chance d’aimer et d’être aimé de quelqu’un est une bénédiction. Respectez l’autre pour ce qu’il/elle est et non pas pour ce que vous voulez qu’il/elle soit. Personne n’est parfait. C’est l’amour vrai qui ferme le fossé de l’imperfection pour former une douce surface d’acceptation de l’un et de l’autre. L’amour vrai voit et accepte une personne pour ce qu’elle est. C’est aussi l’amour vrai qui permet à une personne de changer pour le mieux.Même si le pouvoir de l’amour vrai est indéniable, une relation a aussi besoin d’engagement. De toute façon, qu’est-ce que l’amour sans l’engagement de l’un envers l’autre ? C’est comme les principes et les valeurs. Chacun en a mais ils ne veulent pas dire plus que ce que nous sommes prêt à faire pour les défendre. C’est la même chose pour nos engagements envers nos relations et envers la personne que nous aimons.
« L’amour, c’est comme un vase antique. C’est dur à trouver, difficile à avoir et si facile à briser ».
Chaque jour, partout… des gens tombent en amour. Mais en fait combien de ces relations ont le sens de l’oubli de soi plutôt que d’être juste des relations qui se sont formées seulement pour avoir le sentiment intense de tomber en amour ? Je connais des centaines d’amis qui disent les mots magiques « Je t’aime »… mais plus ouvent qu’autrement, la vérité, c’est juste ceci — Je suis en amour avec toi. Il y a une différence entre être en amour avec quelqu’un et aimer quelqu’un.
Si une personne dit qu’elle est en amour avec vous, elle veut dire qu’elle vous aime pour qui vous êtes maintenant et elle est tombée en amour avec vous à cause de la personne que vous êtes maintenant. Cette sorte d’amour est temporaire et durera seulement aussi longtemps que le conte de fée durera. Lorsque la bonne fée arrive la nuit pour nous ramener à la réalité, nous voyons le chagrin d’une telle relation.
Mais si une personne dit qu’elle vous aime, elle veut dire qu’elle vous aime inconditionnellement pour qui vous êtes maintenant, qui vous étiez dans le passé et pour qui vous pouvez être dans le futur. Quand une personne dit qu’elle vous aime et qu’elle le pense vraiment, vous devez vous demander si vous aussi vous aimez cette personne ou si vous êtes seulement en amour avec l’idée d’être en amour. C’est très difficile de voir la différence en pensant d’une manière logique.
Puissiez-vous être béni tout au long de votre voyage à la recherche de l’âme soeur.
Auteur inconnu