Avant de parler de notre périple Catalan, un bref rappel de l’Histoire du pays où nous avons flâner…
Au XIIème siècle s’est développé dans le sud de la France une religion chrétienne différente du catholicisme : le catharisme.
Cette nouvelle croyance basée sur le christianisme mais très critique vis-à-vis du catholicisme s’est rapidement propagée dans toute l’Occitanie. Le pape Innocent III pour contrer ce mouvement décida de lancer la croisade contre les Albigeois. Cette croisade se doubla rapidement d’une guerre géopolitique entre les seigneurs du Nord et les seigneurs occitans. Les tribunaux de l’Inquisition achevèrent le travail des nombreux sièges et bûchers contre les cathares. Bien que le catharisme fut éradiqué, il est un des symboles de la tolérance, de la liberté et de l’ouverture d’esprit de la culture occitane. Il a laissé son empreinte sur ce territoire et son identité.
Aujourd’hui, il ne reste que très peu de vestiges de cette histoire.
Les châteaux, abbayes et musées du Pays Cathare sont devenus les symboles de ce combat ; les châteaux ayant servi s de refuges aux cathares et subis de nombreux sièges, les abbayes ayant pour fonction de renforcer la position catholique et de soutenir la croisade. Les siècles passants, l’aspect de ses monuments a beaucoup évolué mais leur histoire, elle reste à jamais attachée à la tragédie de l’époque médiévale.
Qq. photos de Mirepoix – fête de la pomme
Collioures
Et bien entendu Marseille, le vieux port et Notre Dame de la Garde
Mardi 23 mars 2010 :«Savoir écouter, c’est posséder, outre le sien, le cerveau des autres.»
Léonard de VINCI
Le Mercredi 29.10.08 : « Le seul moyen de se débarrasser d’une tentation, c’est d’y céder. » Oscar Fingal O’Flahertie Wills WILDE
Jeudi 30.10.08 : « Le ciel est le pain quotidien des yeux » R. W. Emerson
Vendredi 31.10.08 : « Qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit. » François de la Rochefoucauld
Samedi 01.11.08 : « L’âme n’aurait pas d’arc en ciel, si les yeux n’avaient pas de larmes. » John Vance Cheney
Dimanche 02.11.08 : »Il est bien des choses qui ne paraissent impossibles que tant q’on ne les a pas tentées. » A. Gide
Lundi 03.11.08 : »Il y a des choses qu’on ne peut dire qu’en embrassant… Parce que les choses les plus profondes et les plus pures peut-être ne sortent pas de l’âme tant qu’un baiser ne les appelle. » Lamartine
Mardi 04.11.08 : « Les poules pondent des oeufs et les coqs ont des ailes, car les poules ont besoin d’eux, et les coqs ont besoin d’elles. » Dicton
Mercredi 05.11.08 : « Le pessimisme est d’humeur, l’optimisme est de volonté.« Alain
Jeudi 06 et Vendredi 07.11.08, samedi 08.11.08 : « Il n’est pas d’hiver sans neige, de printemps sans soleil, et de joie sans être partagée. » Proverbe
Dimanche 09.11.08 : « Les passions sont les seuls orateurs qui persuadent toujours. » F. de la Rochefoucaud
Lundi 10.11.08 : « Le Temps est un grand maître, il règle bien des choses. » Corneille
Mardi 11.11.08 : « Une joie partagée est une double joie, un chagrin partagé est un demi-chagrin. » J. Deval
Mercredi 12.11.08 : «Nous sommes automates dans les trois quarts de nos actions.»
Gottfried Wilhelm LEIBNIZ
Jeudi 13.11.08 : «L’optimiste pense qu’une nuit est entourée de deux jours, le pressimiste qu’un jour est entouré de deux nuits.» G.Bernanos
Vendredi 14.11.08 : «L’éducation nous apprend les règles de la vie, L’expérience nous apprend les exceptions.» M et A.Guillois
Samedi 15.11.08 : «J’ai réinventé le passé pour voir la beauté de l’Avenir.»
Aragon
Dimanche 16.11.08 et lundi 17.11.08 : «Il faut écrire pour soi, c’est ainsi que l’on peut arriver aux autres.» Eugène IONESCO
Mardi 18.11.08 : «Le secret du bonheur et le comble de l’art, c’est de vivre comme tout le monde en étant comme personne.» Simone de Beauvoir
Mercredi 19.11.08 : «Le sort fait les parents, le choix fait les amis.»
Jacques Delille
Jeudi 20.11.08 : «Coeur qui soupire n’a pas ce qu’il désire.» A. de MONTLUC
Vendredi 21.11.08 : «Le passé est soldé, le présent vous échappe, soyez à l’avenir.»
G. de Lévis
Samedi 22.11.08 : « Je puis tout pardonner aux hommes, excepté l’injustice, l’ingratitude et l’inhumanité. » Denis Diderot
Dimanche 23.11.08 : «Le pessimisme est d’humeur ; l’optimisme est de volonté.»
M Alain
Lundi 24.11.08 : «C’est quand on a tout donné, quand on ne tient plus à rien qu’on possède tout.» M Jouhandeau
Mardi 25.11.08 : «L’expérience de chacun est le trésor de tous.» G. de Nerval
Mercredi 26.11.08 : «Quant on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum.»
Proverbe
Jeudi 27.11.08 : «Sur les ailes du Temps, la tristesse s’envole.»
Jean de la Fontaine
Vendredi 28.11.08 : «Tous les secrets de la nature gisent à découvert et frappent nos regards chaque jour sans que nous y fassions attention.»
A. Gide
Samedi 29.11.08 : «La façon de donner vaut mieux que ce qu’on donne.»
Corneille
Dimanche 30.11.08 : «Rien de grand ne se fit jamais sans enthousiasme.»
R.W. Emerson
Lundi 01.12.08 et Mardi 02.12.08 :«Qui s’embarrasse à regretter le passé perd le présent et risque l’avenir.»
Francisco de Quevedo
Mercredi 03.12.08 : « Tous les hommes ne sont pas capables de grandes choses, mais tous sont sensibles aux grandes choses » Alfred de Musset
Jeudi 04.12.08 et 05.12.08 : « Si l’étalon et la jument trottent, comment le poulain irait-il lentement ? » Proverbe Allemand
Samedi 06.12.08 :« Corps, mon vieux compagnon, nous périrons ensemble. Comment ne pas t’aimer, forme à qui je ressemble puisque c’est dans tes bras que j’étreins l’univers ? » Marguerite Yourcenar
Dimanche 07.12.08 : « On dirait que l’âme des justes donne, comme les fleurs, plus de parfums vers le soir. » Madame de Staël
Lundi 08.12.08 :« Les hommes sont ainsi : Eternels insatisfaits, Désireux de ce qu’ils n’ont pas, Et ignorant les trésors qu’ils possèdent. » Jacob
Mardi 09.12.08 :« Les hommes sont ainsi : L’enfance trouve son paradis dans l’instant. Elle ne demande pas du bonheur. Elle est le bonheur. » L. Pauwels
Mercredi 10.12.08 :« La vérité a un coeur tranquille. » William Shakespeare
Jeudi 11.12.08 :« Chaque fois que l’aube paraît, le mystère est là tout entier. » R. Daumal
Vendredi 12.12.08 : « Il faut vivre et non pas seulement exister. » Plutarque
Samedi 13.12.08 : « La jeunesse est une ivresse continuelle : c’est la fièvre de la raison. » F. de la Rochefoucauld
Dimanche 14.12.08 : « Le goût est la conscience du beau, comme la conscience est le goût du bon. » J. de Maistre
Lundi 15.12.08 :« Celui qui connaît l’art de vivre avec soi-même ignore l’ennui. » Erasme
Mardi 16.12.08 :« Le peuple, le feu et l’eau sont des forces indomptables. » P. de Milet
Mercredi 17.12.08 : »Les conseils de la vieillesse éclairent sans échauffer, comme le soleil de l’hiver. » Vauvenargues
Jeudi 18.12.08 :« La bonne volonté raccourcit le chemin. » Proverbe
Vendredi 19.12.08 :« Il est des paroles qui montent comme la flamme et d’autres qui tombent comme la pluie. » Marie d’Agoult
Samedi 20.12.08 :« La bouche parle selon l’abondance du coeur. » Proverbe
Dimanche 21.12.08 :« Les vertus se perdent dans l’intérêt, comme les fleuves se perdent dans la mer. » de la Rochefoucauld
Lundi 22.12.08 :« Nous aurions souvent honte de nos plus belles actions, si le monde voyait tous les motifs qui les produisent. » de la Rochefoucauld
« TOUT AGE PORTE SES FRUITS, IL FAUT SAVOIR LES CUEILLIR. » R. RADIGUET
« Il faut apprendre à rester serein au milieu de l’activité et à être vibrant de vie au repos. » [Gandhi]
Merci à tous d’être venus…
La retraite ! Ah, mais oui, c’est vrai, je ne pars pas que pour quelques jours !
C’est un changement de cap radical et de me dire, fini, plus de réveil le matin, plus de contrôle de gestion, plus de réunions, plus de plaisanteries un peu grasses des forestiers, plus les collègues, plus Yoan qui s’énerve devant la photocopieuse, ou l’imprimante qui refuse de lui obéir, cela me rend à la fois triste et heureuse. Eh, oui, triste de vous quitter, heureuse d’aborder une nouvelle vie pleine de projets, triste de penser que la roue tourne vite et que le 3ème âge me guette, heureuse de penser que c’est maintenant à tout jamais que je dois faire autre chose que de travailler, et qu’il est grand tant que je me consacre à ceux que j’aime en alliant plaisir et loisirs.
Merci Monsieur Michel B….. et Jérôme …… d’avoir brossé ma vie à la C…. , en effet 38 années dans le même milieu professionnel, c’est important, elles m’ont permises de tisser un réseau d’amitiés professionnelles, d’être en quelque sorte la mémoire et porteuse d’espoir. Mon cursus de pionnière m’a fait connaître la découverte, le suspens, le challenge, le stress, les changements, les remises en question, mais comme tout ça était bon ! en effet, l’aventure m’a toujours stimulée. Mais voilà tout a une fin et la retraite est bien là. La parfaite connaissance et la maîtrise de mon poste ne me faisaient plus battre le cœur, je n’avais plus de nouveautés à me mettre sous la dent, place aux jeunes qui ont tout à découvrir et à faire progresser. Tout passe d’abord par l’investissement de soi-même comme j’ai essayé de le faire tout au long de mon parcours.
Merci Monsieur B…… , c’est grâce à vous que j’ai pu développé mon sens de l’organisation, mettre au service de la C…………… et tous ses sociétaires toute mon énergie et l’envie de faire progresser mon entreprise. Je suis rentrée dans une petite entreprise qui n’avait que 5 ans en Périgord, aujourd’hui, je la quitte en pleine expansion et aggrandie à l’échelle régionale (Aquitaine, Charente-Poitou, Limousin).
Merci encore à tous ceux qui sont venus ce soir me rendre un dernier hommage, je pense avoir rassemblé tous ceux avec qui j’ai eu des relations professionnelles, que ce soit lors de leur embauche à la C……… ou de leur formation, que ce soit pour des contrôles, des mises en place d’organisation, des relations de voisinage aussi, c’est avec joie que je vous retrouve et apprécie votre présence. Je suis très très heureuse de voir que vous avez tous bien réussi vos parcours professionnels. Une pensée toute particulière à Jacques P….. qui est descendu de ROUEN, Merci Jacques, à Alain L……. qui est venu d’Aix en Provence. Vraiment ça me touche énormément. Merci à tous d’avoir fait un détour par B…………., merci Marie Claude de m’avoir prêter la salle. Je vous suis très reconnaissante.
Il y en a qui sont en vacances et qui sont venus quand même. Grand merci !
Vous m’apportez tous une bouffée de souvenirs, vous me remémorez toutes les étapes de ma vie dans votre PME. Il n’y en a pas un d’entre-vous sur lequel je ne pourrais pas m’être une image, une histoire, un souvenir.
D’ailleurs, il y en a un qui me revient, Monsieur B…… et ses voitures ! qui pourrait ne pas se souvenir de toutes ses prouesses au volant ? Je vous raconte une petite anecdote cocasse et après on boit le verre de l’Amitié, car ce fut mon premier contact avec les aventures de Monsieur B….. au volant : ça faisait à peine 6 mois que j’étais à la C………, Mr B….. et moi-même avions R.V avec le directeur du travail, nous sommes partis très très en retard, aussi Monsieur B….. était pressé et quand nous sommes arrivés à l’entrée du parking de la cité administrative, il a tout simplement refusé la priorité à droite à un bolide qui sortait du parking de la cité administrative…. Et je vous donne en mille, qui était le chauffeur du bolide ? ? ? ? … le directeur du travail qui avait perdu patience et qui ne voulait pas arriver en retard au RV suivant.
Bilan de cette journée, le directeur du travail et moi-même à la clinique, lui pour des points de suture à l’arcade sourcilière, moi pour un plâtre, la main droite cassée. Le pire dans tout ceci est que j’avais vu arriver la voiture à droite mais je n’avais pas osé le dire, je ne connaissais pas assez mon nouveau directeur général et le respect de la Hiérarchie ! ! ! et puis « le chef a toujours raison… ». La police est venue faire un constat et rédiger un PV. Interrogatoire habituel ; votre nom, votre adresse, votre profession etc… et la personne qui était avec vous, un temps de réflexion puis … Monsieur B…. , Martine… mais Monsieur, Martine Qui ? désolée, c’est mon assistante et je ne me souviens pas de son nom (l’émotion sans doute !), le Commissariat a du appeler le siège de la C…. de l’époque pour avoir mon nom et mon adresse afin de rédiger l’enquête. Une main cassée a marqué mes débuts dans le milieu forestier et à partir de ce moment là, chaque déplacement a été pour moi empreint de risques, de prouesses mais aussi beaucoup de sympathie. Comme quoi la gestion d’une entreprise comporte aussi des risques physiques !
Bon courage à ma remplaçante,
Corinne, que votre parcours soit plein de réussite !
Bonne chance à tous, Bonne route !
Et maintenant, levons nos flûtes ! »
Cliquez sur la photo ci-dessous pour le diaporama
« Moins le poste que vous occupez sera élevé, plus votre absence sera remarquée. [Georges Courteline]«
Ainsi va la Vie ! Une page qui se referme… un peu vite quand même quand on réalise que tous les êtres qu’on a croisés dans notre vie active s’éclipsent aussi vite.
A ne pas manquer de lire l’Article ci-dessous… nous serons tous un jour ou l’autre confrontés à …
Être vieux, c’est sérieux !
Dans notre monde, je parle de l’Occident, tout est nouveau, tout change; ce qui est jeune est bon, le changement est nouveau, la nouveauté est changeante et qu’on soit humain ou grille-pain, il n’est pas recommandé de vieillir. Le monde est né d’hier, il commence aujourd’hui et renaîtra demain. Nous parlons naturellement de prévenir les marques du temps, anti-tache, anti-rouille, anti-ride, anti-vieillesse. Sans anti, pas d’espoir. Vieux schnouk, vieux de la vieille, vieux machin, vieille chouette, la mode est à tout sauf à l’ancien. Si la vieillesse est un naufrage, alors je donne ma langue au chat. La vie ne serait finalement que ce grand voyage de l’absurde où nous traversons périls et océans, désert et continents pour mieux glisser, ridicules et impotents sur la pente irréversible de la fatalité. Il est vrai que l’on meurt. Il est encore plus vrai que nous nous amenuisons avec le temps rapport au fonctionnement et aux apparence de notre corps. Mais ce serait bien un comble de laisser aux émotions faciles le soin de traiter de la chose. Et pourtant, la vieillesse en a frappé plus d’un depuis la jeunesse de l’espèce. Des études récentes révèlent que lorsque nous ne mourons pas, nous vieillissons. J’en connais, décédés un peu tôt, qui aurait tout donné pour vieillir en paix. Toutefois sur le sujet du vieux, je ne sais pas de sociétés plus mal barrée que la nôtre. Si nous ne sommes pas incompétents, alors nous sommes de mauvaise foi. Nous faisons tout pour dramatiser la vieillesse, tout pour la rapetisser, la rendre déplorable et la disqualifier. Oui, il se cache du « petit » dans notre regard moderne sur le vieux. Petits vieux, petites vieilles qui font des petits dodos, des petits pipis, ils prennent des petites marches, des petites pilules, ils reçoivent de la petite visite, un petit-fils, une petite-fille, ils mangent comme des petits oiseaux et puis meurent comme des petits poulets. La sensibilité de la durée n’existe tout simplement pas. La valeur du temps s’annule depuis que, dans notre esprit, tout ce qui dure perd des plumes. Il pleurera à chaque ride, il maudira ses cheveux gris, il paniquera au premier mal de dos, au premier signe d’arthrite, celui pour qui la beauté se résume tout entière au look de la jeunesse. Nul ne sait plus assumer ses pertes de mémoire et plus personne ne sait boiter. Personne ne se vante de son grand âge, la durée n’en impose plus. Nous ne préparons pas notre vieillissement. Nous préparons notre retraite comme on prépare ses vacances mais nul n’envisage réellement sa vieillesse. Nous la nions plutôt, nous la craignons et nous renouvellons les mots pour cacher nos frayeurs : âge d’or, troisième âge et autres inepties. Comme si le mot vieillard était déjà trop vieux. Je ne dis pas que vieillir est agréable. Mais on meurt à tous les âges, on est malade en été comme en hiver, on déprime à n’importe quel moment de sa vie, les crétins se retrouvent fréquemment et partout dans la colonne de la vie et j’ai connu trop de vieux et de vieilles qui rebondissaient mieux que certains jeunes prématurémennt épuisés pour m’inquiéter sérieusement du temps qui passe. Je crains la maladie, je crains le gagaïsme, je crains le scandale de la souffrance et de la perte. Mais je ne crains pas mon âge et tous les âges que j’atteindrai. Je me propose d’embrasser chacune des années qui me seront données. Avec une canne en merisier que je lèverai au ciel, je clamerai mon grand âge sur tous les toits de la ville et je serai le premier responsable de ma fierté, si Dieu me prête l’amour et la santé. Nous devrions respecter nos vieux parce qu’ils sont vieux, un point c’est tout. Les vieux sont des pierres et des monuments, des arbres tutélaires, des âmes sculptées par le temps. Les vieux sont des témoins principaux. Ils représentent le temps passé et ce sont eux, l’histoire. À quatre-vingts ans, ma mère est si belle qu’elle donne à tous les jours un nouveau sens à la notion de dignité. J’espère ma vieillesse comme j’ai espéré toute ma vie. J’aurai la peau comme une écorce très ancienne, profondément ridée. Je serai honorable mais je serai armé. À la pointe du fusil, je forcerai les jeunes à écouter mes platitudes et jongleries. Et je tirerai un coup de semonce au premier qui me proposera une petite collation, un petit voyage en autobus, voire un petit n’importe quoi. Tous les vieux devraient être armés…
Serge Bouchard, anthropologue
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"TOUT AGE PORTE SES FRUITS, IL FAUT SAVOIR LES CUEILLIR." R. RADIGUET
"Il faut apprendre à rester serein au milieu de l'activité et à être vibrant de vie au repos." [Gandhi]
Merci à tous d’être venus…
La retraite ! Ah, mais oui, c’est vrai, ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >
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Tous les Amis qui ont bien voulu poser pour nous...
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Voir les articles ci-dessous..." onclick="window.open(this.href);return false;" >
Voyez-vous une fenêtre, un chat, un verre et une paire de bas en train de sécher – ou quelque chose d’autre? Dessin au crayon de Sandro del Prete, artiste Suisse.
C’était un petit bonheur
Que j’avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d’un fossé
Quand il m’a vu passer
Il s’est mis à crier:
« Monsieur, ramassez-moi
Chez vous amenez-moi
Mes frères m’ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous n’me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade !
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture »
J’ai pris le p’tit bonheur
L’ai mis sous mes haillons
J’ai dit: » Faut pas qu’il meure
Viens-t’en dans ma maison »
Alors le p’tit bonheur
A fait sa guérison
Sur le bord de mon cœur
Y avait une chanson
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié
Ma vie de désœuvré, j’avais dégoût d’la r’commencer
Quand il pleuvait dehors ou qu’mes amis m’faisaient des peines
J’prenais mon p’tit bonheur et j’lui disais: « C’est toi ma reine »
Mon bonheur a fleuri
Il a fait des bourgeons
C’était le paradis
Ça s’voyait sur mon front
Or un matin joli
Que j’sifflais ce refrain
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main
J’eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes
Lui montrer le grand trou qu’il me faisait au fond du cœur
Il s’en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine
Comme s’il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure
J’ai bien pensé mourir
De chagrin et d’ennui
J’avais cessé de rire
C’était toujours la nuit
Il me restait l’oubli
Il me restait l’mépris
Enfin que j’me suis dit:
Il me reste la vie
J’ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux
Aujourd’hui quand je vois une fontaine ou une fille
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux
…Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux…
http://coukie24.unblog.fr/files/2008/10/lepetitbonheur.mp3
Paroles de chanson Le p'tit bonheur
C'était un petit bonheur
Que j'avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d'un fossé
Quand il m'a vu passer
Il s'est mis à crier:
"Monsieur, ramassez-moi
Chez vous amenez-moi
Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous n'me cueillez point, je vais mourir, ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c’est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l’or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L‘autre jour qu’il convient de mettre à l’abri des soucis, c’est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu’à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n’a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu’aujourd’hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d’hier et de demain – ces deux terribles éternités – s’ajoutent aux inquiétudes d’aujourd’hui.Ce ne sont pas les expériences d’aujourd’hui qui nous désespèrent, c’est l’amertume du remords de la veille et la crainte de demain.À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !
Cliquez sur la fenêtre …
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Hier, aujourd'hui et demain !
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >
Il peut acheter une maison mais pas un foyer.Il peut acheter un lit mais pas le sommeil.Il peut acheter une horloge mais pas le temps.Il peut acheter un livre mais pas la connaissance. Il peut acheter une position mais pas le respect.Il peut payer le médecin mais pas la santé.
Il peut acheter du sang mais pas la vie.
Il peut acheter du sexe mais pas de l’amour.
Alors comme vous pouvez le constater, l’argent n’est pas grand chose ; et souvent il amène des problèmes et des souffrances. Je vous dis ceci parce que vous êtes mes amis, et parce que je vous aime beaucoup, je désire vous éviter ces désagrements. Alors, envoyez moi tout votre argent et je souffrirai pour vous !!!
P.S. Du comptant seulement s’il vous plait … en petites coupures.
« L’argent ne fait pas le bonheur, mais seuls les riches le savent ».
Pourquoi, dès que c’est UNE galère, c’est tout de suite au FÉMININ ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c’est pour nous les FEMMES ! Les hommes, c’est LE soleil, LE beau temps, LE printemps, LE Paradis!Nous n’avons vraiment pas de chance : LA vaisselle, LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA saleté, LA balayeuse. Vous, c’est LE café dans LE fauteuil avec LE journal en écoutant LE foot et ça pourrait être LE bonheur si nous venions pas semer LA discorde et LA chicane. Pour retrouver LE calme, nous devrions laisser LE genre décider !!!! Nous pouvons regarder LA télé, mais vous choisissez LE programme. Même si LA télécommande nous appartient, Vous avez LE contrôle. D’ailleurs dès que c’est sérieux, c’est tout de suite au MASCULIN : On dit UNE rivière, UNE marre d’eau mais on dit UN fleuve, UN océan. On dit UNE trottinette mais UN avion à réaction! Et quand il y a UN problème dans UN avion, c’est tout de suite UNE catastrophe. C’est toujours la faute d’UNE erreur de pilotage, d’UNE panne d’essence, d’UNE mauvaise visibilité, bref toujours à cause d’UNE connerie. Et alors là, attention mesdames, dès que LA connerie est faite par UN homme ça ne s’appelle plus UNE connerie, ça s’appelle UN impondérable.
Enfin, je pense que nous devrions faire UNE pétition. Et il faut faire très vite parce que notre situation s’aggrave de jour en jour.
Y’a pas si longtemps, nous avions la logique, LA bonne vieille logique FÉMININE. Ça n’a pas vraiment plu aux HOMMES, ils ont inventé LE logiciel.
Mais nous avons quand même quelquefois des petits avantages: ils ont LE mariage, LE divorce; nous avons LA pension, LA maison. LA carte de crédit, et eux LE découvert.
Mais en général, LE type qui a inventé LA langue française ne nous aimait pas beaucoup.
Auteur : inconnu
Note : La langue est la mère de tous les mots ( maux ) !!!
William Shakespeare a dit: « L’Amour n’est pas l’Amour s’il fane lorsqu’il se trouve que son objet s’éloigne, quand la vie devient dure, quand les choses changent, le vrai Amour reste inchangé. »
Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ? Qui ne se rappelle pas avoir effeuillé la marguerite cherchant à vaincre l’affreux doute quant à l’amour du ou de la bien-aimée ? Qui ne se rappelle pas les émotions du premier amour naissant à 14, 16 ou 18 ans ? Comment la proximité de l’élu(e) pouvait nous faire chavirer et rêver pendant des heures… avant même de lui avoir adresser la parole ? Nous étions en amour avec l’Amour.
La première sortie, le premier baiser, la première promesse, la première caresse, le premier projet rêvé à deux. Il était tellement merveilleux ; elle était tellement belle ; rien n’existait plus sans lui ; l’avenir n’était pas possible sans elle. Notre amour était pur et éternel. Nous transformions le monde, avions les plus beaux enfants et nous vivions heureux. Rien ne pouvait nous arrêter. Sauf…
La première peine d’amour. Que de pleurs et de sanglots ! Comment a-t-il pu me faire cela ? Jamais je n’aurais imaginé qu’elle puisse être comme ça. Quel grand vide crée la première peine d’amour ! Que de mal au ventre et à l’estomac la perte de l’être aimé peut susciter. Quelle déprime ! Et juste avant de sombrer complètement, voilà qu’arrive… un nouvel amour.
Nous nous rappelons toujours avec nostalgie nos premières amours d’adolescence. Et comment l’apprentissage de l’amour a pu être parsemé d’embûches, mais aussi de plaisirs et de joies indescriptibles. Jusqu’au moment où enfin la perle rare arrive et qu’on fasse le grand saut : on se promet de s’aimer toujours, pour le meilleur et pour le pire.
Cependant, d’après les statistiques officielles, seulement 2 couples sur 10 confirment la conclusion des romans ou films d’amour: ils se marièrent, eurent de nombreux enfant et vécurent heureux ? Nous connaissons tous des couples complices qui s’aiment depuis leur adolescence, qui ont étudié ensemble, qui ont de beaux enfants et qui semblent faits pour passer le reste de leur vie ensemble. Mais nous connaissons plus de couples qui, oh ! surprise, ont divorcé. En fait, 5 mariages sur 10 actuellement, selon les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé, aboutissent au divorce. Et les trois couples qui restent ensemble, pour le meilleur mais surtout pour le pire, ne se parlent plus ou s’engueulent jusque dans les résidences pour personnes âgées.
Qu’est-ce qui fait la réussite des couples qui marchent et passent à travers les années ? Y aurait-il une formule magique ou miracle à la portée de tous ? Qu’est-ce qui fait que certains ne semblent jamais avoir de problèmes avec leurs amours et que d’autres semblent toujours prêts à se suicider ou à déprimer après une peine d’amour ? Des gens paraissent heureux, avec ou sans partenaires stables ; d’autres s’accrochent au premier venu ou à la première qui ne sait dire non.
On a beaucoup écrit sur les difficultés de l’amour. Des centaines de livres démontrent jusqu’à quel point l’amour est souvent consommé comme une drogue, et évidemment lorsque la drogue fait défaut, arrivent les symptômes du manque, physiques et psychologiques.
Mais qu’est-ce que l’amour ?
On dit que l’amour est une émotion. Le petit Robert nous dit qu’une émotion est : un mouvement, une agitation, une réaction affective, en général intense. L’amour serait donc un mouvement vers quelqu’un. Comment deux personnes en mouvement, l’une vers l’autre et dans leur vie respective, peuvent-elles faire durer ce mouvement réciproque à travers les vicissitudes de la vie à deux ?
À mon avis, il existent trois conditions essentielles à la pérennité de l’amour : l’admiration, le rêve et le désir sexuel. Et ces trois composantes doivent être canalisées vers la même personne. Et réciproques. Et stables. Mais pas nécessairement dans l’ordre : le désir peut naître de l’admiration ou vice-versa.
Je ne peux aimer quelqu’un que si je l’admire et que je me sente admiré par ce quelqu’un. L’admiration est un sentiment de joie et d’épanouissement devant ce qu’on juge beau ou grand (petit Robert). Il n’y a de l’amour que dans le respect. À partir du moment où l’on se crie des bêtises, on hypothèque sérieusement l’amour. On peut ne pas être toujours d’accord sur l’éducation des enfants, la façon de dépenser l’argent (ce sont là les deux principales sources de désaccord)…, mais on doit toujours être d’accord sur le fait que l’autre est une personne humaine unique et digne de respect et d’admiration. N’oublions pas que deux amants sont aussi deux ennemis intimes… qui se doivent respect. La baisse de l’admiration est parallèle à la baisse de l’amour. D’où l’importance de rester debout devant son partenaire.
Deux personnes qui s’aiment partagent les mêmes projets, les mêmes rêves ; ce sont deux complices qui complotent ensemble leur avenir : l’achat de la première maison ou de la première voiture, l’arrivée du premier enfant et des suivants, les succès professionnels de l’un ou l’autre, l’implication sociale, les vacances, la retraite… Encore là, les rêves individuels ne sont pas nécessairement les mêmes et ne doivent pas nécessairement se subordonner aux rêves du couple, mais à partir du moment où les rêves personnels prennent le dessus, ou encore à partir du moment où je me surprends à rêver avec un(e) autre, la fin du rêve commun est proche. Tout couple est basé sur deux personnes autonomes possédant leurs propres projets respectifs. S’aimer, c’est rêver ensemble de choses possibles.
Évidemment, l’amour est basé sur l’attraction physique mutuelle. Tellement que l’acte d’amour désigne les relations sexuelles. Qu’y a-t-il de plus merveilleux que de faire l’amour avec l’être aimé ? Aimer quelqu’un, c’est vouloir se coller, se toucher, se caresser, s’interpénétrer, se fusionner. Mais, c’est aussi entretenir son désir et le désir de l’autre en conservant une certaine distance. Tu n’es pas moi et ne je suis pas toi. Un plus un ne fait pas un, mais trois, i.e. toi, moi et nous. Les coups de foudre ne peuvent survivre à la passion, car la fusion totale tue le désir. Je désire seulement ce que je n’ai pas, pas ce que je possède. Tu existes aussi en dehors de moi et j’existe en dehors de toi. La distance est nécessaire au désir et permet au rapprochement de se transformer en plaisir.
Est-ce à dire qu’une difficulté sexuelle ou une perte de libido signifie une perte d’amour ? Parfois, mais pas toujours. C’est toutefois un indice qu’il se passe quelque chose chez l’un ou l’autre ou dans la dynamique du couple dont le couple doit s’occuper au plus tôt s’il veut survivre. Besoin d’être seul, de parler, d’être écouté, de partir ensemble loin des enfants et du travail, de se reposer, de trouver un nouveau rêve commun, de retrouver l’être admirable que je suis et que l’autre est, de réajuster nos mouvements respectifs et de couple.
Il est vrai que le coeur a des raisons que la raison ne connaît pas, mais la raison peut enseigner au coeur la direction à prendre et comment reconnaître les indices précurseurs de l’essoufflement de l’émotion. L’amour durable, on ne le répètera jamais assez, est fait de passion et de raison, de cur et de tête.
Vivre à deux n’est pas un comportement instinctif. Nous devons apprendre à vivre à deux, tout comme nous avons appris à marcher, parler, écrire, faire de la bicyclette, conduire une voiture, faire notre métier, etc. Mais… où sont les professeurs ???
encadré – L’amour, c’est :
Offrir des fleurs sans raison.
Aimer l’autre, surtout démaquillé.
Faire le petit quelque chose qui fait la différence entre être bien et être très bien.
Mettre son nez dans l’oreiller de l’autre lorsqu’il est parti.
Accepter l’importance d’une distance temporaire.
Trouver agréable de faire la vaisselle parce qu’on est ensemble.
Savoir rigoler ensemble, l’un de l’autre.
Téléphoner, dire je t’aime, et raccrocher.
Effleurer l’aura de l’autre, sans le toucher physiquement.
Se voir avec de nouveaux yeux.
Prendre le rasoir de l’autre sans se faire chicaner.
Et pour vous, c’est quoi, l’amour ?
Yvon Dallaire
http://coukie24.unblog.fr/files/2008/10/lhymnelamour.mp3L'AMOUR, C'EST QUOI ?
William Shakespeare a dit: "L'Amour n'est pas l'Amour s'il fane lorsqu'il se trouve que son objet s'éloigne, quand la vie devient dure, quand les choses changent, le vrai Amour reste inchangé."
Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ? Qui ne se rappelle pas ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >
Un fermier trouve son cheval malade, il fait venir le vétérinaire. Ce dernier lui dit qu’il est infecté par un virus et qu’il va prescrire un remède. Si le remède n’a pas agi dans 3 jours, il faudra abattre le cheval pour éviter d’infecter les autres animaux. Le cochon de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui dit :« fais un effort, lève toi »Mais le cheval est trop malade. Le deuxième jour, même chose, le cochon dit au cheval :« Fais un effort, lève toi »Mais le cheval est encore trop malade. Le troisième jour, le cochon lui dit :« Fais un effort, lève toi, sinon ils vont t’abattre aujourd’hui. »Le remède n’a toujours pas fait d’effet, mais dans un dernier sursaut, grâce au cochon, le cheval arrive à se lever et ceci devant le fermier et le vétérinaire.Le fermier, tout à fait content et réjoui, dit :« POUR FËTER L’ÉVÉNEMENT, ON VA TUER LE COCHON« MORALITÉ : Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas… Ferme la !!! Auteur inconnu
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain.
J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre » réussir dans la vie » et » réussir sa vie « .
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper.
Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
Imaginez la vie comme un jeu dans lequel vous jonglez avec cinq balles.
Vous pouvez les appeler : Travail – Famille – Santé – Amis – Esprit .
Vous jonglez avec ces balles. Vous comprendrez vite que le travail est une balle en caoutchouc ; si vous la laissez tomber, elle rebondit. Mais les quatre autres balles, Santé – Famille – Amis – Esprit sont en verre. Si vous en laissez tomber une elle va, à coup sûr, rester par terre, à vos pieds, se fendre, s’abîmer ou même être brisée, fracassée, détruite. Elle ne sera plus jamais la même.Vous devez comprendre cela et être vigilant pour maintenir un équilibre entre chaque domaine de votre vie. Comment ?
Ne sous-estimez pas votre valeur en vous comparant aux autres. C’est parce que nous sommes tous différents que chacun de nous est spécial.
N’établissez pas vos buts en fonction de ce que les autres jugent important. Il n’y a que vous qui sachiez ce qui est important pour vous.
Ne considérez pas comme acquise les choses les plus proches de votre coeur. Accrochez vous à elles, comme si votre vie en dépendait. Sans elles votre vie n’a pas de sens.
Ne laissez pas votre vie vous glisser entre les doigts, en vivant dans le passé ou le futur. En vivant une journée à la fois, vous vivez TOUS les jours de votre vie.
N’abandonnez pas quand vous avez encore quelque chose à donner. Rien n’est jamais perdu tant que vous essayez.
N’ayez pas peur d’admettre que vous n’êtes pas parfait. c’est le fil fragile de notre imperfection qui nous relie les uns aux autres.
N’ayez pas peur de prendre des risques. C’est en prenant des risques qu’on apprend à être courageux.
Ne fermer pas votre vie à l’amour en disant que c’est impossible à trouver. Donner est la façon la plus rapide de recevoir l’amour. Le moyen le plus rapide de perdre l’amour, c’est de le retenir trop fort et le meilleur moyen de garder l’amour, c’est de lui donner des ailes.
Ne traversez pas la vie en courant si vite que vous en oubliez, non seulement d’où vous venez, mais aussi où vous allez.
N’oubliez pas que le plus grand besoin émotionnel d’une personne est de se sentir apprécié.
N’ayez pas peur d’apprendre. Le savoir n’a pas de poids, c’est un trésor que vous pouvez emmener partout avec vous.
Faites attention à ne gaspiller ni le temps ni les mots. Ni l’un ni l’autre ne peuvent êtres récupérés.
La vie n’est pas une course mais un voyage à savourer pas à pas.
Hier c’est de l’histoire.
Demain est un mystère.
Aujourd’hui est un cadeau.
C’est pour cela qu’on l’appelle le présent « .
Ce texte a été écrit par Brian DYON, PDG de la firme Coca Cola, et présenté lors d’un discours à l’occasion de la remise de diplômes dans une université américaine, le 6 septembre 1991.
Les hommes sont comme… le café.
Les meilleurs sont riches, chauds et peuvent te tenir éveillée toute la nuit.
Les hommes sont comme… des bananes.
Plus elles sont vieilles, moins elles sont fermes.
Les hommes sont comme… la météo.
Vous ne pouvez rien faire pour les changer.Les hommes sont comme… les mélangeurs.
Vous en avez besoin d’un. Mais vous ne savez pas trop pourquoi.
Les hommes sont comme…une photocopieuse.
Vous en avez besoin pour la reproduction, mais c’est à peu prés tout. Les hommes sont comme… un emprunt du gouvernement.
Ils prennent si longtemps à se bonifier. Les hommes sont comme… un casque pour faire du vélo.
Utile en cas d’urgence, mais sinon ils ont l’air parfaitement ridicule. Les hommes sont comme… le ciment.
Une fois étendus, ils peuvent prendre beaucoup de temps à durcirLes hommes sont comme… les lampes magiques
Ils ont l’air brillants, mais il faut les frotter pour en faire sortir le génie.Les hommes sont comme… le pop-corn
On a du mal à résister, mais on est vite écoeuré.Les hommes sont comme… l’horoscope.
Ils vous disent toujours quoi faire et habituellement ils se trompentLes hommes sont comme… le mascara.
Ils disparaissent au moindre signe d’émotion.Les hommes sont comme… une tempête de neige
Vous ne savez jamais quand ils vont venir, à combien de centimètres vous aurez affaire et combien de temps ça va durer.
Les hommes sont comme… les places de stationnement
Les meilleurs sont déjà pris et les autres sont trop petits ou handicapés. Auteur : inconnu
Un jour, toutes les couleurs du monde se mirent à se disputer entre elles, chacune prétendant être la meilleure, la plus importante, la plus belle, la plus utile, la favorite.
Le vert affirma : Je suis le plus essentiel, c’est indéniable. Je représente la vie et de l’espoir. J’ai été choisi pour l’herbe, les arbres et les feuilles. Sans moi, les animaux mourraient. Regardez la campagne et vous verrez que je suis majoritaire.
Le bleu prit la parole : Tu ne penses qu’à la terre mais tu oublies le ciel et l’océan. C’est l’eau qui est la base de la vie alors que le ciel nous donne l’espace, la paix et la sérénité. Sans moi, vous ne seriez rien.
Le jaune rit dans sa barbe : Vous êtes bien trop sérieux. Moi j’apporte le rire, la gaieté et la chaleur dans le monde. À preuve, le soleil est jaune, tout comme la lune et les étoiles. Chaque fois que vous regardez un tournesol, il vous donne le goût du bonheur. Sans moi, il n’y aurait aucun plaisir sur cette terre.
L’orange éleva sa voix dans le tumulte : Je suis la couleur de la santé et de la force. On me voit peut-être moins souvent que vous mais je suis utile aux besoins de la vie humaine. Je transporte les plus importantes vitamines. Pensez aux carottes, aux citrouilles, aux oranges aux mangues et aux papayes. Je ne suis pas là tout le temps mais quand je colore le ciel au lever ou au coucher du soleil, ma beauté est telle que personne ne remarque plus aucun de vous.
Le rouge qui s’était retenu jusque là, prit la parole haut et fort : C’est moi le chef de toutes les couleurs car je suis le sang, le sang de la vie. Je suis la couleur du danger et de la bravoure. Je suis toujours prêt à me battre pour une cause. Sans moi, la terre serait aussi vide que la lune. Je suis la couleur de la passion et de l’amour, de la rose rouge, du poinsettia et du coquelicot.
Le pourpre se leva et parla dignement : Je suis la couleur de la royauté et du pouvoir. Les rois, les chefs et les évêques m’ont toujours choisie parce que je suis le signe de l’autorité et de la sagesse. Les gens ne m’interrogent pas, ils écoutent et obéissent.
Finalement, l’indigo prit la parole, beaucoup plus calmement que les autres mais avec autant de détermination : Pensez à moi, je suis la couleur du silence. Vous ne m’avez peut-être pas remarquée mais sans moi vous seriez insignifiantes. Je représente la pensée et la réflexion, l’ombre du crépuscule et les profondeurs de l’eau. Vous avez besoin de moi pour l’équilibre, le contraste et la paix intérieure.
Et ainsi les couleurs continuèrent à se vanter, chacune convaincue de sa propre supériorité. Leur dispute devint de plus en plus sérieuse. Mais soudain, un éclair apparut dans le ciel et le tonnerre gronda. La pluie commença à tomber fortement. Inquiètes, les couleurs se rapprochèrent les unes des autres pour se rassurer.
Au milieu de la clameur, la pluie prit la parole :
Idiotes ! Vous n’arrêtez pas de vous chamailler, chacune essaie de dominer les autres. Ne savez-vous pas que vous existez toutes pour une raison spéciale, unique et différente ? Joignez vos mains et venez à moi. Les couleurs obéirent et unirent leurs mains.
La pluie poursuivit :
Dorénavant, quand il pleuvra, chacune de vous traversera le ciel pour former un grand arc de couleurs et démontrer que vous pouvez toutes vivre ensemble en harmonie. L’arc-en-ciel est un signe d’espoir pour demain. Et, chaque fois que la pluie lavera le monde, un arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel, pour nous rappeler de nous apprécier les uns les autres.
Le temps qu’un homme comprenne que son père avait sans doute raison, il a généralement un fils qui pense qu’il a tort.
Charles Wadsworth
Dessin de Fabrice CM2 1986
L a f a m i l l e
Vous rendez-vous compte que si demain vous mourez,
votre employeur vous remplacera sans aucun problème en quelques jours ?
Mais la famille que vous laissez derrière vous
souffrira de vous avoir perdu(e) pour le restant de sa vie.
Pensez-y un instant….
Nous passons plus de temps au travail qu’en famille. Voici un investissement insensé, qu’en dites-vous?
Bien, qu’y a-t-il derrière cette histoire ?
Savez-vous ce que veut dire le mot FAMILLE en angla is ?
FAMILY
F ( Father = Papa) A (And = et)
M (Mother= Maman)
I (I = Je)
L (Love = Aime)
Y (You =Vous)
= PAPA ET MAMAN JE VOUS AIME
Auteur inconnu
dessins de Fabrice – CM2
1986
Cadeau :
Marie Laforêt
(Parlé: Marie Laforêt:}
Hier soir, dans la cuisine,
je préparais le dîner, quand mon petit garçon est entré.
Il m’a tendu un morceau de papier griffonné.
J’ai essuyé mes mains sur mon tablier,
et je l’ai lu. Et voici ce qu’il disait :
{Parlé: L’enfant:}
Pour avoir fait mon lit toute la semaine 3 francs
Pour avoir été aux commissions 1 franc
Pour avoir surveillé le bébé pendant que toi tu allais aux commissions 1 franc 25
Pour avoir descendu la corbeille à papiers 75 centimes
Pour avoir remonté la corbeille à papiers 1 franc et 10 centimes
Pour avoir arrosé les fleurs sur le balcon 25 centimes
Total 9 francs et 85 centimes.
{Parlé: Marie Laforêt:}
Je l’ai regardé, il se tortillait en mâchant son crayon
et une foule de souvenirs sont revenus à ma mémoire.
Alors j’ai repris son crayon, j’ai retourné la feuille et voilà ce que j’ai écrit :
{Chanté: Marie Laforêt:}
Pour neuf mois de patience et douze heures de souffrance
CADEAU
Pour tant de nuits de veille, surveillant ton sommeil
CADEAU
Pour les tours de manège, les jouets, le collège
CADEAU
Et quand on fait le tour, le total de mon amour,
C’est CADEAU
{Parlé: Marie Laforêt:}
Quand il a eu fini de lire, il avait un gros chagrin dans les yeux.
Il a levé la tête et a dit :
“M’Man, je t’aime très beaucoup”
Il a repris son papier, l’a retourné, et en grosses, grosses lettres,
a marqué :
“CADEAU”
{Chanté: Marie Laforêt:}
Et quand on fait le tour, le total de l’amour,
C’est CADEAU, C’est CADEAU
http://coukie24.unblog.fr/files/2008/11/cadeau.mp3
Le temps qu'un homme comprenne que son père avait sans doute raison, il a généralement un fils qui pense qu'il a tort.
Charles Wadsworth
Dessin de Fabrice CM2 1986
L a f a m i l l e
Vous rendez-vous compte que si demain vous mourez,
votre employeur vous remplacera sans aucun problème ..." onclick="window.open(this.href);return false;" >
« Pour exceller en quelque chose, il faut y prêter une persévérante attention.»
Si des embûches se dressent sur votre chemin, changer de direction mais pas de destination…
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Nous pouvons améliorer les images du monde et, comme ça, nous pouvons améliorer le monde. [Wim Wenders]
Quelques citations…
La politesse est à l'esprit
Ce que la grâce est au visage
(Voltaire) -
Un compliment, c'est un peu d'amour
dans beaucoup d'esprit.
(E. Faguet) -
Tous les nuages sont bordés d'argent
(Proverbe)
Celui qui ne sait pas se contenter de peu
ne sera jamais content de rien
(Epicure)
Un regard est dans tout pays un langage
(G.Herbert)
La sagesse fait durer, les passions font vivre.
(Chamfort)
L'imagination est l'oeil de l'âme.
(Joseph Joubert)
Bonne Journée !
De tout en vrac
Il y a autour de nous une infinité de joies vraies, simples et faciles. Il ne s’agit que de s’en emparer.
Le défi le plus difficile à relever est d’être vous-mêmes dans un monde où chacun essaie de faire de vous une autre personne…
L’âme a des illusions comme l’oiseau a des ailes ; c’est ce qui la soutient. (Victor Hugo)